«Le meilleur investissement de ma vie c’est : une chaise de plage.»

Pour expliquer le titre de cet article : quand j’avais 20 ans c’est ce que m’avait dit un ami investisseur français multimillionnaire qui habitait un magnifique triplex face à la plage à Rio de Janeiro.

Il ne m’expliquait pas ce qu’il faisait dans la vie, à part rénover ce triplex et avoir des investisseurs qui faisaient travailler son argent.

Je pensais qu’il se moquait de moi et que c’était une blague mais en fait c’est une jolie parabole.

On passe nous journées à la plage à Rio et louer une chaise de plage tout le temps demande de l’argent (moi je mettais souvent ma serviette à même le sol) et avoir sa chaise longue pliante à soi fait sens. Mais au-delà de cela il voulait signifier pas mal de choses sur sa philosophie de vie et ce n’était pas une blague anodine.

Je l’avais juste connu cette après midi sur la plage et je n’ai pas gardé contact ni son nom car à l’époque la réussite matérielle n’était pas mon objectif (je vivais dans le temple bouddhiste zen soto de Copacabana, Eininji, avec la sangha de Ryotan Tokuda Roshi, dans une ancienne maison au début de la favela de Cantagalo). Si voulez, lisez ici : business et méditation.

Aujourd’hui j’aimerais bien savoir son nom et ce qu’il fait mais peut être que c’est mieux de ne pas le savoir car cela m’a rendu autodidacte, seul Dieu sait. Peut être que je n’aurais pas fait cela : http://investirbresil.fr

La parabole que nous appellerons de chaise longue de plage montre finalement la simplicité, que nous n’avons pas besoin de grand chose. Que le bonheur ne demande pas beaucoup d’argent mais une décision inteligente. Peut être que c’est cela qu’il voulait me dire à l’époque à moi qui était pourtant intéressé par les bien matériels mais trop orgueilleux pour le reconnaître et pour lui demander comment il faisait.

L’humilité de demander, de savoir reconnaître que l’on ne sait pas est un tabou dans notre société où tous voulons briller et apparaître. Mais nous perdons des opportunités de cette façon arrogante et c’est extrêmement dommageable.

On a besoin de très peu en fait. Des fois je me dis que je devrais tout vendre et vivre à la campagne avec des poules dans une maison de bois. Et vivre des fruits et légumes plantés et des oeufs des poules, de la pêche etc. Peut être que je ferais cela à un moment de ma vie qui sait.

Il y a des personnes qui nous disent des choses importantes que l’on ne prend pas au sérieux et d’autres qui nous disent des choses non importantes que l’on prend au sérieux.

L’important c’est nous qui le définissons et qui avançons dans notre vie avec ce que l’on peut.

Par exemple lorsque j’ai rencontré en Australie en 2010 dans un shopping un milliardaire australien qui possédait plusieurs mines et que je l’ai reconnu de magazines et je l’ai abordé en lui demandant comment être milliardaire il m’a dit de persister et que c’était la clé. Peut être cela paraît bateau, cliché, cul-cul la praline, peu profond, et du développement personnel bidon pas cher mais cela faisait sens pour moi. Cela faisait énormément de sens pour que je continue à avoir les forces dans ma lutte journalière épuisante émotionnellement.

L’important c’est que cela raisonne pour nous.

Parabole de l’herbe bleue.

Un âne dit au tigre:

– L’herbe est bleue….

Le tigre rétorque:

– Non, l’herbe est verte….

La dispute s’envenime et tous deux décident de la soumettre à l’arbitrage du lion, « le roi » de la jungle….

Bien avant d’atteindre la clairière où le lion se reposait, l’âne se met à crier :

– Votre Altesse, n’est-ce pas que l’herbe est bleue ?

Le lion lui répond:

– Effectivement, l’herbe est bleue.

L’âne se précipite et insiste:

– Le tigre n’est pas d’accord avec moi, il me contredit et cela m’ennuie… S’il vous plaît, punissez-le !

Le lion déclare alors:

– Le tigre sera puni de 5 ans de silence….

L’âne se met à sauter joyeusement et continue son chemin, heureux et répétant:

– L’herbe est bleue… L’herbe est bleue…

Le tigre accepte sa punition, mais demande une explication au lion:

– Votre Altesse, pourquoi m’avoir puni ? Après tout, l’herbe n’est-elle pas verte ?

Le lion lui dit:

– En effet, l’herbe est verte….

Le tigre, surpris, lui demande:

– Alors pourquoi me punissez-vous ?

Le lion lui explique :

– Cela n’a rien à voir avec la question de savoir si l’herbe est bleue ou verte…

Ta punition vient du fait qu’il n’est pas possible qu’une créature courageuse et intelligente comme toi ait pu perdre son temps à discuter avec un fou et un fanatique qui ne se soucie pas de la vérité ou de la réalité, mais seulement de la victoire de ses croyances et de ses illusions….

Ne perds jamais de temps avec des arguments qui n’ont aucun sens…

Il y a des gens qui, quelles que soient les preuves qu’on leur présente, ne sont pas en mesure de comprendre…..

Et d’autres, aveuglés par leur ego, leur haine et leur ressentiment, ne souhaiteront jamais qu’une seule chose : avoir raison même s’ils ont tort…

Or quand l’ignorance crie l’intelligence se tait.

Car ta paix et ta tranquilité n’ont pas de prix.

Ce que l’intelligence artificielle nous dit de la fabrique de la désinformation. Par Peter Columns.

Aujourd’hui, nous baignons dans la désinformation permanente. Cette désinformation est principalement émise par les médias traditionnels, encore largement dominants dans la fabrique de l’opinion publique. Pourtant, il est très rare de pouvoir accuser directement un média traditionnel de fabriquer de fausses informations. Mais alors, comment se fabrique cette désinformation au quotidien?

De manière surprenante, l’Intelligence Artificielle nous donne beaucoup de réponses sur la psyché humaine et la façon dont les médias utilisent ses biais pour installer une fausse image de la réalité dans l’opinion publique majoritaire.

