Le Brésil montre aux autres pays comment sortir de l’inflation, selon Bloomberg, David Flickling.

Oui vous avez bien lu. Le pays n’a pas toujours eu la politique commerciale la plus ouverte. Mais il s’ouvre énormément alors qu’une grande partie du reste du monde maintient les tarifs sur les importations.

Vous cherchez des idées sur comment sortir le monde de son état inflationniste actuel ? Vous devriez vous tourner vers un pays dont la monnaie vaut moins d’un milliardième de sa valeur du début des années 1980.

À une époque où la majeure partie du monde aggrave les problèmes de rupture des chaînes d’approvisionnement et de hausse des prix de l’énergie en imposant des droits de douane sur les importations, le Brésil – contrairement à tous les pays – s’ouvre au commerce.

C’est un revirement remarquable pour quiconque connaît l’histoire du Brésil. Dans les années qui ont suivi la Seconde Guerre mondiale, le pays était un berceau de l’industrialisation de substitution aux importations, une politique de développement populaire en Amérique latine qui étouffait les importations pour encourager la fabrication nationale. Cela a été perdu au profit du modèle orienté vers l’exportation des économies tigres d’Asie et a depuis été abandonné. Pourtant, les tarifs du Brésil sur une base pondérée en fonction des échanges restent les plus élevés parmi un groupe de 20 économies après l’Argentine.

Cela commence à changer. Avec une inflation à 12,1 %, son plus haut niveau depuis 2003, le pays se précipite pour baisser le coût des biens importés. Les droits de douane sur quelque 6 195 produits seraient temporairement réduits de 10 %, a annoncé le gouvernement Bolsonaro le mois dernier. Cela fait suite à une série similaire de réductions à la fin de l’année dernière. 

Plus fortes encore ont été les coupes sur une gamme de produits essentiels. Les impôts sur l’éthanol, la margarine, le café, le fromage, le sucre et l’huile de soja ont été complètement éliminés en mars, suivis en mai par ceux sur le poulet, le bœuf, le blé, le maïs et les produits de boulangerie. L’acide sulfurique, un ingrédient essentiel à la fabrication d’engrais, serait également avec un impôt près de 0.

Ces réformes ne vont pas représenter une révolution à elles seules. Des réductions permanentes se heurtent aux règles commerciales du Mercosur, de sorte que les mesures ont été présentées comme humanitaires et temporaires pour atténuer le coût de l’inflation à la suite des mesures de confinement dans le monde. Après des décennies d’isolationnisme commercial Jair Bolsonaro s’ouvre au monde.

C’est un changement bienvenu pour une économie mondiale qui a dérivé dans une direction de plus en plus protectionniste ces dernières années.

Prenez les États-Unis. Quatre ans après le début de la guerre commerciale du président Donald Trump avec la Chine, quelque 300 milliards de dollars d’importations de marchandises – environ les trois cinquièmes du total – continuent de subir des droits de douane pouvant atteindre 25 %. Pékin a des taxes à l’importation équivalentes sur presque chaque centime du commerce de 150 milliards de dollars dans l’autre sens.

Alors que les guerres commerciales de l’ère Trump avec l’Union européenne, le Japon et le Royaume-Uni ont été officiellement terminées, elles ont laissé un héritage de quotas, ce qui signifie que les importations supplémentaires au-dessus des niveaux historiques sont taxées à des taux de style Trump. En conséquence, il y a peu de possibilités de maîtriser les coûts des entrants en permettant aux producteurs les plus efficaces de prendre des parts de marché au-delà des frontières.

Le projet économique indo-pacifique de Joe Biden est très protectionniste. Son contraste le plus frappant avec le Partenariat Transpacifique, son ancêtre raté de l’ère Obama, est l’absence de réduction tarifaire et de garanties d’accès au marché. 

Pendant ce temps, les mauvaises récoltes, la guerre en Ukraine et la thésaurisation par la Chine de vastes stocks de céréales ont déclenché un protectionnisme alimentaire dans la majorité des économies, affectant tout, de l’huile de palme et du blé au sucre et au poulet.

