L’honneur est un langage.

L’honneur est un mot qui vibre comme un chant ancien, une note suspendue entre la terre et le ciel.

Il évoque des chevaliers aux âmes ardentes, des sages méditant sous des étoiles, des poètes écrivant à la plume des vers pour défier l’oubli. 

Mais l’honneur est-il une ombre du passé, un écho perdu dans le tumulte moderne ?

Ou bien est-il un langage vivant, une parole sacrée qui relie l’homme au divin, l’éphémère à l’éternel ? 

L’honneur est comme un langage universel. 

C’est une vibration philosophique, poétique et spirituelle, qui s’incarne dans nos gestes, nos silences et nos aspirations. 

Dans le même temps l’honneur dialogue avec le monde céleste.

1. L’Honneur comme langage de l’âme. 

2. L’Honneur et le monde spirituel. 

3. L’Honneur face au temps. 

4. La poésie de l’Honneur. 

5. L’Honneur comme résistance et communion. 

6. L’Honneur et l’autre.  

7. Conclusion : parler Honneur c’est parler avec le divin.

I. L’Honneur comme langage de l’âme.

L’honneur est un langage intérieur, une grammaire de l’âme. 

Il est l’ensemble des lois invisibles qui guident nos choix lorsque le regard des autres s’éteint. 

Comme tout langage, il possède ses inflexions, ses silences éloquents, ses accents propres à chaque culture et à chaque cœur. 

Pourtant, son essence demeure universelle : une fidélité à soi-même et une droiture face aux tempêtes du monde.

Dans les traditions héroïques, l’honneur brille comme une armure. 

  • Achille, dans sa quête de gloire immortelle, ou Antigone, défiant la loi humaine pour obéir à une justice divine, incarnent ce langage avec une intensité tragique. 
  • Dans les philosophies orientales, comme le bushido, l’honneur se pare de retenue, plaçant le devoir au-dessus des désirs. 

Mais l’honneur n’est pas l’apanage des légendes. 

Il vit dans le courage de l’ouvrier qui refuse de trahir sa conscience, dans le pardon silencieux d’une blessure et dans la main tendue à l’inconnu. 

C’est un langage parlé par le cœur, inscrit dans le corps.

C’est une promesse d’alignement entre l’être et l’idéal.

II. L’Honneur et le monde spirituel.

L’honneur, cependant, ne se limite pas à la sphère terrestre. 

Il est un langage sacré, un dialogue avec le divin. 

Dans le monde spirituel, l’honneur devient une offrande, une manière de s’élever vers ce qui nous dépasse. 

Il est l’expression d’une âme qui reconnaît sa place dans l’ordre cosmique, une âme qui sait que chaque acte, chaque parole, résonne dans l’éternité.

L’honneur spirituel est une source d’inspiration divine. 

Lorsque nous agissons avec droiture, lorsque nous choisissons la vérité malgré la peur, nous ouvrons un espace en nous où le divin peut s’exprimer. 

Cette inspiration n’est pas un privilège réservé aux saints ou aux mystiques ; elle est une grâce offerte à quiconque parle le langage de l’honneur. 

L’honneur, dans sa quête de justice et de vérité, attire la lumière d’en haut, comme un miroir reflétant le soleil.

Mais ce dialogue est réciproque. 

Le divin, en retour, répond à nos comportements. 

Chaque acte d’honneur est une prière silencieuse, une offrande qui appelle une réponse. 

Cette réponse peut prendre la forme d’une paix intérieure, d’une synchronicité, d’une force soudaine face à l’adversité. 

Dans les traditions spirituelles, on dit que le ciel observe, que les anges notent, que l’univers conspire en faveur de ceux qui vivent avec honneur. 

Ce retour du divin n’est pas toujours visible ; il est souvent un murmure, une brise subtile qui guide l’âme vers sa destinée. 

Pourtant, il est réel, aussi réel que la lumière qui suit l’aube.

III. L’Honneur face au temps moderne. 

Le temps a-t-il altéré l’honneur ? 

Dans une ère de vitesse et de superficialité, où la gloire éphémère des écrans l’emporte sur la quête de sens, l’honneur semble parfois appartenir à un autre âge. 

Une image saisissante en tête de cet article, tirée du livre “Der Untergang des Römischen Reiches” d’Edward Gibbon, montre la chute de Rome : des bâtiments en flammes, des soldats en combat, un empire s’effondrant sous le poids de la corruption et de la décadence. 

Cette vision est une métaphore puissante du déclin des valeurs, de l’abandon de l’honneur qui précipite les civilisations dans l’oubli. 

Lorsque l’intégrité cède à la compromission, lorsque la vérité devient négociable, les flammes de la ruine ne sont jamais loin.

Pourtant, l’honneur n’a pas disparu ; il s’est métamorphosé. 

Comme un langage vivant, il emprunte de nouveaux mots, tout en préservant sa grammaire sacrée. 

Aujourd’hui, l’honneur s’exprime dans des combats modernes. 

  • Il est dans le courage des lanceurs d’alerte, qui risquent tout pour révéler des vérités cachées. 
  • Il est dans la résilience des défenseurs de la liberté, qui s’élèvent contre l’oppression. 
  • Il est dans la dignité de ceux qui, face à l’injustice, refusent de plier. 

L’honneur, loin d’être une relique, est une force dynamique, un pont entre la terre et le ciel, un rempart contre le déclin, un appel à vivre en accord avec les lois divines et humaines.

Mais ce langage est fragile. 

La frénésie du monde, son culte de l’immédiat, son égoïsme débridé, menacent de l’étouffer. 

Comme Rome, notre société risque de s’effondrer si elle oublie l’honneur, si elle sacrifie ses idéaux sur l’autel de la facilité. 

Pourtant, il suffit d’un instant, d’un choix, pour raviver ce langage. 

Car l’honneur n’est pas une contrainte ; c’est une invitation à parler une langue plus haute, une langue qui relie l’âme au divin.

IV. La poésie de l’Honneur.

L’honneur est une poésie incarnée. 

Il est un chant, une métaphore, une danse entre le visible et l’invisible.

Comme un poème, il ne se justifie pas ; il se vit. 

Il y a une beauté dans l’honneur, une beauté qui ne réside pas dans la perfection, mais dans l’élan.

C’est la fragilité de celui qui choisit d’être fidèle à ses valeurs, malgré le poids du monde.

Pensons à Don Quichotte, ce chevalier errant dont l’honneur, bien que moqué, touche le sublime. 

Il nous enseigne que l’honneur n’est pas une question de victoire, mais d’intention, une offrande au divin à travers l’idéal. 

Cette poésie s’exprime aussi dans les silences. 

L’honneur n’hurle pas ; il murmure. 

Il est dans le regard qui refuse de répondre à la haine, dans la retenue de celui qui choisit la paix plutôt que la vengeance. 

Ces silences sont des vers sacrés, des prières sans mots, des dialogues avec l’éternel.

V. L’Honneur comme résistance et communion.

Dans un monde où les vérités sont manipulées, où les valeurs sont négociées, l’honneur est une résistance. Il est un refus de céder à la lâcheté, à l’indifférence, au chaos. 

Parler le langage de l’honneur, c’est s’opposer au conformisme, c’est affirmer que certaines choses – la justice, la vérité, la dignité – sont sacrées, intouchables.

Cette résistance est aussi une communion. 

L’honneur spirituel nous rappelle que nos actes ne sont pas isolés ; ils s’inscrivent dans une trame plus vaste, une tapisserie tissée par le divin. 

Chaque choix honorable est un fil d’or dans cette trame, un acte qui renforce le lien entre l’homme et le sacré. 

Lorsque nous vivons avec honneur, nous ne résistons pas seulement pour nous-mêmes ; nous résistons pour le monde, pour l’ordre cosmique, pour la lumière qui refuse de s’éteindre.

VI. L’Honneur et l’autre.

L’honneur est un langage relationnel. 

Il se manifeste dans le respect de l’autre, dans la reconnaissance de sa dignité, dans la fidélité à nos promesses. 

Il est un pont entre les âmes, une manière de dire : « Tu es sacré, car tu portes en toi une étincelle du divin. » L’honneur nous lie non seulement aux autres, mais aussi à l’univers, dans une danse d’interdépendance où chaque geste compte.

Dans cette perspective, l’honneur est une prière collective. 

Lorsque nous agissons avec honneur, nous honorons non seulement notre propre âme, mais aussi celle des autres, et, par extension, le divin qui réside en tout. 

C’est un langage qui construit, qui guérit, qui élève.

VII. Conclusion : parler l’Honneur, parler le divin.

L’honneur est un langage ancien, mais éternellement jeune. 

Il est philosophique, car il questionne le sens de nos vies. 

Il est évocateur, car il réveille des visions d’héroïsme, de sacrifice, de lumière. 

Il est poétique, car il transforme l’ordinaire en sacré. 

Et il est spirituel, car il est un dialogue avec le divin, une offrande qui appelle une réponse.

Dans un monde qui nous pousse à oublier, à trahir, à nous perdre, l’honneur est une ancre, une étoile, un feu sacré. 

Il ne promet ni gloire ni récompense terrestre, mais il offre une paix profonde, celle de vivre en harmonie avec soi, avec les autres, avec le divin. 

Parler l’honneur, c’est parler la langue des anges, c’est écrire un poème dont chaque vers est un pas vers la lumière.

Alors, parlons l’honneur. 

Parlons-en dans nos silences, dans nos luttes, dans nos amours. 

Parlons-le avec audace, avec humilité, avec foi. 

Car l’honneur n’est pas seulement un langage ; c’est une manière d’être, une manière de dire au monde, à l’univers, au divin : je suis là, je tiens debout, je choisis la vérité.

Les limites de la perspective logico-mathématique et l’oubli de la perception : une réflexion sur la science moderne.

Introduction.

La science moderne, avec ses prouesses technologiques et ses formules rigoureuses, a transformé notre monde. Mais à quel prix ? 

En se concentrant sur une approche logico-mathématique, elle a progressivement relégué la richesse de la perception humaine et la profondeur de la connaissance intuitive au second plan. 

Dans cet article, Antoine Bachelin Sena explore les limites de cette perspective, en s’appuyant sur une réflexion philosophique et des exemples concrets. 

L’objectif étant de  montrer comment la science, en s’éloignant de l’ontologie et de la perception, risque de nous priver d’une compréhension globale de la réalité.

La logique, une simplification qui éloigne de la réalité.

La perspective logico-mathématique, pilier de la science contemporaine, repose sur une abstraction puissante mais réductrice. 

Prenons l’exemple du concept d’«homme». Quand nous pensons à «un homme», nous pouvons envisager un individu précis – Pierre, avec son rire communicatif et ses lunettes épaisses –, le groupe des hommes en général, ou encore la nature humaine dans son essence. 

Pourtant, dès que nous raisonnons logiquement, ce concept devient une entité abstraite, détachée de la réalité concrète. 

La logique ignore le jugement d’existence implicite dans notre perception – «Pierre existe, il est là, devant moi» – pour se concentrer sur des raisonnements hypothétiques, souvent mécaniques.

Cette abstraction a un coût. Chaque discipline scientifique (logique, psychologie, sociologie, etc.) isole un aspect de la réalité pour l’étudier, mais en faisant cela, elle s’éloigne de l’objet dans sa globalité. 

Par exemple, un neuroscientifique peut analyser les signaux électriques du cerveau d’un patient, mais cette analyse ne dit rien de ce que le patient ressent en regardant un coucher de soleil. 

La science moderne, en mathématisant les phénomènes, produit des connaissances précises mais partielles, souvent déconnectées de la réalité ontologique – c’est-à-dire de la compréhension des «sphères» de l’existence, comme le monde humain, la nature ou leurs interrelations.

Un exemple frappant est la mécanique quantique. Les physiciens manipulent des équations d’une précision redoutable, mais beaucoup avouent ne plus savoir ce qu’est l’objet qu’ils étudient. 

Les particules subatomiques, décrites par des probabilités, semblent flotter dans un vide conceptuel, sans lien clair avec la réalité tangible. 

Cette connaissance, bien que rigoureuse, manque de dimension ontologique : elle ne nous dit rien sur la place de ces phénomènes dans l’ensemble de la réalité.

La perception, une richesse oubliée.

Contrairement à la science, la perception quotidienne capte la réalité dans sa complexité. Imaginez-vous au marché, face à un étal d’oranges. 

En un instant, vous percevez l’orange comme un objet spatial, avec sa couleur vive et sa texture rugueuse. Vous savez qu’elle est comestible, qu’elle a été cultivée, transportée, peut-être cueillie par un agriculteur sous un soleil brûlant. 

Vous appréciez sa beauté, son odeur, et peut-être même vous demandez si elle est bio. Cette perception, immédiate et riche, intègre des dimensions que la science ne peut reproduire seule. 

Pourtant, c’est sur cette «ontologie naturelle» de l’homme ordinaire que s’appuient toutes les sciences.

Dans les cosmologies antiques, cette capacité perceptive était cultivée. 

L’univers était vu comme un réseau de symboles interconnectés, où chaque élément – une étoile, un arbre, une personne – révélait des couches de réalité. 

Aristote parlait de la «forme» d’un objet, une idée qui dépasse l’apparence physique pour inclure les tensions et intentions sous-jacentes. 

Par exemple, en observant une personne, nous ne voyons pas seulement un corps, mais une histoire, des émotions, des intentions, peut-être même une âme. 

Cette perception des «cercles de latence» – ces dimensions cachées mais présentes – était au cœur de la connaissance antique, qui visait à intensifier la conscience de l’acte de connaître.

La science moderne : un savoir horizontal au service du pouvoir.

Avec l’avènement de la science moderne, portée par des figures comme Francis Bacon, cette richesse a été abandonnée. 

La connaissance s’est réduite à la comparaison mathématique des phénomènes, dans une quête de contrôle des processus naturels. 

Ce paradigme «horizontal» ignore les dimensions verticales de la réalité – celles de la profondeur, de l’élévation, du sens. 

L’objectif n’est plus de comprendre l’univers, mais de le dominer. 

Comme l’écrivait Alfred North Whitehead, l’acte de savoir ne peut être réduit à des processus physiques, comme les signaux cérébraux, sans perdre sa spécificité. 

Pourtant, la science moderne tend à ramener le savoir à l’être, éliminant la distinction entre connaître et exister.

Cette focalisation sur le contrôle a des conséquences sociales. 

La science, en produisant des technologies, confère un pouvoir immense à une minorité – ceux qui maîtrisent les connaissances et les ressources. 

Ce n’est pas un accident, mais une conséquence logique de la définition même de la science moderne. 

Par exemple, les algorithmes d’intelligence artificielle, issus de découvertes scientifiques, permettent à quelques entreprises de prédire et d’influencer les comportements de millions de personnes. 

Ce pouvoir, souvent exercé sans sagesse ni responsabilité, creuse des inégalités et menace les libertés.

La sagesse du profane et la limite du critère de vérifiabilité.

Le prestige de la science repose sur son critère de vérifiabilité : une connaissance n’est valide que si elle est reproductible et partageable. 

Mais ce critère exclut des formes de savoir tout aussi précieuses. 

Le sage, admiré pour sa compréhension profonde, sait des choses que les autres ignorent. 

De même, l’historien, face à un événement complexe comme la Révolution française, ne peut réduire ses causes à une formule. 

Il doit saisir une «constellation» de facteurs – économiques, culturels, humains – et se fier à une intuition qui s’exprime parfois mieux dans un poème ou une pièce de théâtre que dans une équation.

Même dans la vie quotidienne, le profane peut surpasser le spécialiste. 

Un agriculteur, par son expérience du climat et du sol, peut prévoir une récolte là où un modèle météorologique échoue. Sa perception, enrichie par des années d’observation, intègre des nuances que la science ne capte pas. 

La connaissance scientifique peut corriger ou compléter la perception, mais elle ne la remplace pas. Au contraire, une perception affûtée peut incorporer les apports de la science, tout en restant ancrée dans la réalité.

Vers une philosophie de la perception.

Pour retrouver un sens de l’orientation dans un monde dominé par la science, il est urgent de redonner sa place à la théorie de la connaissance. 

Celle-ci devrait commencer par étudier les caractères généraux de la perception, présents dans chaque acte perceptif, avant de les analyser sous l’angle des sciences particulières. 

La philosophie, en enrichissant notre perception de l’univers, peut nous aider à saisir la place de chaque chose dans l’ordre de l’être – une ambition qui était celle des cosmologies antiques.

Conclusions.

La science moderne, malgré ses mérites, nous a enfermés dans une vision réductrice de la réalité. 

En privilégiant la logique et le contrôle, elle a négligé la perception, qui reste notre porte d’entrée vers une compréhension globale du monde. 

Pour les lecteurs, l’enjeu est clair : il ne s’agit pas du tout de rejeter la science, bien au contraire, mais de la réintégrer dans une vision plus large qui valorise la science, et où la sagesse, l’intuition et la perception retrouvent leur place. 

Car, comme le montre l’exemple de l’orange au marché, c’est dans le regard de l’homme ordinaire que réside la clé d’une connaissance véritablement humaine.

L’Espérance confisquée : retrouver la lumière dans les ombres. 

Dans un monde où les ombres s’épaississent, l’espérance semble avoir été confisquée. Ce mot, autrefois chargé de promesses, résonne aujourd’hui comme une relique d’un autre temps, écrasé sous le poids d’une modernité désenchantée.
Crises en cascade – technocratie, relativisme, subversion des repères – ont vidé nos âmes de cette lumière qui jadis portait les hommes au-delà des ténèbres. Ce texte se veut une réflexion, un cri peut-être, pour réinventer l’espérance, non pas comme une illusion naïve, mais comme une force vive, enracinée dans une dignité qui transcende les désillusions.
Car si les ombres modernes ont réussi à nous priver d’horizon, il nous appartient de retrouver la flamme, de parler depuis notre immortalité, et d’éclairer à nouveau le chemin.

Le vol de l’espérance : un monde sans horizon.
Le constat est amer : la modernité a confisqué l’espérance.
Là où nos ancêtres voyaient dans l’avenir une terre à conquérir ou un mystère à accueillir, nous ne discernons plus qu’un brouillard d’incertitudes.
Les promesses du progrès, qui ont bercé le XXe siècle, se sont révélées creuses : le confort matériel a remplacé la grandeur, la consommation a étouffé l’aspiration.
Les crises qui rythment notre époque – économiques, écologiques, identitaires – ne font qu’amplifier ce vide.
Elles ne sont pas seulement des défis pratiques ; elles sont les symptômes d’une perte plus profonde, celle d’une vision qui donne sens à l’existence.

Ce désespoir ne s’affiche pas toujours comme tel. Il se travestit en cynisme, ce rictus désabusé qui moque toute tentative d’idéal.
On le voit dans les conversations quotidiennes, où l’ironie l’emporte sur l’enthousiasme, ou dans les réseaux sociaux, où le sarcasme est roi.
Il se manifeste aussi dans un repli individualiste : chacun pour soi, dans un monde perçu comme une jungle hostile. Les grandes catastrophes annoncées – réchauffement climatique, guerres imminentes, effondrement économique – achèvent de nourrir une peur diffuse de l’avenir.
L’homme moderne ne vit plus pour demain ; il survit en attendant la chute.

Prenons les discours apocalyptiques qui dominent notre époque.
Le climat, par exemple, est devenu un terrain d’angoisse collective.
Les alertes scientifiques se muent souvent en prophéties de fin du monde, relayées par des militants qui oscillent entre culpabilisation et résignation.
Loin d’inspirer une action collective, ces récits paralysent, transformant l’espérance en un luxe que nous ne pouvons plus nous offrir.
De même, les tensions géopolitiques – Ukraine, Proche-Orient, rivalités sino-américaines – alimentent un imaginaire de chaos où l’avenir n’est plus une promesse, mais une menace.

L’échec des idéologies : des lendemains qui ne chantent plus.
Cette confiscation de l’espérance doit beaucoup à l’effondrement des idéologies qui, jadis, portaient des horizons communs.
Le communisme promettait un paradis terrestre ; le libéralisme, une prospérité universelle.
Ces utopies, malgré leurs dérives, donnaient un sens, un but. Aujourd’hui, que reste-t-il ?
Le capitalisme globalisé offre des gadgets et des écrans, mais pas de rêve collectif.
Les idéologies progressistes, quant à elles, se perdent dans un relativisme stérile, incapables de proposer autre chose qu’une déconstruction sans fin. Même les combats pour la justice sociale s’enlisent souvent dans des querelles identitaires qui divisent plus qu’elles n’unissent.

