Olavo de Carvalho, un des philosophes modernes les plus originaux et les plus audacieux.

Introduction aux travaux du grand professeur et philosophe Olavo de Carvalho et qui n’est malheureusement pas connu en francophonie.

C’est pourtant un des philosophes modernes les plus originaux et les plus audacieux.

La note dominante de son œuvre est la défense de l’intériorité humaine contre la tyrannie de l’autorité collective.

Ses questions posées nous orientent vers la conquête de la maturité et l’émancipation du dressage social collectif.

Olavo explique comment le système d’éducation sociale corrompt notre liberté de questionner et entraîne :
🔹L’entrainement à la lâcheté induite,
🔹Le manque affectif induit,
🔹La haine de la connaissance,
🔹La jalousie destructive,
🔹Le mimétisme neurotique.

Pour Olavo de Carvalho, il existe un lien indissoluble entre l’objectivité du savoir et l’autonomie de la conscience individuelle, lien qui se perd de vue lorsque le critère de validité du savoir est réduit à une forme impersonnelle et uniforme d’usage par la classe académique.

Olavo démontre comment la gauche a dominé la presse et les universités brésiliennes pendant plusieurs décennies dans une stratégie qui a suivi l’idéologie du marxiste italien. L’objectif, dit-il, était de créer une «atmosphère mentale» dans laquelle la population deviendrait socialiste sans s’en rendre compte.

👉 Finalement, le message essentiel d’Olavo de Carvalho je crois c’est que c’est l’ouverture de la transcendance qui permet la rationalité (et comme le disait Saint Thomas d’Aquin).
Car sinon on se ferme sur une petite réalité parce qu’on ne veut pas poser la question sur laquelle on a pas de réponse.
On la laisse de côté cette question essentielle qui nous embête mais de cette façon on se ferme, on enferme notre esprit.
Se fermer dans un système prétendument connu lorsque la conception de la totalité est limitée.
Pourquoi j’existe ?
Non réponse de dire je pèse tant et je mesure tant, ou je suis entrepreneur ou autre.
La stature de l’âme adulte c’est de voir la transcendance, s’ouvrir et capter, même si confus bien sûr.

Lisez aussi l’article «De Bobbio à Bernanos. Texte de 1999 restant éternel avec les innombrables leçons du professeur Olavo de Carvalho» sur le lien suivant :
https://antoinebachelinsena.com/2023/01/10/de-bobbio-a-bernanos-texte-de-1999-restant-eternel-avec-les-innombrables-lecons-du-professeur-olavo-de-carvalho/

Parabole de l’herbe bleue.

Un âne dit au tigre:

– L’herbe est bleue….

Le tigre rétorque:

– Non, l’herbe est verte….

La dispute s’envenime et tous deux décident de la soumettre à l’arbitrage du lion, « le roi » de la jungle….

Bien avant d’atteindre la clairière où le lion se reposait, l’âne se met à crier :

– Votre Altesse, n’est-ce pas que l’herbe est bleue ?

Le lion lui répond:

– Effectivement, l’herbe est bleue.

L’âne se précipite et insiste:

– Le tigre n’est pas d’accord avec moi, il me contredit et cela m’ennuie… S’il vous plaît, punissez-le !

Le lion déclare alors:

– Le tigre sera puni de 5 ans de silence….

L’âne se met à sauter joyeusement et continue son chemin, heureux et répétant:

– L’herbe est bleue… L’herbe est bleue…

Le tigre accepte sa punition, mais demande une explication au lion:

– Votre Altesse, pourquoi m’avoir puni ? Après tout, l’herbe n’est-elle pas verte ?

Le lion lui dit:

– En effet, l’herbe est verte….

Le tigre, surpris, lui demande:

– Alors pourquoi me punissez-vous ?

Le lion lui explique :

– Cela n’a rien à voir avec la question de savoir si l’herbe est bleue ou verte…

Ta punition vient du fait qu’il n’est pas possible qu’une créature courageuse et intelligente comme toi ait pu perdre son temps à discuter avec un fou et un fanatique qui ne se soucie pas de la vérité ou de la réalité, mais seulement de la victoire de ses croyances et de ses illusions….

Ne perds jamais de temps avec des arguments qui n’ont aucun sens…

Il y a des gens qui, quelles que soient les preuves qu’on leur présente, ne sont pas en mesure de comprendre…..

Et d’autres, aveuglés par leur ego, leur haine et leur ressentiment, ne souhaiteront jamais qu’une seule chose : avoir raison même s’ils ont tort…

Or quand l’ignorance crie l’intelligence se tait.

Car ta paix et ta tranquilité n’ont pas de prix.

Le fantasme de l’ultra-libéralisme : le déni français par Jean-Louis Caccomo.

Alors que le danger qui détruit la France, depuis mai 1968, c’est l’ultra-gauche, on s’effraie avec l’extrême-droite quasiment inexistante.

Au passage, faudrait-il rappeler que le fascisme et le nazisme (national-socialisme) sont deux déclinaisons du socialisme.

Et que le socialisme est une étape vers le communisme intégral, comme l’a rappelé Marx dans son manifeste du parti communiste.

De la même manière, moins il y a de libéralisme en France, et plus on le rend responsable de tout. Les pourfendeurs de la pensée unique ne se rendent-ils pas compte qu’ils sont précisément les agents et les promoteurs de ladite pensée unique ?