Table des matières :

  1. Comment l’industrie de la désinformation fonctionne t-elle?
  2. Comment est construit et maintenu cet imaginaire?
  3. Ce que l’Intelligence Artificielle nous apprend de l’humain.
  4. DeepDream, l’exemple d’un biais cognitif similaire à l’humain chez la machine.

1) COMMENT L’INDUSTRIE DE LA DÉSINFORMATION FONCTIONNE T-ELLE?

Prenez un fait entier, sans rien omettre, puis découpez-le en retirant tout ce qui représente une gêne pour vous. Puis, présentez ce découpage que vous aurez réalisé à vos téléspectateurs. Automatiquement, les trous que vous aurez laissés seront comblés à partir de l’imagination de votre auditoire. Mais de quoi est faite cette imagination? Elle est faite le plus souvent faite de préjugés que vous aurez instillé à votre public en amont.

La première chose à comprendre est qu’une information sera toujours par nature incomplète. Une information en soi est toujours stérile. Elle est une simple graine qui se déploie dans le cerveau de l’interlocuteur en puisant dans son imaginaire et ses connaissances déjà acquises. La communication repose toujours sur la faculté de l’individu à intégrer une information dans une toile plus vaste. C’est ce qui donne du sens aux choses, et c’est aussi la raison pour laquelle chaque personne interprétera de façon unique une seule et même information.

Dans le processus de la cognition, il est naturel de délivrer une information incomplète, souvent par manque de temps, en pouvant compter sur l’interlocuteur pour combler habilement tous les trous.

Il ne s’agit alors pas de biaiser l’information mais simplement de rendre le processus de communication le plus efficace possible en se reposant sur les facultés d’interprétation de l’interlocuteur.

Mais si l’on souhaite se tourner vers le domaine de la désinformation, c’est tout un processus que l’on peut souhaiter maitriser: à la fois l’information qui est délivrée mais aussi l’imaginaire qui recevra et interprétera l’information.

Il s’agit donc d’abord de réduire l’information considérablement. Un bon commencement est de retirer ou de changer les noms des criminels dans les faits divers, par exemple, afin de masquer toute origine ethnique des agresseurs.

Un tel processus se caractérise par une qualité d’information extrêmement pauvre. L’information est l’élément perturbateur dans le processus de désinformation. Issue de la réalité et très difficile à falsifier, réduire sa portée est donc une priorité pour le manipulateur.

Plus la qualité de l’information est réduite, plus l’imaginaire tient un rôle prépondérant, plus celui qui maîtrise cet imaginaire garde le contrôle global.

Ce procédé habile est le modus operandi dans les médias traditionnels. La rétention d’information est savamment orchestrée pour laisser faire l’imagination du public, un imaginaire que l’on garde sous contrôle par la répétition d’éléments de langage sans factualité.

2) COMMENT EST CONSTRUIT ET MAINTENU CET IMAGINAIRE?

Dans le cadre d’une manipulation, cet imaginaire est construit à partir de la somme des préjugés que vous aurez instillé à votre public en amont.

L’imaginaire des téléspectateurs est gardé sous contrôle de trois façons différentes.

A- L’utilisation de la fiction via les séries télévisés, les talkshows, les films, les romans, les spots publicitaires, les campagnes de prévention, etc. Il n’est pas rare non plus que parfois, la distinction entre la fiction et l’information ne soit plus faite. C’est ainsi le cas pour les très nombreux films ou livres français se présentant comme des “œuvres” décrivant une réalité par la fiction.

B- L’utilisation de l’effet de loupe. Très souvent, il est utilisé une petite sélection de profils triés sur le volet pour cacher une vérité statistique. L’imaginaire est ainsi construit à partir de cette infime sélection. L’effet de loupe se cumule souvent à l’utilisation de la discrimination positive. Les profils ne sont parfois pas simplement sélectionnés mais construits. Loin de vouloir servir une quelconque notion d’égalité, dont le principe de discrimination positive est la négation, ce type de dispositif vise la création de ce vivier réduit mais exploitable.

C- La répétition constante des mêmes omissions. Ce phénomène de renforcement créé la confiance de la personne dans l’information partielle auto-complétée qu’il a acquise. Le principe de répétition est essentiel car cet imaginaire se construit par renforcement. Parti de rien, il se gorge de ces faits découpés. Ainsi, il n’est pas rare de voir des gens nier la réalité des chiffres et des faits révélés, car ils auront toute cette inertie derrière eux.

Ainsi, de cette façon, vous pourrez diffuser sur vos antennes à longueur de journée des mensonges complets sans falsifier quoi que ce soit.

3) CE QUE L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE NOUS APPREND DE L’HUMAIN.

En vérité, le cerveau n’est pas un outil très élaboré pour traiter des faits. Il fonctionne avant tout par renforcement. Dans un réseau neuronal artificiel, ce phénomène est nommé la rétropropagation.

La chose essentielle à comprendre est qu’une information ne se contente par d’être une information. Une information structure la façon de penser de la machine comme de l’humain pour établir une façon de penser particulière.

Dans un réseau neuronal artificiel, les connexions sont altérées par le renforcement d’une information. Un réseau neuronal artificiel ne peut se redéfinir que par la détection d’une incompatibilité entre la réalité et le résultat qu’il anticipait. Lorsqu’un tel écart est détecté, la rétropropagation propage cette erreur dans tout son réseau pour redéfinir les connexions neuronales.

Or, voilà le biais d’un tel mécanisme: plus l’erreur sera importante et interviendra à une étape avancée de l’apprentissage, plus la rétropropagation sera douloureuse. Dans un tel mécanisme de renforcement, il est extrêmement coûteux (donc réellement épuisant physiquement) pour la machine comme pour l’humain de revenir sur un conditionnement.

Pour une machine, l’apprentissage sera la lecture d’un jeu de données. Pour l’humain, l’apprentissage sera la répétition d’omissions courantes par les médias.

