Le fantasme de l’ultra-libéralisme : le déni français par Jean-Louis Caccomo.

Alors que le danger qui détruit la France, depuis mai 1968, c’est l’ultra-gauche, on s’effraie avec l’extrême-droite quasiment inexistante.

Au passage, faudrait-il rappeler que le fascisme et le nazisme (national-socialisme) sont deux déclinaisons du socialisme.

Et que le socialisme est une étape vers le communisme intégral, comme l’a rappelé Marx dans son manifeste du parti communiste.

De la même manière, moins il y a de libéralisme en France, et plus on le rend responsable de tout. Les pourfendeurs de la pensée unique ne se rendent-ils pas compte qu’ils sont précisément les agents et les promoteurs de ladite pensée unique ?

Qu’ils soient chroniqueurs, humoristes, journalistes, politologues, experts officiels, ils sont partout, sur tous les plateaux de télévision, sur les ondes radios et distillent en permanence la pensée convenue et conformiste qui consiste à réciter tous les couplets de l’antilibéralisme. Se croyant originaux et impertinents, ils se conforment en fait tous au même moule. Ils croient dépasser les bornes et jouent à merveille le rôle de gardien de la pensée conforme.

Car le conformiste est anti-libéral. Dans le milieu académique, c’est encore plus flagrant. Il existe notamment un débat récurrent consistant à dénoncer la formalisation outrancière de la science économique en y voyant le signe de l’hégémonie de la «pensée ultra-libérale».

C’est un des traits singuliers de la pensée conformiste que de voir un « complot libéral » partout, notamment camouflé dans les équations des modèles macroéconomiques. Les mathématiques seraient le cheval de troie du grand satan libéral.

Pourtant, le besoin de mesure, de formalisation et d’abstraction de la science économique est en grande partie le résultat de la volonté de planification et d’expérimentation de politiques économiques et de réglementations. Pour prévoir et évaluer les rentrées fiscales liées à l’adoption d’un nouvel impôt, encore faut-il disposer d’un modèle macroéconomique fondé sur des hypothèses très précises.

Ceux qui modélisent ont toujours la prétention, pour ne pas dire la vanité, de contrôler les phénomènes économiques et sociaux. Et ils iront jusqu’à s’en prendre aux individus réels si ces derniers ne se comportent pas comme leurs équations l’auraient prévu.

Voyez comment le pouvoir politique s’en prend aux restaurateurs qui n’ont pas joué le jeu de la répercussion de la baisse de la TVA dans le prix des menus parce que les modèles avaient sans doute prévu un tel effet. Mais un chercheur ne construit pas un modèle en fonction des résultats qu’il désire ; il se doit de formaliser une réalité qui lui est extérieure et qui échappe à sa volonté.

Tout le programme de recherche actuel de la «nouvelle micro-économie» est d’établir qu’il n’est pas optimal de laisser des individus libres de prendre des décisions en fonction de leurs intérêts privés. Et toute la formalisation est orientée en ce sens. Un chercheur qui tenterait de prendre une direction opposée ne trouverait plus de financement ni de laboratoire d’accueil.

Pourtant, nous sommes à la limite du scientisme car l’intention est contenue dans les hypothèses : exit la main invisible.

D’ailleurs, pour le prix Nobel Joseph Stiglitz, si elle est invisible cette fameuse main, c’est probablement qu’elle n’existe pas ! Si les physiciens raisonnaient ainsi, alors les ondes ou les trous noirs n’existeraient pas.

Les manuels modernes d’économie présentent « les défaillances du marché » comme des postulats que l’on ne saurait remettre en question, et qui rendent l’action publique autant indispensable que providentielle.

Car c’est bien connu que l’action publique n’est frappée d’aucune de ces défaillances inhérentes à l’action privée… Et l’économiste qui prendrait le risque de prétendre le contraire ne peut plus prétendre faire carrière.

La «nouvelle théorie du commerce international s’inscrit dans cet élan similaire pour démontrer que l’on ne saurait faire confiance au libre-échange pour obtenir des échanges internationaux harmonieux. Il n’aura en effet échappé à personne que les négociations collectives organisées sous l’égide de l’O.M.C., qui voient s’affronter les corporatismes nationaux au risque de dégénérer en guerre économique larvée, constituent un modèle d’harmonie internationale.

Rappelons que l’OMC est issue d’une transformation du G.A.T.T. Mais les missions du GATT étaient claires : il s’agissait d’abaisser les tarifs douaniers – ce qui a été accompli essentiellement dans l’industrie – en vue de fluidifier le commerce international. L’OMC prétend « réguler » le commerce entre les nations en imposant des normes qualitatives (environnementales, sociales, sanitaires) qui font ressurgir les tentations protectionnistes.

Mais la définition de pareilles normes est bien plus problématique et leur généralisation est perçue par les pays moins avancés comme un protectionnisme déguisé mis en œuvre par les pays développés. Pareillement, la «nouvelle économie du travail» montre que le chômage n’est pas le résultat d’entrave au libre fonctionnement du marché.