Qu’ils soient chroniqueurs, humoristes, journalistes, politologues, experts officiels, ils sont partout, sur tous les plateaux de télévision, sur les ondes radios et distillent en permanence la pensée convenue et conformiste qui consiste à réciter tous les couplets de l’antilibéralisme. Se croyant originaux et impertinents, ils se conforment en fait tous au même moule. Ils croient dépasser les bornes et jouent à merveille le rôle de gardien de la pensée conforme.

Car le conformiste est anti-libéral. Dans le milieu académique, c’est encore plus flagrant. Il existe notamment un débat récurrent consistant à dénoncer la formalisation outrancière de la science économique en y voyant le signe de l’hégémonie de la «pensée ultra-libérale».

C’est un des traits singuliers de la pensée conformiste que de voir un « complot libéral » partout, notamment camouflé dans les équations des modèles macroéconomiques. Les mathématiques seraient le cheval de troie du grand satan libéral.

Pourtant, le besoin de mesure, de formalisation et d’abstraction de la science économique est en grande partie le résultat de la volonté de planification et d’expérimentation de politiques économiques et de réglementations. Pour prévoir et évaluer les rentrées fiscales liées à l’adoption d’un nouvel impôt, encore faut-il disposer d’un modèle macroéconomique fondé sur des hypothèses très précises.

Ceux qui modélisent ont toujours la prétention, pour ne pas dire la vanité, de contrôler les phénomènes économiques et sociaux. Et ils iront jusqu’à s’en prendre aux individus réels si ces derniers ne se comportent pas comme leurs équations l’auraient prévu.

Voyez comment le pouvoir politique s’en prend aux restaurateurs qui n’ont pas joué le jeu de la répercussion de la baisse de la TVA dans le prix des menus parce que les modèles avaient sans doute prévu un tel effet. Mais un chercheur ne construit pas un modèle en fonction des résultats qu’il désire ; il se doit de formaliser une réalité qui lui est extérieure et qui échappe à sa volonté.

Tout le programme de recherche actuel de la «nouvelle micro-économie» est d’établir qu’il n’est pas optimal de laisser des individus libres de prendre des décisions en fonction de leurs intérêts privés. Et toute la formalisation est orientée en ce sens. Un chercheur qui tenterait de prendre une direction opposée ne trouverait plus de financement ni de laboratoire d’accueil.

Pourtant, nous sommes à la limite du scientisme car l’intention est contenue dans les hypothèses : exit la main invisible.

D’ailleurs, pour le prix Nobel Joseph Stiglitz, si elle est invisible cette fameuse main, c’est probablement qu’elle n’existe pas ! Si les physiciens raisonnaient ainsi, alors les ondes ou les trous noirs n’existeraient pas.

Les manuels modernes d’économie présentent « les défaillances du marché » comme des postulats que l’on ne saurait remettre en question, et qui rendent l’action publique autant indispensable que providentielle.

Car c’est bien connu que l’action publique n’est frappée d’aucune de ces défaillances inhérentes à l’action privée… Et l’économiste qui prendrait le risque de prétendre le contraire ne peut plus prétendre faire carrière.

La «nouvelle théorie du commerce international s’inscrit dans cet élan similaire pour démontrer que l’on ne saurait faire confiance au libre-échange pour obtenir des échanges internationaux harmonieux. Il n’aura en effet échappé à personne que les négociations collectives organisées sous l’égide de l’O.M.C., qui voient s’affronter les corporatismes nationaux au risque de dégénérer en guerre économique larvée, constituent un modèle d’harmonie internationale.

Rappelons que l’OMC est issue d’une transformation du G.A.T.T. Mais les missions du GATT étaient claires : il s’agissait d’abaisser les tarifs douaniers – ce qui a été accompli essentiellement dans l’industrie – en vue de fluidifier le commerce international. L’OMC prétend « réguler » le commerce entre les nations en imposant des normes qualitatives (environnementales, sociales, sanitaires) qui font ressurgir les tentations protectionnistes.

Mais la définition de pareilles normes est bien plus problématique et leur généralisation est perçue par les pays moins avancés comme un protectionnisme déguisé mis en œuvre par les pays développés. Pareillement, la «nouvelle économie du travail» montre que le chômage n’est pas le résultat d’entrave au libre fonctionnement du marché.

Les théoriciens ont alors inventé le concept de «chômage d’équilibre» selon lequel le chômage résulte du jeu des décisions d’agents rationnels. Il en découle qu’il n’est pas « optimal » pour la collectivité de laisser des individus rationnels s’entendre autour d’un contrat de travail librement négocié en vertu de ces imperfections concurrentielles qui aboutissent à générer du chômage structurel.

Là aussi, les négociations collectives encadrées par les partenaires sociaux – qui n’ont qu’un seul leitmotiv : la grève générale – constituent sans doute un modèle qui nous permet d’éviter ce chômage imputable aux forces du marché et il n’aura échappé à personne que le « dialogue social » à la française est un modèle d’harmonie collective.

Enfin, la «nouvelle théorie de la croissance» repose sur des modèles dynamiques dits de « croissance endogène » qui font de l’Etat un «planificateur bienveillant» indispensable à la régulation d’ensemble.

Ces quelques exemples montrent que, loin d’assister à une hégémonie de la pensée libérale dans les milieux académiques, c’est à un retour en force des conceptions interventionnistes – relookées sous le vernis de fondements microéconomiques savants et de bons sentiments – que nous assistons depuis plus de 25 ans.

Et les derniers prix Nobel d’économie (Stiglitz, Krugman, Williamson et Ostrom) confirment cette tendance lourde. Dans ce contexte, il est pour le moins cocasse de parler de libéralisme triomphant.

