La différence entre amateurs et professionnels, quelle que soit votre profession, par Sahil Bloom.

En introduction concernant le travail, les amateurs lui donnent l’air d’être pénible, laborieux et les professionnels le font paraître sans effort.

Vous devez faire preuve durant des années de plus d’efforts, de beaucoup de « sueurs » pour que lorsque vous serez enfin expert vos réalisations apparaissent “sans effort”.
Les professionnels savent que les grandes performances sont le résultat d’énormément de pratique.
Les petites choses répétées deviennent de grandes choses.

Les amateurs jouent à la table alors que les professionnels sont eux qui mettent la table et dans leur sens.
Les professionnels jouent à des jeux qu’ils sont particulièrement bien placés pour gagner.
S’ils n’aiment pas la façon dont la table est mise, ils la retournent.
Ils mettent la table d’une manière qui favorise leur avantage et font ensuite jouer leur adversaire dessus.

Les amateurs aiment le prix, les professionnels aiment le processus.
Vous n’y arriverez jamais si la vue au sommet est la seule chose qui vous motive à continuer à grimper.
La chasse doit être aussi excitante que le repas final.
Les professionnels tombent vraiment amoureux du processus.

Les amateurs blâment les autres alors que les professionnels sont responsables.
Suite à un échec :
L’amateur regarde vers l’extérieur – la malchance, des circonstances injustes, un adversaire mauvais perdant.
Le professionnel regarde à l’intérieur – manque de préparation, lacunes dans la gestion quotidienne, intensité inégale.
La responsabilité engendre le progrès.
Les amateurs craignent de se tromper, les professionnels en profitent.

Les professionnels recyclent leur esprit pour adopter de nouvelles informations qui obligent à changer de point de vue.
Ils considèrent chaque « mise à jour logicielle » comme une amélioration par rapport à l’ancienne.
Les mentalités ouvertes dominent le monde.
Les amateurs espèrent des changements alors que les professionnels les créent.

Les amateurs entrent dans l’arène en croisant les doigts alors que les professionnels entrent dans l’arène avec un plan.
Ils se rendent compte qu’une partie de ce que nous appelons la chance est le résultat macro de 1 000 micro-actions.
Les professionnels créent plus de chance.
Les amateurs font partie de l’environnement alors que les professionnels en sont le maître.

Il est important d’avoir un plan, mais un plan est inutile si l’environnement n’est pas adapté pour le suivre.
Les professionnels “créent” leur environnement, ils ne se contentent pas d’y exister.
Ils dictent les termes.

Les amateurs attribuent de façon simpliste le succès à la compétence et l’échec à la chance alors que les professionnels comprennent le rôle des deux et en jouent.
Le professionnel reconnaît le rôle des compétences et de la chance dans chaque résultat. Il se concentre sur les facteurs contrôlables.

Le professionnel crée un environnement où la chance est plus susceptible de frapper.
Alors que les amateurs craignent l’incompétence, les professionnels sont formés, compétents et donnent des cours aux amateurs en délaissant ce qui avantagerait les amateurs.

Face à leur propre incompétence :
L’amateur s’agite nerveusement dans une tentative de détourner l’attention de l’écart évident.
Le professionnel a toujours un “stop loss”, et un bon ratio pour gagner sur le long terme.
Les professionnels connaissent leur avantage unique : ils jouent *leur* jeu.
« Je ne crains pas l’homme qui a pratiqué 10 000 coups de pied une fois, mais je crains l’homme qui a pratiqué un coup de pied 10 000 fois. » – Bruce Lee.
Les amateurs craignent l’échec, les professionnels l’adoptent.

Nos plus grands moments de croissance découlent souvent directement de nos plus grands échecs.
Les professionnels n’acceptent pas l’échec comme inévitable, mais ils ne le craignent certainement pas non plus.

Rappelez-vous : vous échouerez.
Embrassez vos fautes intelligemment et rapidement.
Les amateurs veulent briller alors que les professionnels veulent juste gagner et sont implacables.

De nombreuses personnes sont capables de produire des sursauts d’énergie – peu sont capables de produire des flux constants et réguliers, jour après jour.

L’amateur veut paraître mais le pro est implacable.
Les amateurs sont patients avec les actions et impatients avec les résultats alors que les professionnels sont impatients avec les actions et patients avec les résultats.
Les professionnels jouent à des jeux à long terme et ils retardent la gratification.

Mais ils comprennent simultanément que les jeux à long terme sont gagnés grâce à de petites actions quotidiennes.
Les amateurs agissent vite alors que les professionnels agissent méthodiquement.

Face à un défi unique :
L’amateur saute en mouvement, croyant que le mouvement vers l’avant est un progrès.
Le professionnel se déplace lentement, s’arrête, réfléchit et agit.
Les amateurs s’apressent alors que les professionnels attendent.

Lorsque les niveaux de pression et de stress augmentent :
L’amateur est mal à l’aise – il presse dans un effort pour avancer rapidement jusqu’à l’arrivée.
Le professionnel est à l’aise, il observe.
Le professionnel est né dans la pression, construit à travers le stress.
Les amateurs cherchent la reconnaissance, les professionnels cherchent l’héritage.

