Comment améliorer vos compétences en négociation. Article de Gleb Tsipursky.

Les négociateurs, même professionnels, prennent étonnamment de mauvaises décisions qui condamnent des négociations qui auraient dû aboutir.
Beaucoup de ces erreurs sont liées à la surestimation de leur capacité à «lire» les sentiments et pensées des autres parties à la négociation.

Il en va de même dans la mesure où l’autre partie croit comprendre nos propres sentiments et pensées.
Par exemple, la recherche montre que les négociateurs qui ont cherché à dissimuler leurs désirs ont fait un meilleur travail qu’ils ne le pensaient.
À leur tour, ceux qui ont essayé de transmettre des informations à ceux avec qui ils ont négocié ont sur estimé leurs capacités à communiquer ces connaissances.

D’autres recherches scientifiques montrent que les négociateurs moins puissants sont plus enclins à des erreurs que ceux qui ont plus de pouvoir.
Les érudits appellent ce schéma mental erroné l’illusion de la transparence, se référant à surestimer dans quelle mesure les autres nous comprennent et dans quelle mesure nous saisissons les autres.
Cette tache aveugle mentale est l’une des nombreuses erreurs de jugement dangereuse.

Les chercheurs en neurosciences cognitives et en économie comportementale appellent ces angles morts cognitifs biais – que nous faisons en raison de la façon dont notre cerveau est câblé.
Nous commettons ces erreurs non seulement au travail, mais également dans d’autres domaines de la vie.

Par exemple, dans nos choix d’achat, comme le révèle une série d’études réalisées par un magasinsite de comparaison. Heureusement, des recherches récentes dans ces domaines montrent comment utiliser des stratégies pragmatiques pour remédier à ces erreurs de jugement dangereuses.

Il existe des solutions aux biais cognitifs dans votre vie professionnelle, vos relations et autresdomaines de la vie.

Vous devez évaluer où les biais cognitifs vous nuisent à vous et aux autres membres de votre équipe etorganisation. Ensuite, vous pouvez utiliser des méthodes de prise de décision structurées pour au quotidien prendre ces décisions rapidement. Faire des analyses plus approfondies pour les choix moyennement importants et énormément approfondies pour les choix prééminents.

De telles techniques vous aideront également à bien mettre en œuvre vos décisions et à formuler véritablement des plans stratégiques efficaces à long terme.

En outre, vous pouvez développer des habitudes mentales et des compétences pour remarquer les biais cognitifs et vous y prévenir.

Un exemple ci-dessous à suivre de mauvaise négociation qui s’est bien terminée.

J’ai observé un exemple précis de l’illusion de transparence lorsqu’une entreprise d’électricité m’a amené en tant que consultant pour servir d’intermédiaire en cas d’échec des négociations contractuelles entre la direction et le syndicat.

Les deux parties ont estimé que l’autre partie n’était pas disposée à négocier de bonne foi, demandant également beaucoup et donnant trop peu. Le syndicat a exigé des hausses de salaire substantielles, de solides protections de l’emploi et une meilleure retraite, et la direction a repoussé fermement à chaque demande.

Rapidement, j’ai remarqué que l’illusion de transparence inhibait gravement le progrès. Mes conversations privées avec des représentants des deux côtés ont montré que tous pensaient communiquer leurs positions efficacement. Ils pensaient avoir exprimé à la fois les domaines dans lesquels ils voulaient rester fermes et où ils se sentaient prêts à faire des compromis.

Pourtant, ces mêmes conversations ont montré de nombreux domaines d’accord et de flexibilité que ni l’un ni l’autre côté n’ont reconnu.

Pourquoi les deux parties n’ont-elles pas explicitement exposé leurs positions de manière approfondie et claire, de sorte quel’autre côté aurait compris où ils en étaient ? Parce qu’ils avaient peur que l’autre partie en profite s’ils avaient déclaré leurs vraies positions, y compris le minimum qu’ils accepteraient.