Même au Royaume-Uni, qui a proclamé haut et fort son engagement à zéro taxe après avoir quitté l’UE, les barrières douanières et les divergences sur les règles avec son plus grand partenaire commercial ont rétréci le commerce international. Un rapport d’avril a fait valoir que les prix des denrées alimentaires étaient 6% plus élevés qu’ils ne l’auraient été autrement à la suite du Brexit.

Certains signes indiquent que le dégel du commerce pourrait enfin se rompre. Il « peut être logique » de réduire les tarifs sur certains produits, et l’administration Biden examinait la question, a déclaré dimanche la secrétaire au Commerce, Gina Raimondo. La secrétaire au Trésor, Janet Yellen, poussait le gouvernement  à réduire les droits de douane, a-t-elle déclaré le mois dernier. 

Le Peterson Institute for International Economics a soutenu en mars que des réductions tarifaires plausibles pourraient réduire l’inflation. Même l’Inde, qui n’est pas un modèle de commerce ouvert, a autorisé le mois dernier des importations limitées d’huile de cuisson en franchise de droits pour atténuer la pression sur les ménages.

Un assouplissement plutôt qu’un resserrement des restrictions serait le bienvenu. Nous devrions espérer que d’autres nations finiront par réexaminer leurs engagements de longue dte envers les droits d’importation. La nécessité a toujours été la mère de l’invention. 

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10 conseils pour vendre plus !

Certains secteurs ont reduits leurs depenses marketing pour controler leur tresorerie durant la crise du coronavirus.

Du coup des mots cles recherchés online sont moins chers et vous pouvez augmenter votre visibilité.

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11 conseils pour vendre plus 🤩

1 – Découvrez ce que veut le client.

La dernière feature du produit ne suffit pas à vendre.
Ce que votre client souhaite, c’est quelque chose qui puisse résoudre son problème.
Et si vous ne trouvez pas cette connexion, tout sera plus difficile. Comprenez votre client et donnez-lui ce qu’il cherche.

2 – Quels sont les avantages ?

Aussi simple que ça !
Trouvez ce qui sera bon pour votre client et concentrez-vous dessus. Rendez-le intéressé par votre produit mais en faisant en sorte que cela vienne de lui-même.

3 – Penser aux problèmes.

Soyez prêt à affronter tous types de problèmes.
Préparez-vous à tout type de difficulté et essayez d’y répondre avant même que les questions ne se posent. Décrivez les objections de vente et comment y répondre.

4 – Trouver des solutions.

Si vous identifiez les problèmes et les objections créez des options et des solutions permettant au client de ne jamais abandonner.

5 – Aider le client.

Souvent, le client ne sait pas ce qu’il veut.
Aidez-le à découvrir qu’il veut quelque chose, plus précisément « cette chose » que vous vendez. Comment ? En lui faisant tester différentes solutions.

6 – Construire la confiance.

Il est important que votre client vous fasse confiance.
Bien sûr, lors du premier achat, c’est compliqué, mais il faut dés le début créer une réputation de quelqu’un qui prend soin de des clients.

7 – Flexibilité, flexibilité et encore flexibilité.

Un bon vendeur est toujours prêt à s’adapter à la situation.
Plus le client a le sentiment que vous êtes préparé à ce qui se passe et que vous lui offrez un cadre sécurisant, plus il vous fera confiance.

8 – Ne sous-estimez personne.

Oubliez le temps oú il était possible d’envoyer balader ou d’arnaquer votre client.
Aujourd’hui sur internet tout le monde est plus attentif et inquiet, alors n’essayez de duper personne.

9 – Travailler la résilience.

Tirez des leçons de tout ce qui se passe.
S’il vous arrive quelque chose de négatif, ayez la force de continuer le combat.
Laissez le « non » derrière vous et avancez car un “oui” arrivera.

10 – Créer des stratégies.

Il ne sert à rien d’avoir une seule option.
Vous devez avoir des options et des produits qui conviennent à toutes les situations, obstacles et objections.

11 – Croire.

La première personne qui doit être convaincue de la qualité de votre produit doit être vous-même.
Si vous ne croyiez dans vos mots, personne ne vous croira.
Plus vous défendez vos idées avec enthousiasme, plus il est facile transmettre votre passion aux autres.