Le libéralisme recule – et ses ennemis s’en réjouissent – sans doute parce que les hommes ne sont plus à la hauteur des valeurs exigeantes qu’il implique.

Les « idiots utiles » nous racontent que le capitalisme n’obéit à aucune valeur ni morale. En fait, l’économie ne fonctionne plus quand les hommes oublient les valeurs qu’une économie de liberté et de responsabilité implique.

Écoute…

Il y a d’abord ce discours « officiel », indécemment simpliste, abêtissant.

« Protégez-vous », dit-il, « protégez les autres », surtout « restez prudents »…

Parti pris du toujours pire à venir, du souverain « Nous sommes en guerre », ne souffrant pas la plus petite contradiction.

Illusion imposée, réalité travestie : « L’ennemi est partout, il est invisible », « vous êtes en danger »…

Ce discours à tout bout de champ rabâché, dont l’omniprésence frise l’obscénité, cherchant sans cesse à s’insinuer dans nos cinq sens : télévision et radio, internet et métro, halls de gare, autoroutes, affiches, ici, là, partout, tout le temps.

Cette voix assourdissante qui vous somme de vous plier à sa règle, vous demande aujourd’hui, vous demandera demain, de vous faire inoculer son vaccin, sans voir, sans comprendre, sans poser de question, sans broncher. Mais en faisant confiance, à « l’institution », aux « tutelles », vous savez ?… Celles-là même devenues le terrain de jeu d’une tricherie à grande échelle, d’un lobbying décomplexé et d’une corruption galopante. Depuis plus d’un demi siècle, leur gangrène exposée sans pudeur à notre cécité, elles sont le théâtre de scandales sanitaires majeurs, qui se suivent et se ressemblent, et au cours desquels les morts et les blessés se comptent par dizaines voir centaines de milliers, quand on arrive à les compter : amiante, distilbène, hormone de croissance, sang contaminé, opioïdes, etc, etc.

Mais faites confiance, merci.

Et puis, il y a cette autre voix, presque inaudible, qui ne nous appartient pas, mais que nous avons choisi de porter. C’est celle de la raison, et de la prudence, celle-là qui est le fondement même de toute démarche médicale et thérapeutique, et dont toute la force tient en une formule, que vous connaissez maintenant : « Primum non nocere ».

Parce que plus qu’un autre le soignant sait que « l’enfer est pavé de bonnes intentions », et qu’à trop vouloir bien faire, il peut en faire parfois trop, précipitant la chute du patient venu lui demander secours. « D’abord ne pas nuire », et si tu n’es pas sûr de faire plus de bien que de mal, alors abstiens-toi, par respect, et par humilité. Attends, surveille, accompagne. Mais abstiens-toi.

Oui mais voilà, quand le médecin s’abstient, l’industriel trépigne.

Car il est un fait dont l’évidence devrait nous écorcher les yeux : les intérêts de l’un ne recouvrent en rien les intérêts de l’autre. Et la divergence n’est pas exclue.

Quand l’un cherche à soigner, l’autre cherche à vendre. La santé est la priorité de l’un, le bénéfice pécuniaire la priorité de l’autre. Nous affirmons que cet état de fait devrait être pris en compte, sous la forme d’une régulation stricte et indépendante. Et dire cela n’est en rien diaboliser le commerce, activité fondamentalement humaine et qui peut s’exercer de façon vertueuse.

Aujourd’hui nous avons pris l’habitude de déléguer notre pouvoir de jugement. Nous achetons des médicaments, parce qu’on nous dit qu’il le faut. Nous prenons des médicaments, parce qu’on nous dit qu’il le faut. Mais « on » est un con , pas vrai ?…

Nous choisissons d’offrir notre confiance à un médecin. Et ce médecin choisit d’offrir sa confiance à des tutelles : agences du médicament, HAS, etc. Et ces tutelles choisissent d’offrir (ou de vendre ?) leur confiance aux industries du médicament. Mais tous ces délégataires… Sont-ils dignes de la confiance qui leur est accordée ?

Les industries du médicament à une extrémité de la chaîne. Nous à l’autre.

Face à cet inquiétant ballet, nous ne voulons plus croire, nous voulons voir.

Parce que c’est le concept même de Santé qui se joue là.

« Primum non nocere ».

Nous voulons porter cette voix de la raison, cette voix de la prudence. Cette voix qui affirme que si le virus SARS-CoV-2 engendre parfois une pathologie grave appelée COVID, les chiffres de l’épidémiologie montrent que l’immense majorité ne risque rien. Et que rien ne saurait justifier l’administration précipitée à toute une population saine d’un remède dont ni l’efficacité, ni la dangerosité, n’ont été étudiées de façon sérieuse et approfondie.

Nous portons cette voix qui affirme que s’il existe aujourd’hui une seule urgence, c’est bien celle de sortir d’un état d’urgence artificiellement entretenu, et celle de commencer à nous écouter.

Chers amis, aidez-nous à rendre cette voix audible !

Vous trouverez avec cette lettre une synthèse sur l’état de la recherche actuelle, concernant le vaccin contre le SARS-CoV-2 commercialisé par Pfizer, destiné à être le premier mis sur le marché en France.

Nous vous proposons un challenge tout simple, avec peut-être un petit air de « déjà vu » :

faites passer cette synthèse à 3 personnes de votre entourage concernées (qui ont par exemple un parent en ehpad). Avec bien sûr la consigne de la transmettre à nouveau à 3 personnes. Et ainsi de suite, en mode épidémique… 🙂

Appelons cela la « chaîne du consentement éclairé », si vous voulez bien !