Les deux parties ont donc essayé de transmettre ce qui était le plus important pour elles en plaidant plus fermement pour des points spécifiques et moins fortement pour les autres. Ils pensaient que l’autre partie «comprendrait l’indice». Malheureusement, aucune des deux parties n’a fait allusion aux véritables priorités.

J’ai demandé à chaque partie d’utiliser la stratégie de prise de décision pour peser les priorités.

Après avoir déployé cette stratégie, les négociateurs syndicaux ont accordé la première priorité à la protection de l’emploi, en second lieu à de meilleures prestations de retraite et en troisième à une augmentation substantielle des salaires.

Les négociateurs de la direction ont utilisé la même stratégie et ont attribué la première priorité à l’absence d’augmentation de salaire, la deuxième à la diminution des prestations de retraite, et enfin une protection de l’emploi plus faible.

En clarifiant ces priorités, les parties ont pu trouver une marge de négociation. Le contrat final prévoyait une protection de l’emploi bien renforcée, une même retraite, et une légère hausse des salaires juste en dessous de l’inflation.

La direction a apprécié le résultat car elle n’a pas eu à dépenser autant d’argent pour la main d’oeuvre.

Les membres du syndicat apprécient la tranquillité d’esprit qui accompagne la protection de l’emploi, même s’ils n’ont pas obtenu la hausse de salaire qu’ils auraient souhaitée.

Le principal élément à retenir est que dans toute situation de négociation, vous surestimez très probablement le fait que vous avez expliqué clairement votre position à l’autre partie.

Vous êtes également probablement trop confiant quant à la façon dont vous comprenez la perspective de l’autre. L’autre partie fait très probablement les mêmes erreurs à votre égard. Un moyen simple de résoudre ces problèmes consiste à utiliser la stratégie de prise de décision consistant à afficher nos priorités et demander à l’autre partie de faire de même.

Ensuite, échangez vos priorités les plus basses contre les plus hautes et vice versa.Vous pouvez parvenir à un accord gagnant-gagnant où les deux parties ont réalisé les gains les plus significatifs et subissez le moins de pertes.

Article de Gleb Tsipursky

Où travailler quand on est jeune sans diplôme ?

Si j’avais 18 ans et 5 € dans la poche jamais je n’irais chercher un job.

J’irais chercher un produit avec lequel je puisse m’identifier pour le vendre, pour commencer, à mes amis d’école et voisins.

Avec le temps, viendra la croissance, l’expérience, un stock, une logistique, plus de ventes, une meilleure compréhension des clients, de la recherche, du branding, du marketing, des investissements...

Tout cela et beaucoup plus, à partir d’une activité au début petite et sans prétentions, d’un jeune encore sans grosses préocupations.

Pourtant cela serait la clé pour avancer vers la conquête de mes rêves, de grands apprentissages, de nouvelles portes qui s’ouvrent, de nouvelles connections.

Sinon, ce même jeune de 18 ans, esclave du job d’un tiers, serait juste un numéro de plus dans la masse.

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10 conseils pour vendre plus !

Certains secteurs ont reduits leurs depenses marketing pour controler leur tresorerie durant la crise du coronavirus.

Du coup des mots cles recherchés online sont moins chers et vous pouvez augmenter votre visibilité.

Je vous donne gratuitement ici dans cette video 10 conseils pour vendre plus.

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Les relations humaines fonctionnent comme cela :

Ce qui est plus important que « ce que vous dites » c’est « comment vous l’exprimez ».
Plus important que le thème ou l’idée c’est la manière dont c’est transmis qui importe.

L’empathie établie est plus importante que la technique.

L’initiative qui est produite, l’engagement, l’insight créé, le cœur gagné et la confiance établie sont plus importants que le contenu structuré.

Peu y parviennent.

Pour cette raison, la plupart lisent de nombreux livres, étudient divers sujets, consomment des contenus sans fin, collectent de nombreux certificats, et malheureusement le cœur reste froid, les yeux ternes, sans initiatives voire carrèment lâches.

