Discours de M. François Sureau, élu à l’Académie française, vibrant plaidoyer contre l’idéologie sécuritaire qui étouffe la France.

Aperçu d’une minute : https://youtu.be/3dw4BjtdOg8

Publication du discours entier en pdf ici sur le site de l’académie française : https://www.academie-francaise.fr/actualites/reception-de-m-francois-sureau-f24

Le 3 mars 2022, François Sureau était reçu à l’Académie française et y prononçait un discours où il faisait l’éloge, comme c’est la coutume, de son prédécesseur, Max Gallo.

Étant plutôt du côté de chez Proust que du côté de chez Sainte-Beuve, il n’a pas raconté la vie de cet homme qui avait dû d’appartenir à la Compagnie à raison de son oeuvre.

Le nouvel académicien a eu six mois pour explorer cette œuvre. Ce n’était sans doute pas de trop, puisqu’elle compte une centaine d’ouvrages consacrés peu ou prou à l’histoire.

Gallo était historien, mais aussi romancier, la fiction lui permettant de donner vie à l’histoire. Il s’agissait là d’une fiction telle qu’on l’aime, populaire, descriptive et rêveuse.

Ce qui est le plus intéressant, dans ce discours, est ce que dit François Sureau de la liberté, qu’il compare à la France, qui est, comme elle, insaisissable pour qui veut l’appréhender :

La liberté est une étrange chose. Elle disparaît dès qu’on veut en parler. On n’en parle jamais aussi bien que lorsqu’elle a disparu.

Qu’aurait pensé Gallo aujourd’hui, où la fièvre des commémorations nous tient, pendant que d’un autre côté le sens disparaît des institutions que notre histoire nous a léguées :

Une séparation des pouvoirs battue en brèche, les principes du droit criminel rongés sur leurs marges, la représentation abaissée, la confusion des fonctions et des rôles recherchée sans hésitation, les libertés publiques compromises, le citoyen réduit à n’être plus le souverain, mais seulement l’objet de la sollicitude de ceux qui le gouvernent et prétendent non le servir mais le protéger, sans que l’efficacité promise, ultime justification de ces errements, soit jamais au rendez-vous.

Les oreilles du stagiaire de l’Élysée, situé sur l’autre rive de la Seine, ont dû siffler quand ces paroles ont été prononcées, en présence de sa dame, qui fut auparavant son professeur…

François Sureau ne s’en est pas tenu à ces propos, qui n’ont pas provoqué, semble-t-il, le moindre frémissement dans l’assistance, que ce soit chez les immortels ou dans le public :

Non, je ne crois pas que ce disciple de Voltaire et de Hugo se réjouirait de l’état où nous sommes, chacun faisant appel au gouvernement, aux procureurs, aux sociétés de l’information pour interdire les opinions qui les blessent ; où chaque groupe se croit justifié de faire passer, chacun pour son compte, la nation au tourniquet des droits de créance ; où gouvernement et Parlement ensemble prétendent, comme si la France n’avait pas dépassé la minorité légale, en bannir toute haine, oubliant qu’il est des haines justes et que la République s’est fondée sur la haine des tyrans. La liberté, c’est être révolté, blessé, au moins surpris, par les opinions contraires.

Pour ce qui est de la République, il précise, après avoir [décrassé] ce terme qu’on emploie ces jours-ci à tout propos, au prix […] d’une grande confusion concernant les principes :

Gallo pour sa part ne l’a jamais vue comme cet étrange absolu qu’on nous présente parfois au mépris de toute vérité.[…] Aujourd’hui que la République nous appelle moins qu’elle ne nous sermonne au long d’interminables campagnes de propagande frappées de son sceau, il se serait inquiété je crois de notre docilité.

Comme si cela ne suffisait pas, le nouvel académicien enfonce le clou encore plus profond sans que Compagnie et public, sans doute saisis, n’émettent le moindre murmure :

Je ne crois pas que Gallo eût souscrit à cette substitution du lapin de garenne au citoyen libre que nous prépare cette formule imbécile, répétée à l’envi depuis vingt ans, que la sécurité est la première des libertés. À cette aune, pas de pays plus libre sans doute que le royaume de Staline ou celui de Mussolini. […] Et l’on s’en va répétant que les temps sont difficiles. Mais les temps, comme Max Gallo nous l’a rappelé pendant un demi-siècle, sont toujours difficiles pour ceux qui n’aiment pas la liberté.

Publié sur Contrepoints. https://www.contrepoints.org/2022/03/08/422904-discours-de-francois-sureau-a-lacademie-francaise-un-eloge-de-la-liberte

Histoire du pouvoir sur 15 siècles par Olavo de Carvalho.

Après le démantèlement de l’Empire, les églises réparties sur tout le territoire sont devenues les substituts de l’administration romaine dispersée. Dans la confusion générale, alors que les formes d’une ère nouvelle étaient à peine visibles parmi les brumes du provisoire, les prêtres sont devenus notaires, auditeurs et maires.