Les amateurs le font pour la tape dans le dos – l’approbation, les mots d’affirmation, le champagne.
Les professionnels le font pour quelque chose de plus grand sur le long terme et ils n’ont pas besoin d’approbation.
Ils construisent quelque chose qui dure longtemps après leur départ.

Les amateurs laissent venir le jour alors que les professionnels ont une routine.
Les plus grands experts de tous les métiers partagent une chose en commun:
Ils ont une routine et ils s’y tiennent.

La grandeur est simplement le résultat de petites actions quotidiennes bien faites, encore et encore.
Les amateurs essaient d’être bons en tout alors que les professionnels selectionnent, ils identifient leur avantage unique et l’exploitent.

Le Professionnel c’est :
(1) Conscience de soi pour déterminer son avantage unique.
(2) Stratégie plannifiée et avec différentes options évolutives pour monter la table de jeu en faveur de cet avantage.
(3) Être impitoyable pour exploiter cet avantage sur la table de jeu.

Maintenir organisée une entreprise en forte croissance : les meilleurs livres sur le sujet.

Disclaimer : je lis en anglais mais si vous ne voulez pas lire en anglais il vous suffit de chercher sur le net le nom de l’auteur et vous trouverez ses écrits.

  • The Phoenix Project sur comment organiser son infrastructure technologique dans une industrie. Avec plein de questionnements généraux que tous les entrepreneurs se posent.
  • Scaling Up par Harnish Verne est très utile.
  • Le livre Monopoly rules de Milind M Lele.
  • Good to Great & Built to Last de Mim Collins sur la vision centrale d’une entreprise sur le long terme et comment aligner les équipes sur cette vision.
  • Zero to One de Peter Thiel.
  • “Growing a Business” by Paul Hawken.
  • The Emperor’s New Mind de Roger Penrose (le physicien qui a découvert les trous noirs avec Hawking).
  • Help Desk Management de Wayne Schlight.
  • Emyth by Michael E. Gerber.
  • Traction de Gino Wickman.
  • Radical Candor de Kim Scott.
  • Tilman Fertitta avec le livre Shut Up and Listen.

Bonnes lectures.

Écoute…

Il y a d’abord ce discours « officiel », indécemment simpliste, abêtissant.

« Protégez-vous », dit-il, « protégez les autres », surtout « restez prudents »…

Parti pris du toujours pire à venir, du souverain « Nous sommes en guerre », ne souffrant pas la plus petite contradiction.

Illusion imposée, réalité travestie : « L’ennemi est partout, il est invisible », « vous êtes en danger »…

Ce discours à tout bout de champ rabâché, dont l’omniprésence frise l’obscénité, cherchant sans cesse à s’insinuer dans nos cinq sens : télévision et radio, internet et métro, halls de gare, autoroutes, affiches, ici, là, partout, tout le temps.

Cette voix assourdissante qui vous somme de vous plier à sa règle, vous demande aujourd’hui, vous demandera demain, de vous faire inoculer son vaccin, sans voir, sans comprendre, sans poser de question, sans broncher. Mais en faisant confiance, à « l’institution », aux « tutelles », vous savez ?… Celles-là même devenues le terrain de jeu d’une tricherie à grande échelle, d’un lobbying décomplexé et d’une corruption galopante. Depuis plus d’un demi siècle, leur gangrène exposée sans pudeur à notre cécité, elles sont le théâtre de scandales sanitaires majeurs, qui se suivent et se ressemblent, et au cours desquels les morts et les blessés se comptent par dizaines voir centaines de milliers, quand on arrive à les compter : amiante, distilbène, hormone de croissance, sang contaminé, opioïdes, etc, etc.

Mais faites confiance, merci.

Et puis, il y a cette autre voix, presque inaudible, qui ne nous appartient pas, mais que nous avons choisi de porter. C’est celle de la raison, et de la prudence, celle-là qui est le fondement même de toute démarche médicale et thérapeutique, et dont toute la force tient en une formule, que vous connaissez maintenant : « Primum non nocere ».

Parce que plus qu’un autre le soignant sait que « l’enfer est pavé de bonnes intentions », et qu’à trop vouloir bien faire, il peut en faire parfois trop, précipitant la chute du patient venu lui demander secours. « D’abord ne pas nuire », et si tu n’es pas sûr de faire plus de bien que de mal, alors abstiens-toi, par respect, et par humilité. Attends, surveille, accompagne. Mais abstiens-toi.

Oui mais voilà, quand le médecin s’abstient, l’industriel trépigne.

Car il est un fait dont l’évidence devrait nous écorcher les yeux : les intérêts de l’un ne recouvrent en rien les intérêts de l’autre. Et la divergence n’est pas exclue.

Quand l’un cherche à soigner, l’autre cherche à vendre. La santé est la priorité de l’un, le bénéfice pécuniaire la priorité de l’autre. Nous affirmons que cet état de fait devrait être pris en compte, sous la forme d’une régulation stricte et indépendante. Et dire cela n’est en rien diaboliser le commerce, activité fondamentalement humaine et qui peut s’exercer de façon vertueuse.