Le résultat est un vide béant.
Sans horizon partagé, l’homme moderne est orphelin.
Les institutions qui structurent autrefois la société – Église, État, famille – ont perdu leur aura.
La technocratie, qui prétend les remplacer, ne propose qu’une gestion froide, dénuée de souffle.
Les algorithmes dictent nos choix, les experts nos comportements, mais personne ne nous dit pourquoi vivre. Cette absence de «pourquoi» est le véritable vol de l’espérance : elle nous laisse nus face aux ombres, sans boussole pour avancer.

Les lumières d’hier : quand l’espérance porte l’homme.
Pour comprendre ce que nous avons perdu, tournons-nous vers les sources d’espérance du passé.
La foi chrétienne, par exemple, a irrigué des siècles d’histoire européenne.
Elle ne promet pas un bonheur immédiat, mais une rédemption, une éternité qui donnait sens aux épreuves. L’homme n’est pas un accident cosmique, mais une créature appelée à la transcendance.

L’Épître aux Hébreux (11:1) nous rappelle que «la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas».
Cette vision, incarnée dans les cathédrales ou les écrits de Saint Augustin, offre une lumière dans les ténèbres, une espérance qui ne dépend pas des circonstances, mais d’une certitude intérieure capable de défier le visible.

Le sacré comme étincelle : Bernanos et les résistances actuelles.
Face au désenchantement moderne, le sacré peut-il raviver cette flamme ? Georges Bernanos, écrivain visionnaire, croyait en une espérance enracinée dans la profondeur de l’âme humaine.
Dans “Les grands cimetières sous la lune”, il dénonçait déjà un monde qui sacrifie l’esprit au profit de la matière. Pour lui, l’espérance n’était pas une illusion, mais une révolte contre le néant, un cri de vie porté par la foi.
Cette intuition résonne encore : retrouver l’espérance, c’est oser regarder au-delà des ombres, vers une lumière qui ne s’éteint pas.

Des exemples contemporains montrent que cette flamme n’est pas éteinte.
En Pologne, la résistance au communisme s’est nourrie d’une identité spirituelle profonde, mêlant catholicisme et patriotisme.
En Russie, malgré les dérives autoritaires, une quête de sens transcendant – via l’orthodoxie ou la littérature – persiste face au matérialisme occidental.
Ces sociétés, imparfaites, rappellent que le sacré peut être un rempart contre le désespoir.
Non par nostalgie d’un âge d’or, mais par une réinvention adaptée à notre temps : une espérance qui ne fuit pas la réalité, mais la traverse avec courage.

Où chercher l’espérance confisquée ?
Si l’espérance nous a été volée par les ombres modernes, où la retrouver ?
La réponse ne viendra ni des écrans, ni des discours politiques usés.
Elle gît en nous, dans cette part d’immortalité que nul ne peut confisquer. Parler depuis notre immortalité, comme le suggère cette réflexion, c’est reconnaître que l’homme n’est pas réductible à ses échecs, à ses crises, à ses peurs.
C’est puiser dans une dignité qui transcende les désillusions, une force qui ne dépend pas des circonstances extérieures, mais d’une vérité intérieure – cette «ferme assurance» dont parle l’Épître aux Hébreux (11:1).

Cette quête n’est pas abstraite.
Elle peut s’incarner dans des gestes concrets : reconstruire des communautés où l’on se parle, où l’on crée ensemble ; redonner du sens au travail, non comme une corvée, mais comme une offrande ; oser la beauté, dans l’art ou dans les relations humaines, comme un défi au cynisme.
Elle passe aussi par une réappropriation du temps : sortir de l’urgence perpétuelle pour retrouver le rythme de l’éternité, celui des saisons, des prières, des silences.
L’espérance n’est pas un état passif ; elle est une action, un choix lucide face aux ténèbres.

Un appel à l’action : éclairer les ombres.
Retrouver l’espérance, c’est refuser de céder aux ombres.
C’est dire non au désenchantement, au relativisme qui dissout tout, à la technocratie qui nous réduit à des numéros.

Lançons un appel avec une lucidité qui ose voir le pire pour mieux le dépasser. Inspirons-nous des résistants d’hier et d’aujourd’hui, de ceux qui, dans les ruines, ont planté des graines d’avenir. Puisons dans le sacré, non comme une fuite, mais comme une ancre.

Car l’espérance confisquée n’est pas perdue.
Elle attend, tapie dans nos âmes, prête à jaillir dès que nous oserons la revendiquer.
Elle n’est pas une promesse de jours faciles, mais une flamme qui brûle dans la nuit.
À nous de la raviver, de la porter, d’éclairer les ténèbres.
Parler depuis notre immortalité, c’est commencer dès aujourd’hui à vivre et c’est un appel puissant à l’action.

Audience de la Chambre des représentants lors de la commission juridique sur le “complexe industriel de la censure”, le 12 février 2025.

Voici l’article ici sur France Soir :

https://www.francesoir.fr/politique-monde-societe-justice/le-complexe-industriel-de-la-censure-une-menace-mondiale-la-liberte

Les journalistes des ‘Twitter Files’, Matt Taibbi et Michael Shellenberger, témoignent aux côtés de la journaliste canadienne Rupa Subramanya sur la campagne de censure de l’administration Biden et d’autres menaces contre la liberté d’expression.

Sommaire :

– Introduction du terme “complexe industriel de censure”.

– Personnages clés.

– Introduction de Jim Jordan (représentant du congrès élu dans l’état de l’Ohio et président de la commission des affaires juridiques).

– Intervention de Rupa Subramanya.

– Intervention de Matt Taibi.

– Intervention de Michael Schellenberger.

Le message résumé d’Olavo de Carvalho. Philosophe et écrivain brésilien.

Illustration de quelques uns des plus de 64 livres incluant ceux réunissant ces articles dans des journaux.

Olavo de Carvalho (1947-2022) était un philosophe, écrivain et auteur à succès brésilien.

Procurez-vous le livre «Cours de Philosophie d’Olavo de Carvalho.»

Olavo démontre la fausseté des icônes culturelles.
On se retrouve dans le vide car toutes les sécurités idéologiques sont cassées sans violence, de façon lucide et naturelle.

Les répétitions mécaniques que les gens font sont cassées.

C’est une cassure existentielle avec nos sécurités intellectuelles.

Olavo m’a vacciné contre l’hédonisme, le matérialisme, le scepticisme qui règnent dans les médias, les universités et l’imaginaire collectif.

Il a mis en lumière l’incompatibilité des discours des soi-disant intellectuels face à leur pratique quotidienne cynique et vide de toute pratique éthique autrement dit hypocrite.

Il crée un bouleversement dans la structure de notre pensée pour assumer un moi qu’on ne peut corrompre pour que notre vie prenne de la cohérence et une direction personnelle.

Cela détruit tout relativisme autrement dit le scepticisme comme attitude de vie très répandue et promue par certains intérêts à notre époque. 

Et le scepticisme absolu entraîne le doute permanent sur tout, ce qui est un suicide de l’esprit et un aveuglément permanent. 

L’engagement éthique nous libère, nous émancipe et nous donne du courage. 
Aller contre la majorité et ne pas être prisonnier d’un amas de mensonges et de superficialités, c’est l’authenticité. 

Répéter des formules et protocoles à l’école avec un chantage émotionnel de suivre le groupe, un dressage collectif est une folie suicidaire alors qu’il faut émotionnellement et socialement être prêt à questionner notre situation sociale. 

Ceux qui ne peuvent décrire la réalité montrent juste leur carte du club autrement leur appartenance ou auto identification au groupe. Ils partagent juste les lieux communs avec un sens de concordance, acquis dans un dressage de protocoles. 
Cela renforce des manques émotionnels.
 
Le système d’éducation sociale corrompt notre liberté de penser.

Carvalho a publié ses premiers livres dans les années 1990, qui restent aujourd’hui en circulation avec 30 autres titres publiés.

– (1994). Une ère nouvelle et une révolution culturelle : Fritjof Capra & Antonio Gramsci [Le nouvel âge et la révolution culturelle] ;

– (1995). O jardim das aflições: de Epicuro à ressurreição de César – ensaio sobre o Materialismo e a religião civil [Le jardin des afflictions : de l’épicure à la résurrection de César – une étude sur le matérialisme et la religion civile] ;

– (1996). Aristote em nova perspectiva : Introdução à Teoria dos Quatro Discursos [Aristote dans une nouvelle perspective : Introduction à la théorie des quatre discours] ;

– (1996). O imbecil coletivo: atualidades inculturais brasileiras [L’imbécile collectif : l’actualité inculturelle brésilienne] ;

– (1997). O futuro do pensamento brasileiro : Estudos sobre o nosso lugar no mundo [L’avenir de la pensée brésilienne : Études sur notre place dans le monde].

De 2009 à 2022, année de son décès, il a donné des cours en ligne à des milliers d’étudiants.

Carvalho a laissé des contributions indélébiles dans les domaines de la philosophie, de la littérature et des sciences politiques.

Après sa mort, ses enseignements continuent d’inspirer et de façonner le paysage intellectuel, laissant une marque durable sur le discours entourant la philosophie et l’environnement culturel.

Procurez-vous le livre«Cours de Philosophie d’Olavo de Carvalho.»

La recherche de l’unité de la connaissance dans l’unité de la conscience de soi. Chapitre 49 du cours de philosophie par Olavo de Carvalho.

Voici tout d’abord les autres chapitres de ce cours 5 pour situer un peu :

  • 43. La dialectique de la compréhension.
  • 44. La logique est utilisée certaines fois pour camoufler l’expérience réelle.
  • 45. Science moderne et camouflage.  
  • 46. Validation de l’expérience commune.  
  • 47. Universaux abstraits.
  • 48. Le contenu dramatique de la thèse philosophique.
  • 49. La recherche de l’unité du savoir dans l’unité de la conscience de soi.
  • 50. Les différentes conceptions de la foi.
  • 51. Exclusion et dépassement.
  • 52. Évocation des expériences du philosophe.
  • 53. Exercice de Présence dans l’Univers.

Voici le chapitre 49 du Cours 5 qui débute à la page 32 du livre «Cours de philosophie par Olavo de Carvalho» puis nous exposerons au final différents points.

« Il n’y a d’unité de connaissance que dans l’unité de conscience de soi en Dieu, et la philosophie cherche à en acquérir et à en conserver une partie

L’oubli nous hantera toujours et un sillon doit être creusé dans notre personnalité qui est celui du sens du rôle de l’ignorance dans notre investigation philosophique. 

De nombreux scientifiques célèbres parlent comme si les connaissances qu’ils possèdent dans un domaine spécialisé leur donnaient autorité pour se prononcer sur n’importe quel sujet. 

Et c’est pourquoi ils ignorent même la situation réelle à partir de laquelle ils écrivent, montrant qu’ils se sont laissés capturer par la capacité d’abstraction et sont entrés dans l’aliénation, c’est-à-dire qu’ils ont commencé à ignorer la structure de la réalité et se sont lancés dans une action cognitivement irresponsable – hypnotique et auto-hypnotique – dans un théâtre mental créé par eux. 

Chesterton disait que la différence entre le poète et le fou est que le poète met sa tête dans le monde et le fou met le monde dans sa tête. 

Nous n’avons pas inventé le monde, nous ne l’embrasserons jamais, nous ne pouvons que nous ouvrir à lui et laisser la réalité nous enseigner. 

Mais la précipitation à tirer des conclusions et à vouloir boucler la boucle amène à la folie et c’est aussi pourquoi le vote d’abstinence en matière d’opinion est important.« 

Pour développer ce chapitre du cours de philosophie d’Olavo de Carvalho, nous allons explorer plusieurs dimensions clés de la recherche de l’unité de la connaissance dans l’unité de la conscience de soi.

– L’Unité de la Connaissance dans l’Unité de la Conscience de Soi en Dieu.

  • Unité dans la Conscience de Soi : Olavo de Carvalho pose que la véritable unité de la connaissance ne peut être atteinte que dans une conscience de soi qui se reconnaît dans une relation avec le Divin. Cette unité n’est pas simplement intellectuelle mais existentielle, où la connaissance est vue comme une partie d’une totalité plus vaste, un reflet de l’unité divine.
  • Philosophie comme Partie de la Connaissance Divine : La philosophie, dans cette perspective, est une tentative humaine de comprendre et de conserver une fraction de cette connaissance unifiée. Elle est un voyage de l’âme cherchant à se reconnecter avec cette unité originelle, une quête pour la sagesse qui transcende les connaissances fragmentées de notre expérience quotidienne.

– L’Oubli et le Rôle de l’Ignorance.

  • L’Oubli comme Partie de l’Investigation : L’oubli est vu comme une constante dans la vie humaine, un rappel que notre connaissance est toujours incomplète. Carvalho suggère que nous devons creuser un sillon dans notre personnalité pour reconnaître l’importance de l’ignorance dans notre quête philosophique. C’est cette reconnaissance de notre ignorance qui nous pousse à une investigation plus profonde et authentique.

– La Critique des Scientifiques et l’Aliénation Cognitive.

  • Fausse Autorité des Spécialistes : De nombreux scientifiques, selon Carvalho, se trompent en croyant que leur expertise dans un domaine leur donne une autorité universelle. Cette arrogance mène à une forme d’aliénation où l’individu perd de vue la réalité globale, capturé par sa propre capacité d’abstraction.
  • Aliénation et Hypnose Cognitive : Cette aliénation est décrite comme une sorte d’hypnose, où l’esprit se perd dans un théâtre mental de sa propre création, ignorant la structure fondamentale de la réalité. C’est une action cognitivement irresponsable, où on se coupe de l’expérience directe du monde.

– La Métaphore de Chesterton.

  • Poète vs. Fou : G.K. Chesterton offre une image puissante avec la comparaison entre le poète qui met sa tête dans le monde pour le comprendre et le fou qui met le monde dans sa tête, le remodelant selon ses propres illusions. Carvalho utilise cette métaphore pour montrer que le philosophe doit chercher à comprendre le monde tel qu’il est, non pas comme il le voudrait ou le projette.

– L’Importance de l’Ouverture et de l’Abstinence d’Opinion.

  • Ouverture à la Réalité : Nous ne sommes pas les créateurs du monde, et notre compréhension de celui-ci est toujours partielle. L’ouverture est donc essentielle, permettant à la réalité de nous enseigner plutôt que d’imposer nos propres schémas de pensée.
  • Vote d’Abstinence : La précipitation à conclure et à systématiser peut nous mener à la folie. Ainsi, il est crucial de parfois s’abstenir de donner des opinions définitives, reconnaissant les limites de notre connaissance actuelle. Cette abstinence est une forme de sagesse, une reconnaissance humble de l’immensité de ce qui reste à apprendre et à comprendre.

En conclusion, ce chapitre de Carvalho met en lumière une philosophie qui cherche l’unité de la connaissance à travers une conscience de soi profondément enracinée dans une réalité plus vaste, reconnaissant l’importance de l’ignorance, critiquant l’aliénation cognitive et prônant une approche humble et ouverte à la vérité du monde.

Plus dans le livre «Cours de philosophie d’Olavo de Carvalho».

La guerre contre l’intelligence.

Je n’ai pas choisi cet endroit pour vivre par hasard.

L’environnement urbain lui-même, avec son uniformité et son organisation extrême, finit par désensibiliser l’être humain. En revanche, un contact plus étroit avec la nature, crée une connexion plus forte avec la réalité.

Selon Olavo, nous nous éloignons de plus en plus de la réalité à cause du scientisme, un reflet de l’idée kantienne de la limitation des perceptions humaines, qui suggère l’incapacité de l’homme à percevoir comment fonctionne le monde, engendrant le positivisme, qui a confié aux scientifiques la tâche de produire les consensus par lesquels la société doit être guidée.

Les écoles modernes produisent ainsi des élèves obéissants aux consensus, mais incapables de développer la raison, qu’Olavo définit comme la capacité de comprendre le tout et ses parties, alors que la science, par définition, est limitée à étudier une partie de la réalité.

Philosopher, c’est rechercher l’unité de la connaissance dans l’unité de la conscience et vice-versa.

Procurez-vous ici le livre «Cours de Philosophie d’Olavo de Carvalho: une conversion des concepts généraux en expérience existentielle effective

Alors que la vraie Philosophie fait la connexion entre science et réalité, la philosophie des bureaucrates s’est transformée en un autre outil de formation de consensus.

En plus de devoir surmonter les peurs, pour élargir l’horizon de notre conscience, nous avons besoin d’instruments pour exprimer la réalité, qui se trouvent dans notre imaginaire.

Il est impossible de comprendre quelque chose sans faire appel à autre chose. Et pour penser à quelque chose, il faut maîtriser le langage et les possibilités humaines, élargies à travers la culture, principalement par la littérature.

Aristote disait déjà que l’intelligence n’opère pas directement sur les données des sens mais sur les formes répertoriées et gardées dans la mémoire.
La Haute Culture est la mémoire de la vie commune beaucoup plus que les livres d’histoire.

La culture humaine est constituée par la succession du travail de génies, qui utilisent le savoir développé par leurs prédécesseurs pour créer de nouvelles connaissances. Dès lors que l’humanité cesse de voir le tout et commence à découper la réalité à travers la science, sans construire la connexion nécessaire entre ces morceaux et en imposant la dictature des consensus, l’imaginaire est appauvri, empêchant la créativité et la production culturelle, détruisant finalement l’intelligence.

Dans des pays comme le Brésil, ce processus est très avancé et les conséquences sont visibles, où l’imposition d’une idéologie du monde a conduit à la dégradation de la culture, qui à son tour a privé les gens des outils pour construire l’imaginaire populaire et par conséquent la capacité de comprendre les problèmes sociaux et de chercher leurs solutions.

Donc, le chemin pour récupérer le pays passe nécessairement par la récupération de la culture, promue en premier lieu par la confiance du sujet dans sa capacité à voir la réalité avec ses propres yeux et autres sens, par la volonté de chercher la vérité même si cela implique de défier le consensus et d’être désapprouvé par la société, et même si cela implique aussi de surmonter ses propres peurs et de travailler au développement de l’imaginaire à travers l’étude systématique de la littérature de qualité, avec un contact permanent avec d’autres personnes qui traversent le même processus.

La guerre contre l’intelligence ne se déroule pas seulement au Brésil, mais à l’échelle mondiale, notamment par le processus de concentration du pouvoir politique et de destruction des identités.

Pour eux, la seule manière d’implémenter le projet globaliste est par la création d’une génération de citoyens obéissants aux consensus, tâche qui repose aujourd’hui entre les mains des écoles, des universités, de la presse et du show biz, qui se sont transformés en la seule forme de culture pratiquement consommée, en plus de la structure de l’État elle-même, de plus en plus bureaucratisée et éloignée des citoyens et plus proche de l’élite, à qui elle sert.

Moralement nous n’avons pas au nom de la soit disant recherche de certitude, le droit de nier une vérité incertaine (comme la présence de l’être qui est la première chose qui vient et que nous ne pouvons pas nier, même si cette présence de l’être n’est pas claire et distincte).

Accepter la primauté du fait sur l’explication est la règle d’or de la connaissance. Il vaut mieux avoir une collection de faits confirmés mais inexplicables qu’une collection d’explications qui vous empêchent de voir les faits.

Il est préoccupant de voir comment l’évolution technologique humaine n’a pas été accompagnée par un accroissement de la raison, telle que définie par Olavo.

Nous avons des ordinateurs extrêmement puissants dans nos mains, avec la capacité d’accéder pratiquement à tous les enregistrements humains produits jusqu’à présent en quelques secondes, en plus de nous communiquer instantanément. Notre espérance de vie a augmenté, le niveau de confort d’un citoyen moyen est bien supérieur à ce dont jouissaient les rois il y a quelques siècles, nous pouvons guérir de plus en plus de maladies, nous n’avons jamais été aussi riches, mais en même temps, il y a un nombre croissant de personnes qui ne trouvent pas de sens à la vie, en état de dépression ou développant d’autres maladies mentales qui mènent à des comportements autodestructeurs et destructeurs de la structure sociale elle-même, souvent par la défense d’idéologies nocives.

De moins en moins de personnes perçoivent la réalité.

Nous avons accès pratiquement gratuit et immédiat aux œuvres de Platon, Aristote, Shakespeare, Dante et Dostoïevski, parmi des milliers d’autres classiques.

Le message d’Olavo est simple : vous avez les outils nécessaires pour accéder au monde. Regardez la réalité attentivement et questionnez-la au-delà de ce qui est presenté par les autorités, n’ayez pas peur de défier les consensus et de recevoir des regards de désapprobation, lisez ce qu’il y a de meilleur, restez en contact avec des personnes qui cherchent la vérité comme vous et produisez une culture de qualité. En somme, arrêtez de faire semblant de vivre et commencez enfin à vivre !

