La différence entre amateurs et professionnels, quelle que soit votre profession, par Sahil Bloom.

En introduction concernant le travail, les amateurs lui donnent l’air d’être pénible, laborieux et les professionnels le font paraître sans effort.

Vous devez faire preuve durant des années de plus d’efforts, de beaucoup de « sueurs » pour que lorsque vous serez enfin expert vos réalisations apparaissent “sans effort”.
Les professionnels savent que les grandes performances sont le résultat d’énormément de pratique.
Les petites choses répétées deviennent de grandes choses.

Les amateurs jouent à la table alors que les professionnels sont eux qui mettent la table et dans leur sens.
Les professionnels jouent à des jeux qu’ils sont particulièrement bien placés pour gagner.
S’ils n’aiment pas la façon dont la table est mise, ils la retournent.
Ils mettent la table d’une manière qui favorise leur avantage et font ensuite jouer leur adversaire dessus.

Les amateurs aiment le prix, les professionnels aiment le processus.
Vous n’y arriverez jamais si la vue au sommet est la seule chose qui vous motive à continuer à grimper.
La chasse doit être aussi excitante que le repas final.
Les professionnels tombent vraiment amoureux du processus.

Les amateurs blâment les autres alors que les professionnels sont responsables.
Suite à un échec :
L’amateur regarde vers l’extérieur – la malchance, des circonstances injustes, un adversaire mauvais perdant.
Le professionnel regarde à l’intérieur – manque de préparation, lacunes dans la gestion quotidienne, intensité inégale.
La responsabilité engendre le progrès.
Les amateurs craignent de se tromper, les professionnels en profitent.

Les professionnels recyclent leur esprit pour adopter de nouvelles informations qui obligent à changer de point de vue.
Ils considèrent chaque « mise à jour logicielle » comme une amélioration par rapport à l’ancienne.
Les mentalités ouvertes dominent le monde.
Les amateurs espèrent des changements alors que les professionnels les créent.

Les amateurs entrent dans l’arène en croisant les doigts alors que les professionnels entrent dans l’arène avec un plan.
Ils se rendent compte qu’une partie de ce que nous appelons la chance est le résultat macro de 1 000 micro-actions.
Les professionnels créent plus de chance.
Les amateurs font partie de l’environnement alors que les professionnels en sont le maître.

Il est important d’avoir un plan, mais un plan est inutile si l’environnement n’est pas adapté pour le suivre.
Les professionnels “créent” leur environnement, ils ne se contentent pas d’y exister.
Ils dictent les termes.

Les amateurs attribuent de façon simpliste le succès à la compétence et l’échec à la chance alors que les professionnels comprennent le rôle des deux et en jouent.
Le professionnel reconnaît le rôle des compétences et de la chance dans chaque résultat. Il se concentre sur les facteurs contrôlables.

Le professionnel crée un environnement où la chance est plus susceptible de frapper.
Alors que les amateurs craignent l’incompétence, les professionnels sont formés, compétents et donnent des cours aux amateurs en délaissant ce qui avantagerait les amateurs.

Face à leur propre incompétence :
L’amateur s’agite nerveusement dans une tentative de détourner l’attention de l’écart évident.
Le professionnel a toujours un “stop loss”, et un bon ratio pour gagner sur le long terme.
Les professionnels connaissent leur avantage unique : ils jouent *leur* jeu.
« Je ne crains pas l’homme qui a pratiqué 10 000 coups de pied une fois, mais je crains l’homme qui a pratiqué un coup de pied 10 000 fois. » – Bruce Lee.
Les amateurs craignent l’échec, les professionnels l’adoptent.

Nos plus grands moments de croissance découlent souvent directement de nos plus grands échecs.
Les professionnels n’acceptent pas l’échec comme inévitable, mais ils ne le craignent certainement pas non plus.

Rappelez-vous : vous échouerez.
Embrassez vos fautes intelligemment et rapidement.
Les amateurs veulent briller alors que les professionnels veulent juste gagner et sont implacables.

De nombreuses personnes sont capables de produire des sursauts d’énergie – peu sont capables de produire des flux constants et réguliers, jour après jour.

L’amateur veut paraître mais le pro est implacable.
Les amateurs sont patients avec les actions et impatients avec les résultats alors que les professionnels sont impatients avec les actions et patients avec les résultats.
Les professionnels jouent à des jeux à long terme et ils retardent la gratification.

Mais ils comprennent simultanément que les jeux à long terme sont gagnés grâce à de petites actions quotidiennes.
Les amateurs agissent vite alors que les professionnels agissent méthodiquement.

Face à un défi unique :
L’amateur saute en mouvement, croyant que le mouvement vers l’avant est un progrès.
Le professionnel se déplace lentement, s’arrête, réfléchit et agit.
Les amateurs s’apressent alors que les professionnels attendent.