Ils ne peuvent donc pas gagner la confiance de leur propre équipe, voire même pas en créer ou en conserver une.

L’art du leadership réside dans des facteurs non appris en classe, mais auprès de ceux qui ont cette « énergie » de transmettre.

Il ne se développe pas avec des certifications, ni avec des diplômes obtenus en répétant comme des perroquets, ni avec une méthodologie spéciale, mais avec ceux qui ont appris à écouter leurs propres émotions.

Le monde a besoin de plus de leaders !

11 conseils pour vendre plus 🤩

1 – Découvrez ce que veut le client.

La dernière feature du produit ne suffit pas à vendre.
Ce que votre client souhaite, c’est quelque chose qui puisse résoudre son problème.
Et si vous ne trouvez pas cette connexion, tout sera plus difficile. Comprenez votre client et donnez-lui ce qu’il cherche.

2 – Quels sont les avantages ?

Aussi simple que ça !
Trouvez ce qui sera bon pour votre client et concentrez-vous dessus. Rendez-le intéressé par votre produit mais en faisant en sorte que cela vienne de lui-même.

3 – Penser aux problèmes.

Soyez prêt à affronter tous types de problèmes.
Préparez-vous à tout type de difficulté et essayez d’y répondre avant même que les questions ne se posent. Décrivez les objections de vente et comment y répondre.

4 – Trouver des solutions.

Si vous identifiez les problèmes et les objections créez des options et des solutions permettant au client de ne jamais abandonner.

5 – Aider le client.

Souvent, le client ne sait pas ce qu’il veut.
Aidez-le à découvrir qu’il veut quelque chose, plus précisément « cette chose » que vous vendez. Comment ? En lui faisant tester différentes solutions.

6 – Construire la confiance.

Il est important que votre client vous fasse confiance.
Bien sûr, lors du premier achat, c’est compliqué, mais il faut dés le début créer une réputation de quelqu’un qui prend soin de des clients.

7 – Flexibilité, flexibilité et encore flexibilité.

Un bon vendeur est toujours prêt à s’adapter à la situation.
Plus le client a le sentiment que vous êtes préparé à ce qui se passe et que vous lui offrez un cadre sécurisant, plus il vous fera confiance.

8 – Ne sous-estimez personne.

Oubliez le temps oú il était possible d’envoyer balader ou d’arnaquer votre client.
Aujourd’hui sur internet tout le monde est plus attentif et inquiet, alors n’essayez de duper personne.

9 – Travailler la résilience.

Tirez des leçons de tout ce qui se passe.
S’il vous arrive quelque chose de négatif, ayez la force de continuer le combat.
Laissez le « non » derrière vous et avancez car un “oui” arrivera.

10 – Créer des stratégies.

Il ne sert à rien d’avoir une seule option.
Vous devez avoir des options et des produits qui conviennent à toutes les situations, obstacles et objections.

11 – Croire.

La première personne qui doit être convaincue de la qualité de votre produit doit être vous-même.
Si vous ne croyiez dans vos mots, personne ne vous croira.
Plus vous défendez vos idées avec enthousiasme, plus il est facile transmettre votre passion aux autres.

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De l’importance de parler d’argent avec ceux qui n’en n’ont pas.

Dans cette podcast je parle de questionner le tabou de l’argent et vous inviter à parler plus d’argent avec ceux qui n’en n’ont pas.

L’objectif étant d’ouvrir son esprit et d’être curieux.

Comment monnayer l’innovation pour qu’un max de gens l’utilisent?

Inventer des choses ne suffit pas si vous ne pouvez pas avoir une entreprise qui va apporter ces choses là au public pour rendre enfin cette invention bankable.

Larry Page a compris cela: ce n’était pas suffisant d’aider les gens à trouver ce dont ils avaient besoin sur Internet.

Cela devait être économiquement viable, autrement dit cette invention n’aurait jamais la force de devenir dominante sans étant monétisée.

