Mon nouveau livre est en prévente ! Cours de philosophie par Olavo de Carvalho: une conversion des concepts généraux en expérience existentielle effective.

Lien ici pour la prévente : shorturl.at/cegZ8

Ce cours de philosophie est le seul qui puisse vous aider à pratiquer la philosophie au lieu de simplement répéter ce que d’autres personnes, illustres et que vous aimez, en ont dit.

Mais, de par sa nature même, la philosophie n’est pas un savoir spécialisé sur une certaine classe d’objets : c’est une activité intégrale de l’intelligence qui se tourne vers tous les champs du savoir et de l’expérience à la recherche de son unité, de son fondement et de ce qu’elle signifie ultimement pour la conscience humaine.

Il n’y a donc pas de limites aux connaissances spécialisées qui peuvent devenir nécessaires, comme subsides auxiliaires, à l’apprentissage et à l’exercice de la philosophie.
La formation philosophique est aussi, et indissociablement, l’ouverture de l’intelligence à la totalité systémique des connaissances humaines.

Pour cette raison, ce cours est également un système éducatif complet, ouvert aux domaines d’études suivants, en plus de la philosophie stricto sensu :
🔹Religion comparée,
🔹Lettres et arts,
🔹Sciences humaines,
🔹Sciences naturelles,
🔹Communication et expression.

Cette portée fait de ce cours une sorte d’introduction générale aux études supérieures dans leur globalité.

Mais ce n’est pas tout.

Comme la philosophie consiste avant tout dans l’unité du savoir et de la conscience, les différents domaines abordés dans le cours ne constituent pas une somme d’éléments sans liens, mais plutôt la vision synthétique de l’unité organique du savoir humain.
Grâce à cette approche, le cours devient une pratique des savoirs interdisciplinaires.

Cependant, la philosophie ne peut jamais constituer une simple activité professionnelle et universitaire, déconnectée de l’intimité personnelle de celui qui l’exerce.

C’est, par définition, un exercice de conscience de soi, qui recherche systématiquement les liens entre savoir, être et agir, dans l’unité de la conscience individuelle du philosophe.

👉 L’unité du savoir, de l’être et de l’agir est le but de toute philosophie : c’est la conquête de la sagesse.

Cherchant constamment le lien entre connaissance et conscience de soi, le philosophe (ou, ce qui revient exactement au même : l’étudiant) se soumet à la discipline de la sincérité, qui devient lentement, progressivement et sûrement une voie d’ascèse spirituelle : le développement du sens personnel de la vérité.

Comme, d’ailleurs, l’intelligence humaine ne se développe pas plus ou moins selon les taux fictifs de certains Q.I. innés ou selon certaines déterminations induites, mais seulement selon la détermination plus ou moins grande de chaque homme à rechercher la vérité et à l’intégrer dans les structures de sa personnalité et les lignes de sa manière d’agir, le cours devient aussi une méthode de développement de l’intelligence personnelle.

Voici ce qu’est le cours de Philosophie :
🔹Un cours de philosophie,
🔹Un système éducatif complet,
🔹Une introduction générale aux études supérieures,
🔹Une théorie et une pratique de l’interdisciplinarité,
🔹Un chemin d’ascétisme spirituel,
🔹Une méthode de développement de l’intelligence personnelle.

Si ces six objectifs vous paraissent trop grands pour être atteints d’un coup, le cours vous montrera qu’il n’est pas possible d’en atteindre un séparément : philosophie, éducation intégrale, élargissement de l’horizon cognitif, unité du savoir, ascèse spirituelle basée sur la conscience de soi-même et le développement de l’intelligence humaine ne sont que six noms pour une seule et même chose.

Le cours ne promet pas de vous les donner, car aucun d’entre eux n’est quelque chose que vous pouvez recevoir en cadeau.

Il promet seulement de vous montrer le chemin pour les conquérir et les faire vôtres pour toujours.

Le cours de Philosophie ne vous demandera que deux choses : la sincérité et l’effort tranquille.

Parabole de l’herbe bleue.

Un âne dit au tigre:

– L’herbe est bleue….

Le tigre rétorque:

– Non, l’herbe est verte….

La dispute s’envenime et tous deux décident de la soumettre à l’arbitrage du lion, « le roi » de la jungle….