Les graines de la future aristocratie européenne ont germé sur le champ de bataille, dans la lutte contre l’envahisseur barbare. Dans chaque village et paroisse, les chefs de communauté qui se sont démarqués dans l’effort de défense ont été récompensés par le peuple avec des terres, des animaux et des pièces de monnaie, par l’Église avec des titres de noblesse et l’onction légitime de leur autorité.

Ils devinrent de grands fermiers, des comtes, des ducs, des princes et des rois.

La propriété agraire n’a jamais été le fondement ou l’origine, mais le fruit de sa puissance, de son pouvoir militaire.

Le pouvoir d’une caste féroce et hautaine, enrichie par l’épée et non par la charrue. Une caste veillant à ne pas se mélanger aux autres, et de ne pas se consacrer à la culture de l’intelligence, bonne uniquement pour les prêtres et les femmes, ni aux travaux de la terre confiés aux serfs, pas même les affaires qui sont l’occupation des bourgeois et des juifs.

Pendant plus d’un millénaire, cette caste dirigea l’Europe par la force des armes, soutenu par le trépied de :

1) la légitimation ecclésiastique et culturelle,

2) l’obéissance populaire traduite en travail et en impôts,

3) le soutien financier obtenu ou extorqué aux marchands et aux banquiers en temps de crise et de guerre.

Son essor culmine et son déclin commence avec la fondation des monarchies absolutistes et l’avènement de l’État Nation.

Elle culmine parce que ces nouvelles formations incarnent le pouvoir de la caste guerrière à l’état pur, source d’elle-même par délégation directe de Dieu, sans intermédiation du sacerdoce, réduit à la condition subalterne de complice forcé et récalcitrant.

Mais c’est déjà le début du déclin, car le monarque absolu, issu de l’aristocratie, s’en démarque et doit chercher contre elle – et contre l’Église – le soutien du Tiers État, qui finit par devenir une force politique indépendante, capable d’intimider ensemble le roi, le clergé et la noblesse.

Si le système médiéval avait duré dix siècles, l’absolutisme n’en a pas duré plus de trois.

Le règne de la bourgeoisie libérale durera encore moins.

Un siècle de liberté économique et politique suffit à rendre certains capitalistes si formidablement riches qu’ils ne veulent plus se soumettre aux caprices du marché qui les a enrichis.

Ils veulent le contrôler, et les instruments pour cela sont au nombre de trois:

1) le domaine de l’État pour l’implantation des politiques étatistes nécessaires à l’éternisation de l’oligopole;

2) stimuler les mouvements socialistes et communistes qui favorisent invariablement la croissance du pouvoir étatique;

3) la régimentation d’une armée d’intellectuels qui préparent l’opinion publique pour dire adieu aux libertés bourgeoises et les faire entrer joyeusement dans un monde de répression omniprésente et obsessionnelle (s’étendant jusqu’aux derniers détails de la vie privée et du langage courant), et en plus présentée comme un paradis ornée à la fois de l’abondance du capitalisme et de la «justice sociale» du communisme.

Dans ce nouveau monde, la liberté économique indispensable au fonctionnement du système est préservée dans la stricte mesure nécessaire pour lui permettre de subventionner l’extinction de la liberté dans les domaines politique, social, moral, éducatif, culturel et religieux.

Avec cela, les mégacapitalistes changent la base même de leur pouvoir.

Il ne repose plus sur la richesse en tant que telle, mais sur le contrôle du processus politico-social.

Un contrôle qui, les libérant d’une exposition aventureuse aux fluctuations du marché, en fait une puissance dynastique durable, une néo-aristocratie capable de traverser les variations de fortune et la succession des générations, abritée dans le fief de l’État et des organisations internationales.

Ce ne sont plus des mégacapitalistes: ce sont des métacapitalistes – la classe qui a transcendé le capitalisme et l’a transformé en le seul socialisme qui ait jamais existé ou qui existera: le socialisme des grands maîtres et des ingénieurs sociaux à leur service.

Cette nouvelle aristocratie n’est pas née, comme la précédente, d’un héroïsme militaire récompensé par le peuple et béni par l’Église.

Il est né d’une prévoyance machiavélique fondée sur l’intérêt personnel et, à travers un faux clergé d’intellectuels subventionnés, se bénit.

Il reste à voir quel genre de société cette aristocratie auto-inventée peut créer – et combien de temps une structure si manifestement basée sur le mensonge peut durer.

Je montre qu’il y a plus d’esclavage aujourd’hui qu’avant !

Les esclavagistes devaient acheter cher des esclaves, les faire venir, les soigner, les loger, les nourrir, les habiller.

Tout cela avait un coût.

Aujourd’hui ce sont les esclaves modernes qui doivent payer eux-mêmes leur transport, leur nourriture, leur maison et etc.

Et c’est moins cher pour les esclavagistes !

Les coûts pour l’esclavagiste sont mutualisés via les impôts ce qui fait que l’esclave lui même paie pour son propre esclavage.

Ils ne sont même plus obligés de payer toute la vie comme auparavant.

Et les esclaves continuent aujourdhui de travailler pour les esclavagistes même s’ils ont la «liberté» de choisir la plantation.

Les intermédiaires divers ont augmenté et prennent leur pourcentage aussi en impôts sur la consommation, impôt foncier etc + la dette gouvernementale sur d’innombrables générations.