Aujourd’hui nous avons pris l’habitude de déléguer notre pouvoir de jugement. Nous achetons des médicaments, parce qu’on nous dit qu’il le faut. Nous prenons des médicaments, parce qu’on nous dit qu’il le faut. Mais « on » est un con , pas vrai ?…

Nous choisissons d’offrir notre confiance à un médecin. Et ce médecin choisit d’offrir sa confiance à des tutelles : agences du médicament, HAS, etc. Et ces tutelles choisissent d’offrir (ou de vendre ?) leur confiance aux industries du médicament. Mais tous ces délégataires… Sont-ils dignes de la confiance qui leur est accordée ?

Les industries du médicament à une extrémité de la chaîne. Nous à l’autre.

Face à cet inquiétant ballet, nous ne voulons plus croire, nous voulons voir.

Parce que c’est le concept même de Santé qui se joue là.

« Primum non nocere ».

Nous voulons porter cette voix de la raison, cette voix de la prudence. Cette voix qui affirme que si le virus SARS-CoV-2 engendre parfois une pathologie grave appelée COVID, les chiffres de l’épidémiologie montrent que l’immense majorité ne risque rien. Et que rien ne saurait justifier l’administration précipitée à toute une population saine d’un remède dont ni l’efficacité, ni la dangerosité, n’ont été étudiées de façon sérieuse et approfondie.

Nous portons cette voix qui affirme que s’il existe aujourd’hui une seule urgence, c’est bien celle de sortir d’un état d’urgence artificiellement entretenu, et celle de commencer à nous écouter.

Chers amis, aidez-nous à rendre cette voix audible !

Vous trouverez avec cette lettre une synthèse sur l’état de la recherche actuelle, concernant le vaccin contre le SARS-CoV-2 commercialisé par Pfizer, destiné à être le premier mis sur le marché en France.

Nous vous proposons un challenge tout simple, avec peut-être un petit air de « déjà vu » :

faites passer cette synthèse à 3 personnes de votre entourage concernées (qui ont par exemple un parent en ehpad). Avec bien sûr la consigne de la transmettre à nouveau à 3 personnes. Et ainsi de suite, en mode épidémique… 🙂

Appelons cela la « chaîne du consentement éclairé », si vous voulez bien !

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Histoire du pouvoir sur 15 siècles par Olavo de Carvalho.

Après le démantèlement de l’Empire, les églises réparties sur tout le territoire sont devenues les substituts de l’administration romaine dispersée. Dans la confusion générale, alors que les formes d’une ère nouvelle étaient à peine visibles parmi les brumes du provisoire, les prêtres sont devenus notaires, auditeurs et maires.

Les graines de la future aristocratie européenne ont germé sur le champ de bataille, dans la lutte contre l’envahisseur barbare. Dans chaque village et paroisse, les chefs de communauté qui se sont démarqués dans l’effort de défense ont été récompensés par le peuple avec des terres, des animaux et des pièces de monnaie, par l’Église avec des titres de noblesse et l’onction légitime de leur autorité.

Ils devinrent de grands fermiers, des comtes, des ducs, des princes et des rois.

La propriété agraire n’a jamais été le fondement ou l’origine, mais le fruit de sa puissance, de son pouvoir militaire.

Le pouvoir d’une caste féroce et hautaine, enrichie par l’épée et non par la charrue. Une caste veillant à ne pas se mélanger aux autres, et de ne pas se consacrer à la culture de l’intelligence, bonne uniquement pour les prêtres et les femmes, ni aux travaux de la terre confiés aux serfs, pas même les affaires qui sont l’occupation des bourgeois et des juifs.

Pendant plus d’un millénaire, cette caste dirigea l’Europe par la force des armes, soutenu par le trépied de :

1) la légitimation ecclésiastique et culturelle,

2) l’obéissance populaire traduite en travail et en impôts,

3) le soutien financier obtenu ou extorqué aux marchands et aux banquiers en temps de crise et de guerre.

Son essor culmine et son déclin commence avec la fondation des monarchies absolutistes et l’avènement de l’État Nation.

Elle culmine parce que ces nouvelles formations incarnent le pouvoir de la caste guerrière à l’état pur, source d’elle-même par délégation directe de Dieu, sans intermédiation du sacerdoce, réduit à la condition subalterne de complice forcé et récalcitrant.

Mais c’est déjà le début du déclin, car le monarque absolu, issu de l’aristocratie, s’en démarque et doit chercher contre elle – et contre l’Église – le soutien du Tiers État, qui finit par devenir une force politique indépendante, capable d’intimider ensemble le roi, le clergé et la noblesse.

Si le système médiéval avait duré dix siècles, l’absolutisme n’en a pas duré plus de trois.

Le règne de la bourgeoisie libérale durera encore moins.

Un siècle de liberté économique et politique suffit à rendre certains capitalistes si formidablement riches qu’ils ne veulent plus se soumettre aux caprices du marché qui les a enrichis.

