“Être normal”. Questionner le principe de normalité, biais de désirabilité sociale par Bryan Caplan.

J’ai toujours été différent et me suis senti différent. Mais à ce stade de ma vie, j’ai l’impression de bien comprendre les gens qui ne sont pas différents les uns des autres. Si vous êtes toujours perplexe, mes amis différents, un principe simple capture ce que vous devez savoir.

Le principe de normalité:

Une personne normale dit ce que les autres disent et fait ce que font les autres.

Notez que ce principe capture deux caractéristiques distinctes de la normalité.

Premièrement, le conformisme.

Les gens n’aiment pas exprimer des opinions ou prendre des mesures à moins que d’autres personnes n’expriment les mêmes points de vue et prennent les mêmes mesures.

Deuxièmement, le gouffre entre les mots et les actions.

C’est à dire aucun encouragement de notre société à mettre les actions en harmonie avec les paroles – ou les paroles en harmonie avec les actions. Le manque de skin in the game selon l’expression de Nicolas Taleb faisant qu’ils ne risquent rien.

Comment peuvent-ils faire face à la dissonance cognitive? Parce que cette expérience psychologique leur est étrangère. Les médias leurs donnent des concepts à répéter. La partie conceptualisation a déjà été réalisée; circulez il n’y a rien à voir, faites confiance aux autorités bienveillantes…

Voyez vous cette «dissonance» ?

Le biais de désirabilité sociale est bien plus qu’un biais; c’est leur mode de vie.

Une fois que vous avez compris ce biais de désirabilité, mes amis différents, vous êtes également prêts à vous regarder dans le miroir et à comprendre la différence dans toutes ses manifestations.

Alors que certaines personnes différentes présentent de multiples manifestations, je pense que la plupart des personnes différentes insistent fortement sur une seule.

Manifestation # 1:

Dire des choses non conventionnelles. Certaines personnes différentes aiment parler de sujets différents, bizarres, rebutants ou socialement désapprouvés, malgré une forte pression sociale. Ils vivent pourtant toujours comme les autres mais disent juste des choses bizarres.

Manifestation # 2:

Faire des choses non conventionnelles. Certaines personnes différentes se concentrent sur des choses étranges, rebutantes ou socialement désapprouvées, encore une fois malgré une forte pression sociale. Imaginez l’entrepreneur faisant quelque chose dit d’impossible et vu comme un fou, le nerd, le collectionneur de timbres, l’expert dans un domaine très spécialisé, le polyamoriste, le punker, le Hare Krishna (dans les sociétés occidentales) ou le junkie ou plein d’autres catégories sortant du conformisme, de la « bien pensance » qui ne se risque à rien. Ils parlent comme tout le monde mais ils font juste des choses différentes.

Manifestation # 3:

Sur l’intégrité du bien…

Un tiers des personnes différentes commencent des réflexions par des prémisses verbales “plausibles”, voire populaires, dites du bon sens commun. Puis ils assomment le reste du monde en s’efforçant de mettre leur comportement en stricte conformité avec ces prémisses. C’est la fausseté du virtue signaling que l’on voit surtout online : “regardez moi comme je suis moralement au-dessus de vous”. Imaginez l’altruiste efficace, le végétarien ou le partisan de l’honnêteté radicale.

Manifestation # 4:

Sur l’intégrité du mal…

Le dernier tiers de personnes différentes commencent des réflexions par des prémisses verbales bizarres qui semblent absurdes. Ensuite, ils horrifient le reste du monde en s’efforçant de mettre leur comportement en stricte conformité avec ces prémisses. Imaginez le radicaliste, l’antifa, le fondamentaliste islamique, le révolutionnaire marxiste-léniniste ou le théonomiste.

Pour souligner l’évidence: la manifestation # 4 est responsable de presque toutes les horreurs politiques des trois derniers siècles.

La plupart des gens différents ne sont pas des fanatiques violents, mais tous les fanatiques violents sont différents. Vu comme cela je peux comprendre pourquoi les gens différents ont tendance à effrayer les gens non différents.

Pour défendre la différence, cependant, je dois souligner que la plupart des changements de nos sociétés proviennent de la manifestation # 2.

Bryan Caplan d’econlib.org

Écoute…

Il y a d’abord ce discours « officiel », indécemment simpliste, abêtissant.