Les théoriciens ont alors inventé le concept de «chômage d’équilibre» selon lequel le chômage résulte du jeu des décisions d’agents rationnels. Il en découle qu’il n’est pas « optimal » pour la collectivité de laisser des individus rationnels s’entendre autour d’un contrat de travail librement négocié en vertu de ces imperfections concurrentielles qui aboutissent à générer du chômage structurel.

Là aussi, les négociations collectives encadrées par les partenaires sociaux – qui n’ont qu’un seul leitmotiv : la grève générale – constituent sans doute un modèle qui nous permet d’éviter ce chômage imputable aux forces du marché et il n’aura échappé à personne que le « dialogue social » à la française est un modèle d’harmonie collective.

Enfin, la «nouvelle théorie de la croissance» repose sur des modèles dynamiques dits de « croissance endogène » qui font de l’Etat un «planificateur bienveillant» indispensable à la régulation d’ensemble.

Ces quelques exemples montrent que, loin d’assister à une hégémonie de la pensée libérale dans les milieux académiques, c’est à un retour en force des conceptions interventionnistes – relookées sous le vernis de fondements microéconomiques savants et de bons sentiments – que nous assistons depuis plus de 25 ans.

Et les derniers prix Nobel d’économie (Stiglitz, Krugman, Williamson et Ostrom) confirment cette tendance lourde. Dans ce contexte, il est pour le moins cocasse de parler de libéralisme triomphant.

Le libéralisme recule – et ses ennemis s’en réjouissent – sans doute parce que les hommes ne sont plus à la hauteur des valeurs exigeantes qu’il implique.

Les « idiots utiles » nous racontent que le capitalisme n’obéit à aucune valeur ni morale. En fait, l’économie ne fonctionne plus quand les hommes oublient les valeurs qu’une économie de liberté et de responsabilité implique.

Histoire du pouvoir sur 15 siècles par Olavo de Carvalho.

Après le démantèlement de l’Empire, les églises réparties sur tout le territoire sont devenues les substituts de l’administration romaine dispersée. Dans la confusion générale, alors que les formes d’une ère nouvelle étaient à peine visibles parmi les brumes du provisoire, les prêtres sont devenus notaires, auditeurs et maires.

Les graines de la future aristocratie européenne ont germé sur le champ de bataille, dans la lutte contre l’envahisseur barbare. Dans chaque village et paroisse, les chefs de communauté qui se sont démarqués dans l’effort de défense ont été récompensés par le peuple avec des terres, des animaux et des pièces de monnaie, par l’Église avec des titres de noblesse et l’onction légitime de leur autorité.

Ils devinrent de grands fermiers, des comtes, des ducs, des princes et des rois.

La propriété agraire n’a jamais été le fondement ou l’origine, mais le fruit de sa puissance, de son pouvoir militaire.

Le pouvoir d’une caste féroce et hautaine, enrichie par l’épée et non par la charrue. Une caste veillant à ne pas se mélanger aux autres, et de ne pas se consacrer à la culture de l’intelligence, bonne uniquement pour les prêtres et les femmes, ni aux travaux de la terre confiés aux serfs, pas même les affaires qui sont l’occupation des bourgeois et des juifs.

Pendant plus d’un millénaire, cette caste dirigea l’Europe par la force des armes, soutenu par le trépied de :

1) la légitimation ecclésiastique et culturelle,

2) l’obéissance populaire traduite en travail et en impôts,

3) le soutien financier obtenu ou extorqué aux marchands et aux banquiers en temps de crise et de guerre.

Son essor culmine et son déclin commence avec la fondation des monarchies absolutistes et l’avènement de l’État Nation.

Elle culmine parce que ces nouvelles formations incarnent le pouvoir de la caste guerrière à l’état pur, source d’elle-même par délégation directe de Dieu, sans intermédiation du sacerdoce, réduit à la condition subalterne de complice forcé et récalcitrant.

Mais c’est déjà le début du déclin, car le monarque absolu, issu de l’aristocratie, s’en démarque et doit chercher contre elle – et contre l’Église – le soutien du Tiers État, qui finit par devenir une force politique indépendante, capable d’intimider ensemble le roi, le clergé et la noblesse.

Si le système médiéval avait duré dix siècles, l’absolutisme n’en a pas duré plus de trois.

Le règne de la bourgeoisie libérale durera encore moins.

Un siècle de liberté économique et politique suffit à rendre certains capitalistes si formidablement riches qu’ils ne veulent plus se soumettre aux caprices du marché qui les a enrichis.

Ils veulent le contrôler, et les instruments pour cela sont au nombre de trois:

1) le domaine de l’État pour l’implantation des politiques étatistes nécessaires à l’éternisation de l’oligopole;

2) stimuler les mouvements socialistes et communistes qui favorisent invariablement la croissance du pouvoir étatique;

3) la régimentation d’une armée d’intellectuels qui préparent l’opinion publique pour dire adieu aux libertés bourgeoises et les faire entrer joyeusement dans un monde de répression omniprésente et obsessionnelle (s’étendant jusqu’aux derniers détails de la vie privée et du langage courant), et en plus présentée comme un paradis ornée à la fois de l’abondance du capitalisme et de la «justice sociale» du communisme.

