De Bobbio à Bernanos. Texte de 1999 restant éternel avec les innombrables leçons du professeur Olavo de Carvalho.

Le 6 de juin 1999 par Olavo de Carvalho à Sao Paulo.São Paulo).
(Traduit par Henri Carrières et Armand Grabois)

Le XXe siècle a commencé avec la proclamation presque universelle de la fin des démocraties et, après une succesion d’expériences totalitaires dont le bilan se monte à presque 200 millions de morts, se termine par l’universelle reconnaissance que nous ferions mieux d’apprendre définitivement à nous intéresser à la démocratie.

Pour la première fois dans les temps modernes, l’Humanité semble être arrivée à un accord. Quoiqu’il y ait encore des dictatures un peu partout, l’idée de dictature a perdu toute crédibilité intelectuelle, et l’on croit, avec un optimisme assez platonique, que ce qui disparaît du ciel des idées devrait tôt ou tard disparaître de ce bas monde.

Et, quoique personne n’attribue aux démocraties actuelles la vertu de la perfection, il y a un consensus général que Norberto Bobbio a résumé en une sentence lapidaire: “La seule solution pour les malheurs de la démocratie, c’est un surplus de démocratie”.

Mais cette formule est-elle celle d’un consensus ou celle d’un problème?

🔹En premier lieu, que signifie “plus de démocratie”? Un libéral croit que c’est moins d’intervention de l’État dans l’économie; un social-démocrate croit que c’est plus de secours de l’État aux pauvres ou défavorisés. Ainsi, non seulement on réédite la vieille confrontation entre capitalisme et socialisme, tous les deux sous le nom de démocratie, mais on arrive finalement à un cul-de-sac, puisque pour réaliser la première alternative il faudrait accroître le contrôle étatique sur la vie privée (pour le moins afin que l’État, dépourvu de son fardeau économique, acquière de nouvelles fonctions qui légitiment son existence), et pour réaliser la seconde il faudrait augmenter les impôts et gonfler la bureaucratie étatique jusqu’à paralyser l’économie et paupériser encore plus le pauvres.

🔹En deuxième lieu, il y a de bonnes raisons de douter que “plus de démocratie” soit encore de la démocratie. La démocratie n’est pas comme un pain, qui croît sans perdre l’homogénéité: à mesure qu’elle s’étend, sa nature change jusqu’à se convertir en son contraire. L’exemple le plus caractéristique — mais, certes, pas unique — est ce qui se passe avec la “démocratisation de la culture”. En un premier moment, démocratiser la culture c’est distribuer généreusement aux masses les soi-disant “biens culturels”, autrefois réservés, dit-on, à une élite. En un deuxième moment, on exige que les masses aient aussi le droit de décider ce qui est et ce qui n’est pas un bien culturel. Alors, la situation se renverse: offrir aux masses les biens de l’élite n’est plus pratiquer la démocratie: c’est insulter le peuple. Les couches populaires, affirme-t-on, ont droit à “leur propre culture”, dans laquelle la musique rap peut être préférable à Bach. L’intellectualité se livre alors à toute sorte de théorisations afin de prouver que les biens supérieurs autrefois convoités par la masse n’ont pas, en fin de compte, plus de valeur que tout ce que la masse possédait déjà avant de les conquérir. Et, quand l’ancienne différence entre culture d’élite et culture de masses semble finalement rétablie sous le nouveau et réconfortant prétexte de la relativité, les intellectuels se révoltent encore plus, car il découvrent que tous les biens, égalisés par l’universel rélativisme, sont devenus de pures marchandises sans valeur propre: Bach est devenu fond sonore pour les campagnes publicitaires de culottes et le rap, grâce au marché du disque, a créé une nouvelle élite de millionaires, cyniques et arrogants comme ne l’aurait osé être l’ancienne élite. Un processus identique se répète dans les domaines de l’éducation, de la morale et même de l’économie, où chaque nouvelle fournée de bénéficiaires du progrès s’accroche à ses nouveaux privilèges avec une avarice et une violence inconnue des élites plus anciennes: le fascisme a surgi parmi les nouvelles classes moyennes créés par la démocratie capitaliste, et la “Nomenklature” soviétique, la plus jalouse des classes dominantes qui n’ait jamais existé dans ce monde, est née de l’ascension de soldats et d’ouvriers dans la hiérarchie du Parti.

🔹En troisième lieu, on a peut-être le danger le plus grave: un consensus en faveur de la démocratie n’est constructif qu’en apparence, car la démocratie, par définition, consiste à se passer de tout consensus. Démocratie n’est pas concorde: c’est une manière intelligente d’administrer la discorde. Et la clameur universelle pour “plus de démocratie”, dans la mesure même où elle s’affirme comme un consensus, donne des signes de ne plus pouvoir supporter aucune voix discordante.

Ainsi, il y a des raisons pour craindre que, si le XXe siècle a commencé par demander des dictatures et s’est terminé par exiger la démocratie, le nouveau siècle finisse par suivre le parcours dans le sens précisément inverse.

Car, comme disait Bernanos, la démocratie n’est pas l’opposé de la dictature: elle en est la cause

Discours de M. François Sureau, élu à l’Académie française, vibrant plaidoyer contre l’idéologie sécuritaire qui étouffe la France.

Aperçu d’une minute : https://youtu.be/3dw4BjtdOg8

Publication du discours entier en pdf ici sur le site de l’académie française : https://www.academie-francaise.fr/actualites/reception-de-m-francois-sureau-f24

Le 3 mars 2022, François Sureau était reçu à l’Académie française et y prononçait un discours où il faisait l’éloge, comme c’est la coutume, de son prédécesseur, Max Gallo.