Et l’esclavagiste dépense moins de sa poche.

L’éducation nationale et les merdias corrompus vendent les mauvaises luttes et les gens sont à genoux devant les mauvaises croix.

La vraie liberté c’est de changer de classe sociale car nous sommes tous des esclaves et le fruit de notre travail est capté par d’autres. Nous devons gagner 10 pour en toucher 1.

Pas seulement la TVA ni l’impôt ni le crédit mais aussi l’inflation et les prélévements cachés indirects. Ne vivez pas dans un monde utopiste car la réalité est sombre.

Le corporatisme de plus haut niveau se monopolise et vise à vérouiller le marché. C’est créer un système fasciste oú l’employé doit se considérer comme privilégié. Et s’il rate son objectif de mission c’est un désonheur triste et honteux pour sa famille.

Photo ci-dessous entrée d’un goulag, camp de concentration soviétique avec inscription : «travail en URSS c’est une question d’honneur, de gloire, d’orgueil et d’héroisme.»

L’esclavagisme n’a pas disparu. Les grandes fortunes n’ont pas intérêt à le voir disparaître.

Comment définir l’esclavagisme ? Voici une bonne question pour chacun de nous.

L’économie a besoin d’esclaves ?
Nous sommes passé d’un esclavage ethnique à un esclavage généralisé.

Du temps libre vaut + que de l’argent !

Tout le monde dit que le temps, c’est de l’argent. Ok oui ça c’est simple. Mais ce que la majorité ne sait pas c’est qu’il faut faire la différence expliquée dans cet article entre acheter du temps pour soi et vendre son temps pour de l’argent. Et cela est essentiel ! Si vous n’avez pas encore lu ce premier article allez-y maintenant.

Parlons du temps libre car le temps passe vite et ne revient pas alors que l’argent par contre va et vient.

De plus l’argent une fois dépensé c’est fini : il ne peut être dépensé 2 fois.
Bien sûr il peut être investit et du coup multiplié. Mais c’est un autre sujet détaillé dans cet article : quel est le prix du temps ?

Le temps libre, UTILISÉ CORRECTEMENT peut générer des connaissances qui peuvent produire beaucoup plus de possibilités que de l’argent. Ce sont des nouvelles perspectives, des nouvelles façons de voir le monde, des visions différentes de ce que l’on avait habitude de voir.

La plupart des gens ont toujours cette mauvaise excuse pour ne pas avoir d’éducation entrepreneuriale et financière : ils disent qu’ils n’ont pas le temps ! C’est vraiment juste une excuse mais le problème c’est qu’ils y croient vraiment. S’il vous plaît questionnez ces croyances que la majorité suit par conformisme et envoyez balader le bon sens !

La plupart d’entre nous sont mis en quarantaine. Nous pouvons être bouleversés, tristes, inquiets ou nous pouvons voir cela comme une opportunité qui ira changer notre vie.

Au lieu de faire la navette entre le travail et la maison, que se passe-t-il si vous avez utilisé ce temps pour acquérir une compétence entrepreneuriale ? Vous pouvez enfin vous poser et réfléchir à de nouveaux choix de vie, à de nouvelles envies. C’est un peu comme durant la période de fin d’année oú vous questionnez vos derniers pas et les prochains…

Avez-vous utilisé ce temps pour élaborer une nouvelle stratégie d’investissement ? Ou appris de nouvelles connaissances en marketing ou d’autres domaines ?

Ces connaissances pourraient prendre soin de vous et de vos proches pour toujours ! Envisagez de profiter de cette occasion pour questionner, apprendre, tester.

Vous pouvez prendre des virages totalement différents dans votre vie alors s’il vous plaît permettez-vous de tout questionner et de ne rien laisser tabou.

La connaissance est la nouvelle monnaie !

Sans domicile, sans rien à manger, sans papiers : j’ai commencé comme cela !

Je suis venu au Brésil en 2011 avec moins de 1000 euros et pas de visa.

Mes 1000 € n’ont pas duré longtemps et j’ai du changer de logement loué en diminuant drastiquement le niveau de qualité du bien jusqu’à ne plus avoir de quoi me payer un logement ni-même à manger.

J’avais mal plannifié mon expatriation ?
Sûrement.

On peut la plannifier mieux ?
Oui certainement mais pas à la perfection.

Et c’est impossible d’avoir connaissance de tous les détails.
Et plus on plannifie moins on a le courage de sauter le pas.

Donc en conclusion le courage de passer à l’action reste quelque chose qui a plus de valeur que le reste car aujourdhui toujours au Brésil à São Paulo je suis un chef d’entreprise.

Bien sûr cela a mis des années.
Je n’ai pas tout changé du jour au lendemain.

Ce sont les difficultés recontrées qui ont marqué en moi les qualités d’humilité et de plaisir de conquérir.

Les 2 vont ensemble et s’équilibrent.

Lorsque l’homme traverse l’océan seul en kayak et que des marins ou ses proches et amis le voit ou simplement l’imaginent que pensent-ils ? 🤔

Ils pensent que c’est un idiot qui non seulement perd son temps mais qui en plus n’a pas toute sa tête. 🙃

Pourtant avant la traversée il est admiré et à l’arrivée il est félicité.