« Protégez-vous », dit-il, « protégez les autres », surtout « restez prudents »…

Parti pris du toujours pire à venir, du souverain « Nous sommes en guerre », ne souffrant pas la plus petite contradiction.

Illusion imposée, réalité travestie : « L’ennemi est partout, il est invisible », « vous êtes en danger »…

Ce discours à tout bout de champ rabâché, dont l’omniprésence frise l’obscénité, cherchant sans cesse à s’insinuer dans nos cinq sens : télévision et radio, internet et métro, halls de gare, autoroutes, affiches, ici, là, partout, tout le temps.

Cette voix assourdissante qui vous somme de vous plier à sa règle, vous demande aujourd’hui, vous demandera demain, de vous faire inoculer son vaccin, sans voir, sans comprendre, sans poser de question, sans broncher. Mais en faisant confiance, à « l’institution », aux « tutelles », vous savez ?… Celles-là même devenues le terrain de jeu d’une tricherie à grande échelle, d’un lobbying décomplexé et d’une corruption galopante. Depuis plus d’un demi siècle, leur gangrène exposée sans pudeur à notre cécité, elles sont le théâtre de scandales sanitaires majeurs, qui se suivent et se ressemblent, et au cours desquels les morts et les blessés se comptent par dizaines voir centaines de milliers, quand on arrive à les compter : amiante, distilbène, hormone de croissance, sang contaminé, opioïdes, etc, etc.

Mais faites confiance, merci.

Et puis, il y a cette autre voix, presque inaudible, qui ne nous appartient pas, mais que nous avons choisi de porter. C’est celle de la raison, et de la prudence, celle-là qui est le fondement même de toute démarche médicale et thérapeutique, et dont toute la force tient en une formule, que vous connaissez maintenant : « Primum non nocere ».

Parce que plus qu’un autre le soignant sait que « l’enfer est pavé de bonnes intentions », et qu’à trop vouloir bien faire, il peut en faire parfois trop, précipitant la chute du patient venu lui demander secours. « D’abord ne pas nuire », et si tu n’es pas sûr de faire plus de bien que de mal, alors abstiens-toi, par respect, et par humilité. Attends, surveille, accompagne. Mais abstiens-toi.

Oui mais voilà, quand le médecin s’abstient, l’industriel trépigne.

Car il est un fait dont l’évidence devrait nous écorcher les yeux : les intérêts de l’un ne recouvrent en rien les intérêts de l’autre. Et la divergence n’est pas exclue.

Quand l’un cherche à soigner, l’autre cherche à vendre. La santé est la priorité de l’un, le bénéfice pécuniaire la priorité de l’autre. Nous affirmons que cet état de fait devrait être pris en compte, sous la forme d’une régulation stricte et indépendante. Et dire cela n’est en rien diaboliser le commerce, activité fondamentalement humaine et qui peut s’exercer de façon vertueuse.

Aujourd’hui nous avons pris l’habitude de déléguer notre pouvoir de jugement. Nous achetons des médicaments, parce qu’on nous dit qu’il le faut. Nous prenons des médicaments, parce qu’on nous dit qu’il le faut. Mais « on » est un con , pas vrai ?…

Nous choisissons d’offrir notre confiance à un médecin. Et ce médecin choisit d’offrir sa confiance à des tutelles : agences du médicament, HAS, etc. Et ces tutelles choisissent d’offrir (ou de vendre ?) leur confiance aux industries du médicament. Mais tous ces délégataires… Sont-ils dignes de la confiance qui leur est accordée ?

Les industries du médicament à une extrémité de la chaîne. Nous à l’autre.

Face à cet inquiétant ballet, nous ne voulons plus croire, nous voulons voir.

Parce que c’est le concept même de Santé qui se joue là.

« Primum non nocere ».

Nous voulons porter cette voix de la raison, cette voix de la prudence. Cette voix qui affirme que si le virus SARS-CoV-2 engendre parfois une pathologie grave appelée COVID, les chiffres de l’épidémiologie montrent que l’immense majorité ne risque rien. Et que rien ne saurait justifier l’administration précipitée à toute une population saine d’un remède dont ni l’efficacité, ni la dangerosité, n’ont été étudiées de façon sérieuse et approfondie.

Nous portons cette voix qui affirme que s’il existe aujourd’hui une seule urgence, c’est bien celle de sortir d’un état d’urgence artificiellement entretenu, et celle de commencer à nous écouter.

Chers amis, aidez-nous à rendre cette voix audible !