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Comprendre comment calculer les fondamentaux des coûts d’acquisition client.

Comment calculer les indicateurs clés de coûts d’acquisition client dans votre entreprise.
Je donne les définitions et méthodes de calcul.
Notions de CAC (coût d’acquisition client) LTV (life time value c’est à dire la valeur que chaque client rapporte pour l’entreprise durant une période de temps déterminée.)

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Un phare pour les nouveaux navigants

Au début de notre aventure entrepreneuriale nous sommes comme un bateau perdu qui cherche éperdument la terre ferme.

Nous nous accrochons à peu de certitudes qui peuvent disparaître à chaque moment et nous laisser à la dérive !

Quelques uns se désespérent et d’autres désirent même mourir.

Quand tout est un chaos arrive alors en plus la tempête au milieu de la nuit.

Autour du bateau les requins attendent et exhibent leurs ailerons.

Á ce moment, les certitudes que nous avions restent nos seuls espoirs.

Elles nous amènent finalement à d’autres conclusions qui sont meilleures que le plan original.

Des bateaux plus grands et plus expérimentés passent à notre côté et nous laissent une carte et une boussole.

Au loin on aperçoit un phare au milieu de la nuit.

C’est un signal de terre ferme. C’est difficile mais s’il y a un cap on va enfin pouvoir mieux s’orienter.

Quand vous y êtes arrivé s’il vous plait soyez ce phare pour les nouveaux navigants.

Sans domicile, sans rien à manger, sans papiers : j’ai commencé comme cela !

Je suis venu au Brésil en 2011 avec moins de 1000 euros et pas de visa.

Mes 1000 € n’ont pas duré longtemps et j’ai du changer de logement loué en diminuant drastiquement le niveau de qualité du bien jusqu’à ne plus avoir de quoi me payer un logement ni-même à manger.

J’avais mal plannifié mon expatriation ?
Sûrement.

On peut la plannifier mieux ?
Oui certainement mais pas à la perfection.

Et c’est impossible d’avoir connaissance de tous les détails.
Et plus on plannifie moins on a le courage de sauter le pas.

Donc en conclusion le courage de passer à l’action reste quelque chose qui a plus de valeur que le reste car aujourdhui toujours au Brésil à São Paulo je suis un chef d’entreprise.

Bien sûr cela a mis des années.
Je n’ai pas tout changé du jour au lendemain.

Ce sont les difficultés recontrées qui ont marqué en moi les qualités d’humilité et de plaisir de conquérir.

Les 2 vont ensemble et s’équilibrent.

Lorsque l’homme traverse l’océan seul en kayak et que des marins ou ses proches et amis le voit ou simplement l’imaginent que pensent-ils ? 🤔

Ils pensent que c’est un idiot qui non seulement perd son temps mais qui en plus n’a pas toute sa tête. 🙃

Pourtant avant la traversée il est admiré et à l’arrivée il est félicité.

Être entrepreneur c’est à la mode, c’est cool, c’est tendance mais ce que la majorité oublie c’est que c’est difficile.
Extrèmement difficile et c’est pourquoi la majorité ne passe pas à l’action ou finit par désister.

Car il faut être courageux et se risquer à faire ce qui est contre-intuitif.

C’est l’homme qui est admiré pour y être arrivé mais que la majorité ne souhaite pas voir durant sa traversée.

Paradoxes qui créent d’énormes différences…

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Derrière des blagues beaucoup de vérités…

Les relations humaines fonctionnent comme cela :

Ce qui est plus important que « ce que vous dites » c’est « comment vous l’exprimez ».
Plus important que le thème ou l’idée c’est la manière dont c’est transmis qui importe.

L’empathie établie est plus importante que la technique.

L’initiative qui est produite, l’engagement, l’insight créé, le cœur gagné et la confiance établie sont plus importants que le contenu structuré.

Peu y parviennent.

Pour cette raison, la plupart lisent de nombreux livres, étudient divers sujets, consomment des contenus sans fin, collectent de nombreux certificats, et malheureusement le cœur reste froid, les yeux ternes, sans initiatives voire carrèment lâches.

Ils ne peuvent donc pas gagner la confiance de leur propre équipe, voire même pas en créer ou en conserver une.

L’art du leadership réside dans des facteurs non appris en classe, mais auprès de ceux qui ont cette « énergie » de transmettre.

Il ne se développe pas avec des certifications, ni avec des diplômes obtenus en répétant comme des perroquets, ni avec une méthodologie spéciale, mais avec ceux qui ont appris à écouter leurs propres émotions.

Le monde a besoin de plus de leaders !

Podcast «L’essence de l’homo sapiens».

Retrouver cette essence grâce à l’entrepreneuriat nous permet de nous réaliser.

Cela nous reconnecte avec le vrai sens de notre existence.

Nous avons des problèmes lorsque nous tentons de fuir de cette indépendance et de cette autonomie en l’échangeant pour un salaire mensuel. Cette fausse protection nous ennuie et nous fatigue en fait profondèment.

D’une individualité à un groupe uni. Comment on fait ?

Tout seul oui vous pouvez être un excellent professionnel. 

Mais en compagnie des autres il est possible de grandir sérieusement et de gagner de nouveaux horizons.

Par conséquent, le leadership est un des outils clés.

Qu’est-ce qu’un leader ?

C’est être capable de faire qu’un groupe hétérogène de personnes ait un but commun, se transformant en une équipe unie.