Étant plutôt du côté de chez Proust que du côté de chez Sainte-Beuve, il n’a pas raconté la vie de cet homme qui avait dû d’appartenir à la Compagnie à raison de son oeuvre.

Le nouvel académicien a eu six mois pour explorer cette œuvre. Ce n’était sans doute pas de trop, puisqu’elle compte une centaine d’ouvrages consacrés peu ou prou à l’histoire.

Gallo était historien, mais aussi romancier, la fiction lui permettant de donner vie à l’histoire. Il s’agissait là d’une fiction telle qu’on l’aime, populaire, descriptive et rêveuse.

Ce qui est le plus intéressant, dans ce discours, est ce que dit François Sureau de la liberté, qu’il compare à la France, qui est, comme elle, insaisissable pour qui veut l’appréhender :

La liberté est une étrange chose. Elle disparaît dès qu’on veut en parler. On n’en parle jamais aussi bien que lorsqu’elle a disparu.

Qu’aurait pensé Gallo aujourd’hui, où la fièvre des commémorations nous tient, pendant que d’un autre côté le sens disparaît des institutions que notre histoire nous a léguées :

Une séparation des pouvoirs battue en brèche, les principes du droit criminel rongés sur leurs marges, la représentation abaissée, la confusion des fonctions et des rôles recherchée sans hésitation, les libertés publiques compromises, le citoyen réduit à n’être plus le souverain, mais seulement l’objet de la sollicitude de ceux qui le gouvernent et prétendent non le servir mais le protéger, sans que l’efficacité promise, ultime justification de ces errements, soit jamais au rendez-vous.

Les oreilles du stagiaire de l’Élysée, situé sur l’autre rive de la Seine, ont dû siffler quand ces paroles ont été prononcées, en présence de sa dame, qui fut auparavant son professeur…

François Sureau ne s’en est pas tenu à ces propos, qui n’ont pas provoqué, semble-t-il, le moindre frémissement dans l’assistance, que ce soit chez les immortels ou dans le public :

Non, je ne crois pas que ce disciple de Voltaire et de Hugo se réjouirait de l’état où nous sommes, chacun faisant appel au gouvernement, aux procureurs, aux sociétés de l’information pour interdire les opinions qui les blessent ; où chaque groupe se croit justifié de faire passer, chacun pour son compte, la nation au tourniquet des droits de créance ; où gouvernement et Parlement ensemble prétendent, comme si la France n’avait pas dépassé la minorité légale, en bannir toute haine, oubliant qu’il est des haines justes et que la République s’est fondée sur la haine des tyrans. La liberté, c’est être révolté, blessé, au moins surpris, par les opinions contraires.

Pour ce qui est de la République, il précise, après avoir [décrassé] ce terme qu’on emploie ces jours-ci à tout propos, au prix […] d’une grande confusion concernant les principes :

Gallo pour sa part ne l’a jamais vue comme cet étrange absolu qu’on nous présente parfois au mépris de toute vérité.[…] Aujourd’hui que la République nous appelle moins qu’elle ne nous sermonne au long d’interminables campagnes de propagande frappées de son sceau, il se serait inquiété je crois de notre docilité.

Comme si cela ne suffisait pas, le nouvel académicien enfonce le clou encore plus profond sans que Compagnie et public, sans doute saisis, n’émettent le moindre murmure :

Je ne crois pas que Gallo eût souscrit à cette substitution du lapin de garenne au citoyen libre que nous prépare cette formule imbécile, répétée à l’envi depuis vingt ans, que la sécurité est la première des libertés. À cette aune, pas de pays plus libre sans doute que le royaume de Staline ou celui de Mussolini. […] Et l’on s’en va répétant que les temps sont difficiles. Mais les temps, comme Max Gallo nous l’a rappelé pendant un demi-siècle, sont toujours difficiles pour ceux qui n’aiment pas la liberté.

Publié sur Contrepoints. https://www.contrepoints.org/2022/03/08/422904-discours-de-francois-sureau-a-lacademie-francaise-un-eloge-de-la-liberte

Histoire du pouvoir sur 15 siècles par Olavo de Carvalho.

Après le démantèlement de l’Empire, les églises réparties sur tout le territoire sont devenues les substituts de l’administration romaine dispersée. Dans la confusion générale, alors que les formes d’une ère nouvelle étaient à peine visibles parmi les brumes du provisoire, les prêtres sont devenus notaires, auditeurs et maires.

Les graines de la future aristocratie européenne ont germé sur le champ de bataille, dans la lutte contre l’envahisseur barbare. Dans chaque village et paroisse, les chefs de communauté qui se sont démarqués dans l’effort de défense ont été récompensés par le peuple avec des terres, des animaux et des pièces de monnaie, par l’Église avec des titres de noblesse et l’onction légitime de leur autorité.

Ils devinrent de grands fermiers, des comtes, des ducs, des princes et des rois.

La propriété agraire n’a jamais été le fondement ou l’origine, mais le fruit de sa puissance, de son pouvoir militaire.

Le pouvoir d’une caste féroce et hautaine, enrichie par l’épée et non par la charrue. Une caste veillant à ne pas se mélanger aux autres, et de ne pas se consacrer à la culture de l’intelligence, bonne uniquement pour les prêtres et les femmes, ni aux travaux de la terre confiés aux serfs, pas même les affaires qui sont l’occupation des bourgeois et des juifs.

Pendant plus d’un millénaire, cette caste dirigea l’Europe par la force des armes, soutenu par le trépied de :

1) la légitimation ecclésiastique et culturelle,

2) l’obéissance populaire traduite en travail et en impôts,

3) le soutien financier obtenu ou extorqué aux marchands et aux banquiers en temps de crise et de guerre.