Vous trouverez avec cette lettre une synthèse sur l’état de la recherche actuelle, concernant le vaccin contre le SARS-CoV-2 commercialisé par Pfizer, destiné à être le premier mis sur le marché en France.

Nous vous proposons un challenge tout simple, avec peut-être un petit air de « déjà vu » :

faites passer cette synthèse à 3 personnes de votre entourage concernées (qui ont par exemple un parent en ehpad). Avec bien sûr la consigne de la transmettre à nouveau à 3 personnes. Et ainsi de suite, en mode épidémique… 🙂

Appelons cela la « chaîne du consentement éclairé », si vous voulez bien !

Accueil

Sans domicile, sans rien à manger, sans papiers : j’ai commencé comme cela !

Je suis venu au Brésil en 2011 avec moins de 1000 euros et pas de visa.

Mes 1000 € n’ont pas duré longtemps et j’ai du changer de logement loué en diminuant drastiquement le niveau de qualité du bien jusqu’à ne plus avoir de quoi me payer un logement ni-même à manger.

J’avais mal plannifié mon expatriation ?
Sûrement.

On peut la plannifier mieux ?
Oui certainement mais pas à la perfection.

Et c’est impossible d’avoir connaissance de tous les détails.
Et plus on plannifie moins on a le courage de sauter le pas.

Donc en conclusion le courage de passer à l’action reste quelque chose qui a plus de valeur que le reste car aujourdhui toujours au Brésil à São Paulo je suis un chef d’entreprise.

Bien sûr cela a mis des années.
Je n’ai pas tout changé du jour au lendemain.

Ce sont les difficultés recontrées qui ont marqué en moi les qualités d’humilité et de plaisir de conquérir.

Les 2 vont ensemble et s’équilibrent.

Lorsque l’homme traverse l’océan seul en kayak et que des marins ou ses proches et amis le voit ou simplement l’imaginent que pensent-ils ? 🤔

Ils pensent que c’est un idiot qui non seulement perd son temps mais qui en plus n’a pas toute sa tête. 🙃

Pourtant avant la traversée il est admiré et à l’arrivée il est félicité.

Être entrepreneur c’est à la mode, c’est cool, c’est tendance mais ce que la majorité oublie c’est que c’est difficile.
Extrèmement difficile et c’est pourquoi la majorité ne passe pas à l’action ou finit par désister.

Car il faut être courageux et se risquer à faire ce qui est contre-intuitif.

C’est l’homme qui est admiré pour y être arrivé mais que la majorité ne souhaite pas voir durant sa traversée.

Paradoxes qui créent d’énormes différences…

De l’importance de parler d’argent avec ceux qui n’en n’ont pas.

Dans cette podcast je parle de questionner le tabou de l’argent et vous inviter à parler plus d’argent avec ceux qui n’en n’ont pas.

L’objectif étant d’ouvrir son esprit et d’être curieux.

D’une individualité à un groupe uni. Comment on fait ?

Tout seul oui vous pouvez être un excellent professionnel. 

Mais en compagnie des autres il est possible de grandir sérieusement et de gagner de nouveaux horizons.

Par conséquent, le leadership est un des outils clés.

Qu’est-ce qu’un leader ?

C’est être capable de faire qu’un groupe hétérogène de personnes ait un but commun, se transformant en une équipe unie.

Mais comment faire cela sans détruire l’individualité de chaque membre de l’équipe?

Cela est possible uniquement si vous construisez un système dans lequel règnera la clarté : où il est clair que chaque membre réalise aussi ses objectifs personnels.

Quand les rêves personnels sont écartés au nom de la collectivité, c’est de la manipulation, autrement dit du communisme ou du vol.

Dans un système prospère l’individu est la pièce la plus importante. Tout part de lui, de ses projets et de ses initiatives. La construction d’une collectivité saine doit être faite à partir des aspirations de chaque individu.

Lorsque la communauté est placée au détriment des rêves individuels (c’est à dire sans encourager la poursuite des rêves personnels), le manque d’encouragement de chacun des membres entraînera le déclin du groupe. Ou si le groupe existe encore, cela ne sera que des membres-pions en faveur des promesses et des intérêts des tiers qui seront au sommet de la pyramide bénéficiant du sacrifice des masses.

Voulez-vous créer une entreprise/un projet prometteur ? Créez un système qui va dans le sens des rêves individuels de chacun des membres. Ainsi, la communauté bénéficiera de l’individualité.