Livre «Cours de philosophie par Olavo de Carvalho: une conversion des concepts généraux en expérience existentielle effective.»

C’est un livre d’études pratiques et personnelles pour revivre des expériences cognitives.

«Un jour, nous découvrons que l’infini est encore plus confortable que le fini. (…)
Ouvrir son esprit à la transcendance est ce qui permet la rationalité
Olavo de Carvalho.

Lien ici pour acheter le livre : https://www.amazon.fr/gp/aw/d/B0BVT3J6JV/ref=tmm_pap_swatch_0?ie=UTF8&qid=1676462900&sr=8-5

Ce cours de philosophie est le seul qui puisse vous aider à pratiquer la philosophie au lieu de simplement répéter ce que d’autres personnes, illustres et que vous aimez, en ont dit.

Mais, de par sa nature même, la philosophie n’est pas un savoir spécialisé sur une certaine classe d’objets : c’est une activité intégrale de l’intelligence qui se tourne vers tous les champs du savoir et de l’expérience à la recherche de son unité, de son fondement et de ce qu’elle signifie ultimement pour la conscience humaine.

Il n’y a donc pas de limites aux connaissances spécialisées qui peuvent devenir nécessaires, comme subsides auxiliaires, à l’apprentissage et à l’exercice de la philosophie.
La formation philosophique est aussi, et indissociablement, l’ouverture de l’intelligence à la totalité systémique des connaissances humaines.

Pour cette raison, ce cours est également un système éducatif complet, ouvert aux domaines d’études suivants, en plus de la philosophie stricto sensu :
🔹Religion comparée,
🔹Lettres et arts,
🔹Sciences humaines,
🔹Sciences naturelles,
🔹Communication et expression.

Cette portée fait de ce cours une sorte d’introduction générale aux études supérieures dans leur globalité.

Mais ce n’est pas tout.

Comme la philosophie consiste avant tout dans l’unité du savoir et de la conscience, les différents domaines abordés dans le cours ne constituent pas une somme d’éléments sans liens, mais plutôt la vision synthétique de l’unité organique du savoir humain.
Grâce à cette approche, le cours devient une pratique des savoirs interdisciplinaires.

Cependant, la philosophie ne peut jamais constituer une simple activité professionnelle et universitaire, déconnectée de l’intimité personnelle de celui qui l’exerce.

C’est, par définition, un exercice de conscience de soi, qui recherche systématiquement les liens entre savoir, être et agir, dans l’unité de la conscience individuelle du philosophe.

👉 L’unité du savoir, de l’être et de l’agir est le but de toute philosophie : c’est la conquête de la sagesse.

Cherchant constamment le lien entre connaissance et conscience de soi, le philosophe (ou, ce qui revient exactement au même : l’étudiant) se soumet à la discipline de la sincérité, qui devient lentement, progressivement et sûrement une voie d’ascèse spirituelle : le développement du sens personnel de la vérité.

Comme, d’ailleurs, l’intelligence humaine ne se développe pas plus ou moins selon les taux fictifs de certains QI innés ou selon certaines déterminations induites, mais seulement selon la détermination plus ou moins grande de chaque homme à rechercher la vérité et à l’intégrer dans les structures de sa personnalité et les lignes de sa manière d’agir, le cours devient aussi une méthode de développement de l’intelligence personnelle.

Voici ce qu’est le cours de Philosophie :
🔹Un cours de philosophie,
🔹Un système éducatif complet,
🔹Une introduction générale aux études supérieures,
🔹Une théorie et une pratique de l’interdisciplinarité,
🔹Un chemin d’ascétisme spirituel,
🔹Une méthode de développement de l’intelligence personnelle.

Si ces objectifs vous paraissent trop grands pour être atteints d’un coup, le cours vous montrera qu’il n’est pas possible d’en atteindre un seul séparément : la philosophie, l’éducation intégrale, l’élargissement de l’horizon cognitif, l’unité du savoir, l’ascèse spirituelle basée sur la conscience de soi-même et le développement de l’intelligence humaine ne sont que six noms pour une seule et même chose.

Le cours ne promet pas de vous les donner, car aucun d’entre eux n’est quelque chose que vous pouvez recevoir en cadeau.

Il promet seulement de vous montrer le chemin pour les conquérir et les faire vôtres pour toujours.

Le cours de Philosophie ne vous demandera que deux choses : la sincérité et l’effort tranquille.

En 1 minute sur Olavo

«La science se croit indépendante de la philosophie» dénonce Olavo de Carvalho. Vidéo avec François de Perspective Politique.

Vidéo 2 de notre série du cours de philosophie d’Olavo de Carvalho en collaboration avec François de Perspective Politique et nous discutons ici le présupposé que la science se croit indépendante de la philosophie.

Livre : «Cours de philosophie par Olavo de Carvalho: une conversion des concepts généraux en expérience existentielle effective.»

Disponible en prévente ici : shorturl.at/cegZ8

Entretien avec la chaîne Géopolitique Profonde concernant le 1er tour des élections présidentielles brésiliennes.

LA VÉRITÉ SUR JAIR BOLSONARO ET LES PRÉSIDENTIELLES AU BRÉSIL AVEC ANTOINE BACHELIN SENA

Entretien en live ce dimanche 2 octobre à 20h, heure française avec Antoine Bachelin Sena !

L’élection présidentielle au Brésil aura lieu ce dimanche 2 Octobre, les deux favoris du scrutins sont Jair Messias Bolsonaro, qui se présente à nouveau, ainsi que Lula, ex-prisonnier coupable de corruption de l’ordre des trillions.

Quel est le bilan réel de Jair Bolsonaro ? Quelle est la situation actuelle au Brésil face à toute la désinformation matraquée par les médias ?

Pour tout savoir, venez assister au direct avec des informations concrètes sur cette période trouble pour le pays.

«Le meilleur investissement de ma vie c’est : une chaise de plage.»

Pour expliquer le titre de cet article : quand j’avais 20 ans c’est ce que m’avait dit un ami investisseur français multimillionnaire qui habitait un magnifique triplex face à la plage à Rio de Janeiro.

Il ne m’expliquait pas ce qu’il faisait dans la vie, à part rénover ce triplex et avoir des investisseurs qui faisaient travailler son argent.

Je pensais qu’il se moquait de moi et que c’était une blague mais en fait c’est une jolie parabole.

On passe nous journées à la plage à Rio et louer une chaise de plage tout le temps demande de l’argent (moi je mettais souvent ma serviette à même le sol) et avoir sa chaise longue pliante à soi fait sens. Mais au-delà de cela il voulait signifier pas mal de choses sur sa philosophie de vie et ce n’était pas une blague anodine.

Je l’avais juste connu cette après midi sur la plage et je n’ai pas gardé contact ni son nom car à l’époque la réussite matérielle n’était pas mon objectif (je vivais dans le temple bouddhiste zen soto de Copacabana, Eininji, avec la sangha de Ryotan Tokuda Roshi, dans une ancienne maison au début de la favela de Cantagalo). Si voulez, lisez ici : business et méditation.

Aujourd’hui j’aimerais bien savoir son nom et ce qu’il fait mais peut être que c’est mieux de ne pas le savoir car cela m’a rendu autodidacte, seul Dieu sait. Peut être que je n’aurais pas fait cela : http://investirbresil.fr

La parabole que nous appellerons de chaise longue de plage montre finalement la simplicité, que nous n’avons pas besoin de grand chose. Que le bonheur ne demande pas beaucoup d’argent mais une décision inteligente. Peut être que c’est cela qu’il voulait me dire à l’époque à moi qui était pourtant intéressé par les bien matériels mais trop orgueilleux pour le reconnaître et pour lui demander comment il faisait.

L’humilité de demander, de savoir reconnaître que l’on ne sait pas est un tabou dans notre société où tous voulons briller et apparaître. Mais nous perdons des opportunités de cette façon arrogante et c’est extrêmement dommageable.

On a besoin de très peu en fait. Des fois je me dis que je devrais tout vendre et vivre à la campagne avec des poules dans une maison de bois. Et vivre des fruits et légumes plantés et des oeufs des poules, de la pêche etc. Peut être que je ferais cela à un moment de ma vie qui sait.

Il y a des personnes qui nous disent des choses importantes que l’on ne prend pas au sérieux et d’autres qui nous disent des choses non importantes que l’on prend au sérieux.

L’important c’est nous qui le définissons et qui avançons dans notre vie avec ce que l’on peut.

Par exemple lorsque j’ai rencontré en Australie en 2010 dans un shopping un milliardaire australien qui possédait plusieurs mines et que je l’ai reconnu de magazines et je l’ai abordé en lui demandant comment être milliardaire il m’a dit de persister et que c’était la clé. Peut être cela paraît bateau, cliché, cul-cul la praline, peu profond, et du développement personnel bidon pas cher mais cela faisait sens pour moi. Cela faisait énormément de sens pour que je continue à avoir les forces dans ma lutte journalière épuisante émotionnellement.

L’important c’est que cela raisonne pour nous.

Prévente de mon livre sur Bolsonaro, mythes et mensonges, disponible en français, anglais et portugais.

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Bolsonaro, mythes et mensonges.

La force des valeurs millénaires de la majorité contre la tyrannie d’une minorité corrompue et décadente.
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L’importance de Bolsonaro n’est plus seulement continentale, elle est mondiale.
Venez découvrir dans ce livre!

En portugais ici

Bolsonaro, o mito e as mentiras. A força dos valores milenares da maioria contra a tirania de uma minoria corrupta e decadente.

Et en anglais ici

Bolsonaro, Myths and Lies.
The strength of the millennial values of the majority against the tyranny of a corrupt and decadent minority.

Parabole de l’herbe bleue.

Un âne dit au tigre:

– L’herbe est bleue….

Le tigre rétorque:

– Non, l’herbe est verte….

La dispute s’envenime et tous deux décident de la soumettre à l’arbitrage du lion, « le roi » de la jungle….

Bien avant d’atteindre la clairière où le lion se reposait, l’âne se met à crier :

– Votre Altesse, n’est-ce pas que l’herbe est bleue ?

Le lion lui répond:

– Effectivement, l’herbe est bleue.

L’âne se précipite et insiste:

– Le tigre n’est pas d’accord avec moi, il me contredit et cela m’ennuie… S’il vous plaît, punissez-le !

Le lion déclare alors:

– Le tigre sera puni de 5 ans de silence….

L’âne se met à sauter joyeusement et continue son chemin, heureux et répétant:

– L’herbe est bleue… L’herbe est bleue…

Le tigre accepte sa punition, mais demande une explication au lion:

– Votre Altesse, pourquoi m’avoir puni ? Après tout, l’herbe n’est-elle pas verte ?

Le lion lui dit:

– En effet, l’herbe est verte….

Le tigre, surpris, lui demande:

– Alors pourquoi me punissez-vous ?

Le lion lui explique :

– Cela n’a rien à voir avec la question de savoir si l’herbe est bleue ou verte…

Ta punition vient du fait qu’il n’est pas possible qu’une créature courageuse et intelligente comme toi ait pu perdre son temps à discuter avec un fou et un fanatique qui ne se soucie pas de la vérité ou de la réalité, mais seulement de la victoire de ses croyances et de ses illusions….

Ne perds jamais de temps avec des arguments qui n’ont aucun sens…

Il y a des gens qui, quelles que soient les preuves qu’on leur présente, ne sont pas en mesure de comprendre…..

Et d’autres, aveuglés par leur ego, leur haine et leur ressentiment, ne souhaiteront jamais qu’une seule chose : avoir raison même s’ils ont tort…

Or quand l’ignorance crie l’intelligence se tait.

Car ta paix et ta tranquilité n’ont pas de prix.

Maintenir organisée une entreprise en forte croissance : les meilleurs livres sur le sujet.

Disclaimer : je lis en anglais mais si vous ne voulez pas lire en anglais il vous suffit de chercher sur le net le nom de l’auteur et vous trouverez ses écrits.

  • The Phoenix Project sur comment organiser son infrastructure technologique dans une industrie. Avec plein de questionnements généraux que tous les entrepreneurs se posent.
  • Scaling Up par Harnish Verne est très utile.
  • Le livre Monopoly rules de Milind M Lele.
  • Good to Great & Built to Last de Mim Collins sur la vision centrale d’une entreprise sur le long terme et comment aligner les équipes sur cette vision.
  • Zero to One de Peter Thiel.
  • “Growing a Business” by Paul Hawken.
  • The Emperor’s New Mind de Roger Penrose (le physicien qui a découvert les trous noirs avec Hawking).
  • Help Desk Management de Wayne Schlight.
  • Emyth by Michael E. Gerber.
  • Traction de Gino Wickman.
  • Radical Candor de Kim Scott.
  • Tilman Fertitta avec le livre Shut Up and Listen.

Bonnes lectures.

Écoute…

Il y a d’abord ce discours « officiel », indécemment simpliste, abêtissant.

« Protégez-vous », dit-il, « protégez les autres », surtout « restez prudents »…

Parti pris du toujours pire à venir, du souverain « Nous sommes en guerre », ne souffrant pas la plus petite contradiction.

Illusion imposée, réalité travestie : « L’ennemi est partout, il est invisible », « vous êtes en danger »…

Ce discours à tout bout de champ rabâché, dont l’omniprésence frise l’obscénité, cherchant sans cesse à s’insinuer dans nos cinq sens : télévision et radio, internet et métro, halls de gare, autoroutes, affiches, ici, là, partout, tout le temps.

Cette voix assourdissante qui vous somme de vous plier à sa règle, vous demande aujourd’hui, vous demandera demain, de vous faire inoculer son vaccin, sans voir, sans comprendre, sans poser de question, sans broncher. Mais en faisant confiance, à « l’institution », aux « tutelles », vous savez ?… Celles-là même devenues le terrain de jeu d’une tricherie à grande échelle, d’un lobbying décomplexé et d’une corruption galopante. Depuis plus d’un demi siècle, leur gangrène exposée sans pudeur à notre cécité, elles sont le théâtre de scandales sanitaires majeurs, qui se suivent et se ressemblent, et au cours desquels les morts et les blessés se comptent par dizaines voir centaines de milliers, quand on arrive à les compter : amiante, distilbène, hormone de croissance, sang contaminé, opioïdes, etc, etc.

Mais faites confiance, merci.

Et puis, il y a cette autre voix, presque inaudible, qui ne nous appartient pas, mais que nous avons choisi de porter. C’est celle de la raison, et de la prudence, celle-là qui est le fondement même de toute démarche médicale et thérapeutique, et dont toute la force tient en une formule, que vous connaissez maintenant : « Primum non nocere ».

Parce que plus qu’un autre le soignant sait que « l’enfer est pavé de bonnes intentions », et qu’à trop vouloir bien faire, il peut en faire parfois trop, précipitant la chute du patient venu lui demander secours. « D’abord ne pas nuire », et si tu n’es pas sûr de faire plus de bien que de mal, alors abstiens-toi, par respect, et par humilité. Attends, surveille, accompagne. Mais abstiens-toi.

Oui mais voilà, quand le médecin s’abstient, l’industriel trépigne.

Car il est un fait dont l’évidence devrait nous écorcher les yeux : les intérêts de l’un ne recouvrent en rien les intérêts de l’autre. Et la divergence n’est pas exclue.

Quand l’un cherche à soigner, l’autre cherche à vendre. La santé est la priorité de l’un, le bénéfice pécuniaire la priorité de l’autre. Nous affirmons que cet état de fait devrait être pris en compte, sous la forme d’une régulation stricte et indépendante. Et dire cela n’est en rien diaboliser le commerce, activité fondamentalement humaine et qui peut s’exercer de façon vertueuse.

Aujourd’hui nous avons pris l’habitude de déléguer notre pouvoir de jugement. Nous achetons des médicaments, parce qu’on nous dit qu’il le faut. Nous prenons des médicaments, parce qu’on nous dit qu’il le faut. Mais « on » est un con , pas vrai ?…

Nous choisissons d’offrir notre confiance à un médecin. Et ce médecin choisit d’offrir sa confiance à des tutelles : agences du médicament, HAS, etc. Et ces tutelles choisissent d’offrir (ou de vendre ?) leur confiance aux industries du médicament. Mais tous ces délégataires… Sont-ils dignes de la confiance qui leur est accordée ?

Les industries du médicament à une extrémité de la chaîne. Nous à l’autre.

Face à cet inquiétant ballet, nous ne voulons plus croire, nous voulons voir.

Parce que c’est le concept même de Santé qui se joue là.

« Primum non nocere ».

Nous voulons porter cette voix de la raison, cette voix de la prudence. Cette voix qui affirme que si le virus SARS-CoV-2 engendre parfois une pathologie grave appelée COVID, les chiffres de l’épidémiologie montrent que l’immense majorité ne risque rien. Et que rien ne saurait justifier l’administration précipitée à toute une population saine d’un remède dont ni l’efficacité, ni la dangerosité, n’ont été étudiées de façon sérieuse et approfondie.

Nous portons cette voix qui affirme que s’il existe aujourd’hui une seule urgence, c’est bien celle de sortir d’un état d’urgence artificiellement entretenu, et celle de commencer à nous écouter.

Chers amis, aidez-nous à rendre cette voix audible !

Vous trouverez avec cette lettre une synthèse sur l’état de la recherche actuelle, concernant le vaccin contre le SARS-CoV-2 commercialisé par Pfizer, destiné à être le premier mis sur le marché en France.

Nous vous proposons un challenge tout simple, avec peut-être un petit air de « déjà vu » :

faites passer cette synthèse à 3 personnes de votre entourage concernées (qui ont par exemple un parent en ehpad). Avec bien sûr la consigne de la transmettre à nouveau à 3 personnes. Et ainsi de suite, en mode épidémique… 🙂

Appelons cela la « chaîne du consentement éclairé », si vous voulez bien !

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Une idée brillante par Robert Breedlove : un service public qui facilite les flux commerciaux de la propriété privée faisant le pont entre l’utopie communiste et le pragmatisme capitaliste.

Les idées font voyager l’humanité à travers l’histoire.

Une idée nouvelle et utile est une innovation qui peut profiter à tout le monde pour le reste du temps. Il est donc essentiel que nous construisions des structures socio-économiques propices à la création de nouvelles idées : la civilisation ne peut progresser qu’au milieu d’un flux perpétuel de nouvelles connaissances.

Le libre-échange est le moyen par lequel nous maximisons l’idéation et sa manifestation physique : la création de richesses. Tout ce qui entrave le commerce – comme la banque centrale – est (par définition) une idée terrible. Au contraire, tous les accélérateurs du libre-échange – comme l’argent – sont parmi les idées les plus brillantes que nous ayons jamais eues.
Les idées sont le moteur de l’économie.

« Un tas de pierres cesse de l’être lorsque quelqu’un le contemple avec l’idée d’une cathédrale à l’esprit. » – Antoine De St-Exupéry.

Les idées sont à l’origine de tout ce que nous disons ou faisons. L’objectif de toute économie est de générer et de partager des idées utiles grâce au libre-échange (pour parvenir à ce que les économistes appellent la division du travail ou la spécialisation des connaissances). La civilisation n’émerge pas d’un concours de variations sans but mais elle est plutôt modelée à l’image de nos idées, que nous exprimons par l’action pour refaire la face de la Terre.

De meilleures idées, ou des connaissances plus pointues, permettent à l’humanité d’exploiter plus intelligemment les dons de la Terre pour satisfaire ses désirs à des degrés toujours plus élevés dans un temps toujours plus court.

Dans l’espace idéologique, la concurrence est libre et féroce : seules les idées les plus utiles survivent à l’épreuve du temps.

Les connaissances qui en résultent codent les schémas d’action que nous utilisons pour graver notre imagination dans le monde qui nous entoure. Les idées gagnantes sont choisies par le marché pour être ensuite largement diffusées sous forme de richesses matérielles, de bonnes manières et de morale, et d’art plus profond. Nos vies sont vécues en mettant en œuvre nos idées.

Comme l’a dit HG Wells :
« L’histoire de l’humanité est, par essence, une histoire d’idées. »

Ou comme l’explique William Durant :
« L’histoire est comme un laboratoire riche de cent mille expériences en économie, religion, littérature, science et gouvernement – l’histoire est comme nos racines et notre illumination, comme le chemin par lequel nous sommes venus et la seule lumière qui peut clarifier le présent et nous guider vers l’avenir. »

Cet héritage civilisateur d’idées, aiguisé par le libre-échange et exprimé dans les outils, les techniques et les cultures que nous nous fabriquons, est le fruit de nos ancêtres. À mesure que nous commerçons, nos idées s’améliorent, donnant à tout ce que nous disons ou faisons des qualités plus satisfaisantes.