Bien avant d’atteindre la clairière où le lion se reposait, l’âne se met à crier :

– Votre Altesse, n’est-ce pas que l’herbe est bleue ?

Le lion lui répond:

– Effectivement, l’herbe est bleue.

L’âne se précipite et insiste:

– Le tigre n’est pas d’accord avec moi, il me contredit et cela m’ennuie… S’il vous plaît, punissez-le !

Le lion déclare alors:

– Le tigre sera puni de 5 ans de silence….

L’âne se met à sauter joyeusement et continue son chemin, heureux et répétant:

– L’herbe est bleue… L’herbe est bleue…

Le tigre accepte sa punition, mais demande une explication au lion:

– Votre Altesse, pourquoi m’avoir puni ? Après tout, l’herbe n’est-elle pas verte ?

Le lion lui dit:

– En effet, l’herbe est verte….

Le tigre, surpris, lui demande:

– Alors pourquoi me punissez-vous ?

Le lion lui explique :

– Cela n’a rien à voir avec la question de savoir si l’herbe est bleue ou verte…

Ta punition vient du fait qu’il n’est pas possible qu’une créature courageuse et intelligente comme toi ait pu perdre son temps à discuter avec un fou et un fanatique qui ne se soucie pas de la vérité ou de la réalité, mais seulement de la victoire de ses croyances et de ses illusions….

Ne perds jamais de temps avec des arguments qui n’ont aucun sens…

Il y a des gens qui, quelles que soient les preuves qu’on leur présente, ne sont pas en mesure de comprendre…..

Et d’autres, aveuglés par leur ego, leur haine et leur ressentiment, ne souhaiteront jamais qu’une seule chose : avoir raison même s’ils ont tort…

Or quand l’ignorance crie l’intelligence se tait.

Car ta paix et ta tranquilité n’ont pas de prix.

Manipulations des marchés cryptos pour de gros clients. Les explications de l’intérieur.

Quelques informations internes sur les mécanismes de FUD (peur, incertitudes et doutes) d’un ancien avec P&L à gros chiffres.

Cela explique bien comment ils ont fait chuter le bitcoin ces derniers jours.

Cet insider à la retraite l’a déjà fait dans le passé à de nombreuses reprises et il détaille ici tout pour vous (innombrables preuves à l’appui et exemple de vieux clients, sans donner leurs noms bien sûr).

Alors asseyez-vous et prenez votre temps.

«Avant mon passage à la crypto, j’étais cadre senior dans la société dominante dans un des secteurs les plus compétitifs du marché. Mon P&L à lui seul était supérieur à celui de certains états américains. Nous étions également très réglementés avec plus de 125 licences dans environ 100 juridictions.

En 2016, je suis entré dans la crypto en lançant une société de services complets couvrant:

• Légal et réglementaire.

• Développement de cryptos : Pump sur ces shitcoins que vous aimez tous.

• Marketing et relations publiques : Envoyez vos sacs sur la lune.

• OTC (Over The Counter) : Pour que l’argent intelligent sorte avec un minimum de commissions.

En tout, nous avons servi environ 50 clients, principalement des ERC20 mais aussi des ERC721 précoces (les NFT comme ils les appellent maintenant).

À l’époque, nous les utilisions pour créer des éléments tels que des SKR (Safe Keeping Receipt) pour l’or physique pour les banques privées de HK, CH, MC, etc.

Nous avons également fait beaucoup de gestion des sentiments de marché pour notre bureau OTC.

Alors, disons que vous êtes un fonds souhaitant une exposition au BTC mais vous pensez que vous avez manqué l’entrée optimale. Si seulement il y avait un plongeon, vous pourriez entrer.

On vous répond : Quelle est la meilleure grimace d’effroi que vous aimeriez voir chez les petits porteurs ce matin? Pour votre petit déjeuner pouvons nous vous offrir un spectaculaire flash crash ? Pouvons nous lancer un joli jeu de chasse à la liquidité ? Excellent choix ! C’est la fin du marché haussier !

Nous allons donc faire chuter les marchés pour vous permettre de ramasser des sats bon marché.

Étape 1: le travail de base –

Nous payons plusieurs médias de bas niveau pour publier des informations baissières, mais pas pour en faire la promotion sur leurs chaînes.

Elles restent juste là bien gardées pour le bon moment opportun.

