Investissez avec nous via notre fonds d’investissement spécialisé dans la logistique immobilière brésilienne www.investirbresil.fr
BSNI, QUI SOMMES-NOUS ?
🔸 BSNI est un gérant actif qui achète et revend des participations dans les fonds logistiques brésiliens côtés en bourse.
🔸 BSNI investit aussi directement dans l’achat/revente de hangars et entrepôts en recevant les loyers et en rénovant pour des plus values.
🔸 De petite taille (moins de 5 millions d’$ sous gestion) BSNI est rapide pour entrer et sortir de ses positions et suivre avec attention les meilleurs fonds du moment sans problèmes de liquidités.
🔸 Le fondateur Antoine Bachelin Sena investit lui-même dans le fonds BSNI pour être totalement aligné avec les objectifs des investisseurs.
CONDITIONS GÉNÉRALES D’INVESTISSEMENT.
🔹Nos objectifs sont moyen/long termes (12 mois à 4/5 ans).
🔹Nous prenons un maximum de 10 positions par an.
🔹Investissement d’un montant minimum de $5k.
🔹1 an bloqué mais nous recommandons un investissement pour 5 ans.
🔹1% de frais d’administration unique.
🔹Pas de comissions des performances au-dessus de 10% de rentabilité
Revenons en 2012 et à la grande crise de l’euro pendant laquelle il aurait dû disparaitre. Cette crise trouvait sa source dans une réalité toute simple : plus personne appartenant au secteur privé ne voulait acheter des obligations Italiennes , Espagnoles, Grecques, Françaises etc. Monsieur Draghi nous annonce alors qu’il fera tout ce qui est nécessaire pour que l’Euro survive (whatever it takes…), et décide, à lui tout seul, et contre tous les traités, que la BCE allait acheter toutes les dettes des pays en faillite, la BCE devenant de fait le seul acheteur de ces obligations pourries. Il acheta donc des actifs bien au-dessus de leur valeur en créant de l’argent pour cela. Du coup, de 2015 à 2022, la base monétaire (la quantité de monnaie créée par la banque centrale) a cru de 500%, tandis que la demande de monnaie augmentait de 29% en tout et pour tout. Ce qui veut dire en termes simples que la planche à billets a fonctionné en surrégime sur cette période, la BCE achetant 100 % de la dette des pays dont le secteur privé ne voulait pas, en imprimant de l’argent pour ce faire. Rueff disait que : l’inflation c’était de financer des dépenses qui ne rapportent rien avec de l’argent qui n’existe pas ». Si cette définition est bonne, voilà qui a dû créer une forte hausse des prix. Vérifions.
Les prix de détail en Allemagne sont en hausse de près de 8 % sur les 12 derniers mois (contre un objectif de 2 %) , et les prix industriels ont bondi comme jamais en enregistrant 33 % de hausse sur un an, ce qui ne s’était jamais vu depuis la seconde guerre mondiale.
Ce qui m’amène au point suivant : qui va souffrir de cette inflation ?
Réponse numéro un : le retraité allemand, investi en Bunds, qui, à la place de voir son pouvoir d’achat augmenter de plus de 5 % par an, vient de le voir baisser de 30 % depuis le début de 2020. Il faut savoir en effet que les fonds de pension en Allemagne sont investis principalement en obligations d’état (Bunds), et que ces fonds se retrouvent depuis le début de 2020 ayant perdu 30 % de leur valeur, et que c’est loin d’être fini, ce qui va rendre le paiement des retraites difficiles. Et, comme l’Allemagne est un pays de retraités avec une démographie épouvantable, nous allons avoir une très solide récession en Allemagne par effondrement de la demande interne, qui va s’ajouter à la baisse de la demande externe, les produits allemands n’étant plus compétitifs.
Réponse numéro deux : l’Etat Italien qui rentre à nouveau dans une trappe a dettes. Une trappe à dettes se met en place quand les taux d’intérêts sur la dette sont supérieurs au taux de croissance de l’économie. Dans ce cas, la dette en % du PIB ne peut que monter et la banqueroute devient inévitable. L’Italie va entrer en récession en raison de la hausse du prix de l’énergie et sa dette va exploser à nouveau, à la hausse. Les élections à la fin du mois de septembre vont être passionnantes puisque nous aurons à la fois récession, inflation, et hausse des taux. On comprend pourquoi monsieur Draghi ne se présente pas.