Être entrepreneur c’est à la mode, c’est cool, c’est tendance mais ce que la majorité oublie c’est que c’est difficile.
Extrèmement difficile et c’est pourquoi la majorité ne passe pas à l’action ou finit par désister.

Car il faut être courageux et se risquer à faire ce qui est contre-intuitif.

C’est l’homme qui est admiré pour y être arrivé mais que la majorité ne souhaite pas voir durant sa traversée.

Paradoxes qui créent d’énormes différences…

5 idées de start-ups en 2019-2020

De nombreux facteurs doivent être pris en compte pour créer une start up, mais il y a des príncipes de base à suivre.

Lorsque vous construisez une maison, la longévité du bâtiment dépend fortement de la qualité de ses fondations.

En affaires, la base est la viabilité de votre entreprise à long terme.

J’ai rassemblé 5 idées de start-ups pour 2019.

Et la question principale c’est « Qu’est-ce qui rend une idée viable? »

Votre entreprise sera en vie tant que vos biens ou services restent demandés.

Cela signifie que les gens ont besoin de vos produits (ou services) pour résoudre leurs problèmes et que votre entreprise est un fournisseur décent.

Ainsi l’idée viable répond aux trois exigences:

1) Être une solution pertinente au problème existant;

2) Avoir des avantages concurrentiels par rapport aux autres entreprises;

3) Pouvoir croître pour avancer.

En parlant de start-ups, vous pouvez lancer un énième blog, un studio de plus de graphisme ou une autre agence de marketing. MAIS votre «produit» sera-t-il pertinent, opportun et suffisamment unique pour survivre dans un environnement extrèmement concurrentiel ?

Si vous voulez vraiment vous démarquer, mieux vaut se placer sur un marché émergent avec moins de concurrence et plus de clients qui cherchent désespérément la bonne solution.

J’ai compilé 5 idées de start-ups en 2019, alors dépêchez-vous de jeter un coup d’œil avant que ces niches ne soient également inondées.

1) Cours et autres formations en ligne.

L’idée de gagner de l’argent en éduquant les autres est très ancienne et n’a rien de particulièrement innovant.

Existe-t-il des niches moins compétitives ? Oui si vous faites partie des 5% qui enseignent aux gens quelque chose d’innovant ou de concurrentiel.

Selon les recherches de LinkedIn, les compétences les plus pertinentes (et donc les plus compétitives) sont le cloud, l’intelligence artificielle et le traitement de données. Mais il y a plein d’autres domaines.

Si vous êtes un expert dans ces domaines ou dans d’autres domaines pertinents, vous pouvez créer votre propre cours en ligne qui aidera les personnes à maîtriser des compétences spécifiques.

Il est important de fournir du matériel sous un angle différent de celui des autres fournisseurs, car vous devez avoir certains avantages par rapport à vos concurrents.

L’autre cas gagnant est celui où vous enseignez aux gens les innovations.

Pour cela, vous devez rechercher et vous assurer qu’il n’y a pas de cours en ligne sur le sujet ou que tous les cours existants sont incomplets.

La meilleure partie de cette idée est que vous n’avez même pas besoin de posséder les compétences requises pour enseigner les innovations. Il est possible de faire appel à des spécialistes et d’être uniquement distributeur du cours.

2) Plateforme de données client (CDP)

2018 a été une année de plateformes de données clients. Le CDP Institute enregistre une croissance de 60% par rapport à l’année précédente et de 15,4% de financement des fournisseurs de plus qu’en 2017. En 2019, le marché va se stabiliser et ses taux de croissance vont progressivement chuter d’ici 10 ans, mais sa valeur devrait augmenter de 903,7 M $ en 2018 à 3,2 G $ en 2023.

Mais en quoi consiste exactement une plate-forme de données client et pourquoi vous pouvez l’utiliser comme une idée pour votre startup ?

Une plate-forme de données client (CDP) est un outil marketing permettant de récupérer des informations personnellement identifiables auprès des clients. À l’aide d’un CDP, les spécialistes du marketing créent une base de données clients unifiée et appliquent les données collectées à leurs campagnes marketing.

Un CDP est un excellent concept pour votre nouvelle entreprise car il est extrêmement populaire parmi les investisseurs. En 2018, une start-up nommée Lytics a reçu 14 M $ de Two Sigma Ventures, tandis qu’une autre société, Simon Data, a levé 20 M $ avec le soutien de Polaris Partners.

Les jeunes CDP ont tendance à intégrer les technologies de tendance à leurs outils marketing, tout comme Amperity, en utilisant l’IA et l’apprentissage automatique pour personnaliser l’expérience client. Cela renforce encore plus leur attractivité pour les investisseurs.

Les CDP existent depuis de nombreuses années, avec une bascule entre les données de tierce partie et de tierce partie, principalement parce que les utilisateurs préfèrent partager les données directement.

3) Développement de jeux AR / VR dans le domaine des casinos.