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Comment monnayer l’innovation pour qu’un max de gens l’utilisent?

Inventer des choses ne suffit pas si vous ne pouvez pas avoir une entreprise qui va apporter ces choses là au public pour rendre enfin cette invention bankable.

Larry Page a compris cela: ce n’était pas suffisant d’aider les gens à trouver ce dont ils avaient besoin sur Internet.

Cela devait être économiquement viable, autrement dit cette invention n’aurait jamais la force de devenir dominante sans étant monétisée.

Au début, l’un des points les plus importants de Google n’était pas sa capacité supérieure à fournir des résultats plus pertinents que d’autres boites qui faisaient aussi cela. D’autres moteurs de recherche, tels qu’Altavista et Yahoo, ont également obtenu des résultats jugés très pertinents à l’époque.

La clé de Google c’était sa capacité à se comporter comme une entreprise: à gagner de l’argent et à se fortifier.

Comment monnayer l’innovation pour qu’un max de gens l’utilisent ? C’est là oú les startups de succès sont très fortes pour en peu de temps atteindre un public énorme, durable et payant.

Altavista est devenu le leader du marché et même en étant très bien capitalisé mais il n’a pas compris comment gagner de l’argent et il est mort.

Larry Page a même abordé cette question dans une Interview oú il explique que l’invention doit générer un retour sur investissement: «L’invention ne suffit pas. Nikola Tesla a inventé la puissance électrique que nous utilisions, mais il était difficile d’avoir une adoption payante massive du grand public. Vous devez combiner deux choses: l’invention concentrée dans une entreprise qui commercialise les produits pour le maximum de gens ».

Les dernières années tragiques de Nikola Tesla par exemple sont tristes. Ce fut pourtant l’un des plus grands inventeurs de l’histoire humaine mais le serbe a passé des années dans l’oubli (bien que maintenant dans l’histoire il est réapparu grâce à Elon Musk).

Il ne voulait pas créer une grosse fortune. Il est venu travailler à Edison, aujourd’hui General Electric, l’un des principaux noms de l’entreprise jusqu’à être proche de Thomas Edison. Il a quand même fait beaucoup d’argent mais a finalement tout perdu.

Il a passé ses dernières années dans la tristesse et la folie: vivant dans une chambre d’hôtel oú il annonçait des innovations majeures, tout en nourrissant des colombes qu’il disait qu’elles étaient ses maitresses et regrettant que le banquier J.P. Morgan avait détruit sa vie.

N’ignorez pas l’aspect « business » de vos inventions. Tout cela doit être un gros avertissement pour vous. Vous ne pouvez pas vous concentrer uniquement sur l’innovation et oublier de faire de l’argent. Pour être un grand innovateur, vous avez besoin d’une entreprise qui vous permettra de monnayer votre innovation pour que le maximum de gens puissent l’utiliser.

Et vous ne devez pas dépendre de politique de court terme.

Alphabet (le nom de la société d’investissement au-dessus de Google) fonctionne comme ça : ses innovations sont toutes orientées vers la viabilité économique. Si un projet ne tient pas sur le marché, il est réinventé, redimensionné ou mis de côté comme Google Fiber, par exemple.

Larry Page sait que s’il ne tient pas compte de l’aspect «commercial» de son entreprise, ses inventions ne toucheront qu’un public restreint.

Donc, depuis très tôt dans l’histoire de Google, ils se sont inquiétés d’une chose: gagner de l’argent. Gagner de l’argent vous permet de remplir votre mission

Il y a un mythe (d’idéalisation de l’artiste) selon lequel l’inventeur doit généralement suivre la mission sans se soucier de gagner de l’argent mais c’est ridicule. Les rêves ne nourrissent pas les enfants, ne payent pas les employés et n’attirent pas les investisseurs. Oubliez votre idée de pitcher votre idée sans tester le marché !

Avoir de bonnes recettes financières est la formule pour tout cela en fait. Gagner de l’argent est hautement nécessaire pour que vous remplissiez votre mission. Cela ne fait pas nécessairement de vous un « mercenaire ». C’est travailler la durabilité de votre entreprise.