Dans ce nouveau monde, la liberté économique indispensable au fonctionnement du système est préservée dans la stricte mesure nécessaire pour lui permettre de subventionner l’extinction de la liberté dans les domaines politique, social, moral, éducatif, culturel et religieux.

Avec cela, les mégacapitalistes changent la base même de leur pouvoir.

Il ne repose plus sur la richesse en tant que telle, mais sur le contrôle du processus politico-social.

Un contrôle qui, les libérant d’une exposition aventureuse aux fluctuations du marché, en fait une puissance dynastique durable, une néo-aristocratie capable de traverser les variations de fortune et la succession des générations, abritée dans le fief de l’État et des organisations internationales.

Ce ne sont plus des mégacapitalistes: ce sont des métacapitalistes – la classe qui a transcendé le capitalisme et l’a transformé en le seul socialisme qui ait jamais existé ou qui existera: le socialisme des grands maîtres et des ingénieurs sociaux à leur service.

Cette nouvelle aristocratie n’est pas née, comme la précédente, d’un héroïsme militaire récompensé par le peuple et béni par l’Église.

Il est né d’une prévoyance machiavélique fondée sur l’intérêt personnel et, à travers un faux clergé d’intellectuels subventionnés, se bénit.

Il reste à voir quel genre de société cette aristocratie auto-inventée peut créer – et combien de temps une structure si manifestement basée sur le mensonge peut durer.

L’extension maximale du salariat et la destruction des petits entrepreneurs (propriétaires de leurs propres moyens de production).

Énormément de patron de petites et moyennes entreprises se suicident. Je n’ai malheureusement jamais vu de hashtag s’en offuscant. L’égoïsme ambiant règne en maître en mettant des oeillères à la majorité et la vertu affichée online tombe offline en laissant apparaître la déresponsabilisation et la lâcheté réelle.

Autant le socialisme comme le capitalisme prêchent pour l’extension maximale du salariat et la destruction de la libre petite entreprise, c’est à dire de la classe moyenne indépendante et économiquement libre. Ces petits propriétaires de leurs propres moyens de production ont la conscience politique la plus juste car impliquée dans le réel.

En effet beaucoup de pseudo intellectuels prônant des révolutions sociales n’ont jamais mis les pieds dans une petite entreprise et ignorent ce qu’est un compte d’exploitation annuel ou une fiche de paie. Et pourtant leur idéologie collectiviste est dominante dans les merdias subventionnés donc corrompus.

Nous sommes dans une société de déresponsabilisation, de passivité où les salariés réclament plus de droits et moins de devoirs. Ou les « adultes » sont des ados éternels; qui en ne voulant pas savoir sur certains sujets déléguent la responsabilité personnelle à une instance hiérarchique ou étatique.

Or une vraie démocratie est un peu comme le modèle grec des hoplites avec une association libre de petits propriétaires qui se mutualisent et écrivent leurs propres règles.

Alors que notre actuelle fausse démocratie de salariat généralisée est une organisation dans laquelle le salarié vend son temps de travail. Voir ici mon article dans lequel je montre qu’il y a plus d’esclavage de nos jours qu’auparavant. Ces salariés laissent de côté de nombreux pans de l’équation sans les questionner ou bien le savent mais ne rentrent pas dans une résistance contre cette fausse sécurité déresponsabilisante. Les pans de l’équation qu’ils ne contrôlent pas par eux-mêmes sont celui de l’indépendance financière notamment de part un bourrage de crâne d’années d’idéologie collectiviste gauchiste du mépris de l’argent.

Entre guillemets l’argent c’est sale, laissez moi (le politique) le gérer à votre place et vous en piquer la plus grande partie dans les poches bien sûr. Les petits patrons eux sont dans une démarche d’essayer d’être indépendant financièrement et de reprendre le gouvernail.

L’idéologie de gauche qui dit que tous les patrons sont des enfoirés, qu’ils soient du CAC40 ou des petits patrons responsables sur leurs biens personnels et qui n’ont pas le droit au chômage est absurde et hypocrite !

Cette société est systémiquement malsaine et laisser la gestion de notre indépendance et liberté à un tiers est extrêmement dangereux. Peu de virilité et de moralité ! Même ces mots là ont disparu ou ne sont plus politiquement correct alors que paradoxalement la corruption morale est plus présente qu’auparavant.

La solution responsable et cohérente c’est le retour des consommateurs à une économie solidaire locale aux petits patrons et non plus aux multinationales. Agissons financièrement pour le développement d’une contre-société créative contre la bureaucratie, la sur-fiscalité, le parasitisme politique.

Des génies, des salauds ou des nuls ? Article de Marc Dugois

Ce contenu a été publié dans Société par Marc Dugois.

Il faudra remercier le pangolin ou le docteur Folamour qui nous a offert le Covid 19 car ce microbe va enfin nous permettre de savoir si nous sommes dirigés par des génies, des salauds ou des nuls, ce qui, en démocratie, est toujours intéressant à savoir.