Réponse numéro trois : la France, qui va rentrer en récession comme l’Allemagne et l’Italie, pour les mêmes raisons et donc notre déficit budgétaire va exploser à la hausse comme dans chaque récession et avec lui notre ratio dette sur PIB. Dans une récession, le déficit se creuse toujours, et depuis 1985, chaque récession a créé un déficit plus important que les précédents ( flèche rouge). il me semble raisonnable donc d’anticiper un déficit supérieur à 8 % du PIB pour les années qui viennent. En route vers une dette à 130 % du PIB…Et je ne parle pas du déficit extérieur.
Réponse numéro quatre : le système bancaire européen . Une banque emprunte au taux de marché et prête au niveau moyen de la rentabilité du capital. Si la rentabilité du capital est inferieure au taux de marché, les banques voient leurs cours s’effondrer et passer sous la moyenne mobile a deux ans. Et comme nous allons rentrer en récession dans la zone Euro, la rentabilité du capital va passer en dessous du cout du capital (qui monte, puisque la BCE fait monter les taux). Ergo, le cours des banques européennes va s’effondrer et peut être « casser » 80, ce qui entrainerait des ventes massives par tous ceux qui suivent l’analyse technique, et ils sont nombreux.
Venons-en, pour finir, au sujet qui fâche , la guerre Russie-Ukraine . Pour punir la Russie, nous nous sommes interdit d’acheter notre énergie à ce pays , ce qui veut dire que nous devons l’acheter ailleurs, plus cher, et en dollar US alors qu’auparavant nous payions nos importations de Russie en Euro . Du coup, l’Euro baisse par rapport au dollar , ce qui fait grimper le cours de nos importations et nous découvrons avec horreur qu’il n’y a rien à acheter à l’extérieur.Et du coup, la balance commerciale de la zone euro est passée négative et va continuer à se dégrader.
Quand le prix du pétrole monte, la balance commerciale de la zone euro se détériore , et vice versa. Mais peut-être le pétrole et le gaz vont ‘ils baisser ? Hélas et comme je ne cesse de le dire depuis deux ans, nous sommes entrés dans une crise énergétique durable et donc, le cout de l’énergie va continuer à monter et le déficit de la balance commerciale à se creuser, ce qui nous forcera à monter les taux d’intérêts alors même que nous serons en plein ralentissement, ce qui risque de transformer la récession en dépression.
Conclusion
Je n’ai jamais dans l’histoire depuis 1945 vu une telle accumulation d’erreurs politiques, stratégiques, économiques que celles qui ont été imposées aux pays européens dans les vingt dernières années, et je crains que la note à payer qui sera sans-doute présentée dans les 12 mois qui viennent ne soit lourde, tres lourde. Pour la première fois de ma carrière, je ne vois en effet aucune sortie de marché pour la zone Euro tandis que la BCE n’a plus aucune cartouche à tirer.
La sortie sera donc soit catastrophique, soit politique, l’un n’excluant pas l’autre. Et Il n’y a que deux sorties possibles et elles sont toutes les deux de nature politique :
L’Europe explose, l’Euro disparait et chacun se débrouille comme il peut pour aller quémander de l’énergie à Moscou. C’est déjà ce que fait la Hongrie, et bientôt sans doute l’Italie et l’Autriche, voire la Grèce.
Les pays Européens, sous la conduite de la Commission, vont , la corde au cou, présenter leurs excuses à Moscou, ce qui implique la fin de l’OTAN et un protectorat militaire Russe sur l’Europe.
Dans les deux cas, les élites actuelles seront virées par les peuples.
En tout état de cause, ça va souffler dans les 12 mois qui viennent, comme jamais dans ma carrière.
Pour expliquer le titre de cet article : quand j’avais 20 ans c’est ce que m’avait dit un ami investisseur français multimillionnaire qui habitait un magnifique triplex face à la plage à Rio de Janeiro.