Son essor culmine et son déclin commence avec la fondation des monarchies absolutistes et l’avènement de l’État Nation.

Elle culmine parce que ces nouvelles formations incarnent le pouvoir de la caste guerrière à l’état pur, source d’elle-même par délégation directe de Dieu, sans intermédiation du sacerdoce, réduit à la condition subalterne de complice forcé et récalcitrant.

Mais c’est déjà le début du déclin, car le monarque absolu, issu de l’aristocratie, s’en démarque et doit chercher contre elle – et contre l’Église – le soutien du Tiers État, qui finit par devenir une force politique indépendante, capable d’intimider ensemble le roi, le clergé et la noblesse.

Si le système médiéval avait duré dix siècles, l’absolutisme n’en a pas duré plus de trois.

Le règne de la bourgeoisie libérale durera encore moins.

Un siècle de liberté économique et politique suffit à rendre certains capitalistes si formidablement riches qu’ils ne veulent plus se soumettre aux caprices du marché qui les a enrichis.

Ils veulent le contrôler, et les instruments pour cela sont au nombre de trois:

1) le domaine de l’État pour l’implantation des politiques étatistes nécessaires à l’éternisation de l’oligopole;

2) stimuler les mouvements socialistes et communistes qui favorisent invariablement la croissance du pouvoir étatique;

3) la régimentation d’une armée d’intellectuels qui préparent l’opinion publique pour dire adieu aux libertés bourgeoises et les faire entrer joyeusement dans un monde de répression omniprésente et obsessionnelle (s’étendant jusqu’aux derniers détails de la vie privée et du langage courant), et en plus présentée comme un paradis ornée à la fois de l’abondance du capitalisme et de la «justice sociale» du communisme.

Dans ce nouveau monde, la liberté économique indispensable au fonctionnement du système est préservée dans la stricte mesure nécessaire pour lui permettre de subventionner l’extinction de la liberté dans les domaines politique, social, moral, éducatif, culturel et religieux.

Avec cela, les mégacapitalistes changent la base même de leur pouvoir.

Il ne repose plus sur la richesse en tant que telle, mais sur le contrôle du processus politico-social.

Un contrôle qui, les libérant d’une exposition aventureuse aux fluctuations du marché, en fait une puissance dynastique durable, une néo-aristocratie capable de traverser les variations de fortune et la succession des générations, abritée dans le fief de l’État et des organisations internationales.

Ce ne sont plus des mégacapitalistes: ce sont des métacapitalistes – la classe qui a transcendé le capitalisme et l’a transformé en le seul socialisme qui ait jamais existé ou qui existera: le socialisme des grands maîtres et des ingénieurs sociaux à leur service.

Cette nouvelle aristocratie n’est pas née, comme la précédente, d’un héroïsme militaire récompensé par le peuple et béni par l’Église.

Il est né d’une prévoyance machiavélique fondée sur l’intérêt personnel et, à travers un faux clergé d’intellectuels subventionnés, se bénit.

Il reste à voir quel genre de société cette aristocratie auto-inventée peut créer – et combien de temps une structure si manifestement basée sur le mensonge peut durer.

Je montre qu’il y a plus d’esclavage aujourd’hui qu’avant !

Les esclavagistes devaient acheter cher des esclaves, les faire venir, les soigner, les loger, les nourrir, les habiller.

Tout cela avait un coût.

Aujourd’hui ce sont les esclaves modernes qui doivent payer eux-mêmes leur transport, leur nourriture, leur maison et etc.

Et c’est moins cher pour les esclavagistes !

Les coûts pour l’esclavagiste sont mutualisés via les impôts ce qui fait que l’esclave lui même paie pour son propre esclavage.

Ils ne sont même plus obligés de payer toute la vie comme auparavant.

Et les esclaves continuent aujourdhui de travailler pour les esclavagistes même s’ils ont la «liberté» de choisir la plantation.

Les intermédiaires divers ont augmenté et prennent leur pourcentage aussi en impôts sur la consommation, impôt foncier etc + la dette gouvernementale sur d’innombrables générations.

Et l’esclavagiste dépense moins de sa poche.

L’éducation nationale et les merdias corrompus vendent les mauvaises luttes et les gens sont à genoux devant les mauvaises croix.

La vraie liberté c’est de changer de classe sociale car nous sommes tous des esclaves et le fruit de notre travail est capté par d’autres. Nous devons gagner 10 pour en toucher 1.

Pas seulement la TVA ni l’impôt ni le crédit mais aussi l’inflation et les prélévements cachés indirects. Ne vivez pas dans un monde utopiste car la réalité est sombre.

Le corporatisme de plus haut niveau se monopolise et vise à vérouiller le marché. C’est créer un système fasciste oú l’employé doit se considérer comme privilégié. Et s’il rate son objectif de mission c’est un désonheur triste et honteux pour sa famille.

Photo ci-dessous entrée d’un goulag, camp de concentration soviétique avec inscription : «travail en URSS c’est une question d’honneur, de gloire, d’orgueil et d’héroisme.»

L’esclavagisme n’a pas disparu. Les grandes fortunes n’ont pas intérêt à le voir disparaître.

Comment définir l’esclavagisme ? Voici une bonne question pour chacun de nous.

L’économie a besoin d’esclaves ?
Nous sommes passé d’un esclavage ethnique à un esclavage généralisé.

CELUI QUI RÊVE EST VIVANT

J’ai passé plusieurs nuits blanches, en étudiant, en pensant, en créant, en stressant, en imaginant, en discutant, en célébrant.