Mais comment faire cela sans détruire l’individualité de chaque membre de l’équipe?

Cela est possible uniquement si vous construisez un système dans lequel règnera la clarté : où il est clair que chaque membre réalise aussi ses objectifs personnels.

Quand les rêves personnels sont écartés au nom de la collectivité, c’est de la manipulation, autrement dit du communisme ou du vol.

Dans un système prospère l’individu est la pièce la plus importante. Tout part de lui, de ses projets et de ses initiatives. La construction d’une collectivité saine doit être faite à partir des aspirations de chaque individu.

Lorsque la communauté est placée au détriment des rêves individuels (c’est à dire sans encourager la poursuite des rêves personnels), le manque d’encouragement de chacun des membres entraînera le déclin du groupe. Ou si le groupe existe encore, cela ne sera que des membres-pions en faveur des promesses et des intérêts des tiers qui seront au sommet de la pyramide bénéficiant du sacrifice des masses.

Voulez-vous créer une entreprise/un projet prometteur ? Créez un système qui va dans le sens des rêves individuels de chacun des membres. Ainsi, la communauté bénéficiera de l’individualité.

La meilleure façon de penser aux résultats de votre projet, de votre entreprise c’est de penser aux résultats de vos employés.

Paradoxe ? Non, pure logique.

Lisez le journal de bord d’un entrepreneur.

Quoi faire dans la journée quand on n’a plus à aller au taf ?

La grasse matinée tous les jours, aller au parc et au cinéma quand il n’y a personne, aller au shopping quand il n’y a personne, prendre des billets d’avion moins chers en basse saison, réserver des spas et chambres d’hotel moins chers car on a un grand choix de dates, glandouiller à la piscine du club, lire des livres sur la chaise longue ou un hamac devant une plage brésilienne (j’habite au Brésil depuis 2011), écouter de la musique ou une podcast en rêvassant, faire du karting, du buggy, de la voile, jouer de la musique, apprendre dans différents domaines (je fais mon brevet de pilote d’avion privé et j’ai des entreprises dans d’autres secteurs que ceux de mes études scolaires cf les habiletés et compétences que vous devez apprendre en dehors de votre diplôme). La formation à vie est quelque chose de fondamentale.
Je me la coule douce et je n’ai plus aucune routine matinale comme je le faisais quand j’étais étudiant (réveil à 5h du mat pour aller méditer au dojo zen soto voir mon article Méditation & Business). Le plus sympa c’est le lundi et mardi le fait de savourer la grasse matinée et le petit dej au lit quand les autres bossent car cela nous fait réfléchir sur les choix que nous avons pris 🤔.

Développons là-dessus : la majorité par manque de connaissance (voir mon article connaissez vous l’esclavage moderne et mon article la soif de connaissances) et par manque de courage reste esclave moderne et refuse de s’interdir la prostitution temporelle. C’est un choix de se dire à soi-même : c’est terminé je ne veux vivre plus aucun jour comme esclave ! Moi j’ai opté pour être individualiste (une nécessité vitale et libératrice) et m’interroger sur les illusions du collectivisme sans aucune morale qui maintient la majorité dans un tout petit carré : résistez et envoyez balader le bon sens !

Quand on n’a plus à aller au taf on a beaucoup plus de trucs à faire ! J’ai des objectifs à atteindre (voir ma To Do List). Ces objectifs sont définis en commun accord avec ma femme. On a des objectifs de voyages, des objectifs pro, des objectifs perso, des objectifs journaliers.

Dans la journée quand on n’a plus à aller au taf on peut aller à la piscine, à la plage et aller aurestaurant d’un hotel chic face à un paysage extraordinaire. On peut écrire des mails sur son smartphone, écrire des articles sur son blog, envoyer des contrats via Google Docs sur son portable, avoir Skype, Slack, Whatsapp etc pour parler avec ses clients, ses employés, ses fournisseurs. Puis plus important on peut éteindre son portable et faire ce qui bon nous semble de notre temps.

Faire ce qui bon nous semble !

La nécessité vitale et libératrice d’être individualiste.

Ce que je vais écrire ci dessous est simple mais pourtant peu suivi à cause du lavage de cerveau produit par la dominance de l’idéologie collectiviste dans nos sociétés.

Vous n’êtes pas égal à quelqu’un d’autre. Vous êtes unique et votre individualité c’est la caractéristique qui vous rend tel que vous ne puissiez être confondu avec un autre être.

Chacun a ses particularités, ses envies propres, ses qualités, ses rêves, ses désirs. Vous devez les découvrir en vous questionnant et en testant ce qui vous plaît.

L’accomplissement de soi c’est penser et se penser. Vous êtes libres de créer ce que vous voulez alors n’acceptez pas d’être catégorisé et considéré comme un de plus dans la multitude qui prône le collectivisme. Préservez votre individualité et votre identité.

Cultivez vos rêves et travaillez pour eux. Cela demande de la vision et du courage. Sortez de l’anonymat en croyant en vos talents et en vous démarquant du lot. Ne travaillez pas pour réaliser les rêves de quelqu’un d’autre que vous même.

Les habiletés que vous devez apprendre en dehors du diplôme

De quoi dépendra votre succès ?