L’unanimité de la bienpensance gouvernementale, administrative, médiatique et internationale, nous montre malheureusement une fois de plus que les peuples deviennent facilement des moutons quand un Panurge génère chez eux une peur qui regroupe n’importe quel troupeau. Ce n’est donc pas cela que le Covid 19 nous apprend puisque nous le savions déjà. Nous constatons simplement une fois de plus que la peur génère facilement la haine de ceux qui refusent d’avoir peur. La honte d’avoir peur génère systématiquement le rejet agressif de quiconque n’a pas peur. Rien de nouveau sous le soleil de ce côté-là.

En revanche l’unanimité multicolore et de plus en plus arc-en-ciel qui nous dirige, a décidé de casser l’économie avec un confinement qu’elle a jugé nécessaire en occident à l’exception de la Suède. Ils ont jugé nécessaire de déverser par milliards une énergie monétaire venant d’une corne d’abondance qu’ils pensent avoir repérée, de museler au sens propre leurs peuples en poussant l’abnégation jusqu’à se museler eux-mêmes quand ils passent à la télé pour bien montrer que les muselières n’ont rien à voir avec les masques dont ils nous avaient dit qu’ils ne servaient à rien.

Le confinement n’ayant pas suffisamment permis la création d’anticorps par réaction courante à une contamination sociale habituelle, une seconde vague apparait sauf en Suède, seconde vague dont on donne le nombre de contaminés mais pas le nombre de malades et encore moins le nombre de morts qui n’affolerait personne quand on sait que 50.000 morts mensuels est la moyenne quand la France se porte bien. Cette seconde vague est en effet encore moins mortelle que la première qui ne l’était déjà pas beaucoup si l’on regarde la courbe du nombre mensuel de décès depuis la dernière guerre, toutes causes confondues.

Ces faits sont difficilement contestables mais notre élite entretient pourtant professionnellement et méticuleusement son peuple dans la peur et certains croient même sans rire, à les entendre, voir revenir la peste du moyen-âge. D’où la question de savoir si ce sont des génies qui ont tout compris et qui anticipent les bonnes réponses, des salauds qui ont des plans inavouables, ou des nuls qui n’ont rien compris et qui ne cherchent qu’à se protéger eux-mêmes des conséquences de leur nullité. Les mois qui viennent vont apporter la bonne réponse quel que soit le matraquage médiatique mais il est intéressant d’étudier déjà les trois possibilités.

N’étant pas du tout moi-même un génie, je suis incapable de les repérer mais je m’incline devant la possibilité de leur existence. Ils résolvent tous les problèmes avec l’énergie monétaire venant d’une corne d’abondance dont ils ont le secret et ils n’ont donc plus besoin de l’énergie humaine que nous, pauvres mortels, avons uniquement à notre disposition. Ils peuvent donc faire gaspiller l’énergie de leur peuple en jogging et en salle de sport, la laisser inactivée par le chômage, laisser une grande partie de leur administration s’agiter pour donner l’impression qu’elle s’active, ou décréter l’énergie humaine accessoire par le confinement. Quelle importance puisque l’énergie monétaire s’occupe de tout pendant que le principe de précaution arrête tout ? Ils ont même donné à cette énergie un nom, le PIB. Et comme ce sont des génies, ils ont réussi à convaincre leurs peuples que cette corne d’abondance fonctionnait et qu’ils pouvaient aller au ski ou sur la Côte d’Azur. Je suis incapable de choisir entre m’agenouiller et dire « chapeau l’artiste ! ». J’en suis réduit dans ma médiocrité à attendre de voir comment ces génies vont garder active cette corne d’abondance. Dans cette attente je vais me contenter d’analyser les deux autres possibilités.

L’hypothèse des salauds est intéressante parce qu’elle passe par leur intelligence. Ils ont compris que l’énergie monétaire ne peut pas remplacer l’énergie humaine puisqu’elle en est issue; que si l’on fait croire au peuple que le progrès c’est s’enrichir davantage en travaillant moins grâce à la technique, il faut réinventer l’esclavage pour avoir l’énergie humaine indispensable, même et surtout s’il faut en plus en cacher l’existence. Ils savent que le système actuel ne peut durer et surtout qu’il sera très difficile d’expliquer le retour de l’esclavage quand on se gargarise de l’avoir éliminé. Ils savent donc que le système qu’ils ont fabriqué est en instance d’explosion et que les centaines de milliers de milliards de dette ne peuvent que croitre sans jamais baisser d’un seul centime puisque collectivement nous empruntons toujours plus que ce que nous consommons tellement nous nous voulons capables de rembourser demain. Il faut donc trouver à la fois le bouc émissaire de l’explosion inéluctable pour ne pas l’être soi-même alors que l’on s’en sait responsable, mais il faut aussi trouver une nouvelle organisation. Et bien sûr avoir le temps de mettre au point cette nouvelle organisation en restant aux manettes quelle que soit la couleur à la mode électorale. Ce n’est pas parce qu’ils ont raté l’organisation précédente qu’ils ne se sentent pas capables d’imposer la suivante. Inutile de donner des noms, tellement ils se présentent d’eux-mêmes à nos esprits. Le bouc émissaire est choisi, ce sera le Covid 19. Il n’est pas plus létal que beaucoup de microbes précédemment connus mais, en le stimulant un peu, en comptant chaque soir à la télé le nombre de morts avec Covid et surtout pas seulement ceux par Covid, on arrivera bien à faire suffisamment peur pour justifier un confinement qui lui, détruira inéluctablement le système sans que les salauds qui l’ont mis en place en soient rendus responsables. Il faudra certes prévoir par sécurité de maintenir la panique des peuples pour que le système explose bien en reconfinant si nécessaire, en inventant des freins multiples et variés à l’activité et en les imposant si le matraquage médiatique est insuffisant pour convaincre de l’intérêt de toutes ces mesures puériles. Plus l’activité s’arrêtera vite, plus le Covid sera à l’évidence le seul responsable de l’explosion en laissant en place pour la suite les vrais responsables du désastre imminent. Le plan B, à mettre en place simultanément à l’effondrement du système actuel et qui a déjà le nom évidemment anglais de « great reset » (la grande réinitialisation), est déjà vanté par l’ONU, le FMI et la BCE. Le détail en est prévu à Davos en janvier 2021. Il vise discrètement à une diminution drastique des habitants de la Terre, réduits dans une suppression des races et des civilisations, au rêve de zombies consommateurs électeurs jouisseurs dont la forme d’esclavage n’est pas encore claire dans l’esprit des salauds, mais dont la vie sera réglée par encore plus d’obligations et encore plus d’interdictions pour le bien de tous décrété par les salauds eux-mêmes, réunis dans leurs têtes dans un gouvernement mondial. On sait déjà que c’est à nouveau l’énergie monétaire qui sera mise à contribution mais cette fois par les vaccins et par les puces implantées. On ne change pas une équipe qui perd.