Les technologies de réalité virtuelle et augmentée commencent seulement à conquérir le marché de masse.

2019 est donc le bon moment pour entrer dans l’industrie en tant que pionnier. Cependant, le développement de jeux vidéo AR / VR haut de gamme implique des budgets énormes et constitue donc un obstacle important à l’entrée.

Comparés à ceux-ci, les jeux de casino en ligne nécessitent moins d’argent, car ils sont par nature plus simples.

La manière dont les machines à sous sont programmées est généralement moins complexe que les jeux vidéo classiques à gros budget, qui nécessitent beaucoup plus de ressources pour répondre aux besoins et aux désirs des joueurs.

Mais méfiez-vous: c’est un domaine réservé à ceux qui ne considérent pas le jeu comme un problème moral.

En plus d’être un divertissement agréable, les machines à sous en ligne sont l’un des jeux de casino les plus addictifs. Ouvrir des jeux de casino en ligne revient à ouvrir un bar. Si vous ne voulez pas contribuer à la dépendance par quelque moyen que ce soit, il est préférable de choisir autre chose.

4) Développeur de chatbot ou “intelligence artificielle”.

On discute des chatbots sur tous les coins du Web, mais le secteur est loin d’être saturé.

Selon une étude de Business Insider, 80% des entreprises adopteront des chatbots d’ici à 2020, mais le nombre d’entreprises qui les utilisent actuellement est beaucoup plus réduit.

La demande pour les chatbots est motivée par la domination des messagers mobiles et leurs avantages considérables par rapport aux applications et aux e-mails, notamment une réponse plus rapide, des CTR plus élevés, etc.

Vous pouvez prendre en charge l’avenir du chatbot et créer de nouvelles solutions logicielles dans ce domaine, bien qu’une telle entreprise ne puisse être rentable qu’à long terme.

Si vous recherchez des retours sur investissements plus rapides, devenez un fournisseur de chatbots pour d’autres entreprises qui ne disposent pas de programmeurs internes pour leur développement.

Plutôt que d’embaucher de nombreux spécialistes pour développer des robots faits à la main, vous pouvez créer un constructeur de chatbot d’IA innovant et l’offrir en tant que solution SaaS.

La plupart d’entre eux disposent d’éditeurs visuels à copiar/coller avec un code prédéfini, ce qui permet de créer un chatbot même pour une personne sans aucune expérience de codage.

Il est vital de supprimer toutes les subventions accordées aux médias et de laisser les gens décider eux-mêmes de ce qu’ils veulent voir, lire, écouter ou pas voir, pas lire ou pas écouter.

Chaque année l’état distribue des centaines de millions d’€ aux médias et aux propriétaires milliardaires comme Dassault, Draghi ou Lagardère.

L’état français est-il trop généreux ? Pouvons nous revendiquer une quelconque liberté des médias ?

C’est une importante question car les médias c’est le quatrième pouvoir comme le dit l’expression américaine…

Mais un pouvoir n’est autonome que s’il a un cash flow positif pour boucler les fins de mois. Les médias mainstream existent dans tous les pays. Il suffit de prendre 1 avion pour observer le même modus operandi partout.

Il est vital de supprimer toutes les subventions aux médias et de laisser les gens décider eux-mêmes de ce qu’ils veulent lire ou pas lire.

Même chose pour les télévisions d’état, les TV publiques. Il n’y a aucune raison qu’elles existent dans notre monde libre interconnecté d’aujourd’hui. Il n’y a pas d’information d’état. Pourquoi y aurait il une TV d’état ?

Plus de 500.000,00 € ont été gaspillé pour refaire les logos de France Télévisions ! Les élections coûtent chères pour permettre à certains politiques de monter leur société de communication avec un beau capital. Ils existent des problèmes énormes de conflits d’intérêt et la corruption n’est pas combattue comme elle le devrait.

Ajoutez à cela les subventions et le fait que les hommes d’affaires â la tête de ces médias ne vivent qu’avec des contrats étatiques. Cela devient épouvantable et la justice ne fait pas son boulot !

Dans toute l’histoire économique la subvention n’a jamais fait la qualité d’un produit ! Ce qui fait la qualité d’un produit c’est la concurrence…

Donc lorsqu’il n’y a pas de concurrence car tous dépendent de l’état cela ne peut pas marcher. Voilà pourquoi les citoyens du monde entier sont fatigués de ces gros médias étatiques. Voilà pourquoi le fossé d’incompréhension entre les médias et les citoyens augmente chaque jour de plus en plus. Ce fossé est chaque jour plus criant.

Ce qui apporte de la valeur pour les clients des médias c’est la qualité du service face à la concurrence et non les subventions !

D’une individualité à un groupe uni. Comment on fait ?

Tout seul oui vous pouvez être un excellent professionnel. 

Mais en compagnie des autres il est possible de grandir sérieusement et de gagner de nouveaux horizons.

Par conséquent, le leadership est un des outils clés.

Qu’est-ce qu’un leader ?

C’est être capable de faire qu’un groupe hétérogène de personnes ait un but commun, se transformant en une équipe unie.

Mais comment faire cela sans détruire l’individualité de chaque membre de l’équipe?