Considérez comment notre langage a évolué, passant des grognements aux énonciations, ou comment nos comportements ont été façonnés par la culture, ou encore comment nos technologies de transport ont progressé, passant des wagons aux avions.

Les ingrédients essentiels de tous les miracles modernes qui nous entourent aujourd’hui ont toujours été disponibles, mais avant leur invention, nous manquions tout simplement des idées nécessaires pour les réaliser.

En tant que génération vivante responsable de l’idéation, notre objectif doit être de forger nos idées sous une forme plus fine pour la postérité : un objectif que nous atteignons par l’innovation.
Idéalement, notre civilisation est la manifestation de nos idées les plus utiles.
L’innovation est simplement une reconfiguration des « matières premières » de la nature en les indexant à nos structures d’idées les plus utiles.

Autrement dit, la créativité consiste à prendre des éléments connus et à les réassembler en fonction des nouvelles connaissances. Aiguiser les connaissances pour mieux nous satisfaire nécessite des feux issus des collisions idéologiques et des frictions innées du commerce.

Le commerce est donc la « méta-idée » de l’humanité – l’idée génératrice de toutes nos meilleures idées. Meta (du grec μετά, signifiant « après » ou « au-delà ») est un préfixe qui signifie plus complet ou transcendant : le commerce est une idée d’amélioration des idées. Il présuppose que chacun puisse savoir quelque chose que les autres ne savent pas, l’incite à nous enseigner et nous permet à tous de tirer parti de ces possibilités d’apprentissage.

Le commerce nous indique si nous sommes mal informés dans la poursuite d’un objectif, qui peut nous sauver du mal, ou nous aider à l’atteindre plus facilement.

La création de richesse est indissociable de l’idéation : plus nous en savons, plus nous satisfaisons sans effort nos désirs (présents et potentiels) par l’innovation, et plus nous gagnons en richesse.

L’auteur Matt Ridley exprime en ces termes l’esprit de cette relation entre le libre-échange et l’innovation :
« L’innovation est l’enfant de la liberté et le parent de la prospérité ».

Le capitalisme de marché libre est une idée sans équivalent dans sa génération d’innovation. Il s’est avéré être le modèle économique le plus efficace pour développer le commerce, l’idéation et la création de richesse au cours de la lutte idéologique du XXe siècle entre le capitalisme américain et le communisme soviétique.

Guidée par des promesses utopiques, la Russie soviétique a tenté de remplacer la motivation du profit intrinsèque au capitalisme américain par des appels à la foi et à la dévotion aveugle à l’état corrompu, empoisonnant ainsi la source de l’apprentissage engendré par le commerce.

Sous le camouflage moralisateur du communisme (« de chacun selon ses capacités, à chacun selon ses besoins » était le slogan marxiste), certaines des atrocités les plus horribles de l’histoire ont été ont été perpétrés.

Au début de l’expérience soviétique, la productivité s’est effondrée et des millions de personnes sont mortes de faim ou ont été massacrées par l’État. Quand les gouvernements jouent à Dieu, les civilisations brûlent en enfer.

La Russie soviétique a redécouvert ce que le sage Aristote avait mis en garde des siècles plus tôt :
« Quand tout le monde possède tout, personne ne s’occupe de rien. »
Le capitalisme américain a dépassé le communisme soviétique.

Le capitalisme est un système socio-économique fondé sur les trois piliers que sont le droit de propriété privée, l’État de droit et l’honnêteté de l’argent.

1) Les droits de propriété privée représentent une relation exclusive entre les individus et toute portion de la nature qu’ils investissent de leur temps à remodeler ; des droits qu’ils peuvent ensuite échanger avec des personnes tout aussi souveraines.

2) L’État de droit est un mécanisme de résolution non violente des conflits de propriété privée.

3) L’argent honnête est la propriété privée que les processus de marché sans entrave sélectionnent naturellement comme étant la plus négociable.

Comme le capitalisme optimise le commerce, il soutient cette source génératrice d’idées nouvelles en encourageant la coopération économique et la concurrence (pacifique). En effet, la stabilité des règles est le fondement de la paix : avec des lois fixes et simples, les acteurs du marché sont obligés de bien jouer le jeu pour gagner honnêtement leur vie.

Comme l’a dit Bastiat :
« Quand les marchandises ne traversent pas les frontières, les soldats le font ».

Dans un sens élémentaire, le commerce est l’eau qui alimente l’innovation, et son flux constant une source de paix.

Le capitalisme est le « puits d’eau » socio-économique construit pour protéger cette source idéologique éternelle de la civilisation-commerce.

Le capitalisme est un « puits d’eau » socio-économique qui protège notre source d’idées : le commerce.

« Les grands esprits discutent des idées. Les esprits moyens discutent des événements. Les petits esprits discutent des gens » Eleanor Roosevelt.

L’argent, ultime gage de commerce, est un outil indispensable à l’idéation. Dans le commerce, tout est évalué à un certain ratio de tout le reste. Par exemple, une voiture peut valoir 132 chaises, ou une maison 11 voitures. L’argent est le moyen par lequel nous calculons plus facilement ces rapports d’échange : un outil qui simplifie le commerce en normalisant son intermédiation.

Comme tous les outils, l’argent nous permet d’obtenir de meilleurs résultats avec moins d’efforts, et le gain de temps que les outils nous permettent d’obtenir est une richesse. Plus précisément, l’argent nous permet de calculer, de négocier et d’exécuter des transactions plus rapidement.

Sans argent, il faudrait constamment recalculer d’innombrables taux de change entre différents biens économiques. Avec l’argent, tous les taux de change sont comprimés en un seul chiffre – le prix du marché exprimé en argent. De cette façon, la monnaie accélère les échanges et (son jumeau invisible) l’idéation.

La standardisation à une monnaie unique crée des économies d’échelle dans le commerce. C’est cette économisation qui pousse le marché à se regrouper autour d’une monnaie unique – comme avec l’or et (son ancienne abstraction monétaire, et maintenant son apparition) le dollar américain.

Les pères fondateurs de l’Amérique connaissaient les dangers de la falsification de l’argent.
L’argent est le moyen par lequel les acteurs du marché expriment leurs idées, leurs préférences et leurs valeurs. Les systèmes de fixation des prix sont des réseaux de télécommunication économique qui font sans cesse écho à l’action du marché et la coordonnent en informant de façon dynamique chacun des transactions de tous les autres.

Par exemple, lorsque vous achetez une voiture et vendez une maison, l’économie réagit de manière adaptative en produisant plus de voitures et moins de maisons. Même lorsque vous achetez une action publique, vous exprimez l’idée que ses flux de trésorerie futurs attendus valent plus que son prix actuel, et le marché absorbe cette thèse lorsque vous exécutez la transaction.

Les signaux de prix constituent des incitations perpétuelles à veiller à ce que les ressources soient allouées conformément à la composition globale actuelle des préférences des participants au marché.

Les entrepreneurs qui s’engagent dans le commerce donnent lieu à des prix véridiques alors qu’ils s’efforcent d’acheter à bas prix, de vendre à haut prix et de se servir les uns les autres de manière rentable. Un véritable marché libre est un forum d’échange volontaire et sans entrave où les idées se concurrencent, se combinent et se transforment. Vu sous cet angle, le marché libre peut être considéré comme l’ultime système informatique distribué – un ensemble de consciences animées par l’action humaine et reliées entre elles par les prix.

La puissance de calcul distribuée du marché libre est le système le plus intelligent au monde.
L’argent améliore l’extensibilité de nos esprits. La pensée est l’expression de la rationalité : l’acte de comparer tous les facteurs pertinents à toute ligne de conduite. En générant cognitivement différents aspects et avatars pertinents pour une situation donnée, l’homme crée des zones de mise en scène mentale pour une action future.

Comme pour le mot racine de la rationalité – ratio – penser implique de mettre en contraste une chose avec une autre. Lorsque nous étendons notre réflexion à la monnaie, nous obtenons un aperçu de l’esprit collectif des autres participants au marché grâce aux signaux de prix, qui sont eux-mêmes l’expression de la rationalité : les ratios d’échange libellés en termes monétaires. En consolidant la rationalité de tous les acteurs du marché dans le prix du marché, l’idéation explose. De cette manière, les marchés libres sont des superordinateurs générateurs d’idées.

C’est pourquoi l’innovation américaine est inégalée. L’humanité s’approprie le monde en canalisant l’énergie à travers les lignes de champ idéologiques façonnées dans son esprit élargi – le marché libre.

Le libre marché est une libre pensée.
« L’esprit de l’homme, une fois étiré par une nouvelle idée, ne retrouve jamais ses dimensions initiales. » -Oliver Wendell Holmes.

Contrairement aux idées reçues, l’argent n’est pas une création du gouvernement. L’argent est émergent, c’est simplement le bien le plus négociable sur un marché donné.

Comme les gens cherchent à satisfaire leurs désirs par le biais du commerce, ils cherchent constamment à échanger leurs biens contre des biens plus échangeables pour se rapprocher de l’obtention de l’objet ou des objets qu’ils désirent. Au cours de ce processus, un certain bien gagne la plus grande liquidité – qu’il s’agisse de sel, de bétail ou d’or – ce bien le plus échangeable est (par définition) l’argent. L’argent est donc un résultat inexorable du libre-échange.

Lorsque les marchés mondiaux ont convergé, ils se sont regroupés autour des métaux précieux sous forme de monnaie en raison de leurs propriétés monétaires supérieures de durabilité, de divisibilité, de portabilité, de reconnaissabilité et de rareté.

L’or, qui surpassait tous les autres métaux en termes de rareté, est devenu la monnaie dominante du monde précisément parce que son offre était la moins modifiable.

Les banques centrales ont finalement coopté l’or et ont construit un système pyramidal sur celui-ci appelé « fiat currency ».

Lorsque les banques centrales ont monopolisé le marché de l’argent, celui-ci est devenu non libre. Violer le capitalisme de marché libre, comme la Russie soviétique l’a appris à ses dépens, est une très mauvaise idée – cela va à l’encontre de la propension naturelle de l’homme au commerce, à l’idéation et à la création de richesses.

Comme le dit Marc-Aurèle sur notre capacité de collaboration :
« Nous sommes nés pour travailler ensemble comme les pieds, les mains et les yeux, comme les deux rangées de dents, supérieure et inférieure. S’entraver mutuellement est contre nature ».

Il est clair qu’entraver la capacité des acteurs du marché à exprimer leurs idées par le biais du commerce est une rupture des « règles » du capitalisme. Toutes les frictions sur le libre-échange sont dissipatrices à la fois d’innovation et de création de richesse.

Une véritable société capitaliste nécessite des règles commerciales inviolables telles qu’un État de droit équitable, des droits de propriété privée inviolables et une monnaie honnête et inarrêtable.

Dans un tel système purement capitaliste, les individus n’auraient aucun moyen de créer de la valeur pour eux-mêmes, si ce n’est en donnant à la société ce qu’elle veut (même si ses désirs ne sont pas encore exprimés). Mais notre monde sur-réglementé est aujourd’hui loin de cet idéal.

Toutes les réglementations sont des limitations aux forces du marché libre qui restreignent l’idéation et sa manifestation physique : la création de richesses. L’expression ultime de la réglementation légale est la monopolisation, dans laquelle toute concurrence pacifique est supprimée par la coercition ou la violence.

Dans le monde d’aujourd’hui, le marché de l’argent n’est pas un marché libre, car il est dominé par des cartels de banques centrales – des monopoles légaux qui faussent les prix, réduisent les échanges et interrompent l’idéation.

Il est révélateur que la banque centrale ait également été un élément clé du communisme soviétique – un monopole bancaire exclusif détenu par l’État via la 5e mesure du Manifeste de Marx au Parti communiste de 1848.

Le vrai capitalisme n’a jamais existé, précisément parce que les règles de la monnaie ont toujours été tordues par des interventionnistes poursuivant leur propre gain pécuniaire sur tous les marchés connus de l’histoire.

Les obstacles juridiques érigés par les gouvernements pour isoler les monopoles monétaires des banques centrales du capitalisme de marché libre sont multiples. De tels artifices détruisent la responsabilité, l’ingéniosité et la vertu.

Avec des règles capitalistes inébranlables, le « jeu » de la macroéconomie imposerait un principe d’organisation à l’humanité, nous encourageant à trouver de meilleures façons de dire ou de faire les choses en pariant les uns contre les autres sur le marché plutôt qu’en mentant, en volant ou en taxant.

Lorsque les règles ne peuvent pas être enfreintes, le jeu est équitable et la satisfaction des désirs s’intensifie.

À mesure que les « joueurs » se prouvent mutuellement qu’ils ont tort sur le marché – en découvrant et en vendant de meilleurs moyens de satisfaire leurs désirs – les gains de productivité qui en résultent se diffusent dans la société par le biais du commerce. Un environnement propice à l’apprentissage continu à grande échelle est cultivé par le capitalisme.

Autrement dit, lorsque les idées sont en libre concurrence, davantage de richesse est créée, le plus souvent sous la forme de meilleurs outils, services ou connaissances.

Mises décrit cette relation inextricable entre l’idéation et la concurrence du marché dans son chef-d’œuvre Human Action :
« La concurrence ne signifie pas que tout le monde peut prospérer en imitant simplement ce que font les autres. Elle signifie la possibilité de servir les consommateurs d’une manière meilleure ou moins coûteuse sans être limitée par les privilèges accordés à ceux dont les intérêts particuliers sont lésés par l’innovation. Un nouveau venu qui veut défier les intérêts des anciennes entreprises établies a besoin de cerveaux et d’idées. Si son projet est apte à répondre aux besoins les plus urgents des consommateurs ou à les fournir à un prix inférieur à celui de leurs anciens fournisseurs, il réussira malgré la grandeur et la puissance dont on parle tant des anciennes entreprises ».

Pour reprendre l’expression de Ray Dalio : les marchés libres sont des méritocraties d’idées autrement dit un réseau commercial sans entraves qui encouragent la culture et l’infusion des meilleures idées dans la civilisation.

La méta-idée sous-entend que l’innovation ne peut être qu’encouragée, et non légiférée.

Ici, l’ignorance de ceux qui réclament « l’activation du capital oisif par l’inflation » refait surface : le produit du vol par l’inflation peut mobiliser les personnes et le capital, mais seulement de manière inintelligente puisque les bureaucrates n’ont ni la responsabilité ni la puissance de calcul distribuée endogène au marché libre, et seulement jusqu’à ce que ce parasitage de la valeur de l’économie productive la tue.

En termes économiques simples : les marchés libres rendent l’humanité plus productive ; les monopoles, ou les marchés non libres, rendent l’humanité moins productive. En outre, l’état de notre esprit collectif reflète étroitement l’état de notre argent. Aujourd’hui, nous ne pensons en dollars que parce qu’ils étaient autrefois échangeables contre de l’or. Les banques centrales ont détourné l’extensibilité monétaire de notre esprit (la vieille tactique « appâter et échanger ») et ont corrompu notre capacité à percevoir le monde clairement :

Les banques centrales faussent les prix du marché en contrefaisant la monnaie.
Les esprits libres ont besoin d’une monnaie librement choisie.

En adoptant un paradigme de marché libre dans la totalité de nos actions, nous devenons plus libres d’esprit, plus intelligents et plus riches. Une autre façon de concevoir le marché libre est de le considérer comme un système de détection et de correction des erreurs : par le biais des prix, il incite à découvrir et à résoudre les besoins insatisfaits (erreurs socio-économiques).

L’inflation induite par la banque centrale fausse ce système de correction des erreurs et provoque un gonflement des insatisfactions. Cette manipulation du marché est (ostensiblement) justifiée par l’intention autoproclamée des banquiers centraux de « gérer l’économie », comme si un être humain avait déjà géré avec succès un système complexe sans déclencher une cascade de conséquences imprévues.

La conviction de l’utilité de leurs connaissances nécessairement limitées, par opposition aux processus du marché libre qui revivifient sans cesse les connaissances, est le noyau noir de la malveillance des banques centrales.

Comme l’a brillamment observé John Milton, auteur de Paradise Lost :
« Le mal est la force qui croit que sa connaissance est complète. »

Les banques centrales pourraient se repentir simplement en admettant cette erreur gargantuesque dans l’idéologie, et en laissant le marché libre effacer ses plus de 100 ans d’erreurs. Ce serait douloureux au début, mais sans aucun doute dans l’intérêt à long terme de la civilisation – comme un toxicomane qui entre enfin en réhabilitation.

Mais l’orgueil et l’avidité empêcheront presque certainement un tel résultat idéal. Pour résumer l’argument : la fixation des prix sur le marché libre est un système de compensation des erreurs, et la banque centrale améliore sa capacité de détection et de correction des erreurs ; agissant comme si sa connaissance des marchés était complète, la banque centrale est le mal incarné – une institution de tyrannie économique aussi malavisée que la Russie soviétique.

Dans la sphère idéologique, la liberté est aussi créative que la tyrannie est destructrice.

« Une idée est le salut par l’imagination. » – Frank Lloyd Wright
La quintessence de l’idée de l’argent est que les participants actuels et futurs au marché l’acceptent librement dans le commerce.

La probabilité qu’une monnaie soit acceptée par l’ensemble le plus large possible de partenaires commerciaux dépend en grande partie de la fiabilité avec laquelle elle maintient sa rareté dans le temps. Pour maximiser cette fonction de réserve de valeur, une monnaie doit résister au détournement – que ce soit par l’inflation, la contrefaçon ou la confiscation (qui sont tous des vols). La monnaie la plus résistante à l’échange involontaire (aussi appelé vol) tend à devenir le moyen d’échange volontaire le plus largement adopté.

En d’autres termes : dans la concurrence du marché libre, l’argent le plus résistant au vol l’emporte. Ceux qui choisissent par erreur une monnaie moins résistante au vol sont désavantagés par les processus du marché lorsque leur richesse est compromise par les voleurs en raison de l’inflation, de la contrefaçon ou de la confiscation.

Autrement dit, les acteurs du marché adoptent l’argent qui minimise la nécessité de se faire confiance les uns les autres. Les banques centrales continuent de thésauriser l’or parce qu’il s’agit d’une monnaie de confiance. Le bitcoin présente des qualités de minimisation de la confiance encore plus importantes et perturbe donc l’or.

Bitcoin est une renaissance des forces du marché libre.
L’argent est la meilleure idée que nous ayons jamais eue, car sans lui, toutes les autres idées merveilleuses générées par les marchés n’existeraient pas.

En tant que chose la plus négociable, l’argent est la plus haute instanciation de notre méta-idée, nous offrant une option débridée dans l’échange sur le marché. En tant que technologie, l’argent choisi par le marché libre maximise à la fois la liberté et la coopération humaines.

Historiquement, l’or a réduit les incitations à la violence, car il constituait une forme de richesse plus sûre que la nourriture, la terre et la plupart des autres biens. De cette façon, l’or a considérablement réduit l’étendue des biens qui valent la peine d’être combattus, induisant ainsi une coopération sociale, un commerce et une génération de richesses sans précédent. Cela a également de profondes implications morales : lorsque l’argent est difficile à voler, la société devient laborieuse ; lorsqu’il est facile à voler, la société dérive vers la kleptocratie. Permettez-moi d’exposer l’argument nn une seule phrase : l’or était le meilleur outil que nous ayons jamais eu pour nous inciter à nous civiliser.

Si le but de l’humanité est de construire des civilisations, alors notre idée la plus brillante a été l’utilisation de l’or comme argent.
L’étalon-or mondial a permis d’améliorer le commerce (notre méta-idée) de manière à réduire la confiance et à uniformiser le monde selon un protocole monétaire unique, ce qui a permis de maximiser les gains de temps dans le commerce et la création de richesse qui y est associée (les deux faces d’une même pièce).

Là encore, la création de richesses est absolument tributaire de l’idéation : l’utilisation de l’or comme monnaie a conduit le monde à une effusion inégalée d’idées et d’innovations nouvelles, inaugurant une ère connue familièrement sous le nom d’Âge d’or et de Belle Époque.

La Belle Époque – une époque d’innovation et de création de richesse importantes – a également été considérée comme la « belle époque » de la peinture. Cette époque de la civilisation a été construite sur l’idée que l’or était utilisé comme monnaie.
Une idée brillante en effet, mais loin d’être parfaite : parce que l’or est physique, il est encore vulnérable au vol ; et parce que l’or est lourd, les économies d’échelle liées à son utilisation comme monnaie ont conduit à la centralisation de sa garde dans les coffres des banques (puisqu’il est moins coûteux de réaliser des transactions sur papier en utilisant des abstractions d’or que de l’or physique).