Lorsque par exemple, Alain Finkelkraut, se fit insulter et menacer par un islamiste qui lui cria sa haine des juifs lors de manifestations de Gilets Jaunes, les médias ont tue l’identité de l’agresseur pour laisser faire l’imaginaire des citoyens, dans la certitude qu’ils associeraient cette agression à l’extrême-droite, sans factualité. Ce fut un pari réussi jusqu’au deuxième passage d’Alain Finkelkraut dans les médias qui rappela le fait le plus élémentaire qu’aurait du contenir l’information à l’origine, ce que n’avaient pas fait les médias à dessein.

4) DEEPDREAM, L’EXEMPLE D’UN BIAIS COGNITIF SIMILAIRE À L’HUMAIN CHEZ LA MACHINE.

Dans le cadre de ses recherches en Intelligence Artificielle sur les réseaux neuronaux, Google a présenté un projet atypique. Le projet, DeepDream, consiste à montrer une image à la machine, une image qu’elle ne connait pas du tout, une image qui sort totalement du cadre de ce pour quoi la machine a été entrainée. Par exemple, on montrera des images de nébuleuses ou de pizzas à une IA capable uniquement de reconnaitre des chiens. Sans surprise, c’est une myriade de chiens que l’IA reconnaitra dans le magma picturale qui lui est présenté.

Une IA entrainée dans le cadre d’un apprentissage par renforcement, confrontée à ce qu’elle ne connait pas, comblera toujours le vide par ce qu’elle connait. Il en ira de même pour l’humain. C’est exactement par ce mécanisme que la désinformation par omission se verra automatiquement complétée par l’humain et considérée comme valide. Dans un bon mensonge par omission, l’essentiel est alors de construire cet apprentissage par renforcement sans base factuelle.

Une fois cet entrainement effectué, le sujet conditionné ne sera plus capable d’en sortir qu’au prix d’un effort incommensurable. Il sera condamné à voir pour le restant de ses jours des têtes de chiens sur des images de pizzas et de nébuleuses.

Un autre exemple d’Intelligence Artificielle par renforcement est également intéressant. Il s’agit de la retouche de photos. En effet, l’utilisateur peut sélectionner une zone de sa photographie pour éliminer un élément graphique déplaisant (telle qu’une personne en arrière plan sur une photographie à la plage). L’IA fera appel à son conditionnement pour combler le vide, et proposer une mer ultra-réaliste en remplacement.

Article de Peter Columns disponible ici.

Les 7 raisons pour lesquelles nous obéissons aux autorités. Article de Phillip Schneider.

Les rebelles sont une partie très importante de la société, mais ils obtiennent rarement la reconnaissance qu’ils méritent.

Ils nous aident à briser les anciennes normes et nous empêchent de tomber dans la pensée de groupe.

Cependant, la nature humaine pousse la plupart d’entre nous à rester dans notre zone de confort, même si cela signifie moins de liberté ou des problèmes plus difficiles à résoudre.

Pourquoi tant de gens ignorent le monde extérieur ou le font passer pour le problème de quelqu’un d’autre jusqu’à ce qu’il atteigne leur propre porte ?

Dans une vidéo récente, Brittany Sellner (Brittany Pettibone avant son mariage) décrit les sept raisons pour lesquelles les hommes obéissent à l’autorité, même lorsque c’est contre leur intérêt.

#1 Habitude

Comme chacun le sait, les habitudes sont extrêmement difficiles à rompre et même si nous avons des griefs sur l’état des choses, accepter notre réalité imparfaite nous semble préférable à la perspective décourageante du changement. À contrario… l’habitude cesse d’être un motif d’obéissance en temps de crise politique ; un peu comme ce que nous vivons actuellement à la suite du Covid. Bien que beaucoup d’entre nous ne voulaient pas changer leurs habitudes, celles-ci ont été modifiées de force pour nous.

#2 Obligation morale

La deuxième raison d’obéir est l’obligation morale qui est évidemment un motif que l’on trouve très souvent dans la religion, mais politiquement parlant… certains la considèrent comme une obligation morale de « 1) obéir pour le bien de la société », 2) « parce que le dirigeant a des facteurs surhumains tels qu’un être surnaturel ou une divinité », ce qui ne s’applique pas, à mon avis, à un trop grand nombre d’Américains… 3) Les gens considèrent qu’il s’agit d’une obligation morale d’obéir parce qu’ils « perçoivent le commandement comme étant légitime, du fait qu’il émane d’un émetteur ». Par exemple, un maire ou un officier de police [serait considéré comme tel], et 4) Les gens considèrent qu’il s’agit d’une obligation morale d’obéir en raison de la « conformité des ordres aux normes acceptées ». Par exemple, la plupart des gens pensent qu’un ordre tel que celui de ne pas commettre de meurtre est un ordre moral et, par conséquent, ils le respectent.

#3 Intérêt personnel

La troisième raison de l’obéissance est l’intérêt personnel et c’est peut-être l’un des motifs les plus courants de nos jours. Par exemple, la plupart des grandes entreprises sont immorales et cherchent à se servir des tendances sociales et politiques actuelles pour gagner de l’argent, un statut et l’approbation. Il suffit de regarder toutes les entreprises qui sont soudainement devenues des « champions de la justice sociale » après la mort de George Floyd ; aucune d’entre elles ne s’est souciée de la brutalité policière et de Black Lives Matter avant qu’il ne devienne dans leur intérêt de s’en préoccuper.

Cet intérêt personnel peut bien sûr s’étendre aux individus. Les personnes célèbres et non célèbres ont beaucoup à gagner en s’alignant, ou… il y a aussi un intérêt personnel négatif dans lequel la personne n’obéit pas simplement parce qu’elle va gagner quelque chose mais pour qu’elle ne perde pas tout : sa réputation, son emploi, son statut social et ses perspectives de carrière.

#4 Identification psychologique avec le dirigeant

La quatrième raison de l’obéissance est l’identification psychologique avec le dirigeant, ce qui signifie que les gens ont un lien émotionnel étroit avec le dirigeant, le régime ou le système. J’imagine que vous auriez rencontré beaucoup de ces situations dans la Russie communiste ou l’Allemagne nazie, par exemple.