Développez votre communication, sortez de l’obscurité, montrez vous, vendez vous, positionnez votre marque personnelle et la marque de votre entreprise, questionnez vos valeurs et vos services, apprenez les nouvelles technologies, les nouvelles tendances, suivez ceux qui sont au top, parlez au moins anglais, gérez bien votre argent, développez vos compétences de leader, montrez l’exemple, aidez les autres, apprenez à évaluer et gérer les risques, questionnez et envoyez balader le bon sens commun, travaillez pour réaliser vos rêves au lieu de travailler pour seulement payer les factures, libérez vous de la dépendance à la consommation, donnez du sens à vos actions en ayant des objectifs et en mettant du coeur à l’ouvrage, développez vos capacités de raisonnement, ayez le contrôle de vos émotions, ne laissez pas les autres définir qui vous êtes et ce dont vous êtes capables, soyez toujours humble pour apprendre, assumez votre protagonisme c’est à dire reconnaissez que le maître à bord c’est vous, rejetez le négativisme et l’attitude de victimisation, cultivez l’envie de victoires et de conquêtes, apprenez de vos frustrations pour créer des solutions en termes de services ou de produits, domptez votre stress, prenez soin de votre corps, assumez votre responsabilité sans culpabiliser les autres, soyez quelqu’un de confiance, pensez grand et commencez petit, refusez de vous contenter de la moyenne médiocre, ne dépendez ni du gouvernement ni de tiers, sélectionnez bien ceux qui vous entourent, souhaitez être le meilleur dans tout ce que vous réalisez, ne soyez pas un lâche devant la peur de l’inconnu… Etc.

Cela s’apprend et aucun diplôme n’atteste de ces habiletés. Ce sont ces habiletés qui feront de vous quelqu’un qui sortira de la multitude pour ne plus JAMAIS être un numéro de plus dans la masse.

Individualité versus bon sens commun

Dans cette podcast j’évoque la nécessité d’envoyer balader le bon sens et de renforcer votre individualité, votre différentiel en tant qu’entrepreneur.

Le sens commun bloque la créativité et maintient en cage la majorité dans un tout petit espace.
Suivez les pensées d’un entrepreneur et investisseur de succès !

Ne cherchez pas un job car votre vie mérite plus que cela !

Autour de la vingtaine, durant mes études universitaires j’entendais mes parents me dire de chercher un job et ils ont augmenté la pression jusqu’à la fin de mes études.

Au final je n’ai jamais décroché de CDI !

Á la fin de mes études je travaillais à réaliser un de mes rêves : la création d’un hotel écoluxe au Brésil. Ce projet ne s’est pas encore réalisé mais j’ai à l’époque crée Ko Gyo Holdings qui est un Fonds d’Investissement spécialisé sur les pays émergeants.

Je savais déjà à l’époque que dans la vie il y a des trucs plus intéressants à faire que de chercher un job ! Voici des articles intéressants ici : L’école n’enseigne pas la création de richesse. et L’entrepreneuriat n’est pas inné mais ACQUIS !

Il n’est pas possible d’aimer 100% d’une entreprise qui n’est pas la votre. Pas question pour moi d’être un pion, un numéro en plus, remplaçable, jetable. Je ne trouvais pas ma place dans les entreprises qui m’accordaient une interview. Cette quête de sens m’a fait connaître l’entrepreneuriat qui permet de réaliser nos rêves en même temps que je définissais mes priorités, mes désirs, mes envies, mes projets de vie. L’entrepreneuriat c’est tout cela.

Il est important d’apprendre à gagner de l’argent pour faire ce que vous voulez de votre vie. Comme je l’ai déjà dit Il n’y a pas de libertés sans $.

Notre vie est courte et les riches dépensent leur argent pour avoir du temps pour soi alors que les pauvres dépensent leur temps pour obtenir de l’argent : Acheter du temps et non vendre son temps.

Valorisez votre temps ! Le temps passe et ne revient pas !

Vous n’avez pas besoin d’un job mais vous avez besoin d’argent alors apprenez comment créer des businesses ! L’entrepreneuriat s’apprend. Gagner de l’argent s’apprend et c’est l’inverse d’une loterie, c’est une science ! C’est précis et il suffit de suivre mon journal de bord : Livre disponible sur Amazon “Les 10 règles d’or secrètes du succès.”

Quel est votre projet ?

Quel est votre projet ? Définissez le ! Vous ne l’avez pas encore défini ? Définissez le ! Étudier sans projet c’est comme diriger une voiture sans savoir oú aller.  Étudier c’est un moyen et non une fin en soi. Controlez votre vie !

La plus grande source d’énergie et d’inspiration pour votre quotidien c’est la vision que vous avez de votre futur. Beaucoup de personnes pensent le contraire c’est à dire ils croient que c’est dans le présent que nous trouvons l’inspiration pour construire le futur. Je m’explique : quand nous avons des rêves, des désirs, et que nous savons où nous voulons être, qui nous voulons être et ce que nous voulons avoir dans le futur alors nous devenons amoureux de cette vision du futur. Cette vision nous donne la force et l’inspiration nécessaire pour surmonter les difficultés qui laissent K.O beaucoup de gens tous les jours.

Sans cette vision du futur qui met en perspective le présent apparaît l’ennui, la frustration et l’incompréhension de ce présent vide de sens. Quand je pense à cela je comprend mieux la vie de la majorité qui se traîne le lundi en reprenant le boulot. C’est une vie de souffrance, de frustration, de non réalisation.

Je ne désire ce malheur pour personne…

Quelques réflexions en ayant obtenu le succès

​Quand vous présentez votre idée ils rigolent. Le jour oú vous vous lancez ils critiquent. En voyant votre succès ils se demandent : «Comment est ce possible ?» Ils essaient de vous imiter et s’ils échouent ils diront que vous avez été chanceux. Quelques uns vous admirent et d’autres vous jalousent. Quelques uns voudront apprendre de vos expériences et d’autres diront que vous êtes un bourgeois.