J’ai passé beaucoup de temps avec un cahier dans la main, puis un téléphone portable en réfléchissant, en imaginant des hypothèses pour le jour suivant pouvoir partir à l’action afin de réaliser mes objectifs.

Vue depuis ma varanda ici à São Paulo, Brésil.

Au fur et à mesure que la nuit passe, le bruit des voitures commence à diminuer pour ensuite être remplacé par le gazouillement des oiseaux et puis on perçoit des choses qui sont imperceptibles durant la journée. On sent des choses différentes et puis viennent les premiers rayons du soleil.

L’aurore amène avec elle l’espoir d’un renouveau, une nouvelle chance pour que nos idéaux se concrétisent et que l’on puisse enfin s’arracher de la médiocrité et de la multitude croissante des mécontents.

J’aime beaucoup le silence de l’aurore et ce processus de renaissance qui crée énormément d’idées dans mon cerveau. Notre cerveau est quand même extraordinaire et on dirait que nos neurones ne se fatiguent jamais.

Lorsque nous rêvons, notre focus est dans le futur et dans la construction de notre futur. Mais lorsque le futur ne nous séduit plus nous vivons dans un présent rempli de regrets qui sont comme des morts-vivants qui nous réveillent. Réveillez-vous pour réaliser vos rêves. Qui a arrêté de rêver est déjà mort.

La bonne nouvelle c’est que dans un claquement de doigts les rêves apparaissent. Les rêves arrivent à croître entre les cailloux de notre monde aride, puis arrivent à vaincre l’amertume d’un soleil de plomb et dépasser l’ambiance hostile d’un mauvais entourage toxique. Cette jeune pousse se transforme déjà en un arbre gigantesque où les oiseaux pourront poser, se reposer et profiter de l’ombre de son robuste feuillage.

Ce sont justement ces oiseaux qui emmèneront les graines vers d’autres régions, au-delà du vent, vers d’autres terres, afin de porter l’espoir et la vie là oú la mort mène le jeu.

Je me rappelle encore d’un jour bien noir, durant lequel j’ai pensé que je n’arriverai pas à vaincre la pression. Mais je m’étais trompé car notre capacité de nous rénover est infini.

Je souhaite qu’aujourd’hui soit un jour de grande rénovation pour vos rêves.

Il est vital de supprimer toutes les subventions accordées aux médias et de laisser les gens décider eux-mêmes de ce qu’ils veulent voir, lire, écouter ou pas voir, pas lire ou pas écouter.

Chaque année l’état distribue des centaines de millions d’€ aux médias et aux propriétaires milliardaires comme Dassault, Draghi ou Lagardère.

L’état français est-il trop généreux ? Pouvons nous revendiquer une quelconque liberté des médias ?

C’est une importante question car les médias c’est le quatrième pouvoir comme le dit l’expression américaine…

Mais un pouvoir n’est autonome que s’il a un cash flow positif pour boucler les fins de mois. Les médias mainstream existent dans tous les pays. Il suffit de prendre 1 avion pour observer le même modus operandi partout.

Il est vital de supprimer toutes les subventions aux médias et de laisser les gens décider eux-mêmes de ce qu’ils veulent lire ou pas lire.

Même chose pour les télévisions d’état, les TV publiques. Il n’y a aucune raison qu’elles existent dans notre monde libre interconnecté d’aujourd’hui. Il n’y a pas d’information d’état. Pourquoi y aurait il une TV d’état ?

Plus de 500.000,00 € ont été gaspillé pour refaire les logos de France Télévisions ! Les élections coûtent chères pour permettre à certains politiques de monter leur société de communication avec un beau capital. Ils existent des problèmes énormes de conflits d’intérêt et la corruption n’est pas combattue comme elle le devrait.

Ajoutez à cela les subventions et le fait que les hommes d’affaires â la tête de ces médias ne vivent qu’avec des contrats étatiques. Cela devient épouvantable et la justice ne fait pas son boulot !

Dans toute l’histoire économique la subvention n’a jamais fait la qualité d’un produit ! Ce qui fait la qualité d’un produit c’est la concurrence…

Donc lorsqu’il n’y a pas de concurrence car tous dépendent de l’état cela ne peut pas marcher. Voilà pourquoi les citoyens du monde entier sont fatigués de ces gros médias étatiques. Voilà pourquoi le fossé d’incompréhension entre les médias et les citoyens augmente chaque jour de plus en plus. Ce fossé est chaque jour plus criant.

Ce qui apporte de la valeur pour les clients des médias c’est la qualité du service face à la concurrence et non les subventions !

La curiosité de connaître d’autres façons de vivre.

Je vis au Brésil depuis 2011 et chaque fois que quelqu’un réclame des taux d’intérêt brésiliens qui sont trop élevés (et ils le sont), je dis qu’en raison de cela, tous les $br que vous économiserez généreront l’un des plus hauts retour sur investissement du monde ! Dans ce scénario, ceux qui ont une bonne éducation financière auront des héritiers plus heureux.

Chaque fois que vous voulez vous plaindre de la mauvaise qualité des services dans les pays en développement, rappelez-vous qu’il est beaucoup plus facile que dans les pays développés de créer des entreprises qui résolvent les problèmes sans fin que nous voyons de tous les côtés.

Quoi d’autre est mauvais au Brésil ? Partout où vous regardez, il y aura une chance de changer votre destinée.

« Mais, Antoine, je n’ai pas de capitaux! »

Bienvenue dans le club. De nombreux entrepreneurs comme vous et moi non plus. Vous n’êtes pas le seul à devoir commencer sans $. Et puis si vous n’arrivez vraiment pas à bootstraper ne nous envoyez même pas un pitch deck à Bachelin Sena Venture Capital !