Ils veulent le contrôler, et les instruments pour cela sont au nombre de trois:

1) le domaine de l’État pour l’implantation des politiques étatistes nécessaires à l’éternisation de l’oligopole;

2) stimuler les mouvements socialistes et communistes qui favorisent invariablement la croissance du pouvoir étatique;

3) la régimentation d’une armée d’intellectuels qui préparent l’opinion publique pour dire adieu aux libertés bourgeoises et les faire entrer joyeusement dans un monde de répression omniprésente et obsessionnelle (s’étendant jusqu’aux derniers détails de la vie privée et du langage courant), et en plus présentée comme un paradis ornée à la fois de l’abondance du capitalisme et de la «justice sociale» du communisme.

Dans ce nouveau monde, la liberté économique indispensable au fonctionnement du système est préservée dans la stricte mesure nécessaire pour lui permettre de subventionner l’extinction de la liberté dans les domaines politique, social, moral, éducatif, culturel et religieux.

Avec cela, les mégacapitalistes changent la base même de leur pouvoir.

Il ne repose plus sur la richesse en tant que telle, mais sur le contrôle du processus politico-social.

Un contrôle qui, les libérant d’une exposition aventureuse aux fluctuations du marché, en fait une puissance dynastique durable, une néo-aristocratie capable de traverser les variations de fortune et la succession des générations, abritée dans le fief de l’État et des organisations internationales.

Ce ne sont plus des mégacapitalistes: ce sont des métacapitalistes – la classe qui a transcendé le capitalisme et l’a transformé en le seul socialisme qui ait jamais existé ou qui existera: le socialisme des grands maîtres et des ingénieurs sociaux à leur service.

Cette nouvelle aristocratie n’est pas née, comme la précédente, d’un héroïsme militaire récompensé par le peuple et béni par l’Église.

Il est né d’une prévoyance machiavélique fondée sur l’intérêt personnel et, à travers un faux clergé d’intellectuels subventionnés, se bénit.

Il reste à voir quel genre de société cette aristocratie auto-inventée peut créer – et combien de temps une structure si manifestement basée sur le mensonge peut durer.

Des génies, des salauds ou des nuls ? Article de Marc Dugois

Ce contenu a été publié dans Société par Marc Dugois.

Il faudra remercier le pangolin ou le docteur Folamour qui nous a offert le Covid 19 car ce microbe va enfin nous permettre de savoir si nous sommes dirigés par des génies, des salauds ou des nuls, ce qui, en démocratie, est toujours intéressant à savoir.

L’unanimité de la bienpensance gouvernementale, administrative, médiatique et internationale, nous montre malheureusement une fois de plus que les peuples deviennent facilement des moutons quand un Panurge génère chez eux une peur qui regroupe n’importe quel troupeau. Ce n’est donc pas cela que le Covid 19 nous apprend puisque nous le savions déjà. Nous constatons simplement une fois de plus que la peur génère facilement la haine de ceux qui refusent d’avoir peur. La honte d’avoir peur génère systématiquement le rejet agressif de quiconque n’a pas peur. Rien de nouveau sous le soleil de ce côté-là.

En revanche l’unanimité multicolore et de plus en plus arc-en-ciel qui nous dirige, a décidé de casser l’économie avec un confinement qu’elle a jugé nécessaire en occident à l’exception de la Suède. Ils ont jugé nécessaire de déverser par milliards une énergie monétaire venant d’une corne d’abondance qu’ils pensent avoir repérée, de museler au sens propre leurs peuples en poussant l’abnégation jusqu’à se museler eux-mêmes quand ils passent à la télé pour bien montrer que les muselières n’ont rien à voir avec les masques dont ils nous avaient dit qu’ils ne servaient à rien.

Le confinement n’ayant pas suffisamment permis la création d’anticorps par réaction courante à une contamination sociale habituelle, une seconde vague apparait sauf en Suède, seconde vague dont on donne le nombre de contaminés mais pas le nombre de malades et encore moins le nombre de morts qui n’affolerait personne quand on sait que 50.000 morts mensuels est la moyenne quand la France se porte bien. Cette seconde vague est en effet encore moins mortelle que la première qui ne l’était déjà pas beaucoup si l’on regarde la courbe du nombre mensuel de décès depuis la dernière guerre, toutes causes confondues.

Ces faits sont difficilement contestables mais notre élite entretient pourtant professionnellement et méticuleusement son peuple dans la peur et certains croient même sans rire, à les entendre, voir revenir la peste du moyen-âge. D’où la question de savoir si ce sont des génies qui ont tout compris et qui anticipent les bonnes réponses, des salauds qui ont des plans inavouables, ou des nuls qui n’ont rien compris et qui ne cherchent qu’à se protéger eux-mêmes des conséquences de leur nullité. Les mois qui viennent vont apporter la bonne réponse quel que soit le matraquage médiatique mais il est intéressant d’étudier déjà les trois possibilités.