Pour cela, il est nécessaire d’écouter les demandes du marché. Commencez petit, validez vos idées, créez un produit et commencez à vendre et à facturer.

Toutes mesures sont bonnes pour que, dès le départ, vous puissiez créer une entreprise qui a du sens. Vous devez transformer le monde et pour cela, commencez à vous transformer et à transformer les gens autour de vous.

Ne pas se concentrer uniquement sur l’innovation de produit, qui sans la monnétisation appropriée fera que personne n’utilise ou paie pour l’utiliser.

Être un grand leader à cet égard c’est avoir une vision et être commercial.

Suivez le journal de bord d’un entrepreneur: http://www.antoinebachelinsena.com

Recette du succès. Partie 4.

Voici le lien de la partie 1, de la partie 2 et de la partie 3.

Je souhaite revenir ici sur le partage qui est plus important que «l’expérience utilisateur»  pour une croissance à forte vitesse via le marketing viral.

L’expérience du service ou du produit n’est en fait pas révolutionnaire mais elle est présentée comme. C’est surtout la simplicité de pouvoir partager ultra facilement ce produit ou service avec ses proches qui crée de la croissance. C’est le partage comme moteur exponentiel de croissance.

Allez y vous aussi : créez vous mêmes des widgets pour vos produits ou services que tous pourront copier et coller partout !

Un exemple connu c’est Youtube qui est devenu célèbre, c’est à dire avec des utilisateurs réguliers grâce à leur video player super facil d’être intégré partout (embeddable).

Slideshare aussi a été à fond dans cette tactique avec leur Powerpoint viewer qui s’intégrait à tout website et qui était crée dés l’origine pour être partagé. Qui se doutait qu’un outil basique pixelisé tel Slideshare allait déboucher sur  un exit de $ 119 millions (acheté par LinkedIn) ? Et bien voici ce que permet le partage… Alors allez y partagez et faites partager vos produits et services. Et partagez et faites partager mon blog !

Recette du succès

Pour vous qui n’aimez pas vendre

Pour vous qui n’aimez pas vendre : vous ne savez sûrement pas ce que veut dire le verbe « vendre ».
Cela n’est pas seulement désirer un échange entre un produit/ service et de l’argent.
Vendre c’est influencer, autrement dit faire en sorte que l’autre partie comprenne ou accepte notre idée, pensée, idéologie ou tout simplement notre désir.

Par exemple 2 enfants qui jouent : une souhaite arrêter de jouer alors que l’autre s’amuse beaucoup et ne veut pas arrêter.
Un des deux enfants devra céder et l’outil qui définira la continuation ou la fin du jeu c’est la vente !

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Au boulot le leader doit conduire son équipe dans la même direction afin de réaliser ses objectifs.
Il y a seulement un outil pour cela : vendre ses idées !
C’est de cette façon que tous les membres seront unis avec le leader !

Être convaincu de ce que l’on raconte c’est la clé d’une bonne communication.

Nous vendons à chaque seconde.
Moi par exemple je suis en train de vous vendre l’idée que vous êtes un vendeur et que vous devez vendre beaucoup pour réaliser vos projets de vie.
Si vous n’êtes pas d’accord vous êtes en train de vendre à vous même la fausse idée que vous n’avez pas besoin de vendre quoi que ce soit à qui que ce soit.
Dans ce cas là vous êtes encore en train de vendre !

Que l’on le reconnaisse ou pas nous sommes tous des vendeurs !

Depuis que nous sommes bébés avec les pleurs et les cris comme arguments de vente !

C’est ainsi pour tout le monde, pour le mari avec sa femme, pour les médecins, les ingénieurs, les coiffeurs; que ce soit en pays libres, en dictature, en tribu indienne; qui vend le mieux son idée est celui qui ira le plus loin.

Que vous soyez d’accord ou pas je vous souhaite de bonnes ventes !

Pour arriver à vendre vos idées cliquez ici pour acheter mon livre disponible sur Amazon : “Les 10 règles d’or secrètes du succès ».