La meilleure façon de penser aux résultats de votre projet, de votre entreprise c’est de penser aux résultats de vos employés.

Paradoxe ? Non, pure logique.

Lisez le journal de bord d’un entrepreneur.

Le vilain petit canard deviendra en fait un joli cygne.

Que se passe-t- il lorsqu’un « vilain petit canard » obtient le succès ? J’ai écris un article dans le même thème qui s’intitule : Vision de 2 mondes : SDF/Millionaire. J’explique la quête de sens qui mène à l’entrepreneuriat : c’est un questionnement sur pourquoi la majorité fait ce qu’elle fait et est où elle est... Peu d’hommes et de femmes sortent de la rat race en envoyant balader le bon sens !

Le système en place c’est comme une usine avec tout le monde en place bien rangé dans une ligne de montage. Le « vilain petit canard » dérange et il embête tout le monde. En fait la majorité le jalouse inconsciemment et voudrait être comme lui. Le système mental maintient tout le monde en place dans des cages. Le système c’est à partir de 6 ans jusqu’à 25 ans de nos jours des études sans but qui se prolongent encore et encore comme une fin et non comme un moyen pour ensuite chercher un job, puis financer une résidence principale sur 30 ans (voir ici la maison principale n’est pas un actif) où on passera le reste de sa vie jusqu’à être enfin à la retraite.

Pourtant il est possible d’être épanoui en dehors de ce modèle, en étant un athlète, un artiste, un musicien, un acteur, un top model, un chanteur, un moine, un politique, un philantrope, un blogger ou un entrepreneur. Que se passe-t-il lorsque quelqu’un ose vouloir sortir de cette ligne de montage ? S’il dit qu’il veut être musicien il entendra qu’il est un vagabond, quelqu’un qui n’a rien à faire, voire même un drogué. S’il dit qu’il veut être un top model on le traitera de putain. S’il dit qu’il veut être entrepreneur on lui dira entre autres qu’il s’illusionne car il n’a pas de capital ou qu’il n’est pas né dans une riche famille.

Pourquoi ça se passe comme ça ?

Tout ce qui diffère du préfabriqué traditionnel que la majorité bouffe à chaque instant choque les esprits habitués à jouer toujours dans le même petit carré.

Lorsqu’il s’agit par exemple des familles du « vilain petit canard » le sentiment de frustration des proches est lié au fait de ne pas être habitué à voler de leurs propres ailes. Les personnes se sentent en sécurité dans la ligne de montage là où le « vilain petit canard » a envie de vomir. Mais en fait l’ADN de « vilain petit canard » est le même que celui des autres canards : l’entrepreneuriat n’est pas inné mais ACQUIS !

(Article inspiré du conte du vilain petit canard d’Hans Christian Andersen).

Pourquoi 90% des gens n’ont pas la vie qu’ils veulent…

Dans cette podcast j’explique pourquoi 90% des gens n’ont pas la vie qu’ils veulent et je présente mes solutions qui sont dans mon livre disponible sur Amazon les 10 règles d’or secrètes du succès.

Suivez les pensées d’un entrepreneur et investisseur de succès !

Individualité versus bon sens commun

Dans cette podcast j’évoque la nécessité d’envoyer balader le bon sens et de renforcer votre individualité, votre différentiel en tant qu’entrepreneur.

Le sens commun bloque la créativité et maintient en cage la majorité dans un tout petit espace.
Suivez les pensées d’un entrepreneur et investisseur de succès !

Envoyez balader le bon sens !

Qu’est ce que le bon sens commun ?
Le bon sens est formé par l’ensemble des opinions, visions et valeurs adoptées par l’inconscient collectif.
C’est la voix idiote de la majorité qui vous envoie droit en enfer brûler votre âme dans la stagnation de la médiocrité.

Pour le bon sens il est commun d’être découragé à croire en innovation, en de nouveaux concepts différents de ceux hérités de générations en générations.
Le bon sens maintient la majorité à sa place dans un tout petit espace.
image

Le bon sens domine les esprits et ainsi les décisions.
De cette façon, les résultats sont mediocres et vont alimenter les thèses de l’impossibilité de changer de vie en mostrant par A+B qu’il n’est pas possible d’avoir des rêves de grandeur et qu’il n’est pas possible d’arriver à les réaliser.