Au début, l’un des points les plus importants de Google n’était pas sa capacité supérieure à fournir des résultats plus pertinents que d’autres boites qui faisaient aussi cela. D’autres moteurs de recherche, tels qu’Altavista et Yahoo, ont également obtenu des résultats jugés très pertinents à l’époque.

La clé de Google c’était sa capacité à se comporter comme une entreprise: à gagner de l’argent et à se fortifier.

Comment monnayer l’innovation pour qu’un max de gens l’utilisent ? C’est là oú les startups de succès sont très fortes pour en peu de temps atteindre un public énorme, durable et payant.

Altavista est devenu le leader du marché et même en étant très bien capitalisé mais il n’a pas compris comment gagner de l’argent et il est mort.

Larry Page a même abordé cette question dans une Interview oú il explique que l’invention doit générer un retour sur investissement: «L’invention ne suffit pas. Nikola Tesla a inventé la puissance électrique que nous utilisions, mais il était difficile d’avoir une adoption payante massive du grand public. Vous devez combiner deux choses: l’invention concentrée dans une entreprise qui commercialise les produits pour le maximum de gens ».

Les dernières années tragiques de Nikola Tesla par exemple sont tristes. Ce fut pourtant l’un des plus grands inventeurs de l’histoire humaine mais le serbe a passé des années dans l’oubli (bien que maintenant dans l’histoire il est réapparu grâce à Elon Musk).

Il ne voulait pas créer une grosse fortune. Il est venu travailler à Edison, aujourd’hui General Electric, l’un des principaux noms de l’entreprise jusqu’à être proche de Thomas Edison. Il a quand même fait beaucoup d’argent mais a finalement tout perdu.

Il a passé ses dernières années dans la tristesse et la folie: vivant dans une chambre d’hôtel oú il annonçait des innovations majeures, tout en nourrissant des colombes qu’il disait qu’elles étaient ses maitresses et regrettant que le banquier J.P. Morgan avait détruit sa vie.

N’ignorez pas l’aspect « business » de vos inventions. Tout cela doit être un gros avertissement pour vous. Vous ne pouvez pas vous concentrer uniquement sur l’innovation et oublier de faire de l’argent. Pour être un grand innovateur, vous avez besoin d’une entreprise qui vous permettra de monnayer votre innovation pour que le maximum de gens puissent l’utiliser.

Et vous ne devez pas dépendre de politique de court terme.

Alphabet (le nom de la société d’investissement au-dessus de Google) fonctionne comme ça : ses innovations sont toutes orientées vers la viabilité économique. Si un projet ne tient pas sur le marché, il est réinventé, redimensionné ou mis de côté comme Google Fiber, par exemple.

Larry Page sait que s’il ne tient pas compte de l’aspect «commercial» de son entreprise, ses inventions ne toucheront qu’un public restreint.

Donc, depuis très tôt dans l’histoire de Google, ils se sont inquiétés d’une chose: gagner de l’argent. Gagner de l’argent vous permet de remplir votre mission

Il y a un mythe (d’idéalisation de l’artiste) selon lequel l’inventeur doit généralement suivre la mission sans se soucier de gagner de l’argent mais c’est ridicule. Les rêves ne nourrissent pas les enfants, ne payent pas les employés et n’attirent pas les investisseurs. Oubliez votre idée de pitcher votre idée sans tester le marché !

Avoir de bonnes recettes financières est la formule pour tout cela en fait. Gagner de l’argent est hautement nécessaire pour que vous remplissiez votre mission. Cela ne fait pas nécessairement de vous un « mercenaire ». C’est travailler la durabilité de votre entreprise.

Pour cela, il est nécessaire d’écouter les demandes du marché. Commencez petit, validez vos idées, créez un produit et commencez à vendre et à facturer.

Toutes mesures sont bonnes pour que, dès le départ, vous puissiez créer une entreprise qui a du sens. Vous devez transformer le monde et pour cela, commencez à vous transformer et à transformer les gens autour de vous.