#5 Zones d’indifférence

Le cinquième motif d’obéissance est extrêmement courant aujourd’hui : il s’agit des « zones d’indifférence », ce qui signifie que même si les gens ne sont pas pleinement satisfaits de l’état des choses, ils ont une marge d’indifférence ou de tolérance pour les aspects négatifs de leur société et de leur gouvernement.

#6 La peur des sanctions

La sixième raison de l’obéissance est la plus évidente… et c’est la « peur des sanctions », qui implique généralement la menace ou l’utilisation d’une forme de violence physique contre le sujet désobéissant et incite à l’obéissance par un pouvoir simplement coercitif, un pouvoir qui agit réellement sur les gens simplement par leurs craintes.

#7 Absence de confiance en soi

Enfin, la septième et dernière raison de l’obéissance est l’absence de confiance en soi chez les sujets, ce qui signifie que beaucoup de personnes n’ont tout simplement pas suffisamment confiance en elles, en leur jugement et en leurs capacités pour se rendre capables de désobéir et de résister.

Grâce au web, j’observe ce motif assez souvent. Des milliers de personnes décrient quotidiennement qu’elles sont malheureuses de l’état des choses et pourtant elles ne font rien parce qu’elles n’ont pas confiance en leur capacité personnelle à diriger, à organiser une manifestation pacifique, à lancer un mouvement, etc.

Bien que l’autorité puisse être légitime et significative, la résistance à des actes de violence inutiles ou à l’injustice draconienne du gouvernement est souvent meilleure pour l’individu et la société et montre plus de caractère que l’inaction.

Bien que cette liste ne soit certainement pas exhaustive, elle vous aidera peut-être à mieux comprendre votre propre rôle dans la vie et dans la société.

Article de Phillip Schneider.

Où travailler quand on est jeune sans diplôme ?

Si j’avais 18 ans et 5 € dans la poche jamais je n’irais chercher un job.

J’irais chercher un produit avec lequel je puisse m’identifier pour le vendre, pour commencer, à mes amis d’école et voisins.

Avec le temps, viendra la croissance, l’expérience, un stock, une logistique, plus de ventes, une meilleure compréhension des clients, de la recherche, du branding, du marketing, des investissements...

Tout cela et beaucoup plus, à partir d’une activité au début petite et sans prétentions, d’un jeune encore sans grosses préocupations.

Pourtant cela serait la clé pour avancer vers la conquête de mes rêves, de grands apprentissages, de nouvelles portes qui s’ouvrent, de nouvelles connections.

Sinon, ce même jeune de 18 ans, esclave du job d’un tiers, serait juste un numéro de plus dans la masse.

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Vidéo

Le berger, les moutons, le mouton noir et le loup épouvantail…

Pour que des milliers de moutons soient dociles, soumis, obéissants il suffit de jouer soit sur la peur, soit sur leur besoin de sécurité.

Un berger explique ici et on peut faire un parralléle avec le peuple.

«Ils sont heureux d’avoir échappé au “méchant gros loup” et ils sortent tondus et contents.»

Il explique aussi ce que le berger doit faire du mouton noir qui ne veut pas rentrer dans la bergerie.

Xavier Louis de Izarra.

Vidéo

Les sujets non enseignés à l’école ni à l’université.

Mon livre est disponible sur Amazon :

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Du temps libre vaut + que de l’argent !

Tout le monde dit que le temps, c’est de l’argent. Ok oui ça c’est simple. Mais ce que la majorité ne sait pas c’est qu’il faut faire la différence expliquée dans cet article entre acheter du temps pour soi et vendre son temps pour de l’argent. Et cela est essentiel ! Si vous n’avez pas encore lu ce premier article allez-y maintenant.

Parlons du temps libre car le temps passe vite et ne revient pas alors que l’argent par contre va et vient.

De plus l’argent une fois dépensé c’est fini : il ne peut être dépensé 2 fois.
Bien sûr il peut être investit et du coup multiplié. Mais c’est un autre sujet détaillé dans cet article : quel est le prix du temps ?

Le temps libre, UTILISÉ CORRECTEMENT peut générer des connaissances qui peuvent produire beaucoup plus de possibilités que de l’argent. Ce sont des nouvelles perspectives, des nouvelles façons de voir le monde, des visions différentes de ce que l’on avait habitude de voir.

La plupart des gens ont toujours cette mauvaise excuse pour ne pas avoir d’éducation entrepreneuriale et financière : ils disent qu’ils n’ont pas le temps ! C’est vraiment juste une excuse mais le problème c’est qu’ils y croient vraiment. S’il vous plaît questionnez ces croyances que la majorité suit par conformisme et envoyez balader le bon sens !

La plupart d’entre nous sont mis en quarantaine. Nous pouvons être bouleversés, tristes, inquiets ou nous pouvons voir cela comme une opportunité qui ira changer notre vie.

Au lieu de faire la navette entre le travail et la maison, que se passe-t-il si vous avez utilisé ce temps pour acquérir une compétence entrepreneuriale ? Vous pouvez enfin vous poser et réfléchir à de nouveaux choix de vie, à de nouvelles envies. C’est un peu comme durant la période de fin d’année oú vous questionnez vos derniers pas et les prochains…

Avez-vous utilisé ce temps pour élaborer une nouvelle stratégie d’investissement ? Ou appris de nouvelles connaissances en marketing ou d’autres domaines ?

Ces connaissances pourraient prendre soin de vous et de vos proches pour toujours ! Envisagez de profiter de cette occasion pour questionner, apprendre, tester.

Vous pouvez prendre des virages totalement différents dans votre vie alors s’il vous plaît permettez-vous de tout questionner et de ne rien laisser tabou.

La connaissance est la nouvelle monnaie !

11 conseils pour vendre plus 🤩

1 – Découvrez ce que veut le client.