N’étant pas du tout moi-même un génie, je suis incapable de les repérer mais je m’incline devant la possibilité de leur existence. Ils résolvent tous les problèmes avec l’énergie monétaire venant d’une corne d’abondance dont ils ont le secret et ils n’ont donc plus besoin de l’énergie humaine que nous, pauvres mortels, avons uniquement à notre disposition. Ils peuvent donc faire gaspiller l’énergie de leur peuple en jogging et en salle de sport, la laisser inactivée par le chômage, laisser une grande partie de leur administration s’agiter pour donner l’impression qu’elle s’active, ou décréter l’énergie humaine accessoire par le confinement. Quelle importance puisque l’énergie monétaire s’occupe de tout pendant que le principe de précaution arrête tout ? Ils ont même donné à cette énergie un nom, le PIB. Et comme ce sont des génies, ils ont réussi à convaincre leurs peuples que cette corne d’abondance fonctionnait et qu’ils pouvaient aller au ski ou sur la Côte d’Azur. Je suis incapable de choisir entre m’agenouiller et dire « chapeau l’artiste ! ». J’en suis réduit dans ma médiocrité à attendre de voir comment ces génies vont garder active cette corne d’abondance. Dans cette attente je vais me contenter d’analyser les deux autres possibilités.

L’hypothèse des salauds est intéressante parce qu’elle passe par leur intelligence. Ils ont compris que l’énergie monétaire ne peut pas remplacer l’énergie humaine puisqu’elle en est issue; que si l’on fait croire au peuple que le progrès c’est s’enrichir davantage en travaillant moins grâce à la technique, il faut réinventer l’esclavage pour avoir l’énergie humaine indispensable, même et surtout s’il faut en plus en cacher l’existence. Ils savent que le système actuel ne peut durer et surtout qu’il sera très difficile d’expliquer le retour de l’esclavage quand on se gargarise de l’avoir éliminé. Ils savent donc que le système qu’ils ont fabriqué est en instance d’explosion et que les centaines de milliers de milliards de dette ne peuvent que croitre sans jamais baisser d’un seul centime puisque collectivement nous empruntons toujours plus que ce que nous consommons tellement nous nous voulons capables de rembourser demain. Il faut donc trouver à la fois le bouc émissaire de l’explosion inéluctable pour ne pas l’être soi-même alors que l’on s’en sait responsable, mais il faut aussi trouver une nouvelle organisation. Et bien sûr avoir le temps de mettre au point cette nouvelle organisation en restant aux manettes quelle que soit la couleur à la mode électorale. Ce n’est pas parce qu’ils ont raté l’organisation précédente qu’ils ne se sentent pas capables d’imposer la suivante. Inutile de donner des noms, tellement ils se présentent d’eux-mêmes à nos esprits. Le bouc émissaire est choisi, ce sera le Covid 19. Il n’est pas plus létal que beaucoup de microbes précédemment connus mais, en le stimulant un peu, en comptant chaque soir à la télé le nombre de morts avec Covid et surtout pas seulement ceux par Covid, on arrivera bien à faire suffisamment peur pour justifier un confinement qui lui, détruira inéluctablement le système sans que les salauds qui l’ont mis en place en soient rendus responsables. Il faudra certes prévoir par sécurité de maintenir la panique des peuples pour que le système explose bien en reconfinant si nécessaire, en inventant des freins multiples et variés à l’activité et en les imposant si le matraquage médiatique est insuffisant pour convaincre de l’intérêt de toutes ces mesures puériles. Plus l’activité s’arrêtera vite, plus le Covid sera à l’évidence le seul responsable de l’explosion en laissant en place pour la suite les vrais responsables du désastre imminent. Le plan B, à mettre en place simultanément à l’effondrement du système actuel et qui a déjà le nom évidemment anglais de « great reset » (la grande réinitialisation), est déjà vanté par l’ONU, le FMI et la BCE. Le détail en est prévu à Davos en janvier 2021. Il vise discrètement à une diminution drastique des habitants de la Terre, réduits dans une suppression des races et des civilisations, au rêve de zombies consommateurs électeurs jouisseurs dont la forme d’esclavage n’est pas encore claire dans l’esprit des salauds, mais dont la vie sera réglée par encore plus d’obligations et encore plus d’interdictions pour le bien de tous décrété par les salauds eux-mêmes, réunis dans leurs têtes dans un gouvernement mondial. On sait déjà que c’est à nouveau l’énergie monétaire qui sera mise à contribution mais cette fois par les vaccins et par les puces implantées. On ne change pas une équipe qui perd.

L’hypothèse des nuls est évidemment la plus tentante tellement elle vient naturellement à l’esprit en les observant se déhancher le cerveau pour donner l’impression d’avoir quelque chose à dire. Elle est peut-être trop tentante. Ils se sont tellement épuisés à atteindre la plateforme où ils se trouvent, qu’ils sont à mille lieues de comprendre ce qui se passe et qui ne les intéresse qu’anecdotiquement. Le peu d’énergie qui leur reste est à peine suffisant pour préparer leur réélection et pour travailler leur métier du faire croire dans lequel il faut reconnaitre leur compétence d’illusionnistes. Sur tout problème ils s’appuient sur les experts qu’ils ont nommés parce qu’ils étaient de bons courtisans et le but des uns comme des autres est simplement de tenir, d’être encore là après-demain. Résoudre un problème n’est le souci de personne. Faire croire qu’on s’en occupe et mieux, donner l’impression qu’on avance, là est leur cœur de métier qui les a fait élire. S’y rajoute depuis quelques années avec le rapprochement du désastre, le souci permanent de ne finir ni comme Louis XVI, ni comme Napoléon III, ni comme Pétain. Leur communication devient de plus en plus la plaidoirie qu’ils aimeraient entendre le jour où on leur rappellerait que le pouvoir qu’ils ont tant désiré les oblige à un minimum de responsabilité que les urnes ne sanctionnent plus depuis qu’elles sont corrompues par l’énergie monétaire qui fabrique les campagnes électorales.