Ne pas se concentrer uniquement sur l’innovation de produit, qui sans la monnétisation appropriée fera que personne n’utilise ou paie pour l’utiliser.

Être un grand leader à cet égard c’est avoir une vision et être commercial.

Suivez le journal de bord d’un entrepreneur: http://www.antoinebachelinsena.com

Aimez vous tout contrôler ?

On m’a demandé une fois, « vous considérez-vous comme un monstre obsédé du contrôle? » J’ai répondu, « oui je le suis totalement et sans aucun doute. » Nous allons définir le contrôle dans cet article.

J’aime le contrôle, le contrôle des situations, des objectifs, des résultats. J’adore cela ! Les seules personnes qui n’aiment pas le contrôle sont celles qui ne l’ont pas ou qui l’ont mal utilisé dans le passé.

Si vous ne voulez pas de contrôle, pourquoi? Vous ne voulez pas de pouvoir? Vous ne voulez pas prendre des décisions?

Tous mes modèles en grandissant étaient prêts à exercer un contrôle. Qui n’aime pas et n’admire pas la personne au contrôle, le super-héros qui se met en danger pour résoudre les problèmes, protéger les gens et sauver le monde?

James Bond, par exemple, a tout l’équipement nécessaire. Il est également toujours en train de tout contrôler en étant même prêt à ignorer l’autorité pour faire la bonne chose, et il est même plus dangereux que les méchants !

La différence entre le succès et l’échec est que le succès prend la situation en place et la fait fonctionner à son avantage.

Le contrôle n’est jamais une mauvaise chose sauf si vous ne controlez rien.

Le contrôle vient de la préparation et de la prise en charge de vos résultats.

En analysant, ceux qui réussissaient étaient – à un moment ou à un autre de leur vie – prêts à se mettre dans des situations inconfortables, alors que ceux qui échouaient recherchaient le réconfort dans toutes leurs décisions.

Si vous n’êtes pas à l’aise du fait de prendre le contrôle, vous devez aprendre à surmonter vos sentiments.

Décidez de prendre le contrôle même de l’inconfortable. C’est justamente là où vous aurez le plus de résultats significatifs.

Soyez prêt à être mal à l’aise, et faites ce qui rend les autres mal à l’aise en sachant que la plupart des gens ne s’aventureront jamais dans l’inconfortable et ne le contrôleront jamais.

Allons plus loin. Si je dirigeais le monde; et j’adorerais diriger le monde; je ferais plusieurs choses:

  • Plus de salaire minimum. Désolé, mes amis smicards mais tout dans la vie est une vente et tout ce que vous gagnez est une commission. Vous commencerez à gagner beaucoup plus lorsque vous devrez tout gagner. Ce ne sera pas facile mais vous me remercierez plus tard.
  • La vente serait enseignée dans chaque école. Il est ridicule que l’on nous enseigne seulement certaines matières à l’école en négligeant des compétences plus pratiques et qui changent la vie.
  • L’université publique n’existerait plus. Elle deviendrait privée, payante, plus spécialisée et réservée aux quelques privilégiés qui le veulent ou qui en ont besoin, et non pas à tous les 18 ans comme quelque chose qu’ils doivent faire. Aujourd’hui à 25 ans ils étudient encore des choses générales, trop de théorie et rien de pratique. Trop de gens rentrent dans la vie active à presque 30 ans.
  • Plus de gens porteraient des armes. Plus de gens qui portent des armes seront plus de gens prêts à mettre un terme au mal. Ceux qui ne combattent pas le mal contribuent au mal. Le mal persiste quand les bonnes personnes ne font rien. Chargez vos guns mes amis.
  • Réduction des taxes et du nombre de fonctionnaires publics. L’état vous vole et gaspille ensuite.

Si vous voulez m’appeler un monstre obsédé du contrôle, je considère que c’est un compliment.

Prenez le contrôle d’abord de votre propre vie et ensuite vous pouvez commencer à contrôler plus du monde.

Quelles sont les connaissances basiques du droit pour entreprendre ?