L’hypothèse des nuls est évidemment la plus tentante tellement elle vient naturellement à l’esprit en les observant se déhancher le cerveau pour donner l’impression d’avoir quelque chose à dire. Elle est peut-être trop tentante. Ils se sont tellement épuisés à atteindre la plateforme où ils se trouvent, qu’ils sont à mille lieues de comprendre ce qui se passe et qui ne les intéresse qu’anecdotiquement. Le peu d’énergie qui leur reste est à peine suffisant pour préparer leur réélection et pour travailler leur métier du faire croire dans lequel il faut reconnaitre leur compétence d’illusionnistes. Sur tout problème ils s’appuient sur les experts qu’ils ont nommés parce qu’ils étaient de bons courtisans et le but des uns comme des autres est simplement de tenir, d’être encore là après-demain. Résoudre un problème n’est le souci de personne. Faire croire qu’on s’en occupe et mieux, donner l’impression qu’on avance, là est leur cœur de métier qui les a fait élire. S’y rajoute depuis quelques années avec le rapprochement du désastre, le souci permanent de ne finir ni comme Louis XVI, ni comme Napoléon III, ni comme Pétain. Leur communication devient de plus en plus la plaidoirie qu’ils aimeraient entendre le jour où on leur rappellerait que le pouvoir qu’ils ont tant désiré les oblige à un minimum de responsabilité que les urnes ne sanctionnent plus depuis qu’elles sont corrompues par l’énergie monétaire qui fabrique les campagnes électorales.

Il reste encore une dernière possibilité, la plus triste et qui me fait infiniment plus peur que le Covid : celle de nuls manipulés par des salauds. Quand on voit défiler dans les médias des courtisans hâbleurs, affublés de titres de professeurs, il devient difficile de ne pas craindre que des salauds ne tirent les ficelles de ces marionnettes qui ne sont visiblement que des nuls. Les vrais experts ne sont pas invités et le peuple doit croire que le Covid est le coupable et que l’énergie monétaire va s’occuper de tout.

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Comment monnayer l’innovation pour qu’un max de gens l’utilisent?

Inventer des choses ne suffit pas si vous ne pouvez pas avoir une entreprise qui va apporter ces choses là au public pour rendre enfin cette invention bankable.

Larry Page a compris cela: ce n’était pas suffisant d’aider les gens à trouver ce dont ils avaient besoin sur Internet.

Cela devait être économiquement viable, autrement dit cette invention n’aurait jamais la force de devenir dominante sans étant monétisée.

Au début, l’un des points les plus importants de Google n’était pas sa capacité supérieure à fournir des résultats plus pertinents que d’autres boites qui faisaient aussi cela. D’autres moteurs de recherche, tels qu’Altavista et Yahoo, ont également obtenu des résultats jugés très pertinents à l’époque.

La clé de Google c’était sa capacité à se comporter comme une entreprise: à gagner de l’argent et à se fortifier.

Comment monnayer l’innovation pour qu’un max de gens l’utilisent ? C’est là oú les startups de succès sont très fortes pour en peu de temps atteindre un public énorme, durable et payant.

Altavista est devenu le leader du marché et même en étant très bien capitalisé mais il n’a pas compris comment gagner de l’argent et il est mort.

Larry Page a même abordé cette question dans une Interview oú il explique que l’invention doit générer un retour sur investissement: «L’invention ne suffit pas. Nikola Tesla a inventé la puissance électrique que nous utilisions, mais il était difficile d’avoir une adoption payante massive du grand public. Vous devez combiner deux choses: l’invention concentrée dans une entreprise qui commercialise les produits pour le maximum de gens ».