Cela est possible uniquement si vous construisez un système dans lequel règnera la clarté : où il est clair que chaque membre réalise aussi ses objectifs personnels.

Quand les rêves personnels sont écartés au nom de la collectivité, c’est de la manipulation, autrement dit du communisme ou du vol.

Dans un système prospère l’individu est la pièce la plus importante. Tout part de lui, de ses projets et de ses initiatives. La construction d’une collectivité saine doit être faite à partir des aspirations de chaque individu.

Lorsque la communauté est placée au détriment des rêves individuels (c’est à dire sans encourager la poursuite des rêves personnels), le manque d’encouragement de chacun des membres entraînera le déclin du groupe. Ou si le groupe existe encore, cela ne sera que des membres-pions en faveur des promesses et des intérêts des tiers qui seront au sommet de la pyramide bénéficiant du sacrifice des masses.

Voulez-vous créer une entreprise/un projet prometteur ? Créez un système qui va dans le sens des rêves individuels de chacun des membres. Ainsi, la communauté bénéficiera de l’individualité.

La meilleure façon de penser aux résultats de votre projet, de votre entreprise c’est de penser aux résultats de vos employés.

Paradoxe ? Non, pure logique.

Lisez le journal de bord d’un entrepreneur.

10 raisons qui font que j’adore l’entrepreneuriat.

Considérez que l’entrepreneuriat englobe le marketing, le juridique, la technologie, la comptabilité, la gestion du personnel parmi beaucoup d’autres disciplines. 

Tout cela, dans un contexte de changements constants, de changements dans le scénario macroéconomique, les oscillations politiques, les échanges microéconomiques, les influences internationales et, pour compléter, dans un environnement totalement concurrentiel.

Voici donc mes 10 raisons d’être un fan de l’entrepreneuriat:

1. Le sentiment qu’il est impossible de tolérer me sentir en otage de quelqu’un différent de moi-même pour contrôler ma vie. Seul l’entrepreneuriat vous donne un meilleur contrôle sur votre destin.

2. La joie de construire votre propre projet l’emporte sur beaucoup des ennuyeuses activités quotidiennes d’un entrepreneur. Le sentiment de voir ce qui a été réalisé est une récompense qui fait partie de la récompense émotionnelle d’un entrepreneur.

3. L’entrepreneur à succès fait beaucoup d’€ et n’est pas limité à la négociation collective ou aux bureaucrates politiques. Un entrepreneur qui réussit a une rémunération beaucoup plus élevée que la moyenne, ce qui est une juste récompense pour le risque qu’il a pris à travers le capital qu’il a investi et mis en jeu.

4. Les entrepreneurs sont les premiers du secteur productif d’un pays, génèrent des emplois et sont les principaux payeurs de taxes. Tous les pays développés le sont grâce à leurs entrepreneurs qui sont respectés par les gouvernements et les autorités. Dans les pays du tiers monde, les entrepreneurs dans de nombreux cas, représentent une menace pour les politiciens populistes qui veulent toujours concentrer le pouvoir et le contrôle et tendent donc à l’étatisme ou en association avec des parasites entrepreneurs volant le pays en partenariat avec eux . La bonne nouvelle est que ce n’est pas une règle et qu’il est possible d’entreprendre sans se mélanger avec ces parasites bureaucratiques de la pègre politique.

5. En plus d’entreprendre et de construire des projets conçus, j’aime aussi donner la possibilité aux employés qui souhaitent également entreprendre de devenir mes partenaires d’affaires et profiter des résultats également supérieurs à la moyenne. Je peux donc faire une des choses que j’aime le plus: encourager l’entrepreneuriat.

6. Il est possible d’entreprendre avec 1 million de capital, 500 mille de capital, 100 mille de capital, 10 mille de capital et même avec simplement 100 de capital. L’esprit d’entreprise est démocratique. Juste avoir un produit et le vendre avec une bonne marge en ayant la discipline tactique nécessaire pour le faire à plusieurs reprises tout en accumulant des capitaux et en développant le processus.

7. De la même manière qu’il est possible de commencer très petit, il est possible de croître sans limite, en fonction de la capacité de gestion de l’entrepreneur. Il n’y a pas de lois limitant sa croissance. Une grande entreprise travaille exactement selon les mêmes principes qu’une micro-entreprise. La différence est seulement dans la sophistication des processus qui peuvent être appris par l’entrepreneur tout au long du voyage et de sa croissance.

8. J’aime le secteur de l’éducation, parce qu’au delà du marché immense je peux aider les gens à développer leur carrière et améliorer l’estime de soi et l’accès à l’information tout comme mes articles le font.

9. Un entrepreneur est évalué sur ses résultats et non par les histoires qu’il raconte sur les réseaux sociaux. Vendre une image sans résultats ne vaut absolument rien. Après avoir gagné de la crédibilité sur le marché,a croissance devient plus facile et de plus en plus ouverte. Si au début de la carrière c’est extrement dur de frapper à la porte des banques pour avoir un crédit, quand il atteint des niveaux plus élevés, les banques frappent à votre porte pour avoir l’occasion de participer à vos projets.