Ma réponse à une question posée sur Quora… Droit d’entreprendre ?

La question c’est quelles sont les connaisances basiques de droit qu’un entrepreneur doit connaître ?

Plus important que d’étudier le bouquin du droit pour les nuls un entrepreneur c’est quelqu’un qui doit avoir une vision globale dans le plus de domaines possibles.
Mais attention, cela doit être fait pas à pas et dans la pratique c’est à dire au quotidien du développement de l’entreprise face à des problèmatiques précises. Je ne suis pas pour chercher sur Wiki l’histoire du droit latin.

L’intérêt c’est de faire des recherches sur des questions temporaires de notre boîte pour avancer sans être à la merci d’un avocat ou prof ou conseiller ou consultant “chaman » dont vous accepteriez tout comme parole divine pour prendre vos décisions.

Savoir faire des recherches est quelque chose d’important à savoir faire. Mais au final un entrepreneur c’est quelqu’un qui a une vision singulière.
Les entrepreneurs ne sont pas des spécialistes tout comme Steve Jobs qui n’a jamais écrit une seule ligne de code durant toute sa vie.

Un entrepreneur est quelqu’un qui doit savoir jongler avec les discours et raisonnements différents de chaque département que ce soit contentieux, ressources humaines, vente, technologies d’information etc mais aussi jongler avec les attentes du marché, l’amélioration du produit et mille autres choses.

Connaître le droit ? En fait ce n’est pas le core business d’un entrepreneur. Qu’est-ce qui est le plus important pour Uber : le droit international c’est à dire le droit des états ou alors la vision long terme du fondateur pour que l’entreprise grandisse ? La réponse c’est la vision long terme.

Ne vous embêtez pas à vous spécialiser. Oubliez le droit et concentrez-vous sur votre vision d’entreprise. Une fois que vous aurez votre croissance à ce moment payer un avocat ce sera vraiment un détail de rien du tout. Ce sera comme cliquer sur un bouton et puis justement grâce à l’intelligence artificielle on aura accès en une micro secondes à 100 million de cas du droit analysés automatiquement et nous proposant une réponse pour notre cas spécifique. Confiez les tâches fastidieuses à des machines.

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La curiosité de connaître d’autres façons de vivre.

Je vis au Brésil depuis 2011 et chaque fois que quelqu’un réclame des taux d’intérêt brésiliens qui sont trop élevés (et ils le sont), je dis qu’en raison de cela, tous les $br que vous économiserez généreront l’un des plus hauts retour sur investissement du monde ! Dans ce scénario, ceux qui ont une bonne éducation financière auront des héritiers plus heureux.

Chaque fois que vous voulez vous plaindre de la mauvaise qualité des services dans les pays en développement, rappelez-vous qu’il est beaucoup plus facile que dans les pays développés de créer des entreprises qui résolvent les problèmes sans fin que nous voyons de tous les côtés.

Quoi d’autre est mauvais au Brésil ? Partout où vous regardez, il y aura une chance de changer votre destinée.

« Mais, Antoine, je n’ai pas de capitaux! »

Bienvenue dans le club. De nombreux entrepreneurs comme vous et moi non plus. Vous n’êtes pas le seul à devoir commencer sans $. Et puis si vous n’arrivez vraiment pas à bootstraper ne nous envoyez même pas un pitch deck à Bachelin Sena Venture Capital !

Mais voici tout de même une liste de moyens pour vous aider à démarrer et générer votre capital:

1. Créez le projet et vendez une participation (%) à un ami qui a plus de $ pour être votre partenaire.

2. Un prêt, que ce soit de quelqu’un de proche (love money) ou de banque (plus risqué).

3. Commencez à vendre un produit et organisez votre capital (à moyen terme).

4. Si vous êtes déjà hautement qualifié, il est possible de contacter un investisseur institutionnel. Ils n’investissent pas dans les idées, ils investissent dans les gens!