Il reste encore une dernière possibilité, la plus triste et qui me fait infiniment plus peur que le Covid : celle de nuls manipulés par des salauds. Quand on voit défiler dans les médias des courtisans hâbleurs, affublés de titres de professeurs, il devient difficile de ne pas craindre que des salauds ne tirent les ficelles de ces marionnettes qui ne sont visiblement que des nuls. Les vrais experts ne sont pas invités et le peuple doit croire que le Covid est le coupable et que l’énergie monétaire va s’occuper de tout.

Gâcher le temps des investisseurs ? 7 manières de le faire.

Je suis de retour à São Paulo où j’habite après de nombreux meetings et cela m’a fait réfléchir sur les pitchs que j’ai faits, les pitchs que j’ai écoutés…

Voici 7 façons de rendre un Pitch tout pourri:

1) Cher Monsieur / Madame : Si je lis Dear Sir / Madam ou des salutations génériques semblables, c’est boom en archive instantané. Ce n’est pas parce que je m’adore que j’ai besoin que tu épelles mon nom, mais j’ai besoin que tu m’adresses la parole. Cher Monsieur / Madame, est le signal le plus clair que vous pourriez envoyer disant que vous êtes en train de copier/coller votre pitch à tout le monde.

2) Achetez maintenant et autres phrases piquées aux vendeurs de voitures d’occasion (attention je n’ai rien contre eux). Investir ou acquérir une entreprise est une décision d’investissement de long terme, minimum 5 ans sur des start ups. Les tactiques de pression jouant sur la peur de manquer une opportunité ne sont pas seulement inappropriées, elles sont souvent contre-productives. Respectez le processus et ne faites pas pression.

3) Echec du suivi : Vous pouvez faire la meilleure présentation de votre vie et avoir l’investisseur avec déjà un pied dans le board, mais si vous ne suivez pas, cela ne donnera rien. Rappelez-vous que votre pitch est quelque part entre les 20 autres réunions, les appels téléphoniques et 1000 autres trucs.

4) Investir peu dans votre pitch : Il est inexcusable aujourd’hui d’avoir une présentation non soignée. Que vous utilisiez PowerPoint gratuit ou Indesign ou un logiciel haut de gamme, la question c’est : assurez-vous de prendre le temps de modifier votre présentation et de la rendre professionnelle. Personne ne vous prendra plus au sérieux si vous-même ne prenez pas au sérieux votre propre entreprise avec des clip art que vous utilisiez au collège.

5) Parlez de tout sauf de votre entreprise : Vous rencontrez l’investisseur pour parler de votre entreprise et vous parlez de vos enfants, des sports que vous aimez et de tous les autres sujets de conversation. Je ne sais pas combien de réunions j’ai vraiment apprécié mais je suis parti de beaucoup sans aucune idée de ce que l’entreprise a fait, de ce qu’ils cherchaient, ou de comment je pouvais participer. Lorsque vous rencontrez un investisseur occupé, vous travaillez avec une fenêtre de temps limité et si vous consacrez 50% ou plus de votre temps à établir un lien ou à essayer de faire ami-ami, vous ne recevrez pas de temps supplémentaire pour savoir encore s’il aime pêcher ou a un cousin qui vit dans votre ville natale.

6) Oubliez les finances : Lorsque je rencontre une cible d’acquisition potentielle ou une entreprise qui cherche à obtenir du financement, je mets l’accent sur les données financières. Trop souvent, j’assiste à une réunion officielle et sérieuse pour discuter d’un investissement potentiel, mais l’autre partie est mal préparée à discuter des chiffres. Ce n’est pas seulement un signe que vous n’êtes pas préparé, c’est une perte de temps pour tout le monde. Moi et beaucoup d’autres investisseurs potentiels réorganiserons probablement la réunion pendant une période où vous aurez les détails nécessaires pour avoir une vraie discussion. Certains investisseurs, cependant, ne vous donneront pas un deuxième coup de feu.

7) Rencontre avec la mauvaise personne : J’ai récemment programmé un appel pour présenter une entreprise que je connais à un responsable grand compte. Lorsque je me suis connecté sur la conférence téléphonique, nous avons rapidement appris que le contact n’était pas le décideur. La leçon que j’ai retirée est de s’assurer que la personne que vous rencontrez est A) qualifiée pour prendre la décision B) assez familière avec le secteur et C) prendre la réunion au sérieux. Dans mon cas, la personne que nous rencontrions était une directrice de l’entreprise (répondant au critère A) mais une amie et donc disposée à participer à toute réunion (violation du critère C) et peu familière avec le secteur (violation du critère B). La plupart des gens diront qu’un cadre de niveau C est votre meilleure personne à rencontrer, mais vous devez vraiment regarder qui vous rencontrez et juger si c’est vraiment la meilleure utilisation du temps de chacun.