La dernière feature du produit ne suffit pas à vendre.
Ce que votre client souhaite, c’est quelque chose qui puisse résoudre son problème.
Et si vous ne trouvez pas cette connexion, tout sera plus difficile. Comprenez votre client et donnez-lui ce qu’il cherche.

2 – Quels sont les avantages ?

Aussi simple que ça !
Trouvez ce qui sera bon pour votre client et concentrez-vous dessus. Rendez-le intéressé par votre produit mais en faisant en sorte que cela vienne de lui-même.

3 – Penser aux problèmes.

Soyez prêt à affronter tous types de problèmes.
Préparez-vous à tout type de difficulté et essayez d’y répondre avant même que les questions ne se posent. Décrivez les objections de vente et comment y répondre.

4 – Trouver des solutions.

Si vous identifiez les problèmes et les objections créez des options et des solutions permettant au client de ne jamais abandonner.

5 – Aider le client.

Souvent, le client ne sait pas ce qu’il veut.
Aidez-le à découvrir qu’il veut quelque chose, plus précisément « cette chose » que vous vendez. Comment ? En lui faisant tester différentes solutions.

6 – Construire la confiance.

Il est important que votre client vous fasse confiance.
Bien sûr, lors du premier achat, c’est compliqué, mais il faut dés le début créer une réputation de quelqu’un qui prend soin de des clients.

7 – Flexibilité, flexibilité et encore flexibilité.

Un bon vendeur est toujours prêt à s’adapter à la situation.
Plus le client a le sentiment que vous êtes préparé à ce qui se passe et que vous lui offrez un cadre sécurisant, plus il vous fera confiance.

8 – Ne sous-estimez personne.

Oubliez le temps oú il était possible d’envoyer balader ou d’arnaquer votre client.
Aujourd’hui sur internet tout le monde est plus attentif et inquiet, alors n’essayez de duper personne.

9 – Travailler la résilience.

Tirez des leçons de tout ce qui se passe.
S’il vous arrive quelque chose de négatif, ayez la force de continuer le combat.
Laissez le « non » derrière vous et avancez car un “oui” arrivera.

10 – Créer des stratégies.

Il ne sert à rien d’avoir une seule option.
Vous devez avoir des options et des produits qui conviennent à toutes les situations, obstacles et objections.

11 – Croire.

La première personne qui doit être convaincue de la qualité de votre produit doit être vous-même.
Si vous ne croyiez dans vos mots, personne ne vous croira.
Plus vous défendez vos idées avec enthousiasme, plus il est facile transmettre votre passion aux autres.

Si vous avez aimé cette article achetez mon livre disponible sur Amazon : Les 10 règles d’or secrètes du succès.

Podcast «L’essence de l’homo sapiens».

Retrouver cette essence grâce à l’entrepreneuriat nous permet de nous réaliser.

Cela nous reconnecte avec le vrai sens de notre existence.

Nous avons des problèmes lorsque nous tentons de fuir de cette indépendance et de cette autonomie en l’échangeant pour un salaire mensuel. Cette fausse protection nous ennuie et nous fatigue en fait profondèment.

NE DEMANDEZ PAS LA PERMISSION

La société se divise en deux catégories : ceux qui demande la permission et ceux qui ne demandent pas la permission. Cela a toujours été ainsi et je pense sincèrement que ceux qui veulent créer leur propre destinée ne demandent pas permission.

Certaines organisations sont très hiérarchiques et avec énormément de soumission. Certains fonctionnements dans nos sociétés sont très rigides et ne nous permettent pas de développer nos projets.

Pourtant à notre époque il n’a jamais été aussi facile de créer sa boîte donc nous n’avons plus d’excuses pour faire avancer nos sociétés. Les connaissances sont toutes disponibles et le secret c’est de découvrir comment la bien-pensance de la majorité est une mauvaise chose.
Ne suivez pas le troupeau. Rêvez, voyagez, flânez bref, soyez des rebelles intelligents.

Il n’existe pas une vérité universelle ou une justice universelle ou encore une morale universelle. Il existe des interprétations qui varient au cours du temps et selon les lieux. Il n’existe pas de perfection : nous sommes des êtres humains imparfaits.

Alors pourquoi attendre pour faire quelque chose ? Faites le en l’état, dans son premier jet. Le client sera toujours plus content de recevoir quelque chose d’imparfait plutôt que rien du tout.

Dire cela fait rire mais faire cela fait taire. Obligez vous à mettre en place des activités chronométrées qui exigent de prendre des raccourcis sans demander l’autorisation. Agir dans l’urgence pour répondre à des besoins du moment c’est ce qui permet à tous d’évoluer.

Lorsque l’on répond à des besoins du moment on est dans l’action et il n’y a aucune place pour la procrastination ou pour demander la permission.

L’entrepreneur est un rebelle. Quelqu’un qui n’aime pas s’asseoir et se taire dans la classe alors que c’est la première chose qu’il nous est enseigné de faire. Et si on y pense bien cela est terrible d’enseigner la soumission et la fermeture d’esprit.

L’ouverture d’esprit, la créativité c’est quelque chose qui se travaille et qui n’est pas du tout inné.

Comment monnayer l’innovation pour qu’un max de gens l’utilisent?

Inventer des choses ne suffit pas si vous ne pouvez pas avoir une entreprise qui va apporter ces choses là au public pour rendre enfin cette invention bankable.

Larry Page a compris cela: ce n’était pas suffisant d’aider les gens à trouver ce dont ils avaient besoin sur Internet.

Cela devait être économiquement viable, autrement dit cette invention n’aurait jamais la force de devenir dominante sans étant monétisée.

Au début, l’un des points les plus importants de Google n’était pas sa capacité supérieure à fournir des résultats plus pertinents que d’autres boites qui faisaient aussi cela. D’autres moteurs de recherche, tels qu’Altavista et Yahoo, ont également obtenu des résultats jugés très pertinents à l’époque.

La clé de Google c’était sa capacité à se comporter comme une entreprise: à gagner de l’argent et à se fortifier.