Une institution anticapitaliste – la banque centrale – s’est organisée autour de ces réserves d’or centralisées. Ces institutions trompeuses et maléfiques opèrent avec un mépris flagrant des principes du capitalisme : les banques centrales sont au-dessus des lois, pratiquent la confiscation perpétuelle de la propriété privée par l’inflation et colportent l’argent le plus malhonnête de l’histoire.

Tous les modèles économiques des banques centrales dépendent de manière critique des défauts de divisibilité, de portabilité et de reconnaissabilité de l’or :
Si l’or était parfaitement divisible, il n’y aurait aucune raison de le transformer en papier-monnaie
Si l’or était parfaitement portable, il serait codé en tant qu’information et il ne serait pas nécessaire de faire confiance aux dépositaires bancaires puisque le règlement final pourrait être effectué à la vitesse de la lumière.
Si l’or était parfaitement reconnaissable, le « timbre public » des monnaies nationales ne présenterait aucun intérêt économique car n’importe qui pourrait vérifier la véracité de l’argent lui-même instantanément.

En effet, ces défaillances technologiques de l’or ont formé la surface d’attaque exploitée à plusieurs reprises par les banques centrales. Heureusement pour les citoyens du 21e siècle, le libre-échange – qui a été amélioré de façon exponentielle par l’internet et les technologies numériques – a généré une idée encore plus brillante qui promet de mettre définitivement fin aux plans de vol des banques centrales.

« Il y a une chose plus forte que toutes les armées du monde, et c’est une idée » – Victor Hugo.

L’Amérique a été fondée sur les trois piliers du capitalisme de marché libre : les droits de propriété privée, l’État de droit et l’argent honnête.

La Constitution américaine autorisait les États à émettre de la monnaie d’or ou d’argent, interdisait l’impôt sur le revenu et interdisait les banques centrales nationales. Malheureusement, après la mise en place réussie de la banque centrale américaine (après deux tentatives infructueuses), les droits de propriété privée qui sont à la base du capitalisme de marché libre sont devenus vulnérables à des violations illimitées par l’inflation.

Un exemple de cet échec a été le « Grand vol d’or de 1933 » (alias décret 6102) : un décret anticonstitutionnel et une violation flagrante des droits de propriété privée. Tous les décrets gouvernementaux par fiat sont des mensonges (y compris la monnaie fiat), car la vérité ne doit jamais être forcée. Les forces du marché libre sont toujours à zéro pour la vérité.

Bitcoin illustre parfaitement les idées sur lesquelles l’Amérique a été fondée.

Bitcoin est la synthèse idéologique de l’or et d’Internet ; il illustre parfaitement les trois piliers du capitalisme de libre marché qui sous-tendent l’idée de l’Amérique sous une forme qui ne peut être pervertie par un décret de fiat.

1) Comme sa masse monétaire ne peut pas être modifiée, ses détenteurs sont immunisés contre la confiscation par l’inflation, ce qui perfectionne leurs droits de propriété privée (premier pilier).

2) Les différends au sein du réseau Bitcoin sont réglés de manière consensuelle, et il n’est pas pratique de recourir à la violence pour tenter d’influencer ce processus, perfectionnant ainsi le processus de résolution non violente des différends incarné par l’État de droit (deuxième pilier).

3) En perfectionnant ces deux premiers piliers du capitalisme de marché libre, Bitcoin est une prophétie qui se réalise d’elle-même et qui est prédestinée à perfectionner son dernier pilier en devenant l’évolution finale de l’argent honnête sélectionné par le marché libre (troisième pilier).

Seul argent sacro-saint existant, Bitcoin est le capitalisme purifié : une mise en œuvre permanente du « puits d’eau » socio-économique le plus sain de l’histoire.

Bitcoin est le capitalisme purifié : une solution mathématique élégante aux problèmes d’argent du passé.
La concurrence et la collaboration sont les métiers de la vie.

Le conservatisme de l’énergie est une vérité – les organisations, les méthodes et les outils qui obtiennent les meilleurs résultats avec le moins d’efforts tendent à la domination car ils sont volontairement adoptés par les participants au marché dont « la peau est dans le jeu ».

Une stricte adhésion aux principes thermodynamiques constitue le mode de croissance de tous les systèmes naturels (il n’y a pas d’autre moyen).

L’argent, la morale et les stratégies qui amplifient le mieux la productivité surpassent la concurrence sur le marché libre des idées – la soumission à cette vérité est la liberté.

Bitcoin est un système qui minimise les asymétries concurrentielles en maximisant la responsabilité, et qui encourage ainsi le fair-play et la correction des erreurs sur le marché.

Modelé sur les règles incassables de l’univers – la thermodynamique – Bitcoin est surtout connu pour son modèle de croissance fulgurant.

L’adhésion aux principes thermodynamiques a fait de Bitcoin la monnaie la plus explosive de l’histoire.

Nous sommes ce que nous construisons, et nous construisons ce que nous sommes.

L’idéation et la création de richesses ne sont que l’expression de l’impulsion centrale de la vie : la croissance.

Sans un niveau d’échange adéquat, la croissance des organismes et des économies se détériore. Sur ce point, la nature est impitoyablement claire : quand on a fini de changer, on est fini. En vieillissant, nous connaissons un ralentissement de la circulation sanguine, ce qui laisse présager une dégradation du corps et de l’esprit.

L’exercice physique peut apporter une certaine protection en augmentant nos échanges métaboliques d’oxygène, d’eau et de nutriments, ce qui nous permet d’être plus intelligents, plus sains et plus énergiques en vieillissant.

Comme le décrit avec éloquence William Durant, le déclin :
« C’est une involution physiologique et psychologique. C’est un durcissement des artères et des catégories, un arrêt de la pensée et du sang ; un homme est aussi vieux que ses artères, et aussi jeune que ses idées ».

Ce qui est vrai pour le microcosme de l’acteur individuel du marché l’est aussi pour le macrocosme du marché mondial : l’entrave au libre-échange restreint le « flux sanguin » idéologique et rend le « superorganisme socio-économique » (alias l’humanité) plus vulnérable à la maladie et à la mort.

Les constituants à l’esprit étroit évoquent une accumulation d’inadaptation à la réalité pour le collectif.

La création de blocages au commerce par la réglementation et la confiscation – le but implicite de la banque centrale – est cancéreuse pour le paradigme du libre marché qui dynamise notre vitalité économique, la moralité sociale et le progrès de la civilisation.

Tous les individus cherchent à atteindre la liberté, les biens et le pouvoir pour eux-mêmes. Les gouvernements sont simplement une multiplication de nous-mêmes et de nos désirs, sans gouvernance externe, et armés d’armes de destruction massive.

Aucune quantité de larmes ne peut laver les hangars de la guerre du sang, seule la praticabilité, correctement mise en œuvre, peut prévaloir. En l’absence d’une bataille à mener – qu’elle soit morale ou physique – les gens deviennent plus faibles. Le rassemblement d’armées contre un ennemi donne aux gens une raison de s’unir.

Peut-être que Bitcoin servira d’alternative morale à la guerre – une force pacifique mais disciplinaire sur l’humanité.

Le pragmatiste américain William James pensait qu’un « équivalent moral » de la guerre était nécessaire pour mettre fin à ses horreurs :
« Jusqu’à présent, la guerre a été la seule force capable de discipliner toute une communauté, et tant qu’une discipline équivalente n’est pas organisée, je crois que la guerre doit faire son chemin. »

Si cela s’avère vrai, Bitcoin deviendrait un nouveau mode d’organisation de la civilisation : comme une religion née de l’économie et de l’informatique ; une tradition de sagesse qui défonce et détruit les machines de guerre et les idéologies des banques centrales.

La guerre est le darwinisme écrit géopolitique, et ses atrocités seront sans fin jusqu’à ce que toutes les nations acceptent, ou soient forcées, de céder leur souveraineté auto-appropriée à une autorité supérieure – un « super-État » hantant la souveraineté individuelle comme son mantra axiomatique.

Bitcoin – un service public qui facilite les flux commerciaux de la propriété privée – est le pont entre l’utopie communiste et le pragmatisme capitaliste, et pourrait se développer pour devenir le super-État auquel toutes les nations se plient.

Peut-être cette usurpation ultime de la nation a-t-elle commencé avec le bloc Genesis le premier jour, ou peut-être doit-elle encore se produire un jour. Pour l’instant, nous ne pouvons que dire : Bitcoin, c’est de l’argent.

L’argent est le gage ultime du commerce, et le commerce est la méta-idée de l’humanité. Ce qui gagne en tant qu’argent sur le marché libre est une idée brillamment formulée et civilisatrice.

Le capitalisme est le système socio-économique qui optimise l’expansion de la portée du commerce en respectant les principes du marché libre, dont le premier est la souveraineté individuelle.

Le bitcoin – un argent honnête offrant à ses détenteurs des droits de propriété privée inviolables et un état de droit parfait – est la pierre angulaire de l’innovation du capitalisme.

C’est comme si tous les échanges commerciaux de l’histoire nous avaient conduit à l’émergence de cette idée : une monnaie imparable, incorruptible et très accessible. Comme les idées, les pièces de monnaie font preuve de non-corporel, de viralité et d’antifragilité – elles peuvent être déplacées à la vitesse de la lumière et stockées dans l’esprit.

En raison de sa résistance au vol et de son enracinement dans la thermodynamique du travail, Bitcoin nous fait entrer dans un monde de liberté indescriptible, de moralité élevée et de productivité accrue. Bitcoin nous donne la liberté de : commercer sans l’interférence des banques centrales, stocker nos richesses dans un endroit résistant à la saisie, et d’embrasser la vérité dans un monde noyé dans la tromperie.

Considérées ensemble, ces idées font de Bitcoin l’idée la plus brillante de l’humanité à ce jour – une fondation salvatrice sur lequel nous pouvons construire une future civilisation caractérisée par plus d’ingéniosité, de moralité et de prospérité.

« Le salut : voir chaque chose pour ce qu’elle est – sa nature et son but. Ne faire que ce qui est juste, ne dire que ce qui est vrai, sans se retenir. Que pourrait-il en être autrement que de vivre pleinement la vie – de payer la bonté comme les anneaux d’une chaîne, sans le moindre écart ». – Marc-Aurèle.

10 stratégies que les médias utilisent pour nous manipuler selon Noam Chomsky.

Le linguiste nord-américain Noam Chomsky a élaboré une liste des «10 stratégies de manipulation» à travers les médias. Nous la reproduisons ici.

Elle détaille la stratégie de la distraction et la stratégie de la dégradation pour maintenir le public dans l’ignorance et la désinformation.

1. La stratégie de la distraction.

Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public via un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes.

La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l’économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique.

«Garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, toujours occupé, trop occupé, sans aucun temps pour penser, de retour à la ferme avec les autres animaux. » Extrait d’ «armes silencieuses pour guerres tranquilles.»

2. Créer des problèmes, puis offrir des solutions.

Cette méthode est aussi appelée «problème-réaction solution».

On crée d’abord un problème, une «situation» prévue pour susciter une certaine réaction du public afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter.

Exemple: laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté.

Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.

3. La stratégie de la dégradation

Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en «dégradé», sur une durée de 10 ans.

C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles (néolibéralisme) ont été imposées durant les années 19980-1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s’il avait été appliqués brutalement.

4. La stratégie du différé.

Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme «douloureuse mais nécessaire», en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur.

Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat. D’abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que «tout ira mieux demain» et que le sacrifice demandé pour être évité. Enfin cela donne du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.

5. S’adresser au public comme à des enfants en bas âge.

La plupart des publicités destinées au grand public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-âge ou un handicapé mental.

Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi ?

«Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celle d’une personne de 12 ans». Extrait de «Armes silencieuses pour guerres tranquilles.»

6. Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion.

Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus.

De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements.

7. Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise.

Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage.

«La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être la plus pauvre, de sorte que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures.» Extrait d’ «Armes silencieuses pour guerres tranquilles.»

8. Encourager le public à se complaire dans la médiocrité.

Encourager le public à trouver «cool» le fait d’être bête, vulgaire, et inculte.

9. Remplacer la révolte par la culpabilité.

Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts.

Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action.

Et sans action, pas de révolution!.

10. Connaitre les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes.

Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes.

Grâce à la biologie, la neuro-biologie et la psychologie appliquée le «système» est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement et psychologiquement.

Le système en est arrivé à mieux connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même.

Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.

L’extension maximale du salariat et la destruction des petits entrepreneurs (propriétaires de leurs propres moyens de production).

Énormément de patron de petites et moyennes entreprises se suicident. Je n’ai malheureusement jamais vu de hashtag s’en offuscant. L’égoïsme ambiant règne en maître en mettant des oeillères à la majorité et la vertu affichée online tombe offline en laissant apparaître la déresponsabilisation et la lâcheté réelle.

Autant le socialisme comme le capitalisme prêchent pour l’extension maximale du salariat et la destruction de la libre petite entreprise, c’est à dire de la classe moyenne indépendante et économiquement libre. Ces petits propriétaires de leurs propres moyens de production ont la conscience politique la plus juste car impliquée dans le réel.

En effet beaucoup de pseudo intellectuels prônant des révolutions sociales n’ont jamais mis les pieds dans une petite entreprise et ignorent ce qu’est un compte d’exploitation annuel ou une fiche de paie. Et pourtant leur idéologie collectiviste est dominante dans les merdias subventionnés donc corrompus.

Nous sommes dans une société de déresponsabilisation, de passivité où les salariés réclament plus de droits et moins de devoirs. Ou les « adultes » sont des ados éternels; qui en ne voulant pas savoir sur certains sujets déléguent la responsabilité personnelle à une instance hiérarchique ou étatique.

Or une vraie démocratie est un peu comme le modèle grec des hoplites avec une association libre de petits propriétaires qui se mutualisent et écrivent leurs propres règles.

Alors que notre actuelle fausse démocratie de salariat généralisée est une organisation dans laquelle le salarié vend son temps de travail. Voir ici mon article dans lequel je montre qu’il y a plus d’esclavage de nos jours qu’auparavant. Ces salariés laissent de côté de nombreux pans de l’équation sans les questionner ou bien le savent mais ne rentrent pas dans une résistance contre cette fausse sécurité déresponsabilisante. Les pans de l’équation qu’ils ne contrôlent pas par eux-mêmes sont celui de l’indépendance financière notamment de part un bourrage de crâne d’années d’idéologie collectiviste gauchiste du mépris de l’argent.

Entre guillemets l’argent c’est sale, laissez moi (le politique) le gérer à votre place et vous en piquer la plus grande partie dans les poches bien sûr. Les petits patrons eux sont dans une démarche d’essayer d’être indépendant financièrement et de reprendre le gouvernail.

L’idéologie de gauche qui dit que tous les patrons sont des enfoirés, qu’ils soient du CAC40 ou des petits patrons responsables sur leurs biens personnels et qui n’ont pas le droit au chômage est absurde et hypocrite !

Cette société est systémiquement malsaine et laisser la gestion de notre indépendance et liberté à un tiers est extrêmement dangereux. Peu de virilité et de moralité ! Même ces mots là ont disparu ou ne sont plus politiquement correct alors que paradoxalement la corruption morale est plus présente qu’auparavant.

La solution responsable et cohérente c’est le retour des consommateurs à une économie solidaire locale aux petits patrons et non plus aux multinationales. Agissons financièrement pour le développement d’une contre-société créative contre la bureaucratie, la sur-fiscalité, le parasitisme politique.

Des génies, des salauds ou des nuls ? Article de Marc Dugois

Ce contenu a été publié dans Société par Marc Dugois.

Il faudra remercier le pangolin ou le docteur Folamour qui nous a offert le Covid 19 car ce microbe va enfin nous permettre de savoir si nous sommes dirigés par des génies, des salauds ou des nuls, ce qui, en démocratie, est toujours intéressant à savoir.

L’unanimité de la bienpensance gouvernementale, administrative, médiatique et internationale, nous montre malheureusement une fois de plus que les peuples deviennent facilement des moutons quand un Panurge génère chez eux une peur qui regroupe n’importe quel troupeau. Ce n’est donc pas cela que le Covid 19 nous apprend puisque nous le savions déjà. Nous constatons simplement une fois de plus que la peur génère facilement la haine de ceux qui refusent d’avoir peur. La honte d’avoir peur génère systématiquement le rejet agressif de quiconque n’a pas peur. Rien de nouveau sous le soleil de ce côté-là.

En revanche l’unanimité multicolore et de plus en plus arc-en-ciel qui nous dirige, a décidé de casser l’économie avec un confinement qu’elle a jugé nécessaire en occident à l’exception de la Suède. Ils ont jugé nécessaire de déverser par milliards une énergie monétaire venant d’une corne d’abondance qu’ils pensent avoir repérée, de museler au sens propre leurs peuples en poussant l’abnégation jusqu’à se museler eux-mêmes quand ils passent à la télé pour bien montrer que les muselières n’ont rien à voir avec les masques dont ils nous avaient dit qu’ils ne servaient à rien.

Le confinement n’ayant pas suffisamment permis la création d’anticorps par réaction courante à une contamination sociale habituelle, une seconde vague apparait sauf en Suède, seconde vague dont on donne le nombre de contaminés mais pas le nombre de malades et encore moins le nombre de morts qui n’affolerait personne quand on sait que 50.000 morts mensuels est la moyenne quand la France se porte bien. Cette seconde vague est en effet encore moins mortelle que la première qui ne l’était déjà pas beaucoup si l’on regarde la courbe du nombre mensuel de décès depuis la dernière guerre, toutes causes confondues.

Ces faits sont difficilement contestables mais notre élite entretient pourtant professionnellement et méticuleusement son peuple dans la peur et certains croient même sans rire, à les entendre, voir revenir la peste du moyen-âge. D’où la question de savoir si ce sont des génies qui ont tout compris et qui anticipent les bonnes réponses, des salauds qui ont des plans inavouables, ou des nuls qui n’ont rien compris et qui ne cherchent qu’à se protéger eux-mêmes des conséquences de leur nullité. Les mois qui viennent vont apporter la bonne réponse quel que soit le matraquage médiatique mais il est intéressant d’étudier déjà les trois possibilités.

N’étant pas du tout moi-même un génie, je suis incapable de les repérer mais je m’incline devant la possibilité de leur existence. Ils résolvent tous les problèmes avec l’énergie monétaire venant d’une corne d’abondance dont ils ont le secret et ils n’ont donc plus besoin de l’énergie humaine que nous, pauvres mortels, avons uniquement à notre disposition. Ils peuvent donc faire gaspiller l’énergie de leur peuple en jogging et en salle de sport, la laisser inactivée par le chômage, laisser une grande partie de leur administration s’agiter pour donner l’impression qu’elle s’active, ou décréter l’énergie humaine accessoire par le confinement. Quelle importance puisque l’énergie monétaire s’occupe de tout pendant que le principe de précaution arrête tout ? Ils ont même donné à cette énergie un nom, le PIB. Et comme ce sont des génies, ils ont réussi à convaincre leurs peuples que cette corne d’abondance fonctionnait et qu’ils pouvaient aller au ski ou sur la Côte d’Azur. Je suis incapable de choisir entre m’agenouiller et dire « chapeau l’artiste ! ». J’en suis réduit dans ma médiocrité à attendre de voir comment ces génies vont garder active cette corne d’abondance. Dans cette attente je vais me contenter d’analyser les deux autres possibilités.