Mais voici tout de même une liste de moyens pour vous aider à démarrer et générer votre capital:

1. Créez le projet et vendez une participation (%) à un ami qui a plus de $ pour être votre partenaire.

2. Un prêt, que ce soit de quelqu’un de proche (love money) ou de banque (plus risqué).

3. Commencez à vendre un produit et organisez votre capital (à moyen terme).

4. Si vous êtes déjà hautement qualifié, il est possible de contacter un investisseur institutionnel. Ils n’investissent pas dans les idées, ils investissent dans les gens!

Pensez grand, mais commencez petit. Un autre conseil, soyez bons en vente. C’est le meilleur chemin pour les personnes ayant peu de capitaux. Lorsque vous vendez, votre client est celui qui finance. Kick  starter c’est encore plus extrème : cela finance des «produits» qui ne sont même pas encore crées !

Ne vous offensez pas. Partager ma vision est mon engagement pour toujours.

Entreprendre c’est comme voler librement dans les cieux d’un monde dangereux. Le fait de ne pas entreprendre c’est comme être piégé dans une cage et se sentir protégé par les grilles.

Personne n’est mieux que quiconque, mais ceux qui veulent plus de vie (quand je dis plus c’est plus de choix, plus de temps, plus de liberté, plus d’argent, plus de rêves..etc) n’ont qu’une seule alternative: entreprendre.

Le monde nous a formés pour rester à l’intérieur de la cage, et être nourri par les miettes une fois par mois, rêver de gagner à la loterie ou juste de révasser à ses prochaines vacances ou que son fils devienne le nouveau Neymar.

Ceux qui osent savent que la porte de la cage est déjà ouverte. Il suffit juste d’avoir le courage de sauter et de voler.
Pensez-vous que c’est trop risqué? Une franchise d’une marque bien établie peut être une alternative plus sûre.

Quoi faire dans la journée quand on n’a plus à aller au taf ?

La grasse matinée tous les jours, aller au parc et au cinéma quand il n’y a personne, aller au shopping quand il n’y a personne, prendre des billets d’avion moins chers en basse saison, réserver des spas et chambres d’hotel moins chers car on a un grand choix de dates, glandouiller à la piscine du club, lire des livres sur la chaise longue ou un hamac devant une plage brésilienne (j’habite au Brésil depuis 2011), écouter de la musique ou une podcast en rêvassant, faire du karting, du buggy, de la voile, jouer de la musique, apprendre dans différents domaines (je fais mon brevet de pilote d’avion privé et j’ai des entreprises dans d’autres secteurs que ceux de mes études scolaires cf les habiletés et compétences que vous devez apprendre en dehors de votre diplôme). La formation à vie est quelque chose de fondamentale.
Je me la coule douce et je n’ai plus aucune routine matinale comme je le faisais quand j’étais étudiant (réveil à 5h du mat pour aller méditer au dojo zen soto voir mon article Méditation & Business). Le plus sympa c’est le lundi et mardi le fait de savourer la grasse matinée et le petit dej au lit quand les autres bossent car cela nous fait réfléchir sur les choix que nous avons pris 🤔.

Développons là-dessus : la majorité par manque de connaissance (voir mon article connaissez vous l’esclavage moderne et mon article la soif de connaissances) et par manque de courage reste esclave moderne et refuse de s’interdir la prostitution temporelle. C’est un choix de se dire à soi-même : c’est terminé je ne veux vivre plus aucun jour comme esclave ! Moi j’ai opté pour être individualiste (une nécessité vitale et libératrice) et m’interroger sur les illusions du collectivisme sans aucune morale qui maintient la majorité dans un tout petit carré : résistez et envoyez balader le bon sens !

Quand on n’a plus à aller au taf on a beaucoup plus de trucs à faire ! J’ai des objectifs à atteindre (voir ma To Do List). Ces objectifs sont définis en commun accord avec ma femme. On a des objectifs de voyages, des objectifs pro, des objectifs perso, des objectifs journaliers.

Dans la journée quand on n’a plus à aller au taf on peut aller à la piscine, à la plage et aller aurestaurant d’un hotel chic face à un paysage extraordinaire. On peut écrire des mails sur son smartphone, écrire des articles sur son blog, envoyer des contrats via Google Docs sur son portable, avoir Skype, Slack, Whatsapp etc pour parler avec ses clients, ses employés, ses fournisseurs. Puis plus important on peut éteindre son portable et faire ce qui bon nous semble de notre temps.

Faire ce qui bon nous semble !

Nouvelles raisons de quitter votre job en 2017

Je savais déjà au fond de moi ce qu’il allait se passer lorsque le directeur a dit « Entrez dans mon bureau. »

J’ai dit pour blaguer : « On peut pas discuter dans un café? »
« Non. Entrez. »

J’ai été viré et il fallait prendre mes affaires et dégager rapidement. Personne ne m’a dit au revoir. Je n’avais rien à faire et aucun plan pour la suite.
Le directeur qui m’a viré est mort maintenant. La vie est courte.
Quand vous serez mort, personne ne se souciera de combien d’heures vous mettez au bureau.

Nous avons tous quitté nos cavernes préhistoriques il y a des milliers d’années. Nous avons quitté ensuite les champs pour travailler dans les usines. Et nous avons quitté les usines pour rejoindre les néons lugubres des bureaux. Quand j’ai terminé mes études universitaires, le corporatisme était censé me protéger : nourrissez-moi, donnez-moi un travail significatif, aidez-moi à m’améliorer, puis laissez moi m’installer dans un quartier sympa. Et puis le corporatisme est mort.