Comment monnayer l’innovation pour qu’un max de gens l’utilisent ? C’est là oú les startups de succès sont très fortes pour en peu de temps atteindre un public énorme, durable et payant.

Altavista est devenu le leader du marché et même en étant très bien capitalisé mais il n’a pas compris comment gagner de l’argent et il est mort.

Larry Page a même abordé cette question dans une Interview oú il explique que l’invention doit générer un retour sur investissement: «L’invention ne suffit pas. Nikola Tesla a inventé la puissance électrique que nous utilisions, mais il était difficile d’avoir une adoption payante massive du grand public. Vous devez combiner deux choses: l’invention concentrée dans une entreprise qui commercialise les produits pour le maximum de gens ».

Les dernières années tragiques de Nikola Tesla par exemple sont tristes. Ce fut pourtant l’un des plus grands inventeurs de l’histoire humaine mais le serbe a passé des années dans l’oubli (bien que maintenant dans l’histoire il est réapparu grâce à Elon Musk).

Il ne voulait pas créer une grosse fortune. Il est venu travailler à Edison, aujourd’hui General Electric, l’un des principaux noms de l’entreprise jusqu’à être proche de Thomas Edison. Il a quand même fait beaucoup d’argent mais a finalement tout perdu.

Il a passé ses dernières années dans la tristesse et la folie: vivant dans une chambre d’hôtel oú il annonçait des innovations majeures, tout en nourrissant des colombes qu’il disait qu’elles étaient ses maitresses et regrettant que le banquier J.P. Morgan avait détruit sa vie.

N’ignorez pas l’aspect « business » de vos inventions. Tout cela doit être un gros avertissement pour vous. Vous ne pouvez pas vous concentrer uniquement sur l’innovation et oublier de faire de l’argent. Pour être un grand innovateur, vous avez besoin d’une entreprise qui vous permettra de monnayer votre innovation pour que le maximum de gens puissent l’utiliser.

Et vous ne devez pas dépendre de politique de court terme.

Alphabet (le nom de la société d’investissement au-dessus de Google) fonctionne comme ça : ses innovations sont toutes orientées vers la viabilité économique. Si un projet ne tient pas sur le marché, il est réinventé, redimensionné ou mis de côté comme Google Fiber, par exemple.

Larry Page sait que s’il ne tient pas compte de l’aspect «commercial» de son entreprise, ses inventions ne toucheront qu’un public restreint.

Donc, depuis très tôt dans l’histoire de Google, ils se sont inquiétés d’une chose: gagner de l’argent. Gagner de l’argent vous permet de remplir votre mission

Il y a un mythe (d’idéalisation de l’artiste) selon lequel l’inventeur doit généralement suivre la mission sans se soucier de gagner de l’argent mais c’est ridicule. Les rêves ne nourrissent pas les enfants, ne payent pas les employés et n’attirent pas les investisseurs. Oubliez votre idée de pitcher votre idée sans tester le marché !

Avoir de bonnes recettes financières est la formule pour tout cela en fait. Gagner de l’argent est hautement nécessaire pour que vous remplissiez votre mission. Cela ne fait pas nécessairement de vous un « mercenaire ». C’est travailler la durabilité de votre entreprise.

Pour cela, il est nécessaire d’écouter les demandes du marché. Commencez petit, validez vos idées, créez un produit et commencez à vendre et à facturer.

Toutes mesures sont bonnes pour que, dès le départ, vous puissiez créer une entreprise qui a du sens. Vous devez transformer le monde et pour cela, commencez à vous transformer et à transformer les gens autour de vous.

Ne pas se concentrer uniquement sur l’innovation de produit, qui sans la monnétisation appropriée fera que personne n’utilise ou paie pour l’utiliser.

Être un grand leader à cet égard c’est avoir une vision et être commercial.

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La pauvreté c’est comme l’alcoolisme

Arrêtez de vous mentir en essayant de vous faire croire que vous pouvez vous sentir bien d’être pauvre !

La pauvreté est un problème : c’est comme être alcoolique ! 

La seule façon de réparer cela c’est d’admettre que vous avez un problème. Si vous pensez que même avec peu d’argent vous avez la santé, une famille, des amis, une vie qui fait sens et bien, j’ai cette incroyable révélation pour vous :

Vous n’êtes pas obligé d’être pauvre pour être en bonne santé, pour avoir une famille qui vous aime, des amis, n’importe quel Dieu qui vous bénisse..etc. 

Vous pouvez être riche et profiter de tout ce qui précède ! Je peux vous donner des centaines d’exemples de gens qui ont de l’argent et qui sont heureux ! 

Admettez que vous avez un problème, admettez que faire 25 000 € par an est peu et admettez que vous ne savez pas quoi faire pour changer. 

Une fois ces trois choses alignées, vous commencerez à réaliser que la seule chose qui vous retient de tout ce que vous avez toujours voulu dans la vie c’est vous. 

Arrêtez de détester l’argent ! Inspirez-vous au lieu d’être jaloux sans vous l’avouer ! Chaque fois que l’un d’entre vous voit de l’argent sur la route ou le luxe incroyable de quelqu’un d’autre que vous ne pouvez pas vous permettre, vous trouvez une centaine de raisons pour lesquelles cette personne a eu de riches parents ou eu toute la chance du monde pour que l’argent lui soit tombé du ciel. 

Vous faites ces excuses pour vous empêcher de faire le travail nécessaire pour y arriver. 

La pauvreté est un problème : c’est comme être alcoolique ! Vous vous habituez à cette situation et ne voulez pas reconnaitre votre vice ! Vous vous cachez le fait que vous n’êtes plus vous-même et qu’un élément externe a pris le controle sur vous.
C’est tellement plus facile de dire que le riche est mauvais plutôt que de trouver un moyen d’obtenir du luxe pour vous-même, non ? Écoutez, je comprends oui mais c’est ce qui vous fait rester pauvre. Vous ne croyez pas que vous pouvez l’obtenir aussi, soit parce que c’est dur, soit parce que vous préférez être paresseux, ou même parce que vous avez peur d’échouer. 