Nous vivons à l’intérieur de ce maudit bon sens car nous pensons faussement qu’au moins avec lui nous sommes libres des grandes frustrations.
Pourtant connaissez vous quelque chose de plus frustrant que de maintenir vos propres rêves en cage et de vivre chaque jour avec vos plans B, C, D… Z ?

Qui a crée ce bon sens ?
Ce bon sens je l’envoie balader, que ce soit en famille, à l’école, à l’université, à l’église, au bar, à la plage et dans l’entreprise privée et publique du monde entier.

Qui a le courage d’envoyer balader le sens commun a beaucoup plus de chances de sortir de cette course de rats.
image

C’est la possibilité à chaque moment d’arrêter de courir après son ombre et de pouvoir enfin être le maître à bord de ses pensées.

Á chaque fois qu’un homme fait différemment du bon sens il est critiqué sévèremment.
Il sera vu comme un fou, un rêveur, un inconscient de la réalité etc.

Osez dire : «je vais larguer l’école» ou «je ne veux pas savoir de stabilité et je veux des bénéfices sans limites».
Osez dire : «je veux créer ma boîte». Osez dire : «je ne veux pas être avocat ou médecin car je veux être musicien».
Ou alors pour que la majorité vous traite d’idiot dites à tous «j’aime travailler».

Le bon sens est une prison.
S’il vous plaît ne préférez pas la stabilité à la possibilité de faire ce que vous aimez.

Le bon sens c’est la modalité dans laquelle l’esclave préfère un job et un salaire plutôt qu’un retour sur investissement.

La révolution se passe à chaque moment, devant chaque prise de décision, devant chaque choix.
image

Ceux qui se libérent du bon sens commun seront libres pour s’envoler.
Après des années oú ils ont été critiqués et méprisés du fait de leur courage de faire l’opposé de la masse, ils recevront alors les bravos de ceux qui suivent la dictature du bon sens.
Les jaloux perplexes qui diront que c’est de la chance.
Bah oui la chance…

Voici d’autres articles sur le même thème :
Les trucs les plus cool ne sont pas raisonnables
Je ne travaille plus depuis 2011

Recette du succès -Partie 3

J’ai fait la liste des ingrédients du gateau dans la partie 1 puis j’ai ajouté les observations et commentaires du chef en partie 2. Maintenant, dans la partie 3 je vais revenir sur l’ingrédient secret. Le connaissez vous ?
Pour ceux qui veulent aller + loin et étudier + en détails voici l’article présentant mon Ebook sur les 10 règles d’or secrètes du succès.

Je n’ai pas gagné au loto. Le succès est une science exacte. L’école n’enseigne pas cette science là. Elle enseigne même l’inverse.

L’ingrédient secret est l’élément central de la recette du succès. C’est la valeur ajoutée : ce qui rend le business différentiel.

Par exemple Apple était en perte de vitesse avant que Steve Jobs ne revienne avec l’ingrédient secret que peu connaissent.

Généralement c’est le fondateur de l’entreprise qui est le plus expert dans ce domaine. Il a analysé les tendances, les demandes des clients, les solutions apportées par les concurrents tout comme les obstacles de la bureaucratie et des états. Mais il est surtout totalement centré sur le fait de révolutionner l’expérience utilisateur.

Le différentiel d’une entreprise par rapport à une autre repose sur le fait de délivrer énormément plus que ce à quoi le client s’attend. L’expérience utilisateur doit stupéfier le client. C’est la qualité supérieure du service au point d’en paraître un service ou produit révolutionnaire. Ce sont des centaines de petits détails simples qui mis bout à bout vont créer l’enchantement.

La technologie remet l’utilisateur émerveillé au centre de l’entreprise.
Et ainsi vous avez défini une opportunité unique que les autres n’exploitent pas aussi bien que vous.
Beaucoup de nouvelles start ups peuvent apparaître en ré-introduisant cet élément secret dans des enterprises déjà existantes. Créer la disruption n’est pas difficile en fait…

Ne confondez pas Individualité et Égoïsme. Partie 1.

image

Vous n’êtes pas un numéro en plus dans la masse, un en plus dans la collectivité ou un en plus dans votre classe ou dans votre entreprise !

Vous êtes unique et personne ne peut remplacer le rôle de votre propre MOI.
Vous avez vos particularités, vos préférences, vos rêves, vos ambitions et vous savez aussi exactement ce que vous ne souhaitez pas.