Voici donc les nouvelles raisons de quitter votre job en 2017. Des nouvelles raisons naissent à chaque instant pendant que vous lisez mon article.

1) LES SALAIRES BAISSENT DE PLUS EN PLUS.

Le revenu moyen des personnes âgées de 18 à 35 ans est passé de 36 000 $ à 33 000 $ depuis 1992. Ce n’est pas un coup de gueule politique car il y a eu tous les partis au pouvoir durante cette période et cette tendance ne va pas disparaître.

2) 94% DE TOUS LES NOUVEAUX EMPLOIS CRÉÉS AU COURS DES DERNIÈRES ANNÉES SONT À TEMPS PARTIEL OU FREELANCE.

C’est parce que chaque fois que quelqu’un écrit une ligne de logiciel, un travail est perdu. Ce n’est pas une mauvaise chose ou une bonne chose. C’est juste un fait. Un exemple : lorsque l’internet a été créé, vous n’avez plus eu besoin des programmeurs pour écrire le code de réseau. Les gens ont même oublié ce que c’est.

Quand la musique digitale a commencé, les magasins de musique ont décédé. Robin Chase, fondateur de Zipcar a dit: « lorsque les voitures qui dirigent toutes seules seront partout alors 90% de l’industrie automobile aura disparu.” Avec 90% de l’industrie automobile disparu c’est l’industrie de l’assurance automobile qui va disparaître. L’industrie pétrolière va aussi décéder et l’industrie de l’immobilier va changer. Etc.

3) LA PRODUCTIVITÉ C’EST POUR LES ROBOTS.

Amazon construit un nouveau magasin: lorsque vous entrez, votre téléphone émet un bip. Lorsque vous prenez un livre et le mettez dans votre panier, votre téléphone détecte. Lorsque vous sortez du magasin, votre téléphone se connecte à votre compte dans Amazon et achète les livres dans votre panier. Tous les magasins fonctionnerons comme cela et puis peut-être tous les restaurants. 

Où iront les caissiers et les caissières ? J’ai demandé à une caissière et la caissière a dit : « je ne sais pas. J’espère que je serai morte d’ici là. »

4) LA GRANDE CONNAISSANCE.

Nous donnons aux ordinateurs, smartphones et tablets les clés de nos vies.

Pourquoi faire confiance à un médecin humain quand ma baignoire peut exécuter des tests génétiques, des tests sanguins, des tests cérébraux, des tests qui n’ont pas encore été inventés et l’utilisation de l’Intelligence Artificielle pour me diagnostiquer puis prescrire des médicaments. Ensuite, ils vérifient tous les jours chaque signal électrique dans mon corps.

De nombreuses grandes banques viennent d’externaliser des centaines de décisions juridiques via l’Intelligence Artificielle.

Pourquoi parler à un avocat quand l’Intelligence Artificielle a 10 000 dossiers de précédents juridiques et peut analyser tout cela en une micro-seconde.

5) L’ÉCONOMIE DU PARTAGE N’EST PAS DU PARTAGE.

C’est une plateforme de mise en relation des excès et des manques. C’est le modèle commercial de chaque entreprise dans l’économie d’accès. 

En fait certaines personnes ont un excédent (par exemple des chambres vides, sièges d’auto vides, etc.) et certaines personnes veulent avoir accès à cet excédent et puis il ya une plate-forme au milieu pour aider à la découverte, les transactions, les problèmes, la médiation, etc (Airbnb, Uber, etc). 

Si vous réfléchissez où il ya un excès dans votre vie (même un excès de connaissances que d’autres pourraient ne pas avoir), vous pouvez créer une entreprise dans ce modèle. 

Leçon économique : Que se passe-t-il lorsque les gens ont accès à des choses auxquelles ils n’avaient jamais eu accès avant ? L’offre augmente mais la demande reste essentiellement la même et donc le prix finit par tomber. Ce qui signifie la déflation. Warren Buffett a dit une fois que la déflation est la pire chose qui puisse arriver à l’économie. Si les prix baissent, les gens attendent que le prix soit encore plus bas et puis la demande diminue et les prix baissent encore. Donc moins d’emplois sont nécessaires, donc moins de gens ont de l’argent, et alors la demande baisse encore plus tandis que l’offre est plus forte que jamais. Donc les prix vont encore plus bas et c’est la spirale de la mort. 

Elon Musk a récemment abordé cette question et il a dit que nous pourrions avoir besoin d’un revenu universel de base pour que chacun puisse gérer l’effondrement économiquerésultant de la sharing économie. Peut être. Qui sait ? Personne ne sait.

6) VOTRE CHEF VOUS DOIT DES $.                                                                                               

Si vous créez une valeur de 1 €, et que vous avez un patron, qui a un patron, qui a un patron, qui a un conseil, qui a des actionnaires … .et alors combien de ce € allez-vous garder ? Et bien, maintenant nous connaissons la réponse. Dans les années 1960, un PDG pouvait faire cinq fois l’employé moyen et maintenant, un PDG fait 200 fois l’employé moyen. 

La réponse: vous n’obtenez rien du tout et en haut ils obtiennent tout alors que c’est de l’argent que vous avez créé pour l’entreprise. Les dirigeants ont pris des milliards de dollars en primes quand les banques ont obtenu 600 milliards de dollars en argent de renflouement du gouvernement américain en 2009 et tous les autres échelons ont été viré.

7) VOUS N’AVEZ PAS BESOIN DU TRAVAIL POUR ÊTRE HEUREUX ET POUR DONNER DU SENS À VOTRE VIE.