Mais c’est pourtant possible. Moi-même, je n’ai jamais regardé l’argent avec de la haine. Au lieu de cela, j’ai regardé tous ces gens avec des voitures superbes et de grandes villas comme des gens à ne pas envier, mais à apprendre d’eux. Ils avaient quelque chose que je croyais pouvoir avoir aussi, mais je ne savais pas quoi faire comme beaucoup d’entre vous. 

Cependant, j’étais prêt à poser les bonnes questions et, plus important encore, à écouter ce qu’on me disait. Rappelez-vous que rien n’est facile. Vous devrez peut-être demander à une centaine de personnes avant même d’avoir une bonne réponse, mais rien dans la vie ne vient facilement. 

La meilleure partie pour vous c’est que vous avez accès à la technologie et vous pouvez googler presque tout ce que vous voulez savoir. Vous avez accès à des livres incroyables comme les 10 règles d’or secrètes du succès.

Il existe 2 choses que j’aimerais que beaucoup d’entre vous développent plus: la conviction que vous pouvez aussi être riches et la compréhension que la clé n’est pas le droit d’être riche mais plutôt l’opportunité d’essayer. 

Quand vous acceptez le fait que rien dans la vie n’est garanti, ce sera le jour où vous réaliserez pourquoi rester pauvre a toujours été entre vos mains et un choix.

Je vous écris sincèrement.

Nous sommes tous geek et voici 5 stratégies pour en tirer profit !

Les geeks ont du succès !

Partagez cet article avec vos amis et collègues qui correspondent au profil geek.

Oui, nous avons tous des tendances à trop analyser ce qui ne devrait pas l’être et s’engager dans de longues conversations apparemment sans signification. Sur quels sujets ? Sur des choses aléatoires comme: « L’amour du curry est-il une disposition génétique ou une acquisition socialement expérientielle? » Ou, quel est le sens réel du mot « de »?

C’est une question valide ou est-ce juste geek ?

Être geek c’est en fait perçu comme vraiment cool dans le monde d’aujourd’hui, surtout chez les milléniaux. En fait, 60% des 83 millions de Millennials se considèrent comme des geeks, comparativement à seulement 38% de la génération X et des Baby-Boomers.

Et les études récentes montrent aussi que les geeks sont les pionniers et les influenceurs (84% des geeks disent que les gens les consultent alors que seulement 60% des non-geeks disent qu’on leur demande des conseils).

C’est une bonne nouvelle pour tous ceux et celles qui questionnent passionnèment  notre  monde  pour innover, pour améliorer et faire découvrir ce qui a été trouvé. Nous sommes fiers de découvrir pourquoi les gens et les entreprises font ce qu’ils font. Nous voulons par exemple comprendre les raisons pour lesquelles Richard Branson est autant admiré comme leader pour inspirer.

La vérité c’est que nous sommes tous des geeks à un certain niveau, à propos de quelque chose. Cependant la majorité échoue à transformer les idées en un véritable succès qui révolutionne le monde.

Voici cinq domaines critiques que vous devriez explorer si vous voulez transformer vos idées de geek en résultats transformateurs.

1. Le mentor: Oui, nous pouvons parler de dirigeants comme Gates, Zuckerberg et Branson. Nous pouvons les tenir tous sous le feu des projecteurs afin d’en apprendre davantage sur leurs réalisations. Mais lorsqu’il s’agit de trouver un véritable mentor, il est important de bien connaître l’individu pour qu’il vous enseigne ce qu’il a fait correctement et ce qu’il a fait de mal. «J’ai échoué plus que quiconque que je connais», a déclaré l’innovateur numérique Jay Samit dans une interview récente. «Il y a beaucoup de valeur dans l’échec.»

Trouvez un mentor qui peut vous montrer à la fois ce que vous devriez faire et ce que vous devriez cesser de faire.

2. La responsabilité. Trouver de nouvelles façons de résoudre de vieux problèmes n’est pas une idée nouvelle. Mais, prendre en charge le problème et le résultat pourrait être. L’auteur à succès Nely Galan nous a récemment dit: «La responsabilité est un état d’esprit, et c’est souvent le plus grand obstacle que nous devons tous surmonter. Arrêtez de penser que Prince Charmant (une personne, un groupe ou une entreprise) va entrer et résoudre vos problèmes. Le problème est une opportunité pour créer une solution révolutionnaire. Vous êtes la personne pour résoudre ce problème. Assumez en la responsabilité ». Lorsque des obstacles existent, il est important de concentrer votre énergie sur l’opportunité qui vous est présentée

3. L’enfermement: Jour après jour, vous allez au bureau et vous asseyez probablement à côté des mêmes personnes. Lorsque vous avez des idées, vous les partagez probablement avec les mêmes personnes chaque jour. Mais des recherchent montrent que 72% des résultats proviennent de personnes qui parlent et partagent des idées avec leur entourage externe, les personnes avec qui vous ne parlez pas tous les jours. L’auteur Tim Sanders a récemment dit, « Les ventes ont toujours été le travail des vendeurs. Mais lorsque les organisations éliminent les barrages et l’enfermement des départements, et incluent tout le monde dans l’entreprise qui a un intérêt dans la vente, elles peuvent atteindre un ratio de 70%. « Pensez aux autres personnes qui ont un intérêt dans votre idée. Sortez de votre enfermenent et parlez à énormèment de monde possible.

4. La plage: Le repos et la relaxation sont importants pour notre bien-être. Mais même si vous n’êtes pas en vacances il suffit parfois de tremper vos orteils dans l’eau. Le PDG et fondateur de Sea Side Reservations, Steve Schwab a récemment dit: «Les routines peuvent nous faire fonctionner en pilote automatique. Aller dans un endroit nouveau et voir les différentes façons dont les gens font les choses mènent à des découvertes incroyables. » Il a raison. Que vous voyagiez à travers le pays ou à l’autre bout de la ville, le fait de sortir de votre routine et de votre environnement quotidien peut inspirer énormèment de réflexions.