Étape 2 – Payez plusieurs contributeurs (Bloomberg / Forbes, etc.) pour publier des versions à chaud de l’histoire citant l’article.

C’est aussi simple que:

a) Les pigistes affamés sont majoritaires.

b) Ils ont désespérément besoin de contenus frais, bien chauds.

c) La facturation est liée à la quantité de trafic que leurs histoires génèrent.

Alors maintenant, le contenu se trouve sur certains sites d’actualités de bas niveau et quelques sites de niveau 1.

C’est là que vous sortez la grosse machine et que vous envoyez un ping à chaque écrivain technique pour lequel vous avez payez un drink lors d’une conférence et les FOMO (lorsque les marchés montaient).

Vous êtes en train de perdre cette histoire qui circule en ce moment, c’est sur Reuters, Bloomberg et aussi chez intel, vous devez publier MAINTENANT !

L’histoire prend de l’ampleur et touche les tops des relations publiques. C’est sur tous les sites de News, Bloomberg, Reuters etc. donc c’est évidemment légitime disent ils…

Il est temps de faire monter la news encore plus chez les influenceurs des réseaux sociaux. Ces gars-là tweetent tous l’histoire ou des variantes de celle-ci avec des mots clés choisis par les algos tels que « interdire », « pirater », etc. pour propager la peur à tous les nouveaux entrants cryptos.

Il est maintenant temps de tout déclencher en lançant le crash via notre algo de trading de haute fréquence qui va lancer des milliards d’ordres de vente en des micro secondes.

C’est l’opposé du fonctionnement OTC standard car nous recherchont les books les plus minces sur les bourses qui comprennent les indices de prix futures (Coinbase, Kraken, Gemini, etc.) et le marché tombe sur eux.

Les petits investisseurs voient la chute sur leurs écrans et ils se précipitent sur Twitter pour essayer de comprendre. Tout ce qu’ils trouvent partout c’est que leurs influenceurs relaient tous la même news baissière.

Ils paniquent alors que les exchanges se vident et que les liquidations à la pelle commencent.Les ventes au détail, les stop losses et liquidations en cascade terminent le travail.

On arrive enfin au prix intéressant pour que nos clients achètent.»

C’est tout pour aujourd’hui.

J’espère que c’était éducatif, et quand la prochaine tempête Bear Trap frappera la crypto, vous vous souviendrez de ces mécanismes conçus avec une précision militaire par des professionnels.

Source : https://twitter.com/twocommapauper/status/1397106939193085952?s=20

Écoute…

Il y a d’abord ce discours « officiel », indécemment simpliste, abêtissant.

« Protégez-vous », dit-il, « protégez les autres », surtout « restez prudents »…

Parti pris du toujours pire à venir, du souverain « Nous sommes en guerre », ne souffrant pas la plus petite contradiction.

Illusion imposée, réalité travestie : « L’ennemi est partout, il est invisible », « vous êtes en danger »…

Ce discours à tout bout de champ rabâché, dont l’omniprésence frise l’obscénité, cherchant sans cesse à s’insinuer dans nos cinq sens : télévision et radio, internet et métro, halls de gare, autoroutes, affiches, ici, là, partout, tout le temps.

Cette voix assourdissante qui vous somme de vous plier à sa règle, vous demande aujourd’hui, vous demandera demain, de vous faire inoculer son vaccin, sans voir, sans comprendre, sans poser de question, sans broncher. Mais en faisant confiance, à « l’institution », aux « tutelles », vous savez ?… Celles-là même devenues le terrain de jeu d’une tricherie à grande échelle, d’un lobbying décomplexé et d’une corruption galopante. Depuis plus d’un demi siècle, leur gangrène exposée sans pudeur à notre cécité, elles sont le théâtre de scandales sanitaires majeurs, qui se suivent et se ressemblent, et au cours desquels les morts et les blessés se comptent par dizaines voir centaines de milliers, quand on arrive à les compter : amiante, distilbène, hormone de croissance, sang contaminé, opioïdes, etc, etc.

Mais faites confiance, merci.

Et puis, il y a cette autre voix, presque inaudible, qui ne nous appartient pas, mais que nous avons choisi de porter. C’est celle de la raison, et de la prudence, celle-là qui est le fondement même de toute démarche médicale et thérapeutique, et dont toute la force tient en une formule, que vous connaissez maintenant : « Primum non nocere ».