Quand vous serez sur le podium, une fois le succès obtenu vous arriverez à ces conclusions :  cela vaut la peine de ne pas suivre le «bon sens».

La société est hypocrite. Ceux qui disent que vous êtes un bourgeois sont jaloux et ils aimeraient plus que tout être à votre place.

Cela vaut la peine d’aider qui veut réellement être aidé. Une seule personne remplace tous les ingrats.

Partager apporte plein de bénéfices et cela ne vaut pas la peine de vivre en fonction de ce que les autres pensent de vous.

Simplifiez vous la vie !

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La simplicité est la clé du management.

Ne confondez pas Individualité et Égoïsme. Partie 2.

Cet article s’inscrit dans la continuation de l’article sur les différences entre individualité et égoisme dont voici le lien de la partie 1 ici : Ne confondez pas Individualité et Égoïsme.

Qui ne pense pas par soi-même et ne questionne pas ce qui lui est présenté devient facilement manipulable. Pourtant, suivre les autres est un comportement que la majorité adopte : comme être employé et non employeur, aller au bureau tous les jours, gagner peu d’argent, investir dans les mêmes choses que ses voisins…etc. Ce mode de vie est répété par la majorité des gens. Être manipulé veut dire copier ce mode de vie là et ne pas réaliser son potentiel et la poursuite de ses rêves que l’entrepreneuriat permet.

C’est vrai : de la quête de sens et de réalisations naît l’entrepreneuriat. C’est un virage à 180 degrés et une révolution de nos vies pour celui qui reconnaît cela. Entreprendre c’est merveilleux : c’est une science à la fois psychologique (se comprendre soi-même, analyser ses désirs, questionner sa vision…etc.), sociale (interagir avec ses équipes, montrer l’exemple, être un leader…etc), économique (plannifier, inventer, analyser…etc.), technologique, philosophique, spirituelle et qui touche en fait à tous les domaines de nos vies.

Dans nos sociétés dans le monde entier pourtant la propagande collectiviste règne pour confondre les esprits de la masse en mystifiant ce qu’est entreprendre. Celui qui entreprend comprend qu’individualité ne veut pas dire égoisme et qu’entreprendre est la plus grande des réalisations de nos vies. Pourquoi ? Vivre de sa passion et atteindre des objectifs (voir ma to do list – liste de choses à faire durant ma vie) que nous nous sommes nous-mêmes fixés et que personne d’autre ne fixe pour nous est profondément libérateur. Ce processus apporte une satisfaction immense.

L’égoisme en fait c’est de faire comme les autres, comme le statu quo, comme le dicte le bon sens et sans se défier pour réaliser nos propres désirs. L’égoisme c’est de rester assis en étant habitué à une routine triste et grise. Alors allez y à fond et révolutionnez enfin vos vies et envoyez balader le bon sens !

L’individualité veut dire suivre ce qui nous touche profondément, ce qui possède une force immense pour nous faire bouger.

L’individualité c’est comprendre que les trucs les plus cools ne sont pas raisonnables et pourquoi « être raisonnable » ne veut en fait rien dire pour un individu.

À la poubelle le négativisme !

En séletionnant le contenu de ce que nous consommons chaque jour, nous évitons que notre cerveau se transforme en poubelle.

cerveau poubelle

Rejetez le négativisme et embrassez le positivisme tous les jours !

Le succès dépend de votre stratégie de long terme mais surtout de vos pensées et des éléments que vous sélectionnez pour alimenter vos pensées.

Concernant la sélection de votre environnement lisez ici mon article sur Méditation et Business et aussi mes articles sur Musique et Business – Partie 1. et puis Musique et Business – Partie 2

Ce n’est pas seulement la TV mais aussi les paroles de ceux que nous croisont chaque jours, les pleurnicheurs, les gens qui se reposent sur les autres, les profiteurs, les personnes sans objectifs, sans buts, sans directions, sans grands défis à réaliser, sans énergie car sans motivations. Se fixer des buts est un comportement sain : voici un article Rien n’est impossible pour un homme décidé.

Mon blog a justement cet objectif de montrer ce que j’ai appris et ce qui guide mes actions mais aussi de questionner vos croyances et de vous apporter un manuel précis du succèsEbook “Les 10 règles d’or secrètes du succès.”

Cet article par exemple est un beau sujet de réflexion : 4 sujets que les riches ne commentent pas; et que vous aussi ne devez pas commenter.

Entreprenez, allez créer votre boîte et laissez tomber les miettes dégoûtantes que la majorité esclave désire (un diplôme, un petit salaire, 09:00 – 17:00, des tickets resto, un chef, métro, boulo, dodo, les vacances, la retraite et autres « stabilités » qui sont ridicules en comparaison de ce que vous pouvez gagner en entreprenant).

La stabilité n’existe pas et la vie est un risque depuis votre naissance. Alors si le risque est inévitable respirez un coup et montez votre entreprise !

 

C’est le succès que vous désirez vraiment ?

Voulez vous le succès en travaillant peu ?

Voulez vous le succès sans qu’il soit obligatoire de casser les barrières imposées par la société ?

Voulez vous le succès sans être en compétition ?

Voulez vous le succès sans connaître de nombreuses fois l’échec ?

Voulez vous le succès sans reconnaître que le futur est incertain ?