L’hypothèse des salauds est intéressante parce qu’elle passe par leur intelligence. Ils ont compris que l’énergie monétaire ne peut pas remplacer l’énergie humaine puisqu’elle en est issue; que si l’on fait croire au peuple que le progrès c’est s’enrichir davantage en travaillant moins grâce à la technique, il faut réinventer l’esclavage pour avoir l’énergie humaine indispensable, même et surtout s’il faut en plus en cacher l’existence. Ils savent que le système actuel ne peut durer et surtout qu’il sera très difficile d’expliquer le retour de l’esclavage quand on se gargarise de l’avoir éliminé. Ils savent donc que le système qu’ils ont fabriqué est en instance d’explosion et que les centaines de milliers de milliards de dette ne peuvent que croitre sans jamais baisser d’un seul centime puisque collectivement nous empruntons toujours plus que ce que nous consommons tellement nous nous voulons capables de rembourser demain. Il faut donc trouver à la fois le bouc émissaire de l’explosion inéluctable pour ne pas l’être soi-même alors que l’on s’en sait responsable, mais il faut aussi trouver une nouvelle organisation. Et bien sûr avoir le temps de mettre au point cette nouvelle organisation en restant aux manettes quelle que soit la couleur à la mode électorale. Ce n’est pas parce qu’ils ont raté l’organisation précédente qu’ils ne se sentent pas capables d’imposer la suivante. Inutile de donner des noms, tellement ils se présentent d’eux-mêmes à nos esprits. Le bouc émissaire est choisi, ce sera le Covid 19. Il n’est pas plus létal que beaucoup de microbes précédemment connus mais, en le stimulant un peu, en comptant chaque soir à la télé le nombre de morts avec Covid et surtout pas seulement ceux par Covid, on arrivera bien à faire suffisamment peur pour justifier un confinement qui lui, détruira inéluctablement le système sans que les salauds qui l’ont mis en place en soient rendus responsables. Il faudra certes prévoir par sécurité de maintenir la panique des peuples pour que le système explose bien en reconfinant si nécessaire, en inventant des freins multiples et variés à l’activité et en les imposant si le matraquage médiatique est insuffisant pour convaincre de l’intérêt de toutes ces mesures puériles. Plus l’activité s’arrêtera vite, plus le Covid sera à l’évidence le seul responsable de l’explosion en laissant en place pour la suite les vrais responsables du désastre imminent. Le plan B, à mettre en place simultanément à l’effondrement du système actuel et qui a déjà le nom évidemment anglais de « great reset » (la grande réinitialisation), est déjà vanté par l’ONU, le FMI et la BCE. Le détail en est prévu à Davos en janvier 2021. Il vise discrètement à une diminution drastique des habitants de la Terre, réduits dans une suppression des races et des civilisations, au rêve de zombies consommateurs électeurs jouisseurs dont la forme d’esclavage n’est pas encore claire dans l’esprit des salauds, mais dont la vie sera réglée par encore plus d’obligations et encore plus d’interdictions pour le bien de tous décrété par les salauds eux-mêmes, réunis dans leurs têtes dans un gouvernement mondial. On sait déjà que c’est à nouveau l’énergie monétaire qui sera mise à contribution mais cette fois par les vaccins et par les puces implantées. On ne change pas une équipe qui perd.

L’hypothèse des nuls est évidemment la plus tentante tellement elle vient naturellement à l’esprit en les observant se déhancher le cerveau pour donner l’impression d’avoir quelque chose à dire. Elle est peut-être trop tentante. Ils se sont tellement épuisés à atteindre la plateforme où ils se trouvent, qu’ils sont à mille lieues de comprendre ce qui se passe et qui ne les intéresse qu’anecdotiquement. Le peu d’énergie qui leur reste est à peine suffisant pour préparer leur réélection et pour travailler leur métier du faire croire dans lequel il faut reconnaitre leur compétence d’illusionnistes. Sur tout problème ils s’appuient sur les experts qu’ils ont nommés parce qu’ils étaient de bons courtisans et le but des uns comme des autres est simplement de tenir, d’être encore là après-demain. Résoudre un problème n’est le souci de personne. Faire croire qu’on s’en occupe et mieux, donner l’impression qu’on avance, là est leur cœur de métier qui les a fait élire. S’y rajoute depuis quelques années avec le rapprochement du désastre, le souci permanent de ne finir ni comme Louis XVI, ni comme Napoléon III, ni comme Pétain. Leur communication devient de plus en plus la plaidoirie qu’ils aimeraient entendre le jour où on leur rappellerait que le pouvoir qu’ils ont tant désiré les oblige à un minimum de responsabilité que les urnes ne sanctionnent plus depuis qu’elles sont corrompues par l’énergie monétaire qui fabrique les campagnes électorales.

Il reste encore une dernière possibilité, la plus triste et qui me fait infiniment plus peur que le Covid : celle de nuls manipulés par des salauds. Quand on voit défiler dans les médias des courtisans hâbleurs, affublés de titres de professeurs, il devient difficile de ne pas craindre que des salauds ne tirent les ficelles de ces marionnettes qui ne sont visiblement que des nuls. Les vrais experts ne sont pas invités et le peuple doit croire que le Covid est le coupable et que l’énergie monétaire va s’occuper de tout.

Où travailler quand on est jeune sans diplôme ?

Si j’avais 18 ans et 5 € dans la poche jamais je n’irais chercher un job.

J’irais chercher un produit avec lequel je puisse m’identifier pour le vendre, pour commencer, à mes amis d’école et voisins.

Avec le temps, viendra la croissance, l’expérience, un stock, une logistique, plus de ventes, une meilleure compréhension des clients, de la recherche, du branding, du marketing, des investissements...

Tout cela et beaucoup plus, à partir d’une activité au début petite et sans prétentions, d’un jeune encore sans grosses préocupations.

Pourtant cela serait la clé pour avancer vers la conquête de mes rêves, de grands apprentissages, de nouvelles portes qui s’ouvrent, de nouvelles connections.

Sinon, ce même jeune de 18 ans, esclave du job d’un tiers, serait juste un numéro de plus dans la masse.

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Pourquoi certaines personnes sont-elles incapables de se remettre en question ?

Les neurosciences expliquent que notre cerveau est programmé pour résister au changement.

La chose la plus difficile pour notre cerveau c’est de commencer quelque chose qui est nouveau, différent, autrement dit en dehors de nos habitudes. C’est prouvé scientifiquement : le cerveau posséde un mécanisme de défense qui cherche toujours la stabilité en réduisant et simplifiant le plus possible le processus mental.

Qu’est ce que cela veut dire pour votre développement personnel et surtout pro ?

Voici la première et la plus simple des constatations : la résistance à la nouveauté renforce la tendance à conserver la modèle actuel. Les personnes ont peur de tester quelque chose de différent. Bien sûr il n’y a pas besoin de chercher de nouvelles perspectives toutes les secondes mais l’auto indulgence est dangereuse, dramatique dans le business et le développement personnel et pro.

Parcourir de nouveaux chemins est dangereux aussi oui mais rester sur place est encore plus dangereux surtout à notre époque où la vitesse des changements et des ruptures est extrèmement élevée.

Comme le disait Maquiavel : «Commencer une nouvelle chose est par nature difficile à mettre en oeuvre, c’est statistiquement très compliqué d’obtenir des resultats positifs, et c’est difficile à administrer.» En effet, comment choisir quels indicateurs de performance sont à suivre ? Quelle est la première action à réaliser et qui aura le plus de résultats ?

Soyez attentifs à ce modèle mental qui nous limite. Nous ne pouvons pas avancer là oú tout le troupeau va sans chercher à avoir une réflexion profonde sur les raisons qui nous poussent à avancer.

Il est nécessaire d’oser, d’être courageux, de sortir de notre zone de confort, de penser de façon différente pour percevoir le piège de l’auto indulgence et de la complaisance.

Comme le dit Fernando Pessoa, le piège de ne pas sortir de notre zone de confort c’est de “rester, pour toujours quelqu’un d’autre que nous même”.

Si vous avez aimé cet article allez voir aussi mon livre disponible ici : https://www.amazon.fr/dp/1719960739

Construir ce qui a de la valeur

Imaginez que vous avez un terrain et que vous souhaitez y construire un bâtiment.

Et ce bâtiment représente votre famille, votre carrière, vos projets futurs, les actifs que vous voulez gagner, l’histoire que vous voulez écrire.

Tout le monde a des terres, et tout le monde, j’imagine, veut construire quelque chose de beau sur cette terre.

Tout d’abord, il n’est pas possible de construire sur des ruines, des gravats ou des ordures.

La première chose que vous devez faire sur le terrain sur lequel vous souhaitez construire est de défricher ce terrain.

J’utilise cette métaphore pour dire que lorsque vous allez construire, la première chose à faire est de nettoyer.

Nettoyer quoi ? Une série de valeurs, de principes et de concepts qui salissent et accumulent des débris sur notre terre.

Et ces principes, ces valeurs existent.

Ils circulent à travers la société, l’opinion publique, la «sagesse populaire», ou le soit disant «bon sens».

Et parfois, nous héritons de ces concepts de génération en génération, de notre propre famille.

Et ces concepts salissent nos terres et orientent nos décisions.

Je ne sais pas pourquoi les gens veulent avoir une culture de stabilité et oublient que la stabilité n’existe pas et n’est pas garantie.
Je ne dis rien contre la stabilité, je dis simplement que la stabilité n’existe pas.

La culture du désir de stabilité, limite le potentiel, la vision et la créativité.

Lorsque nous sommes en danger notre intelligence et notre cerveau fonctionnent et produisent de nouvelles idées et innovations.

Et une personne qui dans son système de valeurs a une volonté de stabilité, est certainement déjà une terre pleine de débris.

Comment allez-vous construire quelque chose de grand em recherchant consciemment ou inconsciemment une stabilité qui n’existe pas ?

Le temps avance. Le temps qui passe est déjà derrière.

Par conséquent, nous ne pouvons pas perdre de temps.

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10 conseils pour vendre plus !

Certains secteurs ont reduits leurs depenses marketing pour controler leur tresorerie durant la crise du coronavirus.

Du coup des mots cles recherchés online sont moins chers et vous pouvez augmenter votre visibilité.

Je vous donne gratuitement ici dans cette video 10 conseils pour vendre plus.

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Le berger, les moutons, le mouton noir et le loup épouvantail…

Pour que des milliers de moutons soient dociles, soumis, obéissants il suffit de jouer soit sur la peur, soit sur leur besoin de sécurité.

Un berger explique ici et on peut faire un parralléle avec le peuple.

«Ils sont heureux d’avoir échappé au “méchant gros loup” et ils sortent tondus et contents.»

Il explique aussi ce que le berger doit faire du mouton noir qui ne veut pas rentrer dans la bergerie.

Xavier Louis de Izarra.

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Les sujets non enseignés à l’école ni à l’université.

Mon livre est disponible sur Amazon :

Du temps libre vaut + que de l’argent !

Tout le monde dit que le temps, c’est de l’argent. Ok oui ça c’est simple. Mais ce que la majorité ne sait pas c’est qu’il faut faire la différence expliquée dans cet article entre acheter du temps pour soi et vendre son temps pour de l’argent. Et cela est essentiel ! Si vous n’avez pas encore lu ce premier article allez-y maintenant.

Parlons du temps libre car le temps passe vite et ne revient pas alors que l’argent par contre va et vient.

De plus l’argent une fois dépensé c’est fini : il ne peut être dépensé 2 fois.
Bien sûr il peut être investit et du coup multiplié. Mais c’est un autre sujet détaillé dans cet article : quel est le prix du temps ?

Le temps libre, UTILISÉ CORRECTEMENT peut générer des connaissances qui peuvent produire beaucoup plus de possibilités que de l’argent. Ce sont des nouvelles perspectives, des nouvelles façons de voir le monde, des visions différentes de ce que l’on avait habitude de voir.

La plupart des gens ont toujours cette mauvaise excuse pour ne pas avoir d’éducation entrepreneuriale et financière : ils disent qu’ils n’ont pas le temps ! C’est vraiment juste une excuse mais le problème c’est qu’ils y croient vraiment. S’il vous plaît questionnez ces croyances que la majorité suit par conformisme et envoyez balader le bon sens !

La plupart d’entre nous sont mis en quarantaine. Nous pouvons être bouleversés, tristes, inquiets ou nous pouvons voir cela comme une opportunité qui ira changer notre vie.

Au lieu de faire la navette entre le travail et la maison, que se passe-t-il si vous avez utilisé ce temps pour acquérir une compétence entrepreneuriale ? Vous pouvez enfin vous poser et réfléchir à de nouveaux choix de vie, à de nouvelles envies. C’est un peu comme durant la période de fin d’année oú vous questionnez vos derniers pas et les prochains…

Avez-vous utilisé ce temps pour élaborer une nouvelle stratégie d’investissement ? Ou appris de nouvelles connaissances en marketing ou d’autres domaines ?

Ces connaissances pourraient prendre soin de vous et de vos proches pour toujours ! Envisagez de profiter de cette occasion pour questionner, apprendre, tester.

Vous pouvez prendre des virages totalement différents dans votre vie alors s’il vous plaît permettez-vous de tout questionner et de ne rien laisser tabou.

La connaissance est la nouvelle monnaie !

Un phare pour les nouveaux navigants

Au début de notre aventure entrepreneuriale nous sommes comme un bateau perdu qui cherche éperdument la terre ferme.

Nous nous accrochons à peu de certitudes qui peuvent disparaître à chaque moment et nous laisser à la dérive !

Quelques uns se désespérent et d’autres désirent même mourir.

Quand tout est un chaos arrive alors en plus la tempête au milieu de la nuit.

Autour du bateau les requins attendent et exhibent leurs ailerons.

Á ce moment, les certitudes que nous avions restent nos seuls espoirs.

Elles nous amènent finalement à d’autres conclusions qui sont meilleures que le plan original.

Des bateaux plus grands et plus expérimentés passent à notre côté et nous laissent une carte et une boussole.

Au loin on aperçoit un phare au milieu de la nuit.

C’est un signal de terre ferme. C’est difficile mais s’il y a un cap on va enfin pouvoir mieux s’orienter.

Quand vous y êtes arrivé s’il vous plait soyez ce phare pour les nouveaux navigants.

Sans domicile, sans rien à manger, sans papiers : j’ai commencé comme cela !

Je suis venu au Brésil en 2011 avec moins de 1000 euros et pas de visa.

Mes 1000 € n’ont pas duré longtemps et j’ai du changer de logement loué en diminuant drastiquement le niveau de qualité du bien jusqu’à ne plus avoir de quoi me payer un logement ni-même à manger.

J’avais mal plannifié mon expatriation ?
Sûrement.

On peut la plannifier mieux ?
Oui certainement mais pas à la perfection.

Et c’est impossible d’avoir connaissance de tous les détails.
Et plus on plannifie moins on a le courage de sauter le pas.

Donc en conclusion le courage de passer à l’action reste quelque chose qui a plus de valeur que le reste car aujourdhui toujours au Brésil à São Paulo je suis un chef d’entreprise.

Bien sûr cela a mis des années.
Je n’ai pas tout changé du jour au lendemain.

Ce sont les difficultés recontrées qui ont marqué en moi les qualités d’humilité et de plaisir de conquérir.

Les 2 vont ensemble et s’équilibrent.

Lorsque l’homme traverse l’océan seul en kayak et que des marins ou ses proches et amis le voit ou simplement l’imaginent que pensent-ils ? 🤔

Ils pensent que c’est un idiot qui non seulement perd son temps mais qui en plus n’a pas toute sa tête. 🙃

Pourtant avant la traversée il est admiré et à l’arrivée il est félicité.

Être entrepreneur c’est à la mode, c’est cool, c’est tendance mais ce que la majorité oublie c’est que c’est difficile.
Extrèmement difficile et c’est pourquoi la majorité ne passe pas à l’action ou finit par désister.

Car il faut être courageux et se risquer à faire ce qui est contre-intuitif.

C’est l’homme qui est admiré pour y être arrivé mais que la majorité ne souhaite pas voir durant sa traversée.

Paradoxes qui créent d’énormes différences…

11 conseils pour vendre plus 🤩

1 – Découvrez ce que veut le client.

La dernière feature du produit ne suffit pas à vendre.
Ce que votre client souhaite, c’est quelque chose qui puisse résoudre son problème.
Et si vous ne trouvez pas cette connexion, tout sera plus difficile. Comprenez votre client et donnez-lui ce qu’il cherche.

2 – Quels sont les avantages ?

Aussi simple que ça !
Trouvez ce qui sera bon pour votre client et concentrez-vous dessus. Rendez-le intéressé par votre produit mais en faisant en sorte que cela vienne de lui-même.

3 – Penser aux problèmes.

Soyez prêt à affronter tous types de problèmes.
Préparez-vous à tout type de difficulté et essayez d’y répondre avant même que les questions ne se posent. Décrivez les objections de vente et comment y répondre.

4 – Trouver des solutions.

Si vous identifiez les problèmes et les objections créez des options et des solutions permettant au client de ne jamais abandonner.

5 – Aider le client.

Souvent, le client ne sait pas ce qu’il veut.
Aidez-le à découvrir qu’il veut quelque chose, plus précisément « cette chose » que vous vendez. Comment ? En lui faisant tester différentes solutions.

6 – Construire la confiance.

Il est important que votre client vous fasse confiance.
Bien sûr, lors du premier achat, c’est compliqué, mais il faut dés le début créer une réputation de quelqu’un qui prend soin de des clients.

7 – Flexibilité, flexibilité et encore flexibilité.

Un bon vendeur est toujours prêt à s’adapter à la situation.
Plus le client a le sentiment que vous êtes préparé à ce qui se passe et que vous lui offrez un cadre sécurisant, plus il vous fera confiance.

8 – Ne sous-estimez personne.

Oubliez le temps oú il était possible d’envoyer balader ou d’arnaquer votre client.
Aujourd’hui sur internet tout le monde est plus attentif et inquiet, alors n’essayez de duper personne.

9 – Travailler la résilience.

Tirez des leçons de tout ce qui se passe.
S’il vous arrive quelque chose de négatif, ayez la force de continuer le combat.
Laissez le « non » derrière vous et avancez car un “oui” arrivera.

10 – Créer des stratégies.

Il ne sert à rien d’avoir une seule option.
Vous devez avoir des options et des produits qui conviennent à toutes les situations, obstacles et objections.

11 – Croire.

La première personne qui doit être convaincue de la qualité de votre produit doit être vous-même.
Si vous ne croyiez dans vos mots, personne ne vous croira.
Plus vous défendez vos idées avec enthousiasme, plus il est facile transmettre votre passion aux autres.

Si vous avez aimé cette article achetez mon livre disponible sur Amazon : Les 10 règles d’or secrètes du succès.

De l’importance de parler d’argent avec ceux qui n’en n’ont pas.

Dans cette podcast je parle de questionner le tabou de l’argent et vous inviter à parler plus d’argent avec ceux qui n’en n’ont pas.

L’objectif étant d’ouvrir son esprit et d’être curieux.

Podcast «L’essence de l’homo sapiens».

Retrouver cette essence grâce à l’entrepreneuriat nous permet de nous réaliser.

Cela nous reconnecte avec le vrai sens de notre existence.

Nous avons des problèmes lorsque nous tentons de fuir de cette indépendance et de cette autonomie en l’échangeant pour un salaire mensuel. Cette fausse protection nous ennuie et nous fatigue en fait profondèment.

Un travail qui ne vous permet pas d’évoluer ne sert tout simplement à rien.

La vérité c’est que beaucoup de gens font des métiers qui n’ont aucune valeur ajoutée. Ils se sont fait arnaquer, consciemment ou inconsciemment par notre société moderne qui leur a raconté que cela avait une valeur ajoutée parce qu’on en avait besoin.

Du jour au lendemain, quand on passera du on au off, ce sera plus libérateur que de rester dans ces métiers sans aucun sens.

  • Un travail qui ne vous demande pas de vous dépasser ne vous permettra pas d’évoluer, ou de croître en tant que personne.
  • Un travail qui nous vous défie pas ne vous permettra pas d’évoluer.
  • Un travail qui à certains moments ne ne vous donne pas envie de désister et de tout laisser tomber ne vous permettra pas d’évoluer.
  • Un travail confortable et qui vous demande peu d’heures de boulot ne vous permettra pas d’évoluer.
  • Un travail qui ne vous permet pas d’évoluer ne sert tout simplement à rien.

Si vous attendez d’avoir toutes les réponses pour commencer alors trois choses vont arriver:

1. Vous n’aurez jamais les réponses.
2. Vous ne commencerez jamais.
3. Votre vie continuera à être telle qu’elle est.

Si vous vous illusionnez en pensant qu’un jour vous serez prêt pour ne plus commettre des erreurs, alors trois choses vont arriver:

1. vous allez continuer à commettre des erreurs.
2. Vous allez être frustré.
3. Votre vie continuera telle qu’elle est.

Organisez-vous, ayez le courage et la résilience pour apprendre avec chaque erreur. Vos chances de faire mouche vont augmenter beaucoup si vous suivez ce chemin. Ce jour-là votre vie aura changé.

10 raisons qui font que j’adore l’entrepreneuriat.

Considérez que l’entrepreneuriat englobe le marketing, le juridique, la technologie, la comptabilité, la gestion du personnel parmi beaucoup d’autres disciplines. 

Tout cela, dans un contexte de changements constants, de changements dans le scénario macroéconomique, les oscillations politiques, les échanges microéconomiques, les influences internationales et, pour compléter, dans un environnement totalement concurrentiel.

Voici donc mes 10 raisons d’être un fan de l’entrepreneuriat:

1. Le sentiment qu’il est impossible de tolérer me sentir en otage de quelqu’un différent de moi-même pour contrôler ma vie. Seul l’entrepreneuriat vous donne un meilleur contrôle sur votre destin.