J’espère que ces leçons que j’ai partagées vous aideront à respecter votre temps et celui des investisseurs. Si vous aimez ce type de contenu, vous aimerez les autres articles de mon blog et mes publications sur Facebook.

2 enfants sur trois qui sont à l’école actuellement iront occuper des professions qui n’existent pas encore. Comment les préparer ?

Ré-écrivez votre histoire ! Ne croyez pas que votre diplôme va vous protéger.

  1. Préparez vous psychologiquement pour ne pas être en état de choc une fois que vous perdrez votre boulot. Il faut sortir de ce modèle figé qui fait croire que le diplôme va vous donner une sécurité. Il faut arrêter de raconter des histoires aux gens. Perdre son emploi n’est pas la fin de sa vie ! Pourtant nous avons aujourd’hui une société qui pense que l’emploi définit les gens. Où est-ce que ça a foiré pour en arriver à ces bêtises ? Du coup les gens pensent que certains êtres humains valent mieux que d’autres alors que nous sommes bien sûr tous égaux. Allez écouter ma podcast sur les meilleures raisons de quitter votre job.
  2. La réinvention a toujours été nécessaire dans toute l’histoire de notre civilisation. C’est le progrès.
  3. La programmation, le fait de savoir coder ne doit pas non plus être obligatoire à l’école car ce n’est pas une technique seule en particulière qui doit être apprise mais une habitude de questionner le monde qui nous entoure et comment nous pourrais-tu l’améliorer. Steve Jobs ne savait pas coder. Il existe déjà une entreprise qui fait que l’on discute librement avec une intelligence artificielle qui programme pour nous tout ce que l’on souhaite. Il suffit de lui dire par exemple crée-moi un site internet avec tel et tel détail, telle couleur, voici la première page que je souhaite, la deuxième, les liens et elle le fait. Et cela juste en dialoguant avec elle.
  4. Il ne faut pas s’enfermer psychologiquement dans une fausse sécurité ou une sécurité imaginaire mais il faut remettre en question cette sécurité du bon sens commun. Il faut s’interroger toujours sur comment nous pourrions améliorer notre société et ne pas rester figé. Lisez mon article sur un entrepreneur fait-il grève ? J’aborde dans cet article le fait de pouvoir découvrir votre différentiel et comment augmenter les bénéfices que vous apportent votre singularité. L’importance vitale de réinventer votre individualité et non vous effacer dans une masse qui vous oublie et vous donne le minimum.

On voit en fait que le plus important, le point crucial c’est la vision et non l’aspect technique !

Comment se préparer aux nouvelles professions qui n’existent pas encore ?

  1. Les nouvelles technologies ne se développe pas du tout rapidement par exemple les voitures électriques vont mettre 20 ans-30 ans pour être adoptées par toute la planète. Et du coup cela donne une lente agonie d’entreprise et de métiers qui ne s’adaptent pas à ces nouvelles demandes du marché. Faites le switch vite !
  2. Le problème c’est qu’un professeur qui se lève le matin ne se dit pas que les élèves sont ses clients. L’éducation n’est pas vu comme un marché et c’est une grande erreur. En effet tout ce que l’on fait dans la vie devrait être vu comme des produits et des services qui doivent être améliorés.
  3. Le salariat est récent dans l’histoire de notre civilisation. Le salariat doit évoluer pour qu’on ait plus de temps pour soi, plus d’argent pour soi et plus de loisirs pour soi. Il faut faire évoluer le salariat qui est de l’esclavage moderne.
  4. Tout le monde se réinvente même Google qui a changé de nom et qui est maintenant alphabet car les utilisateurs de smartphones utilisent des app différentes pour des recherches précises sur certains domaines et de moins en moins Google. La rupture pour google c’est de créer de nouvelles perspectives et non de rester accroché à ce qui est en train de décroître et ce qui en train de devenir obsolète.

Pour conclure sur comment créer le futur; la clé pour s’adapter c’est celle-là : si la conversation ne vous plaît pas changez de sujet. Airbnb n’était pas focus sur la qualité des oreillers qui était la guerre dans lesquelles les chaînes d’hôtels étaient engagées les unes contre les autres. On voit encore ici que la vision et le fait d’être centré sur le meilleure service que l’on peut amener au client c’est ce qui fait la différence.

Et en changeant le sujet on crée un monopole et à ce moment-là on est véritablement le maître à bord. On renverse les problématiques mises en place et on crée de nouvelles demandes.

La profession la plus prometteuse du moment

Dans cette podcast j’évoque l’importance de poser la bonne question lorsqu’il s’agit de ce que vous voulez avoir comme profession. En effet « quelle est votre vocation/profession » n’est pas une bonne question lorsqu’elle vous limite en terme de formation continue et d’apprentissage.

Vous pouvez apprendre tout ce que vous voulez et SIMPLEMENT !

Démystifier l’apprentissage…L’idée du livre Fluent in 3 months de Benny Lewis est de démystifier le processus d’apprentissage et c’est ce qui nous intéresse ici.