10. Pour entreprendre, il n’y a pas de classe sociale, de race préférée, d’orientation sexuelle ou d’âge. Quiconque a un appétit pour une meilleure qualité de vie et veut sortir de la chaîne de montage imposée par la société peut rêver et accomplir. Pour cela, la bonne volonté ne suffit pas. Il faut être prêt et disposé à mener une vie de dur travail et de sacrifices, mais beaucoup de récompenses pour ceux qui réussissent.

J’ai vu des gens pauvres entreprendre avec succès et changer leur vie et leur famille. J’ai aussi vu des gens entreprendre avec succès dans les bidonvilles brésiliens, des sans-abri, des éboueurs, ainsi que des héritiers ont échoués. J’ai vu des gens avec des collections de diplômes dans le mur mis au ban de la société. Pour gagner en tant qu’entrepreneur, il n’y a pas de programme ou de pedigree minimum requis.

C’est une bonne nouvelle pour ceux qui veulent faire la différence et qui constituent une nuisance majeure pour ceux qui cultivent la justification qu’ils sont victimes de la société.

Il n’est pas rare de voir des étudiants en difficulté, des étudiants désintéressés par le modèle d’éducation classique qui a été créé pour former le marché du travail, les étudiants expulsés et discriminés dans ce système pour avoir beaucoup de succès en tant qu’entrepreneurs. Il n’y a rien de plus subversif que d’entreprendre, car cela demande de nager à contre-courant et de briser tous les standards et les tabous de cette société standardisée. Cependant, une fois le succès obtenu en tant qu’entrepreneur, les hypocrites ne manqueront pas de dire qu’ils vous ont toujours soutenus, même s’ils ne vous ont pas épargné des critiques sévères et des moqueries sur votre initiative.

Entreprendre est pour ceux qui n’abandonnent pas d’être un protagoniste et n’acceptent pas d’être subjugué par le système. 100% des victimes échouent dans le monde de l’entrepreneuriat. Ils ne peuvent pas tenir le coup et blâmer les tierces parties est la seule chose qui leur reste …

Rien n’existe par hasard.

Lisez le journal de bord d’un entrepreneur.

Vous pouvez apprendre tout ce que vous voulez et SIMPLEMENT !

Démystifier l’apprentissage…L’idée du livre Fluent in 3 months de Benny Lewis est de démystifier le processus d’apprentissage et c’est ce qui nous intéresse ici.

En 3 mois parler couramment une autre langue est un titre provocateur mais tout comme mon article Je ne travaille plus depuis 2011 l’important c’est de comprendre la logique derrière, c’est à dire le raisonnement que l’on souhaite mettre en avant.

On montre la lune et il ne s’agit pas de regarder notre doigt !

À la façon de Tim Ferris de 4HourWorkWeek c’est une direction et non une règle fixe : il n’est pas question de 3 mois ou de 6 mois ni de 4 heures ou 15 heures de travail par semaine mais de comprendre comment fonctionne le cerveau pour le faire travailler à 100% de son potentiel.

De la même façon il est dingue de voir des êtres humains diplômés d’économie, de finance, de comptabilité ou commerce et incapables de créer sa propre entreprise et incapable aussi de compter leur argent et non celui d’un autre ! Ils ont soit disant des connaissances d’économie ou de finance mais c’est l’économie des autres et pas le développement de la leur d’économie qu’ils ont appris.

Ils doivent apprendre à démystifier l’apprentissage en se posant les bonnes questions.

Dans mon article Penser PAR SOI-MÊME ! j’ai évoqué l’importance de reconnaître le marketing omniprésent dans l’inconscient collectif et les efforts à faire pour questionner ce que nous sommes induits à considérer comme quelque chose de déjà questionné et déjà solutionné. Le problème est justement que cela a été solutionné par quelqu’un d’autre que vous-même et non par vous-même pour vous-même.

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Par exemple, les Masters d’écoles de commerce sont sponsorisés c’est à dire financés par des grands groupes sur des problèmatiques précises qui intéressent ces grands groupes. L’idée étant de former des professionels pour ces grands groupes. Mais ce qui doit guider votre vie ce sont vos propres problèmatiques et non les problèmatiques de quelqu’un d’autre. Dans tous les domaines, c’est ce raisonnement qui est suivi et la majorité ne questionne pas la philosophie qui est derrière tout cela. Et je ne parle même pas de l’Ena et de Sciences Po où cela devient idéologique et limite sectaire extrémiste comme raisonnement. Mais de façon générale tout enseignant a sa philosophie et son message à faire passer.

Pour en revenir à l’apprentissage des langues, oui il est possible d’apprendre rapidement à parler couramment. Beaucoup de personnes me demandent comment apprendre facilement à parler français ou portugais mais ce qui manque c’est de questionner le processus d’apprentissage, pas seulement pour apprendre une langue, mais pour apprendre chaque chose. Ce qui manque aussi c’est de reconnaître qu’il est normal de ne rien comprendre au départ car c’est pour cela que c’est une autre langue et une autre culture et surtout de ne pas s’énerver avec cela. Un entrepreneur de la même façon est obligé de reconnaître ses faiblesses et connaît l’échec à chaque instant en devant batailler pour trouver des solutions dans des domaines où il ne connaît rien. La personne qui ne connaît pas l’échec ne fait rien de sa vie.