2. La joie de construire votre propre projet l’emporte sur beaucoup des ennuyeuses activités quotidiennes d’un entrepreneur. Le sentiment de voir ce qui a été réalisé est une récompense qui fait partie de la récompense émotionnelle d’un entrepreneur.

3. L’entrepreneur à succès fait beaucoup d’€ et n’est pas limité à la négociation collective ou aux bureaucrates politiques. Un entrepreneur qui réussit a une rémunération beaucoup plus élevée que la moyenne, ce qui est une juste récompense pour le risque qu’il a pris à travers le capital qu’il a investi et mis en jeu.

4. Les entrepreneurs sont les premiers du secteur productif d’un pays, génèrent des emplois et sont les principaux payeurs de taxes. Tous les pays développés le sont grâce à leurs entrepreneurs qui sont respectés par les gouvernements et les autorités. Dans les pays du tiers monde, les entrepreneurs dans de nombreux cas, représentent une menace pour les politiciens populistes qui veulent toujours concentrer le pouvoir et le contrôle et tendent donc à l’étatisme ou en association avec des parasites entrepreneurs volant le pays en partenariat avec eux . La bonne nouvelle est que ce n’est pas une règle et qu’il est possible d’entreprendre sans se mélanger avec ces parasites bureaucratiques de la pègre politique.

5. En plus d’entreprendre et de construire des projets conçus, j’aime aussi donner la possibilité aux employés qui souhaitent également entreprendre de devenir mes partenaires d’affaires et profiter des résultats également supérieurs à la moyenne. Je peux donc faire une des choses que j’aime le plus: encourager l’entrepreneuriat.

6. Il est possible d’entreprendre avec 1 million de capital, 500 mille de capital, 100 mille de capital, 10 mille de capital et même avec simplement 100 de capital. L’esprit d’entreprise est démocratique. Juste avoir un produit et le vendre avec une bonne marge en ayant la discipline tactique nécessaire pour le faire à plusieurs reprises tout en accumulant des capitaux et en développant le processus.

7. De la même manière qu’il est possible de commencer très petit, il est possible de croître sans limite, en fonction de la capacité de gestion de l’entrepreneur. Il n’y a pas de lois limitant sa croissance. Une grande entreprise travaille exactement selon les mêmes principes qu’une micro-entreprise. La différence est seulement dans la sophistication des processus qui peuvent être appris par l’entrepreneur tout au long du voyage et de sa croissance.

8. J’aime le secteur de l’éducation, parce qu’au delà du marché immense je peux aider les gens à développer leur carrière et améliorer l’estime de soi et l’accès à l’information tout comme mes articles le font.

9. Un entrepreneur est évalué sur ses résultats et non par les histoires qu’il raconte sur les réseaux sociaux. Vendre une image sans résultats ne vaut absolument rien. Après avoir gagné de la crédibilité sur le marché,a croissance devient plus facile et de plus en plus ouverte. Si au début de la carrière c’est extrement dur de frapper à la porte des banques pour avoir un crédit, quand il atteint des niveaux plus élevés, les banques frappent à votre porte pour avoir l’occasion de participer à vos projets.

10. Pour entreprendre, il n’y a pas de classe sociale, de race préférée, d’orientation sexuelle ou d’âge. Quiconque a un appétit pour une meilleure qualité de vie et veut sortir de la chaîne de montage imposée par la société peut rêver et accomplir. Pour cela, la bonne volonté ne suffit pas. Il faut être prêt et disposé à mener une vie de dur travail et de sacrifices, mais beaucoup de récompenses pour ceux qui réussissent.

J’ai vu des gens pauvres entreprendre avec succès et changer leur vie et leur famille. J’ai aussi vu des gens entreprendre avec succès dans les bidonvilles brésiliens, des sans-abri, des éboueurs, ainsi que des héritiers ont échoués. J’ai vu des gens avec des collections de diplômes dans le mur mis au ban de la société. Pour gagner en tant qu’entrepreneur, il n’y a pas de programme ou de pedigree minimum requis.

C’est une bonne nouvelle pour ceux qui veulent faire la différence et qui constituent une nuisance majeure pour ceux qui cultivent la justification qu’ils sont victimes de la société.

Il n’est pas rare de voir des étudiants en difficulté, des étudiants désintéressés par le modèle d’éducation classique qui a été créé pour former le marché du travail, les étudiants expulsés et discriminés dans ce système pour avoir beaucoup de succès en tant qu’entrepreneurs. Il n’y a rien de plus subversif que d’entreprendre, car cela demande de nager à contre-courant et de briser tous les standards et les tabous de cette société standardisée. Cependant, une fois le succès obtenu en tant qu’entrepreneur, les hypocrites ne manqueront pas de dire qu’ils vous ont toujours soutenus, même s’ils ne vous ont pas épargné des critiques sévères et des moqueries sur votre initiative.

Entreprendre est pour ceux qui n’abandonnent pas d’être un protagoniste et n’acceptent pas d’être subjugué par le système. 100% des victimes échouent dans le monde de l’entrepreneuriat. Ils ne peuvent pas tenir le coup et blâmer les tierces parties est la seule chose qui leur reste …

Rien n’existe par hasard.

Lisez le journal de bord d’un entrepreneur.

Entrez dans la révolution post-numérique : Blockchain, Bitcoin, Etherum et autres criptomonnaies.

Les cryptomonnaies vont perdurer! Ils sont à l’argent ce que l’email est aux cartes postales: c’est le futur de l’argent.

Dire que les crypto-monnaies vont disparaître c’est comme dire qu’internet va disparaître alors soyons sérieux cela ne va jamais arriver !

Si vous n’investissez pas dans les criptomonnaies vous ratez ce que les historiens appellent le plus grand BOOM de tous les temps. Des dizaines de monnaies numériques explosent aussi haut que 3475%, 21611% et même 81465% ! Et tout cela parce que beaucoup de ces criptomonnaies sont encore en train de négocier pour des centimes…

Vous pourriez juste commencer avec 100 € et transformer ce petit investissement en fortune en quelques mois!

J’ai récemment acheté une autre crypto-monnaie pour seulement 52 centimes et c’est déjà 800% … en seulement trois semaines!

Je veux vous montrer comment commencer, parce que vous ne verrez jamais un boom comme ça.

En tant qu’ange investisseur et capital-risqueur je peux vous dire que les investisseurs institutionnels parient déjà lourdement sur les cryptos.

Il était facile de faire une fortune rapide quand Bitcoin faisait des affaires pour des centimes. Mais maintenant que la monnaie numérique se négocie autour de plusieurs milliers d’€ il sera plus difficile pour vous de faire des millions de Bitcoins

Mais si vous avez manqué le boom Bitcoin, ne vous inquiétez pas parce que cette année des centaines de cryptocurrences plus petites ont surgi. Et contrairement au « cher » Bitcoin beaucoup de ces monnaies numériques moins connues sont en train de se négocier pour des centimes!

Et si vous suivez ma simple méthode en 3 étapes vous pourriez encaisser une fortune en quelques mois seulement. Tout comme cela est arrivé avec les premiers investisseurs Bitcoin. Je sais que c’est une énorme revendication mais ce genre d’opportunité de devenir riche rapidement est DÉJÀ là !

Regardez ce qui s’est passé avec Verge, une nouvelle crypto-monnaie qui améliore la technologie de confidentialité de Bitcoin. La plupart des gens n’en ont jamais entendu parler mais si vous aviez investi 100 € au mois de mai 2017 vous auriez pu encaisser 57236 € en juin 2017 !

Il est arrivé la même chose avec DigiByte, Nexus, Sibcoin, Nem.. C’est un véritable boom !

Obtenir des milliers d’€ voire des millions d’€ est aussi facile que de compter jusqu’à 3 : le boom des cryptomonnaies suit le même scénario qui a été joué, encore et encore. Chaque boom suit une séquence de trois étapes …

  1. Tout d’abord, seuls les premiers amateurs sont assez courageux pour investir dans la nouvelle tendance et c’est la première étape.
  2. Ensuite, les investisseurs institutionnels (la soi-disant «monnaie intelligente») interviennent. C’est la deuxième étape.
  3. Enfin, le public se joint à la fête, déclenchant une explosion massive des prix. C’est la troisième étape.

Si vous savez comment utiliser cette feuille de route, vous pourriez faire une fortune absolue.

Fidelity, qui gère 6,2 billions de dollars d’actifs, vient de s’associer à Coinbase, la bourse de crypto-monnaie la plus populaire. Imaginez ce qui se passera si certains de ces trillions commencent à se transformer en cryptos! En termes simples, les investisseurs institutionnels sautent avec les deux pieds dans le bain des criptomonnaies !

Je suis certain qu’Amazon acceptera le Bitcoin. Ils n’ont pas le choix. Et ce sera le point de basculement qui créera une richesse massive, un boom que nous n’avons jamais vu auparavant. Bien sûr, seul le PDG d’Amazon Jeff Bezos sait avec certitude la date exacte à laquelle cela va se passer. Mais Amazon pourrait faire l’annonce dès le 2 février, à 16 heures, lors de sa prochaine conférence téléphonique sur les résultats.

C’est pourquoi vous devez agir dès maintenant ! Cliquez ici pour bénéficier de réductions sur l’achat de criptomonnaies via mon lien

Lisez le journal de bord d’un entrepreneur.

2 enfants sur trois qui sont à l’école actuellement iront occuper des professions qui n’existent pas encore. Comment les préparer ?

Ré-écrivez votre histoire ! Ne croyez pas que votre diplôme va vous protéger.

  1. Préparez vous psychologiquement pour ne pas être en état de choc une fois que vous perdrez votre boulot. Il faut sortir de ce modèle figé qui fait croire que le diplôme va vous donner une sécurité. Il faut arrêter de raconter des histoires aux gens. Perdre son emploi n’est pas la fin de sa vie ! Pourtant nous avons aujourd’hui une société qui pense que l’emploi définit les gens. Où est-ce que ça a foiré pour en arriver à ces bêtises ? Du coup les gens pensent que certains êtres humains valent mieux que d’autres alors que nous sommes bien sûr tous égaux. Allez écouter ma podcast sur les meilleures raisons de quitter votre job.
  2. La réinvention a toujours été nécessaire dans toute l’histoire de notre civilisation. C’est le progrès.
  3. La programmation, le fait de savoir coder ne doit pas non plus être obligatoire à l’école car ce n’est pas une technique seule en particulière qui doit être apprise mais une habitude de questionner le monde qui nous entoure et comment nous pourrais-tu l’améliorer. Steve Jobs ne savait pas coder. Il existe déjà une entreprise qui fait que l’on discute librement avec une intelligence artificielle qui programme pour nous tout ce que l’on souhaite. Il suffit de lui dire par exemple crée-moi un site internet avec tel et tel détail, telle couleur, voici la première page que je souhaite, la deuxième, les liens et elle le fait. Et cela juste en dialoguant avec elle.
  4. Il ne faut pas s’enfermer psychologiquement dans une fausse sécurité ou une sécurité imaginaire mais il faut remettre en question cette sécurité du bon sens commun. Il faut s’interroger toujours sur comment nous pourrions améliorer notre société et ne pas rester figé. Lisez mon article sur un entrepreneur fait-il grève ? J’aborde dans cet article le fait de pouvoir découvrir votre différentiel et comment augmenter les bénéfices que vous apportent votre singularité. L’importance vitale de réinventer votre individualité et non vous effacer dans une masse qui vous oublie et vous donne le minimum.

On voit en fait que le plus important, le point crucial c’est la vision et non l’aspect technique !

Comment se préparer aux nouvelles professions qui n’existent pas encore ?

  1. Les nouvelles technologies ne se développe pas du tout rapidement par exemple les voitures électriques vont mettre 20 ans-30 ans pour être adoptées par toute la planète. Et du coup cela donne une lente agonie d’entreprise et de métiers qui ne s’adaptent pas à ces nouvelles demandes du marché. Faites le switch vite !
  2. Le problème c’est qu’un professeur qui se lève le matin ne se dit pas que les élèves sont ses clients. L’éducation n’est pas vu comme un marché et c’est une grande erreur. En effet tout ce que l’on fait dans la vie devrait être vu comme des produits et des services qui doivent être améliorés.
  3. Le salariat est récent dans l’histoire de notre civilisation. Le salariat doit évoluer pour qu’on ait plus de temps pour soi, plus d’argent pour soi et plus de loisirs pour soi. Il faut faire évoluer le salariat qui est de l’esclavage moderne.
  4. Tout le monde se réinvente même Google qui a changé de nom et qui est maintenant alphabet car les utilisateurs de smartphones utilisent des app différentes pour des recherches précises sur certains domaines et de moins en moins Google. La rupture pour google c’est de créer de nouvelles perspectives et non de rester accroché à ce qui est en train de décroître et ce qui en train de devenir obsolète.

Pour conclure sur comment créer le futur; la clé pour s’adapter c’est celle-là : si la conversation ne vous plaît pas changez de sujet. Airbnb n’était pas focus sur la qualité des oreillers qui était la guerre dans lesquelles les chaînes d’hôtels étaient engagées les unes contre les autres. On voit encore ici que la vision et le fait d’être centré sur le meilleure service que l’on peut amener au client c’est ce qui fait la différence.

Et en changeant le sujet on crée un monopole et à ce moment-là on est véritablement le maître à bord. On renverse les problématiques mises en place et on crée de nouvelles demandes.

Voici ce qui fera le succès de votre idée de Startup

Voici les indicateurs clés d’une start up de succès.
Que ce soit à Paris, à Berlin, à Tombouctou ou San Francisco la start-up doit avoir un Product-Market Fit.

Qu’est-ce que cela veut dire en français c’est que le produit répondant à une demande du marché.

Cela ne concerne pas seulement l’acquisition et la rétention du produit de la start-up mais aussi le canal d’acquisition que certains nomment de Channel Market Fit.

Mais tout cela doit être fait pour que vous puissiez payer les factures : cela ne sert à rien que le client achète et utilise votre produit si le canal que vous utilisez pour obtenir ce client ne possède pas les economics (CAC vs LTV).

CAC c’est le coût d’acquisition client et LTV c’est Life Time Value, la valeur que chaque client rapporte pour l’entreprise durant une période de temps déterminée.

C’est très commun de voir des entrepreneurs qui affirment qu’ils possèdent le Product Market Fit, mais qui en fait ont juste de la traction sans avoir considéré tous les fondamentaux.

Cela doit être la recherche sans fin de tout ceux qui créent une start-up.

Vous devriez garder à l’esprit que plus l’indice CAC est élevé, plus vous dépensez pour gagner un client.

Et pour réduire ce coût, l’une des premières étapes consiste à optimiser la page d’accueil du site Web de votre entreprise, ainsi que les pages d’inscription.

Mais il y a encore beaucoup d’autres choses à faire! Vérifiez de combien est votre coût d’acquisition client. Calculez le.

La formule pour calculer le CAC est très simple:

CAC = coût total des ventes et du marketing / nombre de nouveaux clients.

Comprendre le CAC de votre startup est de la plus haute importance car la viabilité de votre business model dépend de l’acquisition de nouveaux clients.

La présentation d’un CAC élevé est la principale raison de la défaillance de l’entreprise.

Pour calculer le CAC efficacement, vous devez avoir les métriques de cycle de vie de chaque client avec votre démarrage, c’est-à-dire la valeur de durée de vie (LTV) en main.

Votre CAC doit être beaucoup plus bas que le LTV, qui est la valeur que chaque client paie à l’entreprise dans une période de temps donnée.

Pour calculer le LTV, vous devez connaître le nombre de commandes que vos clients ont en moyenne, la fréquence à laquelle ils achètent votre produit et combien ils dépensent en moyenne.

Si la somme du coût d’acquisition d’un client est x, vous devez avoir une cible LTV comprise entre 3x ou 4x.

Si vous pouvez faire en sorte que vos clients parlent bien de votre entreprise à leurs amis, vous pouvez réduire de 50% votre CAC. Le bouche à oreilles via partage sur les réseaux sociaux et dans la vie réelle est extraordinaire pour obtenir de bons clients.

Des études ont montré que peu de personnes, même satisfaites, recommandent un service ou un produit pour leurs amis – cependant, les clients mécontents font souvent tout pour partager leur mécontentement. Une stratégie pour résoudre ce problème consiste à créer des opportunités pour votre consommateur satisfait de partager avec les personnes proches de lui les avantages de votre service ou de votre produit. Un bon exemple de cela est le système de covoiturage Uber, qui, selon son fondateur, affirme que 95% des utilisateurs de l’application l’ont appris auprès d’autres utilisateurs d’Uber.

Attention à ne pas perdre de clients ! Dans certains cas, il arrive fréquemment que les visiteurs du site ne deviennent pas des clients parce qu’ils ne comprennent pas le produit ou ne se sentent pas concernés par le service. Pour éviter ce genre de problème, il faut dés la première visite de votre offre que les potentiels clients percoivent exactement votre différentiel.

Les premiers clients doivent être les plus chéris. Le client a besoin de sentir qu’il / elle est accompagné (e) dès la première interaction avec la startup. Après cette première interaction réussie, les chances qu’il comprenne, engage et recommande votre startup augmentent énormément.

Une bonne relation avec vos consommateurs est quelque chose qui doit être travaillé constamment. Écouter ce que le client pense de votre entreprise devrait toujours être à l’ordre du jour. Les commentaires, suggestions ou plaintes, bons ou mauvais, doivent tous être évalués pour l’amélioration de votre performance.

Comme je l’ai déjà dit, cela doit être la recherche sans fin de tout ceux qui créent une start-up.

Nous sommes tous geek et voici 5 stratégies pour en tirer profit !

Les geeks ont du succès !

Partagez cet article avec vos amis et collègues qui correspondent au profil geek.

Oui, nous avons tous des tendances à trop analyser ce qui ne devrait pas l’être et s’engager dans de longues conversations apparemment sans signification. Sur quels sujets ? Sur des choses aléatoires comme: « L’amour du curry est-il une disposition génétique ou une acquisition socialement expérientielle? » Ou, quel est le sens réel du mot « de »?

C’est une question valide ou est-ce juste geek ?

Être geek c’est en fait perçu comme vraiment cool dans le monde d’aujourd’hui, surtout chez les milléniaux. En fait, 60% des 83 millions de Millennials se considèrent comme des geeks, comparativement à seulement 38% de la génération X et des Baby-Boomers.

Et les études récentes montrent aussi que les geeks sont les pionniers et les influenceurs (84% des geeks disent que les gens les consultent alors que seulement 60% des non-geeks disent qu’on leur demande des conseils).

C’est une bonne nouvelle pour tous ceux et celles qui questionnent passionnèment  notre  monde  pour innover, pour améliorer et faire découvrir ce qui a été trouvé. Nous sommes fiers de découvrir pourquoi les gens et les entreprises font ce qu’ils font. Nous voulons par exemple comprendre les raisons pour lesquelles Richard Branson est autant admiré comme leader pour inspirer.

La vérité c’est que nous sommes tous des geeks à un certain niveau, à propos de quelque chose. Cependant la majorité échoue à transformer les idées en un véritable succès qui révolutionne le monde.

Voici cinq domaines critiques que vous devriez explorer si vous voulez transformer vos idées de geek en résultats transformateurs.

1. Le mentor: Oui, nous pouvons parler de dirigeants comme Gates, Zuckerberg et Branson. Nous pouvons les tenir tous sous le feu des projecteurs afin d’en apprendre davantage sur leurs réalisations. Mais lorsqu’il s’agit de trouver un véritable mentor, il est important de bien connaître l’individu pour qu’il vous enseigne ce qu’il a fait correctement et ce qu’il a fait de mal. «J’ai échoué plus que quiconque que je connais», a déclaré l’innovateur numérique Jay Samit dans une interview récente. «Il y a beaucoup de valeur dans l’échec.»

Trouvez un mentor qui peut vous montrer à la fois ce que vous devriez faire et ce que vous devriez cesser de faire.