Les dernières années tragiques de Nikola Tesla par exemple sont tristes. Ce fut pourtant l’un des plus grands inventeurs de l’histoire humaine mais le serbe a passé des années dans l’oubli (bien que maintenant dans l’histoire il est réapparu grâce à Elon Musk).

Il ne voulait pas créer une grosse fortune. Il est venu travailler à Edison, aujourd’hui General Electric, l’un des principaux noms de l’entreprise jusqu’à être proche de Thomas Edison. Il a quand même fait beaucoup d’argent mais a finalement tout perdu.

Il a passé ses dernières années dans la tristesse et la folie: vivant dans une chambre d’hôtel oú il annonçait des innovations majeures, tout en nourrissant des colombes qu’il disait qu’elles étaient ses maitresses et regrettant que le banquier J.P. Morgan avait détruit sa vie.

N’ignorez pas l’aspect « business » de vos inventions. Tout cela doit être un gros avertissement pour vous. Vous ne pouvez pas vous concentrer uniquement sur l’innovation et oublier de faire de l’argent. Pour être un grand innovateur, vous avez besoin d’une entreprise qui vous permettra de monnayer votre innovation pour que le maximum de gens puissent l’utiliser.

Et vous ne devez pas dépendre de politique de court terme.

Alphabet (le nom de la société d’investissement au-dessus de Google) fonctionne comme ça : ses innovations sont toutes orientées vers la viabilité économique. Si un projet ne tient pas sur le marché, il est réinventé, redimensionné ou mis de côté comme Google Fiber, par exemple.

Larry Page sait que s’il ne tient pas compte de l’aspect «commercial» de son entreprise, ses inventions ne toucheront qu’un public restreint.

Donc, depuis très tôt dans l’histoire de Google, ils se sont inquiétés d’une chose: gagner de l’argent. Gagner de l’argent vous permet de remplir votre mission

Il y a un mythe (d’idéalisation de l’artiste) selon lequel l’inventeur doit généralement suivre la mission sans se soucier de gagner de l’argent mais c’est ridicule. Les rêves ne nourrissent pas les enfants, ne payent pas les employés et n’attirent pas les investisseurs. Oubliez votre idée de pitcher votre idée sans tester le marché !

Avoir de bonnes recettes financières est la formule pour tout cela en fait. Gagner de l’argent est hautement nécessaire pour que vous remplissiez votre mission. Cela ne fait pas nécessairement de vous un « mercenaire ». C’est travailler la durabilité de votre entreprise.

Pour cela, il est nécessaire d’écouter les demandes du marché. Commencez petit, validez vos idées, créez un produit et commencez à vendre et à facturer.

Toutes mesures sont bonnes pour que, dès le départ, vous puissiez créer une entreprise qui a du sens. Vous devez transformer le monde et pour cela, commencez à vous transformer et à transformer les gens autour de vous.

Ne pas se concentrer uniquement sur l’innovation de produit, qui sans la monnétisation appropriée fera que personne n’utilise ou paie pour l’utiliser.

Être un grand leader à cet égard c’est avoir une vision et être commercial.

Suivez le journal de bord d’un entrepreneur: http://www.antoinebachelinsena.com

Voici ce qui fera le succès de votre idée de Startup

Voici les indicateurs clés d’une start up de succès.
Que ce soit à Paris, à Berlin, à Tombouctou ou San Francisco la start-up doit avoir un Product-Market Fit.

Qu’est-ce que cela veut dire en français c’est que le produit répondant à une demande du marché.

Cela ne concerne pas seulement l’acquisition et la rétention du produit de la start-up mais aussi le canal d’acquisition que certains nomment de Channel Market Fit.

Mais tout cela doit être fait pour que vous puissiez payer les factures : cela ne sert à rien que le client achète et utilise votre produit si le canal que vous utilisez pour obtenir ce client ne possède pas les economics (CAC vs LTV).

CAC c’est le coût d’acquisition client et LTV c’est Life Time Value, la valeur que chaque client rapporte pour l’entreprise durant une période de temps déterminée.

C’est très commun de voir des entrepreneurs qui affirment qu’ils possèdent le Product Market Fit, mais qui en fait ont juste de la traction sans avoir considéré tous les fondamentaux.

Cela doit être la recherche sans fin de tout ceux qui créent une start-up.

Vous devriez garder à l’esprit que plus l’indice CAC est élevé, plus vous dépensez pour gagner un client.

Et pour réduire ce coût, l’une des premières étapes consiste à optimiser la page d’accueil du site Web de votre entreprise, ainsi que les pages d’inscription.

Mais il y a encore beaucoup d’autres choses à faire! Vérifiez de combien est votre coût d’acquisition client. Calculez le.

La formule pour calculer le CAC est très simple:

CAC = coût total des ventes et du marketing / nombre de nouveaux clients.

Comprendre le CAC de votre startup est de la plus haute importance car la viabilité de votre business model dépend de l’acquisition de nouveaux clients.

La présentation d’un CAC élevé est la principale raison de la défaillance de l’entreprise.

Pour calculer le CAC efficacement, vous devez avoir les métriques de cycle de vie de chaque client avec votre démarrage, c’est-à-dire la valeur de durée de vie (LTV) en main.