Où existe t il le plus de dépressifs ? En France et aux USA qui ont paradoxalement pourtant moins de chômage que les pays du tiers monde.

Les anthropologues pensent que nos ancètres paléo travaillaient 12 heures par semaine et le reste du temps jouaient et se reposaient.

Pourquoi le travail est il si déprimant ?

8) VOUS NE VOULEZ PLUS ÊTRE AUTRE CHOSE QUE VOUS-MÊME.        

J’avais besoin de découvrir ce que j’aimais vraiment faire et c’est ainsi que j’ai découvert l’entrepreneuriat. J’ai eu peur de faire le premier pas et de tomber. Il m’a fallu beaucoup de temps pour comprendre que ma vie méritait plus qu’un job.

9) AVOIR UN JOB N’APPORTE PAS LE BIEN-ÊTRE.                             

Comment trouver les choses qui vous passionnent ? Et comment faire de l’argent avec ces choses là ? Il vous faut une vision, une direction, des objectifs pour vous améliorer quotidiennement, développer de nouvelles compétences et apprendre chaque jour. 

Faire ce qu’on a sur le coeur donne un sens à nos vies. 

Les compétences et les idées sont la nouvelle monnaie et non les certificats et les diplômes d’universités.

CONCLUSIONS :

Les raisons exactes dont vous avez besoin pour quitter votre emploi sont les raisons pour lesquelles vous trouverez de nouvelles opportunités qui seront plus excitantes que jamais.
La technologie est faite pour vous mais seulement si vous choisissez de l’utiliser.
Il ya plus de possibilités de créer des opportunités de nos jours et il ya plus de façons d’exprimer vos visions de nos jours. Il y a aussi beaucoup plus de façons d’avoir des buts de nos jours, beaucoup plus de choses à faire, à accomplir et à apprendre.

Juste en lisant ceci, vous savez que vous êtes prêt pour cela. Je n’essaie pas de vous convaincre de quoi que ce soit.

Mais vos mains ont été faites pour créer. Allez y !

Faire ce qui bon nous semble de notre temps.

Le temps nous appartient et le temps est la chose la plus importante de notre vie. Les secondes passent et ne reviennent pas d’où l’importance de valoriser ce que nous faisons. J’aime répéter dans mes articles et dans mes podcasts qu’un entrepreneur est quelqu’un qui dépense de l’argent pour avoir du temps pour soi alors qu’un employé échange son temps contre de l’argent.

Choisir où, quand et avec qui on travaille est un des nombreux privilèges d’être entrepreneur.

Automatiser notre business et mettre notre entreprise en mode auto-pilote procure une sensation magique et délicieuse.

Un business est fait pour nous libérer et pas pour nous emprisonner. Il est courant de dire que nous devons travailler sur notre business et non dans notre business. 

L’émancipation au-delà d’être financière est aussi la liberté d’horaires et le pouvoir de définir nous mêmes nos propres objectifs.

Ne suivez pas la majorité sans questionner votre individualité. Rapellez vous que même si une opinion est partagée par la majorité cela ne fait pas de cette opinion une vérité ! Questionnez le metro-boulot-dodo et investissez dans les connaissances et habiletés pour réaliser vos objectifs. 

Plus aucun jour comme esclave !

J’aime le film et surtout le personnage de Salomon qui tout en étant dans une condition d’esclave ne pensait pas comme un esclave.

L’entrepreneuriat c’est la possibilité de s’émanciper, de se libérer de la condition d’esclave moderne comme je l’ai décris dans cet article : connaissez vous l’esclavage moderne ?

La majorité des compagnons de Salomon n’ont pas partagé le même état d’esprit et ne voyaient pas la lumière au fond du tunnel. C’est sûr c’est difficile devant l’adversité de continuer à rêver et de garder la tête haute.

Accepter la condition d’esclave était impossible pour Salomon. Certains enfants nés esclaves ont toujours connus cette façon de vivre et ne voient pas qu’ils existent d’autres façons de vivre.

Des données historiques montrent qu’à l’abolition de l’esclavage que même avec la liberté garantie par la loi, beaucoup ont « préféré » rester esclaves. En fait ils ne savaient pas produire pour garantir le pain quotidien pour leur famille.

Personne ne leur a jamais enseigné comment créer un business.

Rester esclave était l’option qui offrait le plus de sécurité : la certitude de nourriture et un toit au dessus de leur tête.

Changer faisait peur.

L’esclavage moderne a diverses formes et a pour objectif de maintenir les multitudes dépendantes de son système en faisant en sorte qu’ils se sentent incapables de produire « le pain quotidien » pour leur famille.

C’est un blocage mental plus puissant que des coups de fouet, qui détruit les initiatives individuelles et qui fait croire à la majorité que le monde est ainsi, exactement comme il devrait être.

Mais pourtant la liberté vaut bien plus que l’égalité.

Au final nous sommes tous différents.

Lorsqu’un système essaie artificiellement de nous rendre égaux c’est parce que nous avons acceptés d’en être les esclaves.

Abolir ce blocage mental est un des objectifs de mon blog.

Ne cherchez pas un job car votre vie mérite plus que cela !

Autour de la vingtaine, durant mes études universitaires j’entendais mes parents me dire de chercher un job et ils ont augmenté la pression jusqu’à la fin de mes études.

Au final je n’ai jamais décroché de CDI !

Á la fin de mes études je travaillais à réaliser un de mes rêves : la création d’un hotel écoluxe au Brésil. Ce projet ne s’est pas encore réalisé mais j’ai à l’époque crée Ko Gyo Holdings qui est un Fonds d’Investissement spécialisé sur les pays émergeants.