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On utilise peu de mots du vocabulaire au quotidien et avec seulement 200 mots voire une centaine de mots il est déjà possible de comprendre et de se faire comprendre. Aucune théorie de salle de classe ne nous sert dans la vie : l’apprentissage se fait lorqu’on se jette dans le vide. Et c’est comme cela pour toutes les matières.

Je ne suis pas pour apprendre la grammaire et tout un tas de verbes irréguliers à répéter bêtement. Je suis pour l’apprentissage utile qui est fait de répétitions naturels qui apparaîssent à chaque instant de la journée, que l’on écoute peu à peu et que l’on est amené á répéter, tout comme l’apprentissage pour piloter un avion : il y a tellement de choses à savoir que seule la répétition nous fait incorporer inconsciement, naturellement, automatiquement les connaissances.

Cela se fait naturellement inconsciement et automatiquement tout comme la mystification aussi le fait mais là au moins nous sommes les maîtres à bord.

Oubliez les livres, mettez les à la poubelle, éteignez votre téléphone portable et sortez dans la rue dans d’autres pays et essayez peu à peu de vous communiquer avec les autres. C’est la vie, on tatônne, on ose, on s’aventure, on se perd, on rencontre l’autre, on parle avec les mains, avec des gestes, puis peu à peu on apprend un mot, puis quelques mots, puis d’autres. On a perdu le contact avec les autres et avec ce qui est essentiel. C’est important de questionner le fait de courir acheter un guide ou un dictionnaire lorsqu’on voyage.

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L’aventure véritable est l’inconnu et c’est ce qui est excitant et motivant. Ne perdez pas cela car c’est justement cela qui rend l’apprentissage éfficient.

Vous avez besoin d’apprendre l’anglais pour votre boulot, pour une bonne promotion alors mon conseil c’est d’oublier les cours et de profiter à fond de toutes vos vacances à Londres en rencontrant des anglais chaque jour et chaque nuit. En quelques semaines vous vous débrouillerez déjà bien. C’est 10000 fois plus efficace et excitant que de lire un livre, d’écouter un CD ou de suivre un cours dans une salle de classe !

C’est la même chose dans tous les domaines qui vous intéressent : tirez la tête de de votre téléphone portable et aventurez vous !

 

Penser PAR SOI-MÊME !

La plus grande victime du marketing est la personne qui n’en est pas consciente.
Le plus grand aveugle étant celui qui peut voir mais ne veut pas voir.

Face à tous les journaux, grands médias, tv, radios et réseaux sociaux plein de faux profils et hackers pour le lobby de différentes idéologies, il faut préter attention au lavage de cerveau.

Le journal Le Monde par exemple appartient à qui ?
Qui est l’actionnaire majoritaire de TF1 ?
On peut se poser la question pour TOUTES les entreprises et les idéologies qu’ils véhiculent.
Que veulent ils ?
Qu’ont ils intérêt à montrer et à cacher ?
Quel message veulent ils vous faire ingurgiter ?

Trip Advisor par exemple est connu pour être rempli de faux commentaires, de profils de personnes qui n’existent par sur terre et des entreprises dans différents endroits du monde demandent 10$ pour 10 commentaires positifs ou négatifs pour démonter les concurrents.

La majorité des gens avant d’acheter un produit d’une entreprise vont sur la page facebook de l’entreprise voir les commentaires.
Et ils ont confiance en l’opinion des « utilisateurs » qu’ils croient opinions réelles et libres et non virtuelles.
Dans une entreprise pour laquelle je travaillais j’ai vu un prospect envoyer un message sur facebook à un faux profil que nous avions crée.
Ce faux profil avait commenté positivement les services de notre entreprise et a vanté nos produits pour ce prospect réel qui a au final acheté nos produits.

De nombreuses entreprises de TI vendent des services de ce type pour différentes tâches à réaliser dans une entreprise.
C’est dingue de voir à quel point cela marche : à quel point les personnes réelles suivent les idées de personnes imaginaires !

Je ne parle même pas de Andrés Sepúlveda, hacker politique et de ses armées virtuelles de dizaines de milliers de faux profils twitter, facebook interchangeables à sa guise, sans compter les attaques par email, le spamming, les virus, malware et autres attaques.
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Le libre arbitre et le fait de penser de façon indépendante est valable autant à la bourse de Wall Sreet que pour un achat de quelque chose dont on a besoin au quotidient.

Il ne faut pas être influencé et il faut analyser les différentes options et possibilités.
Se demander si c’est réellement ce que nous souhaitons, et voir si nous sommes à la fois le réalisateur et l’acteur de notre vie.
Beaucoup de gens vivent la vie d’autres personnes et mettent 50 ans avant de se réveiller, ou pas.

Il est vital de reconnaître ce qui fait que JE suis unique : MES goûts, MES désirs, ce qui ME passionne, ce pourquoi JE vis.

Cela demande de s’écouter pour savoir le cap que l’on donne à sa propre vie.