2. La responsabilité. Trouver de nouvelles façons de résoudre de vieux problèmes n’est pas une idée nouvelle. Mais, prendre en charge le problème et le résultat pourrait être. L’auteur à succès Nely Galan nous a récemment dit: «La responsabilité est un état d’esprit, et c’est souvent le plus grand obstacle que nous devons tous surmonter. Arrêtez de penser que Prince Charmant (une personne, un groupe ou une entreprise) va entrer et résoudre vos problèmes. Le problème est une opportunité pour créer une solution révolutionnaire. Vous êtes la personne pour résoudre ce problème. Assumez en la responsabilité ». Lorsque des obstacles existent, il est important de concentrer votre énergie sur l’opportunité qui vous est présentée

3. L’enfermement: Jour après jour, vous allez au bureau et vous asseyez probablement à côté des mêmes personnes. Lorsque vous avez des idées, vous les partagez probablement avec les mêmes personnes chaque jour. Mais des recherchent montrent que 72% des résultats proviennent de personnes qui parlent et partagent des idées avec leur entourage externe, les personnes avec qui vous ne parlez pas tous les jours. L’auteur Tim Sanders a récemment dit, « Les ventes ont toujours été le travail des vendeurs. Mais lorsque les organisations éliminent les barrages et l’enfermement des départements, et incluent tout le monde dans l’entreprise qui a un intérêt dans la vente, elles peuvent atteindre un ratio de 70%. « Pensez aux autres personnes qui ont un intérêt dans votre idée. Sortez de votre enfermenent et parlez à énormèment de monde possible.

4. La plage: Le repos et la relaxation sont importants pour notre bien-être. Mais même si vous n’êtes pas en vacances il suffit parfois de tremper vos orteils dans l’eau. Le PDG et fondateur de Sea Side Reservations, Steve Schwab a récemment dit: «Les routines peuvent nous faire fonctionner en pilote automatique. Aller dans un endroit nouveau et voir les différentes façons dont les gens font les choses mènent à des découvertes incroyables. » Il a raison. Que vous voyagiez à travers le pays ou à l’autre bout de la ville, le fait de sortir de votre routine et de votre environnement quotidien peut inspirer énormèment de réflexions.

5. L’enfant: Regardons les choses en face, beaucoup de stéréotypes geeks se concentrent sur la science-fiction et les jeux vidéo de notre enfance. Des leaders comme Brenda Hardesty et Sue Baechler combinent la science de l’apprentissage par le jeu avec l’implémentation de la stratégie pour délivrer des résultats commerciaux impressionnants. «Les recherches sur les jeux montrent que les joueurs conservent 75% de ce qu’ils apprennent et 45% après six semaines», ont déclaré les créateurs. «C’est une différence flagrante avec les méthodes d’entraînement traditionnelles, où les participants ne conservent que 4%.»

Bien sûr que l’on recherche les résultats mais laissez toujours votre enfant intérieur s’évader et alors vos projets seront remplis d’émerveillement, de compétitivité et d’amusement.

Être geek de nos jours ne veut plus dire être un inadaptés social, des conversations gênantes et des personnalités peu attirantes. Les geeks sont devenus les pionniers et les influenceurs mondiaux. C’est un message de bienvenu pour tous et c’est un club dont vous ne devez pas avoir honte d’appartenir. Parce que si vous développez les 5 stratégies geeks que nous avons détaillé alors le succès vous appartient !

Suivez le journal de bord d’un entrepreneur : http://www.antoinebachelinsena.com

La curiosité de connaître d’autres façons de vivre.

Je vis au Brésil depuis 2011 et chaque fois que quelqu’un réclame des taux d’intérêt brésiliens qui sont trop élevés (et ils le sont), je dis qu’en raison de cela, tous les $br que vous économiserez généreront l’un des plus hauts retour sur investissement du monde ! Dans ce scénario, ceux qui ont une bonne éducation financière auront des héritiers plus heureux.

Chaque fois que vous voulez vous plaindre de la mauvaise qualité des services dans les pays en développement, rappelez-vous qu’il est beaucoup plus facile que dans les pays développés de créer des entreprises qui résolvent les problèmes sans fin que nous voyons de tous les côtés.

Quoi d’autre est mauvais au Brésil ? Partout où vous regardez, il y aura une chance de changer votre destinée.

« Mais, Antoine, je n’ai pas de capitaux! »

Bienvenue dans le club. De nombreux entrepreneurs comme vous et moi non plus. Vous n’êtes pas le seul à devoir commencer sans $. Et puis si vous n’arrivez vraiment pas à bootstraper ne nous envoyez même pas un pitch deck à Bachelin Sena Venture Capital !

Mais voici tout de même une liste de moyens pour vous aider à démarrer et générer votre capital:

1. Créez le projet et vendez une participation (%) à un ami qui a plus de $ pour être votre partenaire.

2. Un prêt, que ce soit de quelqu’un de proche (love money) ou de banque (plus risqué).

3. Commencez à vendre un produit et organisez votre capital (à moyen terme).

4. Si vous êtes déjà hautement qualifié, il est possible de contacter un investisseur institutionnel. Ils n’investissent pas dans les idées, ils investissent dans les gens!

Pensez grand, mais commencez petit. Un autre conseil, soyez bons en vente. C’est le meilleur chemin pour les personnes ayant peu de capitaux. Lorsque vous vendez, votre client est celui qui finance. Kick  starter c’est encore plus extrème : cela finance des «produits» qui ne sont même pas encore crées !

Ne vous offensez pas. Partager ma vision est mon engagement pour toujours.

Entreprendre c’est comme voler librement dans les cieux d’un monde dangereux. Le fait de ne pas entreprendre c’est comme être piégé dans une cage et se sentir protégé par les grilles.

Personne n’est mieux que quiconque, mais ceux qui veulent plus de vie (quand je dis plus c’est plus de choix, plus de temps, plus de liberté, plus d’argent, plus de rêves..etc) n’ont qu’une seule alternative: entreprendre.

Le monde nous a formés pour rester à l’intérieur de la cage, et être nourri par les miettes une fois par mois, rêver de gagner à la loterie ou juste de révasser à ses prochaines vacances ou que son fils devienne le nouveau Neymar.

Ceux qui osent savent que la porte de la cage est déjà ouverte. Il suffit juste d’avoir le courage de sauter et de voler.
Pensez-vous que c’est trop risqué? Une franchise d’une marque bien établie peut être une alternative plus sûre.

Quoi faire dans la journée quand on n’a plus à aller au taf ?

La grasse matinée tous les jours, aller au parc et au cinéma quand il n’y a personne, aller au shopping quand il n’y a personne, prendre des billets d’avion moins chers en basse saison, réserver des spas et chambres d’hotel moins chers car on a un grand choix de dates, glandouiller à la piscine du club, lire des livres sur la chaise longue ou un hamac devant une plage brésilienne (j’habite au Brésil depuis 2011), écouter de la musique ou une podcast en rêvassant, faire du karting, du buggy, de la voile, jouer de la musique, apprendre dans différents domaines (je fais mon brevet de pilote d’avion privé et j’ai des entreprises dans d’autres secteurs que ceux de mes études scolaires cf les habiletés et compétences que vous devez apprendre en dehors de votre diplôme). La formation à vie est quelque chose de fondamentale.
Je me la coule douce et je n’ai plus aucune routine matinale comme je le faisais quand j’étais étudiant (réveil à 5h du mat pour aller méditer au dojo zen soto voir mon article Méditation & Business). Le plus sympa c’est le lundi et mardi le fait de savourer la grasse matinée et le petit dej au lit quand les autres bossent car cela nous fait réfléchir sur les choix que nous avons pris 🤔.

Développons là-dessus : la majorité par manque de connaissance (voir mon article connaissez vous l’esclavage moderne et mon article la soif de connaissances) et par manque de courage reste esclave moderne et refuse de s’interdir la prostitution temporelle. C’est un choix de se dire à soi-même : c’est terminé je ne veux vivre plus aucun jour comme esclave ! Moi j’ai opté pour être individualiste (une nécessité vitale et libératrice) et m’interroger sur les illusions du collectivisme sans aucune morale qui maintient la majorité dans un tout petit carré : résistez et envoyez balader le bon sens !

Quand on n’a plus à aller au taf on a beaucoup plus de trucs à faire ! J’ai des objectifs à atteindre (voir ma To Do List). Ces objectifs sont définis en commun accord avec ma femme. On a des objectifs de voyages, des objectifs pro, des objectifs perso, des objectifs journaliers.

Dans la journée quand on n’a plus à aller au taf on peut aller à la piscine, à la plage et aller aurestaurant d’un hotel chic face à un paysage extraordinaire. On peut écrire des mails sur son smartphone, écrire des articles sur son blog, envoyer des contrats via Google Docs sur son portable, avoir Skype, Slack, Whatsapp etc pour parler avec ses clients, ses employés, ses fournisseurs. Puis plus important on peut éteindre son portable et faire ce qui bon nous semble de notre temps.

Faire ce qui bon nous semble !

Si j’avais 18 ans et 5 € dans la poche…

Si j’avais 18 ans et 5 € dans la poche jamais je n’irais chercher un job.

J’irais chercher un produit avec lequel je puisse m’identifier pour le vendre, pour commencer, à mes amis d’école et voisins.

Avec le temps, viendra la croissance, l’expérience, un stock, une logistique, plus de ventes, une meilleure compréhension des clients, de la recherche, du branding, du marketing, des investissements… 

Etc tout cela et beaucoup plus, à partir d’une activité au début petite et sans prétentions, d’un jeune encore sans grosses préocupations. 

Pourtant cela serait la clé pour avancer vers la conquête de mes rêves, de grands apprentissages, de nouvelles portes qui s’ouvrent, de nouvelles connections.

Sinon, ce même jeune de 18 ans, esclave du job d’un tiers, serait juste un numéro de plus dans la masse.

Mes objectifs pour évoluer dans la vie.

Être heureux d’avancer vers la réalisation de nos objectifs

Mon épouse Suely et moi-même avons les mêmes objectifs afin d’évoluer, d’apprendre et de nous améliorer.
J’évoque ici 3 points clés pour la construction de notre parcours et de nos valeurs.

Nos valeurs ne changent pas

1) Créer des entreprises en y mettant tout notre coeur, tous nos efforts, tout notre “carinho” comme on dit ici au Brésil.Mettre du coeur à l’ouvrage est ce qui rend heureux et qui donne du sens à ce que l’on fait.

2 ) Faire croître nos entreprises pour qu’elles deviennent les leaders de leur secteur.

3) Inspirer et apporter de nouvelles opportunités.

Suivre son coeur c’est donner du sens à ce que l’on fait

Plus aucun jour comme esclave !

J’aime le film et surtout le personnage de Salomon qui tout en étant dans une condition d’esclave ne pensait pas comme un esclave.

L’entrepreneuriat c’est la possibilité de s’émanciper, de se libérer de la condition d’esclave moderne comme je l’ai décris dans cet article : connaissez vous l’esclavage moderne ?

La majorité des compagnons de Salomon n’ont pas partagé le même état d’esprit et ne voyaient pas la lumière au fond du tunnel. C’est sûr c’est difficile devant l’adversité de continuer à rêver et de garder la tête haute.

Accepter la condition d’esclave était impossible pour Salomon. Certains enfants nés esclaves ont toujours connus cette façon de vivre et ne voient pas qu’ils existent d’autres façons de vivre.

Des données historiques montrent qu’à l’abolition de l’esclavage que même avec la liberté garantie par la loi, beaucoup ont « préféré » rester esclaves. En fait ils ne savaient pas produire pour garantir le pain quotidien pour leur famille.

Personne ne leur a jamais enseigné comment créer un business.

Rester esclave était l’option qui offrait le plus de sécurité : la certitude de nourriture et un toit au dessus de leur tête.

Changer faisait peur.

L’esclavage moderne a diverses formes et a pour objectif de maintenir les multitudes dépendantes de son système en faisant en sorte qu’ils se sentent incapables de produire « le pain quotidien » pour leur famille.

C’est un blocage mental plus puissant que des coups de fouet, qui détruit les initiatives individuelles et qui fait croire à la majorité que le monde est ainsi, exactement comme il devrait être.

Mais pourtant la liberté vaut bien plus que l’égalité.

Au final nous sommes tous différents.

Lorsqu’un système essaie artificiellement de nous rendre égaux c’est parce que nous avons acceptés d’en être les esclaves.

Abolir ce blocage mental est un des objectifs de mon blog.

La vie réelle peut contenir la vie notée mais pas l’inverse.

Le système scolaire est mal fait. La vie notée est à la vraie vie ce que le cheval de bois est au vrai cheval.

Vous pouvez avoir échoué à une multitude d’examens sur cheval de bois et exceller sur un vrai cheval par la suite laissant loin derrière vous les premiers de la classe.

Cependant dans la société celui qui excelle sur un cheval véritable sans être passé par le cheval de bois on le traite d’imposteur ou d’arriviste. Si votre vie entière repose sur un cheval de bois il vous sera plus facile d’affirmer que le cheval véritable n’est qu’une légende.

J’ai écrit de nombreuses articles concernant l’école expliquant que l’école n’enseigne pas la création de richesse. Mais le $ reste la note la plus respectée aussi alors que comme le disait Francis Burton : «la vie est une grande leçon que tu méprises, savoir que tout ce que nous savons n’est rien.»

Sous la Troisième République l’école française enseignait la natation sur un tabouret.

On utilisait pour apprendre à nager des machines, des appareils sans jamais aller dans l’eau.

Imaginez établir un système de permis de natation avec des épreuves théoriques et mécaniques obligatoires et imaginez un moniteur de ce permis rencontrant un enfant d’Amazonie ou des Caraïbes qui aurait lui appris à nager en se jetant à l’eau.

Comment réagirait cet homme ? Son explication se trouverait quelque part entre :

1) Cet enfant est un cas particulier,

2) Cet enfant a été formé sur un tabouret mais il le cache,

3) Cet enfant n’existe pas.

C’est une déformation professionnelle bien connu des scientifiques : si je l’ignore ça n’existe pas et comme ça n’existe pas ça ne peut pas exister.

Beaucoup de prodiges ont une tendance forte à ne pas rester à leur place et l’école commence précisèment par l’art de rester à sa place… Cela bride l’excellence humaine.

Source de cet article : Idriss Aberkane.

C’est primordial que nos proches partagent les mêmes objectifs que nous.

Ma femme partage les mêmes objectifs que moi. La majorité des points de ma to do list (la liste de ce que je désire durant ma vie) font aussi partie de la sienne. C’est essentiel d’être aligné dans la direction que nous souhaitons. 

Pourtant la majorité des gens ne définit même pas une liste de choses à faire dans leur vie et c’est très triste. 

La réalisation de nos désirs est une science : cela demande de se connaître soi-même et d’être honnête avec soi-même pour sentir réellement ce qui fait sens dans nos vies. 

Il faut déjà avoir défini cela avant de connaître ceux qui nous serons proches.

Cet article est très important pour moi car c’est un sujet de premier plan dans ma vie. 

Le vent ne soufflera jamais dans le bon sens pour celui qui n’a pas choisi sa destination.

Avoir les mêmes objectifs que ses proches est essentiel.

Ne cherchez pas un job car votre vie mérite plus que cela !

Autour de la vingtaine, durant mes études universitaires j’entendais mes parents me dire de chercher un job et ils ont augmenté la pression jusqu’à la fin de mes études.

Au final je n’ai jamais décroché de CDI !

Á la fin de mes études je travaillais à réaliser un de mes rêves : la création d’un hotel écoluxe au Brésil. Ce projet ne s’est pas encore réalisé mais j’ai à l’époque crée Ko Gyo Holdings qui est un Fonds d’Investissement spécialisé sur les pays émergeants.

Je savais déjà à l’époque que dans la vie il y a des trucs plus intéressants à faire que de chercher un job ! Voici des articles intéressants ici : L’école n’enseigne pas la création de richesse. et L’entrepreneuriat n’est pas inné mais ACQUIS !

Il n’est pas possible d’aimer 100% d’une entreprise qui n’est pas la votre. Pas question pour moi d’être un pion, un numéro en plus, remplaçable, jetable. Je ne trouvais pas ma place dans les entreprises qui m’accordaient une interview. Cette quête de sens m’a fait connaître l’entrepreneuriat qui permet de réaliser nos rêves en même temps que je définissais mes priorités, mes désirs, mes envies, mes projets de vie. L’entrepreneuriat c’est tout cela.

Il est important d’apprendre à gagner de l’argent pour faire ce que vous voulez de votre vie. Comme je l’ai déjà dit Il n’y a pas de libertés sans $.

Notre vie est courte et les riches dépensent leur argent pour avoir du temps pour soi alors que les pauvres dépensent leur temps pour obtenir de l’argent : Acheter du temps et non vendre son temps.

Valorisez votre temps ! Le temps passe et ne revient pas !

Vous n’avez pas besoin d’un job mais vous avez besoin d’argent alors apprenez comment créer des businesses ! L’entrepreneuriat s’apprend. Gagner de l’argent s’apprend et c’est l’inverse d’une loterie, c’est une science ! C’est précis et il suffit de suivre mon journal de bord : Livre disponible sur Amazon “Les 10 règles d’or secrètes du succès.”

Quel est votre projet ?

Quel est votre projet ? Définissez le ! Vous ne l’avez pas encore défini ? Définissez le ! Étudier sans projet c’est comme diriger une voiture sans savoir oú aller.  Étudier c’est un moyen et non une fin en soi. Controlez votre vie !

La plus grande source d’énergie et d’inspiration pour votre quotidien c’est la vision que vous avez de votre futur. Beaucoup de personnes pensent le contraire c’est à dire ils croient que c’est dans le présent que nous trouvons l’inspiration pour construire le futur. Je m’explique : quand nous avons des rêves, des désirs, et que nous savons où nous voulons être, qui nous voulons être et ce que nous voulons avoir dans le futur alors nous devenons amoureux de cette vision du futur. Cette vision nous donne la force et l’inspiration nécessaire pour surmonter les difficultés qui laissent K.O beaucoup de gens tous les jours.

Sans cette vision du futur qui met en perspective le présent apparaît l’ennui, la frustration et l’incompréhension de ce présent vide de sens. Quand je pense à cela je comprend mieux la vie de la majorité qui se traîne le lundi en reprenant le boulot. C’est une vie de souffrance, de frustration, de non réalisation.

Je ne désire ce malheur pour personne…

Contratez moi comme SPEAKER !

Contratez moi comme speaker !

Antoine Bachelin Sena est tout autant divertissant que provocateur.

Son message fait sens car il parle à coeur ouvert à partir de ses propres expériences.

Il met l’accent sur nos qualités afin de tracer un chemin clair vers le succès.

Speaker charismatique, il laissera l’auditoire à la fois motivé et captivé !

Laissez vos coordonnés ci-dessous afin de contrater Antoine Bachelin Sena comme SPEAKER!

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Attention !

L’école n’enseigne pas la création de richesse.

La vérité c’est que ni les écoles ni les universités n’enseignent comment créer de la richesse. C’est une honte car la capacité de faire de l’argent est ce qui aiderait le plus ces jeunes.

Voici encore 10 points que les écoles et universités n’enseignent pas ou plutôt déforment, mystifient et trompent les jeunes à cause d’une idéologie inconsciente dominante et collectiviste.

1. Nous vendons tous quelque chose, que ce soit des idées, des idéologies et même quand nous pensons que non. Voir ici : pour vous qui n’aimez pas vendre.

2. Beaucoup de pseudo intellectuels prônant des révolutions sociales n’ont jamais mis les pieds dans une petite entreprise et ignorent ce qu’est un compte d’exploitation annuel ou une fiche de paie. Et pourtant leur idéologie collectiviste est dominante dans les merdias subventionnés donc corrompus.

Nous sommes dans une société de déresponsabilisation, de passivité où les salariés réclament plus de droits et moins de devoirs. Ou les « adultes » sont des ados éternels; qui en ne voulant pas savoir sur certains sujets déléguent la responsabilité personnelle à une instance hiérarchique ou étatique.

3. Arrêtez de faire de l’argent un tabou : 7 personnes sur 10 n’aiment pas parler d’argent … Voir ici : l’argent tabou.

4. Aujourd’hui il existe plus d’esclavage qu’auparavant. Les coûts pour l’esclavagiste sont mutualisés. Voir ici : esclavage moderne.

5. Sortez du conformisme. Étudiez l’ingénierie sociale, comment influencer les comportements de groupe et comment en sortir. C’est essentiel de voir quelles sont les forces en place et à qui profite le crime.

6. Ne vendez pas votre temps contre de l’argent mais achetez du temps pour vous.

7. Rejetez le négativisme et l’attitude de victimisation. Vous êtes libres. Assumez votre responsabilité sans culpabiliser les autres.

8. Apprenez dans d’autres domaines que le votre et perfectionnez vous durant toute votre vie. Iriez vous chez un médecin ou un avocat qui ne s’est pas mis à jour depuis 10 ans ?

9. Montez une petite entreprise, ou un petit projet. C’est moins risqué de créer son entreprise que d’être employé.

10. Voyagez durant des années en travaillant dans différents pays. Comparez leurs systèmes, leurs avantages et inconvénients tout en changeant d’horizon.