Voulez vous le succès sans courir de risques ?

Voulez vous le succès en faisant plaisir à tout le monde ?

Sans être traité de fou ?

Voulez vous le succès sans savoir gérer vos émotions puisque la majorité se laisse dominer par elles ?

Voulez vous le succès en agissant comme la majorité en se contentant d’être dans la moyenne ?

Êtes vous sûr que c’est ce que vous voulez ?

Réveillez vous et arrêtez de vous illusionner !

Téléchargez ici mon Ebook “Les 10 règles d’or secrètes du succès ».

Envoyez balader le bon sens !

Qu’est ce que le bon sens commun ?
Le bon sens est formé par l’ensemble des opinions, visions et valeurs adoptées par l’inconscient collectif.
C’est la voix idiote de la majorité qui vous envoie droit en enfer brûler votre âme dans la stagnation de la médiocrité.

Pour le bon sens il est commun d’être découragé à croire en innovation, en de nouveaux concepts différents de ceux hérités de générations en générations.
Le bon sens maintient la majorité à sa place dans un tout petit espace.
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Le bon sens domine les esprits et ainsi les décisions.
De cette façon, les résultats sont mediocres et vont alimenter les thèses de l’impossibilité de changer de vie en mostrant par A+B qu’il n’est pas possible d’avoir des rêves de grandeur et qu’il n’est pas possible d’arriver à les réaliser.

Nous vivons à l’intérieur de ce maudit bon sens car nous pensons faussement qu’au moins avec lui nous sommes libres des grandes frustrations.
Pourtant connaissez vous quelque chose de plus frustrant que de maintenir vos propres rêves en cage et de vivre chaque jour avec vos plans B, C, D… Z ?

Qui a crée ce bon sens ?
Ce bon sens je l’envoie balader, que ce soit en famille, à l’école, à l’université, à l’église, au bar, à la plage et dans l’entreprise privée et publique du monde entier.

Qui a le courage d’envoyer balader le sens commun a beaucoup plus de chances de sortir de cette course de rats.
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C’est la possibilité à chaque moment d’arrêter de courir après son ombre et de pouvoir enfin être le maître à bord de ses pensées.

Á chaque fois qu’un homme fait différemment du bon sens il est critiqué sévèremment.
Il sera vu comme un fou, un rêveur, un inconscient de la réalité etc.

Osez dire : «je vais larguer l’école» ou «je ne veux pas savoir de stabilité et je veux des bénéfices sans limites».
Osez dire : «je veux créer ma boîte». Osez dire : «je ne veux pas être avocat ou médecin car je veux être musicien».
Ou alors pour que la majorité vous traite d’idiot dites à tous «j’aime travailler».

Le bon sens est une prison.
S’il vous plaît ne préférez pas la stabilité à la possibilité de faire ce que vous aimez.

Le bon sens c’est la modalité dans laquelle l’esclave préfère un job et un salaire plutôt qu’un retour sur investissement.

La révolution se passe à chaque moment, devant chaque prise de décision, devant chaque choix.
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Ceux qui se libérent du bon sens commun seront libres pour s’envoler.
Après des années oú ils ont été critiqués et méprisés du fait de leur courage de faire l’opposé de la masse, ils recevront alors les bravos de ceux qui suivent la dictature du bon sens.
Les jaloux perplexes qui diront que c’est de la chance.
Bah oui la chance…

Voici d’autres articles sur le même thème :
Les trucs les plus cool ne sont pas raisonnables
Je ne travaille plus depuis 2011

Ne confondez pas Individualité et Égoïsme. Partie 1.

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Vous n’êtes pas un numéro en plus dans la masse, un en plus dans la collectivité ou un en plus dans votre classe ou dans votre entreprise !

Vous êtes unique et personne ne peut remplacer le rôle de votre propre MOI.
Vous avez vos particularités, vos préférences, vos rêves, vos ambitions et vous savez aussi exactement ce que vous ne souhaitez pas.

Ne permettez pas d’être inclus dans le troupeau et d’être considéré comme de la simple main d’oeuvre.

Vous êtes libres pour être vous même, pour ne pas être d’accord et même pour s’opposer aux idées de personnes que vous aimez.

S’oublier soi-même en faveur d’une collectivité c’est un suicide idéologique.
C’est tuer son propre MOI, c’est mourrir pour donner vie à un groupe et le pouvoir à un leader voleur et menteur car travaillant pour ses propres intérêts et non pour les votres.

Travailler en équipe veut dire suivre les objectifs de l’équipe à partir du moment où nos objectifs personnels sont alignés avec.
Autrement dit : faire des efforts pour l’équipe voudra automatiquement dire travailler pour réaliser en même temps ses propres objectifs personnels.
Si c’est différent de ce que je viens de dire alors vous êtes dans une situation dangereuse et vous serez manipulés par un faux leader.

Individualité n’est pas égoïsme. Plus vous prospérez plus vous pourrez aider les autres.
Plus vous gagner d’argent plus vous pourrez faire la différence pour les défavorisés en leur enseignant comment se défendre dans notre société en gagnant de l’argent sans dépendre de personne.

Votre individualité fait partie de votre personnalité.
Hommes et femmes sans individualité forment une société de zombis manipulés par le système quel que soit le nom de ce système.

N’échangez votre individualité pour rien au monde !

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Votre dignité c’est ce qui vous maintient en vie de toutes façons.

Quel gâchis et quel dommage de voir des zombis, des gens dépendants, sans initiatives et sans dignité !
C’est une catastrophe sociale.