Votre CAC doit être beaucoup plus bas que le LTV, qui est la valeur que chaque client paie à l’entreprise dans une période de temps donnée.

Pour calculer le LTV, vous devez connaître le nombre de commandes que vos clients ont en moyenne, la fréquence à laquelle ils achètent votre produit et combien ils dépensent en moyenne.

Si la somme du coût d’acquisition d’un client est x, vous devez avoir une cible LTV comprise entre 3x ou 4x.

Si vous pouvez faire en sorte que vos clients parlent bien de votre entreprise à leurs amis, vous pouvez réduire de 50% votre CAC. Le bouche à oreilles via partage sur les réseaux sociaux et dans la vie réelle est extraordinaire pour obtenir de bons clients.

Des études ont montré que peu de personnes, même satisfaites, recommandent un service ou un produit pour leurs amis – cependant, les clients mécontents font souvent tout pour partager leur mécontentement. Une stratégie pour résoudre ce problème consiste à créer des opportunités pour votre consommateur satisfait de partager avec les personnes proches de lui les avantages de votre service ou de votre produit. Un bon exemple de cela est le système de covoiturage Uber, qui, selon son fondateur, affirme que 95% des utilisateurs de l’application l’ont appris auprès d’autres utilisateurs d’Uber.

Attention à ne pas perdre de clients ! Dans certains cas, il arrive fréquemment que les visiteurs du site ne deviennent pas des clients parce qu’ils ne comprennent pas le produit ou ne se sentent pas concernés par le service. Pour éviter ce genre de problème, il faut dés la première visite de votre offre que les potentiels clients percoivent exactement votre différentiel.

Les premiers clients doivent être les plus chéris. Le client a besoin de sentir qu’il / elle est accompagné (e) dès la première interaction avec la startup. Après cette première interaction réussie, les chances qu’il comprenne, engage et recommande votre startup augmentent énormément.

Une bonne relation avec vos consommateurs est quelque chose qui doit être travaillé constamment. Écouter ce que le client pense de votre entreprise devrait toujours être à l’ordre du jour. Les commentaires, suggestions ou plaintes, bons ou mauvais, doivent tous être évalués pour l’amélioration de votre performance.

Comme je l’ai déjà dit, cela doit être la recherche sans fin de tout ceux qui créent une start-up.

Voulez-vous avoir la meilleure carte de crédit ? Voici comment…

200 millions de dollars de crédit par mois avec cette carte 🤑

Si vous voulez avoir la plus prestigieuse carte de crédit au monde alors c’est le moment de commencer à gagner pas mal d’argent. N’écoutez pas ceux qui vous disent que l’argent ne rend pas heureux car eux-mêmes n’ont pas d’argent alors comment savent ils ? Ne pas avoir d’argent ne rend pas heureux non plus. Mais c’est quand même bien d’avoir de l’argent pour d’autres trucs. 

Bien sur cette carte de crédit c’est seulement pour 0,1 % des gens. Mais ayez quand même la liberté de vous poser la question si vous en voulez une ou pas. Posez vous juste la question, cela ne mord pas : comment faire pour avoir une carte de crédit comme ça ? Et bien il faut devenir riche. Et voici comment on fait pour devenir riche :

  1. Rentrer dans la bonne voiture. Commencez à travailler dans des entreprises qui ont des opportunités de croissance. Étudier quels sont les meilleurs secteurs qu’est-ce qui va croître le plus dans le futur. Ne restez pas dans des domaines qui vont être automatisés ou qui sont en déclin ou qui n’offrent pas des possibilités d’évolution. Formez-vous toute votre vie et soyez à la page de nouvelles technologies et des nouvelles tendances. La majorité des gens cherche un job alors qu’il faut voir cela comme la recherche de la bonne voiture en route vers les €. Toutes les sociétés vivent de bénéfices alors allez chercher les commissions et controlez combien vous gagner. Augmentez votre salaire, faites pas mal de freelance, créez votre société…
  2.  Faites des mathématiques. Une des plus grandes erreurs que les gens commettent c’est celle de ne pas faire les mathématiques du millionnaire. Vous devez vous asseoir sur un canapé et écrire sur un carnet ou sur votre smartphone de combien vous avez besoin pour être riche. Selon votre produit vous devez calculer de cette façon : comment faire un million d’euros en vendant une unité qui coûte 500 € à 2000 personnes. Vous pouvez vendre une unité qui coûte 1000 € à 1000 personnes. Et vous devez avoir un délai pour cela ça peut-être par exemple 2 ans. En 2 ans c’est très facilement atteignable. Faire les mathématiques nous montre que c’est atteignable et que c’est facile en fait.
  3. Apprenez à vendre. Le souci pour la majorité des gens c’est qu’il ne savent pas comment aller en contact avec d’autres personnes et obtenir leur argent. Vous pouvez obtenir tout ce que vous voulez dans la vie si vous apprenez à vendre. Votre économie dépend de votre habileté à vous vendre, à vendre votre idée, à vendre votre produit dans ce grand marché global et connecté qu’est notre monde. Personne ne nait entrepreneur. On apprend à vendre. Ce n’est pas un don de naissance. Découvrez les secrets de la vente en cliquant ici pour avoir accès à mon article sur le blog Gladiacteur.