5. L’enfant: Regardons les choses en face, beaucoup de stéréotypes geeks se concentrent sur la science-fiction et les jeux vidéo de notre enfance. Des leaders comme Brenda Hardesty et Sue Baechler combinent la science de l’apprentissage par le jeu avec l’implémentation de la stratégie pour délivrer des résultats commerciaux impressionnants. «Les recherches sur les jeux montrent que les joueurs conservent 75% de ce qu’ils apprennent et 45% après six semaines», ont déclaré les créateurs. «C’est une différence flagrante avec les méthodes d’entraînement traditionnelles, où les participants ne conservent que 4%.»

Bien sûr que l’on recherche les résultats mais laissez toujours votre enfant intérieur s’évader et alors vos projets seront remplis d’émerveillement, de compétitivité et d’amusement.

Être geek de nos jours ne veut plus dire être un inadaptés social, des conversations gênantes et des personnalités peu attirantes. Les geeks sont devenus les pionniers et les influenceurs mondiaux. C’est un message de bienvenu pour tous et c’est un club dont vous ne devez pas avoir honte d’appartenir. Parce que si vous développez les 5 stratégies geeks que nous avons détaillé alors le succès vous appartient !

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La curiosité de connaître d’autres façons de vivre.

Je vis au Brésil depuis 2011 et chaque fois que quelqu’un réclame des taux d’intérêt brésiliens qui sont trop élevés (et ils le sont), je dis qu’en raison de cela, tous les $br que vous économiserez généreront l’un des plus hauts retour sur investissement du monde ! Dans ce scénario, ceux qui ont une bonne éducation financière auront des héritiers plus heureux.

Chaque fois que vous voulez vous plaindre de la mauvaise qualité des services dans les pays en développement, rappelez-vous qu’il est beaucoup plus facile que dans les pays développés de créer des entreprises qui résolvent les problèmes sans fin que nous voyons de tous les côtés.

Quoi d’autre est mauvais au Brésil ? Partout où vous regardez, il y aura une chance de changer votre destinée.

« Mais, Antoine, je n’ai pas de capitaux! »

Bienvenue dans le club. De nombreux entrepreneurs comme vous et moi non plus. Vous n’êtes pas le seul à devoir commencer sans $. Et puis si vous n’arrivez vraiment pas à bootstraper ne nous envoyez même pas un pitch deck à Bachelin Sena Venture Capital !

Mais voici tout de même une liste de moyens pour vous aider à démarrer et générer votre capital:

1. Créez le projet et vendez une participation (%) à un ami qui a plus de $ pour être votre partenaire.

2. Un prêt, que ce soit de quelqu’un de proche (love money) ou de banque (plus risqué).

3. Commencez à vendre un produit et organisez votre capital (à moyen terme).

4. Si vous êtes déjà hautement qualifié, il est possible de contacter un investisseur institutionnel. Ils n’investissent pas dans les idées, ils investissent dans les gens!

Pensez grand, mais commencez petit. Un autre conseil, soyez bons en vente. C’est le meilleur chemin pour les personnes ayant peu de capitaux. Lorsque vous vendez, votre client est celui qui finance. Kick  starter c’est encore plus extrème : cela finance des «produits» qui ne sont même pas encore crées !

Ne vous offensez pas. Partager ma vision est mon engagement pour toujours.

Entreprendre c’est comme voler librement dans les cieux d’un monde dangereux. Le fait de ne pas entreprendre c’est comme être piégé dans une cage et se sentir protégé par les grilles.

Personne n’est mieux que quiconque, mais ceux qui veulent plus de vie (quand je dis plus c’est plus de choix, plus de temps, plus de liberté, plus d’argent, plus de rêves..etc) n’ont qu’une seule alternative: entreprendre.

Le monde nous a formés pour rester à l’intérieur de la cage, et être nourri par les miettes une fois par mois, rêver de gagner à la loterie ou juste de révasser à ses prochaines vacances ou que son fils devienne le nouveau Neymar.

Ceux qui osent savent que la porte de la cage est déjà ouverte. Il suffit juste d’avoir le courage de sauter et de voler.
Pensez-vous que c’est trop risqué? Une franchise d’une marque bien établie peut être une alternative plus sûre.

Plus aucun jour comme esclave !

J’aime le film et surtout le personnage de Salomon qui tout en étant dans une condition d’esclave ne pensait pas comme un esclave.

L’entrepreneuriat c’est la possibilité de s’émanciper, de se libérer de la condition d’esclave moderne comme je l’ai décris dans cet article : connaissez vous l’esclavage moderne ?

La majorité des compagnons de Salomon n’ont pas partagé le même état d’esprit et ne voyaient pas la lumière au fond du tunnel. C’est sûr c’est difficile devant l’adversité de continuer à rêver et de garder la tête haute.

Accepter la condition d’esclave était impossible pour Salomon. Certains enfants nés esclaves ont toujours connus cette façon de vivre et ne voient pas qu’ils existent d’autres façons de vivre.

Des données historiques montrent qu’à l’abolition de l’esclavage que même avec la liberté garantie par la loi, beaucoup ont « préféré » rester esclaves. En fait ils ne savaient pas produire pour garantir le pain quotidien pour leur famille.

Personne ne leur a jamais enseigné comment créer un business.

Rester esclave était l’option qui offrait le plus de sécurité : la certitude de nourriture et un toit au dessus de leur tête.

Changer faisait peur.

L’esclavage moderne a diverses formes et a pour objectif de maintenir les multitudes dépendantes de son système en faisant en sorte qu’ils se sentent incapables de produire « le pain quotidien » pour leur famille.

C’est un blocage mental plus puissant que des coups de fouet, qui détruit les initiatives individuelles et qui fait croire à la majorité que le monde est ainsi, exactement comme il devrait être.

Mais pourtant la liberté vaut bien plus que l’égalité.

Au final nous sommes tous différents.

Lorsqu’un système essaie artificiellement de nous rendre égaux c’est parce que nous avons acceptés d’en être les esclaves.

Abolir ce blocage mental est un des objectifs de mon blog.