Il ne m’expliquait pas ce qu’il faisait dans la vie, à part rénover ce triplex et avoir des investisseurs qui faisaient travailler son argent.
Je pensais qu’il se moquait de moi et que c’était une blague mais en fait c’est une jolie parabole.
On passe nous journées à la plage à Rio et louer une chaise de plage tout le temps demande de l’argent (moi je mettais souvent ma serviette à même le sol) et avoir sa chaise longue pliante à soi fait sens. Mais au-delà de cela il voulait signifier pas mal de choses sur sa philosophie de vie et ce n’était pas une blague anodine.
Je l’avais juste connu cette après midi sur la plage et je n’ai pas gardé contact ni son nom car à l’époque la réussite matérielle n’était pas mon objectif (je vivais dans le temple bouddhiste zen soto de Copacabana, Eininji, avec la sangha de Ryotan Tokuda Roshi, dans une ancienne maison au début de la favela de Cantagalo). Si voulez, lisez ici : business et méditation.
Aujourd’hui j’aimerais bien savoir son nom et ce qu’il fait mais peut être que c’est mieux de ne pas le savoir car cela m’a rendu autodidacte, seul Dieu sait. Peut être que je n’aurais pas fait cela : http://investirbresil.fr
La parabole que nous appellerons de chaise longue de plage montre finalement la simplicité, que nous n’avons pas besoin de grand chose. Que le bonheur ne demande pas beaucoup d’argent mais une décision inteligente. Peut être que c’est cela qu’il voulait me dire à l’époque à moi qui était pourtant intéressé par les bien matériels mais trop orgueilleux pour le reconnaître et pour lui demander comment il faisait.
L’humilité de demander, de savoir reconnaître que l’on ne sait pas est un tabou dans notre société où tous voulons briller et apparaître. Mais nous perdons des opportunités de cette façon arrogante et c’est extrêmement dommageable.
On a besoin de très peu en fait. Des fois je me dis que je devrais tout vendre et vivre à la campagne avec des poules dans une maison de bois. Et vivre des fruits et légumes plantés et des oeufs des poules, de la pêche etc. Peut être que je ferais cela à un moment de ma vie qui sait.
Il y a des personnes qui nous disent des choses importantes que l’on ne prend pas au sérieux et d’autres qui nous disent des choses non importantes que l’on prend au sérieux.
L’important c’est nous qui le définissons et qui avançons dans notre vie avec ce que l’on peut.
Par exemple lorsque j’ai rencontré en Australie en 2010 dans un shopping un milliardaire australien qui possédait plusieurs mines et que je l’ai reconnu de magazines et je l’ai abordé en lui demandant comment être milliardaire il m’a dit de persister et que c’était la clé. Peut être cela paraît bateau, cliché, cul-cul la praline, peu profond, et du développement personnel bidon pas cher mais cela faisait sens pour moi. Cela faisait énormément de sens pour que je continue à avoir les forces dans ma lutte journalière épuisante émotionnellement.
Selon les concepts de mathématiques financières oui c’est possible. Il suffit d’acheter du temps.
Quand vous financez votre business par exemple, vous êtes en train d’acheter du temps. Car même sans avoir l’argent pour acquérir le bien vous commencez à utiliser le bien de façon anticipée.
Quel est le prix du temps ?
Les intérêts. Un exemple illustrant cela c’est quand vous vendez votre entreprise. Pour analiser sa valeur vous anticipez la projection des résultats des années à venir, tout en applicant une actualisation qui adapte le montant potentiel aux prix du moment.
Quel est le prix du temps ?
En plus de cette anticipation il faut ajouter le temps libre gagné et dont vous pouvez faire ce que vous voulez. Cela aussi s’apelle acheter du temps.
Le prix du temps c’est la valeur du rabais obtenu, des bénéfices anticipés en terme de temps libre. Écoutez ma podcast sur ce sujet : Acheter et NON VENDRE son temps. (Dans cette podcast j’explique qu’avoir du temps pour soi est essentiel pour un entrepreneur. En effet les pauvres vendent leur temps contre de l’argent alors que les riches achètent du temps pour soi.)