Pensez grand, mais commencez petit. Un autre conseil, soyez bons en vente. C’est le meilleur chemin pour les personnes ayant peu de capitaux. Lorsque vous vendez, votre client est celui qui finance. Kick  starter c’est encore plus extrème : cela finance des «produits» qui ne sont même pas encore crées !

Ne vous offensez pas. Partager ma vision est mon engagement pour toujours.

Entreprendre c’est comme voler librement dans les cieux d’un monde dangereux. Le fait de ne pas entreprendre c’est comme être piégé dans une cage et se sentir protégé par les grilles.

Personne n’est mieux que quiconque, mais ceux qui veulent plus de vie (quand je dis plus c’est plus de choix, plus de temps, plus de liberté, plus d’argent, plus de rêves..etc) n’ont qu’une seule alternative: entreprendre.

Le monde nous a formés pour rester à l’intérieur de la cage, et être nourri par les miettes une fois par mois, rêver de gagner à la loterie ou juste de révasser à ses prochaines vacances ou que son fils devienne le nouveau Neymar.

Ceux qui osent savent que la porte de la cage est déjà ouverte. Il suffit juste d’avoir le courage de sauter et de voler.
Pensez-vous que c’est trop risqué? Une franchise d’une marque bien établie peut être une alternative plus sûre.

L’importance de prendre soin de soi pour prendre soin de son business.

Avoir du temps pour soi et faire ce qui bon nous semble de notre temps sont les raisons pour lesquelles j’ai appris à devenir entrepreneur.

Entreprendre c’est se lever à l’heure qu’on veut et aller oú on le souhaite sans horaires, avec la seule obligation d’être heureux et de faire ce que l’on aime. 

C’est tout choisir.

Entreprendre c’est choisir sa vie

C’est la vie que tous devraient vivre en s’échappant…

– Des prisons bureaux fermés avec un horaire pour sortir et pour rentrer, 

– Des néons lugubres artificiels loins de la nature et de l’air libre, 

– Des réclamations des chefs et des collègues que l’on n’aime pas et que l’on ne choisit pas mais que nous sommes “obligés” de voir, 

– Des lieux où personne ne prend en compte vos idées, vos suggestions, ou votre point de vue,

– Des transports publics en retard, en grève et où trop d’esclaves modernes sont entassés,

– Des objectifs d’autres personnes qui ne sont pas nos objectifs et qui ne nous permettent pas de réaliser nos rêves les plus fous,

– Des lundis matins et de la routine triste sans buts où aucun changement n’est perçu,

– Des salaires qui ne bougent pas alors que le coût de la vie augmente constamment… 

Alors allez y changez de vie maintenant même : décidez vous de CHOISIR !

Explosez votre taux de réussite !

1/ Définissez votre objectif, ce que vous voulez (marquez-le sur une feuille de papier).

2/ Définissez exactement l’opposé de votre objectif en 1 mais soyez très précis.

3/ Imaginez une situation qui incarne ce que vous ne voulez pas (mettez les choses en perspective)

4/ Une fois cette situation défini, énumérez les problèmes auxquelles vous êtes confrontez, comme ceci:

Problème 1

Problème 2

Problème 3

5/ Trouver pour chaque problème une solution, ainsi:

Problème 1 = solution 1

Problème 2 = solution 2

Problème 3= solution 3

6/ Pour chaque solution trouvée, identifiez quelle est la compétence/outil qui vous permet de trouver la solution:

Problème 1 = solution 1= compétence 1

Problème 2 = solution 2= compétence 2

Problème 3= solution 3= compétence 3

Répétez ce processus et vous trouverez des nouvelles idées au fil du temps.

La puissance de cette méthode repose dans le fait qu’elle ne se focalise pas sur ce que vous voulez mais plutôt elle identifie les compétences à obtenir pour solutionner les problèmes que vous ne voulez pas.

Et à 80% ce sont eux qui vous empêchent d’obtenir ce que vous voulez … 

Si vous vous concentrez sur eux en relâchant le reste vous allez explosez votre taux de réussite !​