Parce que plus qu’un autre le soignant sait que « l’enfer est pavé de bonnes intentions », et qu’à trop vouloir bien faire, il peut en faire parfois trop, précipitant la chute du patient venu lui demander secours. « D’abord ne pas nuire », et si tu n’es pas sûr de faire plus de bien que de mal, alors abstiens-toi, par respect, et par humilité. Attends, surveille, accompagne. Mais abstiens-toi.

Oui mais voilà, quand le médecin s’abstient, l’industriel trépigne.

Car il est un fait dont l’évidence devrait nous écorcher les yeux : les intérêts de l’un ne recouvrent en rien les intérêts de l’autre. Et la divergence n’est pas exclue.

Quand l’un cherche à soigner, l’autre cherche à vendre. La santé est la priorité de l’un, le bénéfice pécuniaire la priorité de l’autre. Nous affirmons que cet état de fait devrait être pris en compte, sous la forme d’une régulation stricte et indépendante. Et dire cela n’est en rien diaboliser le commerce, activité fondamentalement humaine et qui peut s’exercer de façon vertueuse.

Aujourd’hui nous avons pris l’habitude de déléguer notre pouvoir de jugement. Nous achetons des médicaments, parce qu’on nous dit qu’il le faut. Nous prenons des médicaments, parce qu’on nous dit qu’il le faut. Mais « on » est un con , pas vrai ?…

Nous choisissons d’offrir notre confiance à un médecin. Et ce médecin choisit d’offrir sa confiance à des tutelles : agences du médicament, HAS, etc. Et ces tutelles choisissent d’offrir (ou de vendre ?) leur confiance aux industries du médicament. Mais tous ces délégataires… Sont-ils dignes de la confiance qui leur est accordée ?

Les industries du médicament à une extrémité de la chaîne. Nous à l’autre.

Face à cet inquiétant ballet, nous ne voulons plus croire, nous voulons voir.

Parce que c’est le concept même de Santé qui se joue là.

« Primum non nocere ».

Nous voulons porter cette voix de la raison, cette voix de la prudence. Cette voix qui affirme que si le virus SARS-CoV-2 engendre parfois une pathologie grave appelée COVID, les chiffres de l’épidémiologie montrent que l’immense majorité ne risque rien. Et que rien ne saurait justifier l’administration précipitée à toute une population saine d’un remède dont ni l’efficacité, ni la dangerosité, n’ont été étudiées de façon sérieuse et approfondie.

Nous portons cette voix qui affirme que s’il existe aujourd’hui une seule urgence, c’est bien celle de sortir d’un état d’urgence artificiellement entretenu, et celle de commencer à nous écouter.

Chers amis, aidez-nous à rendre cette voix audible !

Vous trouverez avec cette lettre une synthèse sur l’état de la recherche actuelle, concernant le vaccin contre le SARS-CoV-2 commercialisé par Pfizer, destiné à être le premier mis sur le marché en France.

Nous vous proposons un challenge tout simple, avec peut-être un petit air de « déjà vu » :

faites passer cette synthèse à 3 personnes de votre entourage concernées (qui ont par exemple un parent en ehpad). Avec bien sûr la consigne de la transmettre à nouveau à 3 personnes. Et ainsi de suite, en mode épidémique… 🙂

Appelons cela la « chaîne du consentement éclairé », si vous voulez bien !

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Des génies, des salauds ou des nuls ? Article de Marc Dugois

Ce contenu a été publié dans Société par Marc Dugois.

Il faudra remercier le pangolin ou le docteur Folamour qui nous a offert le Covid 19 car ce microbe va enfin nous permettre de savoir si nous sommes dirigés par des génies, des salauds ou des nuls, ce qui, en démocratie, est toujours intéressant à savoir.

L’unanimité de la bienpensance gouvernementale, administrative, médiatique et internationale, nous montre malheureusement une fois de plus que les peuples deviennent facilement des moutons quand un Panurge génère chez eux une peur qui regroupe n’importe quel troupeau. Ce n’est donc pas cela que le Covid 19 nous apprend puisque nous le savions déjà. Nous constatons simplement une fois de plus que la peur génère facilement la haine de ceux qui refusent d’avoir peur. La honte d’avoir peur génère systématiquement le rejet agressif de quiconque n’a pas peur. Rien de nouveau sous le soleil de ce côté-là.