Une autre façon d’acheter du temps pour soi c’est avec le courage et les compétences de construire des projets à valeur ajouté (voir le défi de la valeur). Il est possible de cette façon de sauter des dizaines d’années en peu de mois lorsque votre projet devient réalité et les graines devenues fruits peuvent être cueillis.
Quel est le prix du temps ?
Quels sont vos actifs, vos businesses ?
La prochaine fois que quelqu’un vous demande votre âge, qu’allez vous répondre ?
Dans mon livre vous allez apprendre : – Á adopter une atitude de conquérant, – Le secret d’être « affamé », – Comment élaborer votre plan A, B et C pour être libre, – Pourquoi quitter le troupeau, – Pourquoi le risque est plus avantageux que la trivialité. – Être adaptable et tester de nouvelles possibilités, – Comment montrer un niveau de qualité époustouflant, – Et beaucoup plus !
« Ce livre est notre réveil matin, notre alarme. Alors que le reste de la population passe son temps à se plaindre de ses problèmes, Antoine Bachelin Sena travaille sur les solutions. Si vous ne voulez pas avoir le regret de ne jamais avoir réalisé vos rêves, alors lisez ce livre ! » Marc Lelois.
« Antoine Bachelin Sena vous motive à penser plus grand, travailler de façon plus intelligente, et accomplir beaucoup plus que ce que vous pensiez impossible ! » David Louis.
« J’aime le livre d’Antoine Bachelin Sena pour une raison : ça marche, ça fontionne ! Pas de théorie fumeuse, pas de blabla dans le vent, simplement un pas à pas à suivre qui boostera votre business si vous faites exactement ce qu’Antoine dit. Ça a marché pour moi. » Marc Eloiso.
« Le livre d’Antoine est une lecture indispensable si tu souhaites être le premier, si tu souhaites être le meilleur. » Olivier Ansti.
« Antoine Bachelin Sena présente avec beaucoup de précisions un manuel du succès. Il expose simplement les actions à appliquer. » Coralie Mercier.
La grasse matinée tous les jours, aller au parc et au cinéma quand il n’y a personne, aller au shopping quand il n’y a personne, prendre des billets d’avion moins chers en basse saison, réserver des spas et chambres d’hotel moins chers car on a un grand choix de dates, glandouiller à la piscine du club, lire des livres sur la chaise longue ou un hamac devant une plage brésilienne (j’habite au Brésil depuis 2011), écouter de la musique ou une podcast en rêvassant, faire du karting, du buggy, de la voile, jouer de la musique, apprendre dans différents domaines (je fais mon brevet de pilote d’avion privé et j’ai des entreprises dans d’autres secteurs que ceux de mes études scolaires cf les habiletés et compétences que vous devez apprendre en dehors de votre diplôme). La formation à vie est quelque chose de fondamentale.
Je me la coule douce et je n’ai plus aucune routine matinale comme je le faisais quand j’étais étudiant (réveil à 5h du mat pour aller méditer au dojo zen soto voir mon article Méditation & Business). Le plus sympa c’est le lundi et mardi le fait de savourer la grasse matinée et le petit dej au lit quand les autres bossent car cela nous fait réfléchir sur les choix que nous avons pris 🤔.
Quand on n’a plus à aller au taf on a beaucoup plus de trucs à faire ! J’ai des objectifs à atteindre (voir ma To Do List). Ces objectifs sont définis en commun accord avec ma femme. On a des objectifs de voyages, des objectifs pro, des objectifs perso, des objectifs journaliers.
Dans la journée quand on n’a plus à aller au taf on peut aller à la piscine, à la plage et aller aurestaurant d’un hotel chic face à un paysage extraordinaire. On peut écrire des mails sur son smartphone, écrire des articles sur son blog, envoyer des contrats via Google Docs sur son portable, avoir Skype, Slack, Whatsapp etc pour parler avec ses clients, ses employés, ses fournisseurs. Puis plus important on peut éteindre son portable et faire ce qui bon nous semble de notre temps.
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