Gardez à l’esprit qu’il ne faut pas impressionner les autres avec des voitures de sport etc. Les gens riches ne cherchent pas à impressionner les autres avec ce qu’ils possèdent. Il ne recherchent pas des «amis» ils cherchent la liberté. 

En fait il y a 3 types d’argent que vous devez connaître :

  1. La peur de l’argent.
  2. L’argent qui grossit.
  3. L’argent «couillu».

L’argent couillu c’est pour les personnes qui sont totalement responsables de ce qui leur arrive dans la vie parce qu’elles ont confiance dans leur façon de réagir. L’argent couillu n’a rien à voir avec la voiture que vous dirigez ni avec les chaussures que vous avez ni avec la carte de crédit que vous avez. C’est lorsque vous avez pris la décision dans votre vie de faire un grand saut et ce changement là a tout révolutionné. Moi c’est quand j’ai pris un billet d’avion sans retour pour le Brésil en 2011 avec seulement quelques centaines d’euros dans les poches. C’est couillu.

Il a beaucoup de gens qui ne verront pas l’argent couillu parce qu’ils ont vu l’argent qui grossit revenir au stade de la peur de l’argent. Lorsque vous commencez au tout début à gagner un peu d’argent vous allez avoir tendance à vouloir le protéger. Mais la peur de l’argent n’amène pas à l’argent qui grossit. L’objectif de l’argent c’est à dire le sens de l’argent n’est pas de vous donner la sécurité mais de vous donner des choix. Pour avoir le courage de rentrer dans la catégorie de l’argent qui grossit vous devez lire, écouter, rencontrer et appliquer les conseils de ceux qui sont allés de la peur de l’argent jusqu’à l’argent couillu.

Quelques temps en arrière j’avais peur de l’argent moi aussi et j’avais beaucoup de souci pour payer mon loyer. Si quelqu’un comme moi a réussi à passer de la peur de l’argent à l’argent couillu alors vous aussi vous pouvez y arriver. Et quand vous obtiendrez cette invitation pour cette carte de crédit appelez-moi on ira boire un verre ensemble 😉🍹🍾

L’argent c’est bon, c’est bien 😃

Les bénéfices font fonctionner notre monde. Seulement les ignorants sont contre les bénéfices. C’est recherchant les bénéfices que les grandes découvertes ont été faites : Christophe Colomb cherchait de l’or et etc… 

C’est en recherchant les bénéfices que les grandes découvertes sont faites, que des millions d’emplois sont créés et que de nouvelles idées apparaissent ainsi que de nouveaux produits et services pour améliorer nos vies !

C’est ainsi que le progrès arrive, là oú les murs séparaient l’Allemagne capitaliste qui se levait des ruines de la misérable Allemagne socialiste.

Grâce au capitalisme ont été crées les ordinateurs, les blogs, les smartphones, les app et etc…

Ici au Brésil il y a une page Facebook marrante qui s’apelle les socialistes d’Iphone et en fait dans le monde entier il y a des ignorants qui se disent socialistes mais qui sont les premiers à avoir des Nike ou à manger au MacDo…

Pour survivre et nourrir sa famille l’homme recherche les $. 

Sans recherche de bénéfices le monde devient plein de voleurs, de menteurs, de manipulateurs, de fainéants et d’assistés.

L’homme recherche les bénéfices et l’argent c’est bon, c’est bien 😃.

Ce qui n’est pas bien c’est d’être manipulé par des menteurs qui disent qu’ils vont redistribuer les bénéfices et d’être toujours déçu d’attendre d’un tiers. 

Car le succès dépendra toujours de vous et de vous seul ! Jamais des promesses des autres !

L’égalité est une utopie rêvée par les jaloux, paresseux et incompétents ! 

L’inégalité c’est d’avoir la prétension de traiter de la même façon des personnes différentes !

L’égalité est mise en place par la force par des régimes autoritaires, des dictatures qui ne respectent ni la propriété privée ni la liberté et qui volent, qui mentent, qui ne produisent rien et qui piquent les $ des autres. 

L’être humain recherche les $ de toutes façons pour survivre, pour vivre, pour prospérer. 

Le socialisme est ainsi : inventer de fausses raisons nobles (mais qui en fait ne sont pas nobles) pour créer la jalousie. 

C’est un faux moralisme de ceux qui en fait cherchent aussi les $. 

Par contre dans les pays riches la liberté individuelle est défendue et chacun a le droit de choisir son propre chemin.

Moi personnellement je désire avoir beaucoup de bénéfices pour aider beaucoup de personnes. Il y a le plaisir d’avoir des bénéfices mais aussi le plaisir d’aider les autres à obtenir des bénéfices.

Partager apporte des bénéfices. 

Si les égoïstes arrivaient à calculer les bénéfices que l’on obtient en partageant alors ils partageraient plus, par égoïsme !…

Le bénéfice émotionnel est ce qui donne aussi du sens à nos actions. Chaque jour j’ai plus de bénéfices.

Vivent les bénéfices !