En revanche l’unanimité multicolore et de plus en plus arc-en-ciel qui nous dirige, a décidé de casser l’économie avec un confinement qu’elle a jugé nécessaire en occident à l’exception de la Suède. Ils ont jugé nécessaire de déverser par milliards une énergie monétaire venant d’une corne d’abondance qu’ils pensent avoir repérée, de museler au sens propre leurs peuples en poussant l’abnégation jusqu’à se museler eux-mêmes quand ils passent à la télé pour bien montrer que les muselières n’ont rien à voir avec les masques dont ils nous avaient dit qu’ils ne servaient à rien.

Le confinement n’ayant pas suffisamment permis la création d’anticorps par réaction courante à une contamination sociale habituelle, une seconde vague apparait sauf en Suède, seconde vague dont on donne le nombre de contaminés mais pas le nombre de malades et encore moins le nombre de morts qui n’affolerait personne quand on sait que 50.000 morts mensuels est la moyenne quand la France se porte bien. Cette seconde vague est en effet encore moins mortelle que la première qui ne l’était déjà pas beaucoup si l’on regarde la courbe du nombre mensuel de décès depuis la dernière guerre, toutes causes confondues.

Ces faits sont difficilement contestables mais notre élite entretient pourtant professionnellement et méticuleusement son peuple dans la peur et certains croient même sans rire, à les entendre, voir revenir la peste du moyen-âge. D’où la question de savoir si ce sont des génies qui ont tout compris et qui anticipent les bonnes réponses, des salauds qui ont des plans inavouables, ou des nuls qui n’ont rien compris et qui ne cherchent qu’à se protéger eux-mêmes des conséquences de leur nullité. Les mois qui viennent vont apporter la bonne réponse quel que soit le matraquage médiatique mais il est intéressant d’étudier déjà les trois possibilités.

N’étant pas du tout moi-même un génie, je suis incapable de les repérer mais je m’incline devant la possibilité de leur existence. Ils résolvent tous les problèmes avec l’énergie monétaire venant d’une corne d’abondance dont ils ont le secret et ils n’ont donc plus besoin de l’énergie humaine que nous, pauvres mortels, avons uniquement à notre disposition. Ils peuvent donc faire gaspiller l’énergie de leur peuple en jogging et en salle de sport, la laisser inactivée par le chômage, laisser une grande partie de leur administration s’agiter pour donner l’impression qu’elle s’active, ou décréter l’énergie humaine accessoire par le confinement. Quelle importance puisque l’énergie monétaire s’occupe de tout pendant que le principe de précaution arrête tout ? Ils ont même donné à cette énergie un nom, le PIB. Et comme ce sont des génies, ils ont réussi à convaincre leurs peuples que cette corne d’abondance fonctionnait et qu’ils pouvaient aller au ski ou sur la Côte d’Azur. Je suis incapable de choisir entre m’agenouiller et dire « chapeau l’artiste ! ». J’en suis réduit dans ma médiocrité à attendre de voir comment ces génies vont garder active cette corne d’abondance. Dans cette attente je vais me contenter d’analyser les deux autres possibilités.