Je savais déjà à l’époque que dans la vie il y a des trucs plus intéressants à faire que de chercher un job ! Voici des articles intéressants ici : L’école n’enseigne pas la création de richesse. et L’entrepreneuriat n’est pas inné mais ACQUIS !

Il n’est pas possible d’aimer 100% d’une entreprise qui n’est pas la votre. Pas question pour moi d’être un pion, un numéro en plus, remplaçable, jetable. Je ne trouvais pas ma place dans les entreprises qui m’accordaient une interview. Cette quête de sens m’a fait connaître l’entrepreneuriat qui permet de réaliser nos rêves en même temps que je définissais mes priorités, mes désirs, mes envies, mes projets de vie. L’entrepreneuriat c’est tout cela.

Il est important d’apprendre à gagner de l’argent pour faire ce que vous voulez de votre vie. Comme je l’ai déjà dit Il n’y a pas de libertés sans $.

Notre vie est courte et les riches dépensent leur argent pour avoir du temps pour soi alors que les pauvres dépensent leur temps pour obtenir de l’argent : Acheter du temps et non vendre son temps.

Valorisez votre temps ! Le temps passe et ne revient pas !

Vous n’avez pas besoin d’un job mais vous avez besoin d’argent alors apprenez comment créer des businesses ! L’entrepreneuriat s’apprend. Gagner de l’argent s’apprend et c’est l’inverse d’une loterie, c’est une science ! C’est précis et il suffit de suivre mon journal de bord : Livre disponible sur Amazon “Les 10 règles d’or secrètes du succès.”

Quel est votre projet ?

Quel est votre projet ? Définissez le ! Vous ne l’avez pas encore défini ? Définissez le ! Étudier sans projet c’est comme diriger une voiture sans savoir oú aller.  Étudier c’est un moyen et non une fin en soi. Controlez votre vie !

La plus grande source d’énergie et d’inspiration pour votre quotidien c’est la vision que vous avez de votre futur. Beaucoup de personnes pensent le contraire c’est à dire ils croient que c’est dans le présent que nous trouvons l’inspiration pour construire le futur. Je m’explique : quand nous avons des rêves, des désirs, et que nous savons où nous voulons être, qui nous voulons être et ce que nous voulons avoir dans le futur alors nous devenons amoureux de cette vision du futur. Cette vision nous donne la force et l’inspiration nécessaire pour surmonter les difficultés qui laissent K.O beaucoup de gens tous les jours.

Sans cette vision du futur qui met en perspective le présent apparaît l’ennui, la frustration et l’incompréhension de ce présent vide de sens. Quand je pense à cela je comprend mieux la vie de la majorité qui se traîne le lundi en reprenant le boulot. C’est une vie de souffrance, de frustration, de non réalisation.

Je ne désire ce malheur pour personne…

C’est le succès que vous désirez vraiment ?

Voulez vous le succès en travaillant peu ?

Voulez vous le succès sans qu’il soit obligatoire de casser les barrières imposées par la société ?

Voulez vous le succès sans être en compétition ?

Voulez vous le succès sans connaître de nombreuses fois l’échec ?

Voulez vous le succès sans reconnaître que le futur est incertain ?

Voulez vous le succès sans courir de risques ?

Voulez vous le succès en faisant plaisir à tout le monde ?

Sans être traité de fou ?

Voulez vous le succès sans savoir gérer vos émotions puisque la majorité se laisse dominer par elles ?

Voulez vous le succès en agissant comme la majorité en se contentant d’être dans la moyenne ?

Êtes vous sûr que c’est ce que vous voulez ?

Réveillez vous et arrêtez de vous illusionner !

Téléchargez ici mon Ebook “Les 10 règles d’or secrètes du succès ».

Travailler pour réaliser ses rêves

Cet article de mon blog est pour vous si vous ne vous sentez pas bien dans l’entreprise pour laquelle vous travaillez.

Si votre entreprise ne vous apporte pas ce que vous désirez mais que vous restez là par peur de changer alors soyez prêt à réclamer du futur.

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Le message est le suivant :
Arrêtez de travailler pour payer les factures et commencez MAINTENANT à travailler pour réaliser vos rêves !image

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Si votre projet de vie et vos rêves sont de seulement payer des factures alors excusez moi et oubliez cet article.

Sinon allez livre mon livre disponible sur Amazon : Les 10 règles d’or secrètes du succès.

Ne plus jamais avoir de Patron

Ça y est !
C’est maintenant !
Le moment de ne plus jamais avoir de patron !

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Allez-y la porte est ouverte !
Ce serait triste de rester encore coincé plus de temps dans ce bureau sinistre !
La liberté d’avoir enfin du temps pour soi en vaut la chandelle.

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Cela demande juste un peu de courage et de curiosité.
Le courage d’être enfin le maître à bord et de pouvoir prendre les décisions.
La curiosité pour rechercher différents angles de vue et différentes solutions.

Disposer de son temps est un luxe merveilleux qu’entreprendre rend possible.
L’entrepreneur intelligent sait automatiser son business pour pouvoir avoir tout son temps libre er ne jamais être un esclave de tâches fastidieuses.
Ne plus avoir de patron cela veut dire definir enfin tout seul ses propres désirs er ses propres actions.

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Ainsi l’entrepreneur passe son temps à faire les choses qui réellement sont importantes pour lui et qui font partie de sa Check List.
Être son propre patron c’est agir à 100% de son vrai potentiel.

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Ça y est !
C’est maintenant !
Le moment de ne plus jamais avoir de patron !
Pour plus d’informations cliquez ici pour acheter mon livre “Les 10 règles d’or secrètes du succès ».