Ne permettez pas d’être inclus dans le troupeau et d’être considéré comme de la simple main d’oeuvre.

Vous êtes libres pour être vous même, pour ne pas être d’accord et même pour s’opposer aux idées de personnes que vous aimez.

S’oublier soi-même en faveur d’une collectivité c’est un suicide idéologique.
C’est tuer son propre MOI, c’est mourrir pour donner vie à un groupe et le pouvoir à un leader voleur et menteur car travaillant pour ses propres intérêts et non pour les votres.

Travailler en équipe veut dire suivre les objectifs de l’équipe à partir du moment où nos objectifs personnels sont alignés avec.
Autrement dit : faire des efforts pour l’équipe voudra automatiquement dire travailler pour réaliser en même temps ses propres objectifs personnels.
Si c’est différent de ce que je viens de dire alors vous êtes dans une situation dangereuse et vous serez manipulés par un faux leader.

Individualité n’est pas égoïsme. Plus vous prospérez plus vous pourrez aider les autres.
Plus vous gagner d’argent plus vous pourrez faire la différence pour les défavorisés en leur enseignant comment se défendre dans notre société en gagnant de l’argent sans dépendre de personne.

Votre individualité fait partie de votre personnalité.
Hommes et femmes sans individualité forment une société de zombis manipulés par le système quel que soit le nom de ce système.

N’échangez votre individualité pour rien au monde !

image

Votre dignité c’est ce qui vous maintient en vie de toutes façons.

Quel gâchis et quel dommage de voir des zombis, des gens dépendants, sans initiatives et sans dignité !
C’est une catastrophe sociale.

Musique et Business – Partie 1.

Dans la suite des articles sur les liens entre Sport et Business Partie 1 et Sport et Business Partie 2 voici un article sur  les qualités acquises dans la Musique appliquées dans le Business et les qualités apprises dans le Business appliquées dans la Musique.

10848882_10152714745963172_5300001752291138435_o

Comme je le disais pour le Sport, ici c’est la même chose : Musique et Business demandent des actions simples répétées et qui sont les mêmes. Ces actions provoquent du plaisir et un ressenti qui reste gravé en nous sur le long terme.

En Business lorsque l’on met en ligne un beau produit ou vend un service dont les clients sont fiers on a une sensation agréable que l’on souhaite reproduire et le serial entrepreneur recherche cela au plus profond de lui-même.

En Musique plus on répéte des actions stimulantes fun et qui demandent de chercher à nous surpasser plus on va avoir un ressenti agréable que l’on va vouloir reproduire.

J’ai été motivé par mes parents à faire de la musique dans la jeunesse, au Conservatoire : mon père joue de la guitare, ma grande soeur du violon, ma petite soeur du piano et moi du saxophone.

Mes parents nous ont toujours motivé á faire plein d’activités avec des stimulations différentes comme du théâtre, de la danse, du vélo, de la natation, du tennis. Au-delá de devoir faire preuve d’habiletés différentes, ces activités diverses font travailler des zones du cerveau qui ne sont pas les mêmes.

La diversité sur ce point est un atout pour un futur entrepreneur qui doit jongler avec différents savoirs et différentes équipes.

Tout comme pour la méditation, ce qui est important ici c’est que la musique entraîne le cerveau : l’attention et la concentration sont 2 actions différentes que je vais expliquer et que l’on va exercer lorsque l’on joue un instrument.

L’attention c’est le fait d’être à l’écoute et d’observer et c’est plus passif alors que la concentration requiert un effort plus grand car c’est le fait de s’appliquer durant une action. En musique, l’observation et la concentration interviennent ensemble et non séparément comme dans d’autres activités. C’est justement le fait de l’observation et de la concentration être actionnées simultanéement qui entraîne ensemble différents lobes du cerveau. Dans le Business il faut garder cette notion à l’esprit afin de ne pas « garder la tête dans le guidon » c’est à dire ne pas manquer d’observation, de vision long terme lorsqu’on est engagé dans une action ! 

Un musicien écoute et joue en même temps car il s’est entraîné à « ne faire  qu’un avec son instrument » c’est à dire il prête plus attention à la musique qu’aux touches qu’il presse sur son instrument. L’homme d’affaires doit suivre ses rêves (sa propre musique) et ne pas se bloquer sur les problèmes de touches.

12087663_10153365015073172_8857052111179652386_o (1)

La suite dans la partie 2 ici : Musique et Business – Partie 2.