L’hypothèse des salauds est intéressante parce qu’elle passe par leur intelligence. Ils ont compris que l’énergie monétaire ne peut pas remplacer l’énergie humaine puisqu’elle en est issue; que si l’on fait croire au peuple que le progrès c’est s’enrichir davantage en travaillant moins grâce à la technique, il faut réinventer l’esclavage pour avoir l’énergie humaine indispensable, même et surtout s’il faut en plus en cacher l’existence. Ils savent que le système actuel ne peut durer et surtout qu’il sera très difficile d’expliquer le retour de l’esclavage quand on se gargarise de l’avoir éliminé. Ils savent donc que le système qu’ils ont fabriqué est en instance d’explosion et que les centaines de milliers de milliards de dette ne peuvent que croitre sans jamais baisser d’un seul centime puisque collectivement nous empruntons toujours plus que ce que nous consommons tellement nous nous voulons capables de rembourser demain. Il faut donc trouver à la fois le bouc émissaire de l’explosion inéluctable pour ne pas l’être soi-même alors que l’on s’en sait responsable, mais il faut aussi trouver une nouvelle organisation. Et bien sûr avoir le temps de mettre au point cette nouvelle organisation en restant aux manettes quelle que soit la couleur à la mode électorale. Ce n’est pas parce qu’ils ont raté l’organisation précédente qu’ils ne se sentent pas capables d’imposer la suivante. Inutile de donner des noms, tellement ils se présentent d’eux-mêmes à nos esprits. Le bouc émissaire est choisi, ce sera le Covid 19. Il n’est pas plus létal que beaucoup de microbes précédemment connus mais, en le stimulant un peu, en comptant chaque soir à la télé le nombre de morts avec Covid et surtout pas seulement ceux par Covid, on arrivera bien à faire suffisamment peur pour justifier un confinement qui lui, détruira inéluctablement le système sans que les salauds qui l’ont mis en place en soient rendus responsables. Il faudra certes prévoir par sécurité de maintenir la panique des peuples pour que le système explose bien en reconfinant si nécessaire, en inventant des freins multiples et variés à l’activité et en les imposant si le matraquage médiatique est insuffisant pour convaincre de l’intérêt de toutes ces mesures puériles. Plus l’activité s’arrêtera vite, plus le Covid sera à l’évidence le seul responsable de l’explosion en laissant en place pour la suite les vrais responsables du désastre imminent. Le plan B, à mettre en place simultanément à l’effondrement du système actuel et qui a déjà le nom évidemment anglais de « great reset » (la grande réinitialisation), est déjà vanté par l’ONU, le FMI et la BCE. Le détail en est prévu à Davos en janvier 2021. Il vise discrètement à une diminution drastique des habitants de la Terre, réduits dans une suppression des races et des civilisations, au rêve de zombies consommateurs électeurs jouisseurs dont la forme d’esclavage n’est pas encore claire dans l’esprit des salauds, mais dont la vie sera réglée par encore plus d’obligations et encore plus d’interdictions pour le bien de tous décrété par les salauds eux-mêmes, réunis dans leurs têtes dans un gouvernement mondial. On sait déjà que c’est à nouveau l’énergie monétaire qui sera mise à contribution mais cette fois par les vaccins et par les puces implantées. On ne change pas une équipe qui perd.

L’hypothèse des nuls est évidemment la plus tentante tellement elle vient naturellement à l’esprit en les observant se déhancher le cerveau pour donner l’impression d’avoir quelque chose à dire. Elle est peut-être trop tentante. Ils se sont tellement épuisés à atteindre la plateforme où ils se trouvent, qu’ils sont à mille lieues de comprendre ce qui se passe et qui ne les intéresse qu’anecdotiquement. Le peu d’énergie qui leur reste est à peine suffisant pour préparer leur réélection et pour travailler leur métier du faire croire dans lequel il faut reconnaitre leur compétence d’illusionnistes. Sur tout problème ils s’appuient sur les experts qu’ils ont nommés parce qu’ils étaient de bons courtisans et le but des uns comme des autres est simplement de tenir, d’être encore là après-demain. Résoudre un problème n’est le souci de personne. Faire croire qu’on s’en occupe et mieux, donner l’impression qu’on avance, là est leur cœur de métier qui les a fait élire. S’y rajoute depuis quelques années avec le rapprochement du désastre, le souci permanent de ne finir ni comme Louis XVI, ni comme Napoléon III, ni comme Pétain. Leur communication devient de plus en plus la plaidoirie qu’ils aimeraient entendre le jour où on leur rappellerait que le pouvoir qu’ils ont tant désiré les oblige à un minimum de responsabilité que les urnes ne sanctionnent plus depuis qu’elles sont corrompues par l’énergie monétaire qui fabrique les campagnes électorales.

Il reste encore une dernière possibilité, la plus triste et qui me fait infiniment plus peur que le Covid : celle de nuls manipulés par des salauds. Quand on voit défiler dans les médias des courtisans hâbleurs, affublés de titres de professeurs, il devient difficile de ne pas craindre que des salauds ne tirent les ficelles de ces marionnettes qui ne sont visiblement que des nuls. Les vrais experts ne sont pas invités et le peuple doit croire que le Covid est le coupable et que l’énergie monétaire va s’occuper de tout.

Vidéo

Le berger, les moutons, le mouton noir et le loup épouvantail…

Pour que des milliers de moutons soient dociles, soumis, obéissants il suffit de jouer soit sur la peur, soit sur leur besoin de sécurité.