En 3 mois parler couramment une autre langue est un titre provocateur mais tout comme mon article Je ne travaille plus depuis 2011 l’important c’est de comprendre la logique derrière, c’est à dire le raisonnement que l’on souhaite mettre en avant.

On montre la lune et il ne s’agit pas de regarder notre doigt !

À la façon de Tim Ferris de 4HourWorkWeek c’est une direction et non une règle fixe : il n’est pas question de 3 mois ou de 6 mois ni de 4 heures ou 15 heures de travail par semaine mais de comprendre comment fonctionne le cerveau pour le faire travailler à 100% de son potentiel.

De la même façon il est dingue de voir des êtres humains diplômés d’économie, de finance, de comptabilité ou commerce et incapables de créer sa propre entreprise et incapable aussi de compter leur argent et non celui d’un autre ! Ils ont soit disant des connaissances d’économie ou de finance mais c’est l’économie des autres et pas le développement de la leur d’économie qu’ils ont appris.

Ils doivent apprendre à démystifier l’apprentissage en se posant les bonnes questions.

Dans mon article Penser PAR SOI-MÊME ! j’ai évoqué l’importance de reconnaître le marketing omniprésent dans l’inconscient collectif et les efforts à faire pour questionner ce que nous sommes induits à considérer comme quelque chose de déjà questionné et déjà solutionné. Le problème est justement que cela a été solutionné par quelqu’un d’autre que vous-même et non par vous-même pour vous-même.

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Par exemple, les Masters d’écoles de commerce sont sponsorisés c’est à dire financés par des grands groupes sur des problèmatiques précises qui intéressent ces grands groupes. L’idée étant de former des professionels pour ces grands groupes. Mais ce qui doit guider votre vie ce sont vos propres problèmatiques et non les problèmatiques de quelqu’un d’autre. Dans tous les domaines, c’est ce raisonnement qui est suivi et la majorité ne questionne pas la philosophie qui est derrière tout cela. Et je ne parle même pas de l’Ena et de Sciences Po où cela devient idéologique et limite sectaire extrémiste comme raisonnement. Mais de façon générale tout enseignant a sa philosophie et son message à faire passer.

Pour en revenir à l’apprentissage des langues, oui il est possible d’apprendre rapidement à parler couramment. Beaucoup de personnes me demandent comment apprendre facilement à parler français ou portugais mais ce qui manque c’est de questionner le processus d’apprentissage, pas seulement pour apprendre une langue, mais pour apprendre chaque chose. Ce qui manque aussi c’est de reconnaître qu’il est normal de ne rien comprendre au départ car c’est pour cela que c’est une autre langue et une autre culture et surtout de ne pas s’énerver avec cela. Un entrepreneur de la même façon est obligé de reconnaître ses faiblesses et connaît l’échec à chaque instant en devant batailler pour trouver des solutions dans des domaines où il ne connaît rien. La personne qui ne connaît pas l’échec ne fait rien de sa vie.

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On utilise peu de mots du vocabulaire au quotidien et avec seulement 200 mots voire une centaine de mots il est déjà possible de comprendre et de se faire comprendre. Aucune théorie de salle de classe ne nous sert dans la vie : l’apprentissage se fait lorqu’on se jette dans le vide. Et c’est comme cela pour toutes les matières.

Je ne suis pas pour apprendre la grammaire et tout un tas de verbes irréguliers à répéter bêtement. Je suis pour l’apprentissage utile qui est fait de répétitions naturels qui apparaîssent à chaque instant de la journée, que l’on écoute peu à peu et que l’on est amené á répéter, tout comme l’apprentissage pour piloter un avion : il y a tellement de choses à savoir que seule la répétition nous fait incorporer inconsciement, naturellement, automatiquement les connaissances.

Cela se fait naturellement inconsciement et automatiquement tout comme la mystification aussi le fait mais là au moins nous sommes les maîtres à bord.

Oubliez les livres, mettez les à la poubelle, éteignez votre téléphone portable et sortez dans la rue dans d’autres pays et essayez peu à peu de vous communiquer avec les autres. C’est la vie, on tatônne, on ose, on s’aventure, on se perd, on rencontre l’autre, on parle avec les mains, avec des gestes, puis peu à peu on apprend un mot, puis quelques mots, puis d’autres. On a perdu le contact avec les autres et avec ce qui est essentiel. C’est important de questionner le fait de courir acheter un guide ou un dictionnaire lorsqu’on voyage.

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L’aventure véritable est l’inconnu et c’est ce qui est excitant et motivant. Ne perdez pas cela car c’est justement cela qui rend l’apprentissage éfficient.

Vous avez besoin d’apprendre l’anglais pour votre boulot, pour une bonne promotion alors mon conseil c’est d’oublier les cours et de profiter à fond de toutes vos vacances à Londres en rencontrant des anglais chaque jour et chaque nuit. En quelques semaines vous vous débrouillerez déjà bien. C’est 10000 fois plus efficace et excitant que de lire un livre, d’écouter un CD ou de suivre un cours dans une salle de classe !

C’est la même chose dans tous les domaines qui vous intéressent : tirez la tête de de votre téléphone portable et aventurez vous !