Un berger explique ici et on peut faire un parralléle avec le peuple.

«Ils sont heureux d’avoir échappé au “méchant gros loup” et ils sortent tondus et contents.»

Il explique aussi ce que le berger doit faire du mouton noir qui ne veut pas rentrer dans la bergerie.

Xavier Louis de Izarra.

Vidéo

Derrière des blagues beaucoup de vérités…

CELUI QUI RÊVE EST VIVANT

J’ai passé plusieurs nuits blanches, en étudiant, en pensant, en créant, en stressant, en imaginant, en discutant, en célébrant.

J’ai passé beaucoup de temps avec un cahier dans la main, puis un téléphone portable en réfléchissant, en imaginant des hypothèses pour le jour suivant pouvoir partir à l’action afin de réaliser mes objectifs.

Vue depuis ma varanda ici à São Paulo, Brésil.

Au fur et à mesure que la nuit passe, le bruit des voitures commence à diminuer pour ensuite être remplacé par le gazouillement des oiseaux et puis on perçoit des choses qui sont imperceptibles durant la journée. On sent des choses différentes et puis viennent les premiers rayons du soleil.

L’aurore amène avec elle l’espoir d’un renouveau, une nouvelle chance pour que nos idéaux se concrétisent et que l’on puisse enfin s’arracher de la médiocrité et de la multitude croissante des mécontents.

J’aime beaucoup le silence de l’aurore et ce processus de renaissance qui crée énormément d’idées dans mon cerveau. Notre cerveau est quand même extraordinaire et on dirait que nos neurones ne se fatiguent jamais.

Lorsque nous rêvons, notre focus est dans le futur et dans la construction de notre futur. Mais lorsque le futur ne nous séduit plus nous vivons dans un présent rempli de regrets qui sont comme des morts-vivants qui nous réveillent. Réveillez-vous pour réaliser vos rêves. Qui a arrêté de rêver est déjà mort.

La bonne nouvelle c’est que dans un claquement de doigts les rêves apparaissent. Les rêves arrivent à croître entre les cailloux de notre monde aride, puis arrivent à vaincre l’amertume d’un soleil de plomb et dépasser l’ambiance hostile d’un mauvais entourage toxique. Cette jeune pousse se transforme déjà en un arbre gigantesque où les oiseaux pourront poser, se reposer et profiter de l’ombre de son robuste feuillage.

Ce sont justement ces oiseaux qui emmèneront les graines vers d’autres régions, au-delà du vent, vers d’autres terres, afin de porter l’espoir et la vie là oú la mort mène le jeu.

Je me rappelle encore d’un jour bien noir, durant lequel j’ai pensé que je n’arriverai pas à vaincre la pression. Mais je m’étais trompé car notre capacité de nous rénover est infini.

Je souhaite qu’aujourd’hui soit un jour de grande rénovation pour vos rêves.

La clé d’une équipe de succès c’est comment les membres interagissent et non qui compose cette équipe.

Cet article est la partie 1 de la gestion d’équipe que j’ai apprise dans les différentes entreprises que j’ai crée. En fait un entrepreneur est plus quelqu’un qui a appris à gérer ses émotions plutôt qu’un technicien. Bientôt je vais publier la partie 2.

Nous avons tous en tête un mythe que nous devons démolir : nous pensons que nous avons besoin de super héros dans nos boîtes. 

Bien sûr nous contratons des employés intelligents mais en fait si nous selectionnons des individus moyens ils auront des résultats qu’aucune super star n’arrive à obtenir.

La clé pour avoir une équipe performante est peu comprise mais elle est pourtant simple : tous les intégrants doivent sentir qu’on les écoute. Et le fait qu’ils décident ou non n’a pas d’importance. Ni le volume de travail ni la localisation. 

L’important, ce qui fait la différence  pour une équipe de succès c’est que chacun puisse sentir qu’on l’écoute.

Il existe en fait 5 points essentiels :

  1. La première est la plus importante : chacun doit se sentir écouté.
  2. L’équipe doit croire que son travail est important.
  3. Chaque membre de l’équipe doit sentir que son travail fait sens.
  4. L’équipe a besoin d’objectifs clairs et de fonctions bien définies.
  5. Les intégrants ont besoin d’avoir confiance les uns des autres.

Maintenant c’est à vous : allez y et bon travail d’équipe pour vous !