Lorsque les niveaux de pression et de stress augmentent :
L’amateur est mal à l’aise – il presse dans un effort pour avancer rapidement jusqu’à l’arrivée.
Le professionnel est à l’aise, il observe.
Le professionnel est né dans la pression, construit à travers le stress.
Les amateurs cherchent la reconnaissance, les professionnels cherchent l’héritage.

Les amateurs le font pour la tape dans le dos – l’approbation, les mots d’affirmation, le champagne.
Les professionnels le font pour quelque chose de plus grand sur le long terme et ils n’ont pas besoin d’approbation.
Ils construisent quelque chose qui dure longtemps après leur départ.

Les amateurs laissent venir le jour alors que les professionnels ont une routine.
Les plus grands experts de tous les métiers partagent une chose en commun:
Ils ont une routine et ils s’y tiennent.

La grandeur est simplement le résultat de petites actions quotidiennes bien faites, encore et encore.
Les amateurs essaient d’être bons en tout alors que les professionnels selectionnent, ils identifient leur avantage unique et l’exploitent.

Le Professionnel c’est :
(1) Conscience de soi pour déterminer son avantage unique.
(2) Stratégie plannifiée et avec différentes options évolutives pour monter la table de jeu en faveur de cet avantage.
(3) Être impitoyable pour exploiter cet avantage sur la table de jeu.

«Le meilleur investissement de ma vie c’est : une chaise de plage.»

Pour expliquer le titre de cet article : quand j’avais 20 ans c’est ce que m’avait dit un ami investisseur français multimillionnaire qui habitait un magnifique triplex face à la plage à Rio de Janeiro.

Il ne m’expliquait pas ce qu’il faisait dans la vie, à part rénover ce triplex et avoir des investisseurs qui faisaient travailler son argent.

Je pensais qu’il se moquait de moi et que c’était une blague mais en fait c’est une jolie parabole.

On passe nous journées à la plage à Rio et louer une chaise de plage tout le temps demande de l’argent (moi je mettais souvent ma serviette à même le sol) et avoir sa chaise longue pliante à soi fait sens. Mais au-delà de cela il voulait signifier pas mal de choses sur sa philosophie de vie et ce n’était pas une blague anodine.

Je l’avais juste connu cette après midi sur la plage et je n’ai pas gardé contact ni son nom car à l’époque la réussite matérielle n’était pas mon objectif (je vivais dans le temple bouddhiste zen soto de Copacabana, Eininji, avec la sangha de Ryotan Tokuda Roshi, dans une ancienne maison au début de la favela de Cantagalo). Si voulez, lisez ici : business et méditation.

Aujourd’hui j’aimerais bien savoir son nom et ce qu’il fait mais peut être que c’est mieux de ne pas le savoir car cela m’a rendu autodidacte, seul Dieu sait. Peut être que je n’aurais pas fait cela : http://investirbresil.fr

La parabole que nous appellerons de chaise longue de plage montre finalement la simplicité, que nous n’avons pas besoin de grand chose. Que le bonheur ne demande pas beaucoup d’argent mais une décision inteligente. Peut être que c’est cela qu’il voulait me dire à l’époque à moi qui était pourtant intéressé par les bien matériels mais trop orgueilleux pour le reconnaître et pour lui demander comment il faisait.

L’humilité de demander, de savoir reconnaître que l’on ne sait pas est un tabou dans notre société où tous voulons briller et apparaître. Mais nous perdons des opportunités de cette façon arrogante et c’est extrêmement dommageable.

On a besoin de très peu en fait. Des fois je me dis que je devrais tout vendre et vivre à la campagne avec des poules dans une maison de bois. Et vivre des fruits et légumes plantés et des oeufs des poules, de la pêche etc. Peut être que je ferais cela à un moment de ma vie qui sait.

Il y a des personnes qui nous disent des choses importantes que l’on ne prend pas au sérieux et d’autres qui nous disent des choses non importantes que l’on prend au sérieux.

L’important c’est nous qui le définissons et qui avançons dans notre vie avec ce que l’on peut.

Par exemple lorsque j’ai rencontré en Australie en 2010 dans un shopping un milliardaire australien qui possédait plusieurs mines et que je l’ai reconnu de magazines et je l’ai abordé en lui demandant comment être milliardaire il m’a dit de persister et que c’était la clé. Peut être cela paraît bateau, cliché, cul-cul la praline, peu profond, et du développement personnel bidon pas cher mais cela faisait sens pour moi. Cela faisait énormément de sens pour que je continue à avoir les forces dans ma lutte journalière épuisante émotionnellement.

L’important c’est que cela raisonne pour nous.

Comment sait-on quand il est temps de quitter son entreprise et de passer à autre chose ?

Je savais déjà au fond de moi ce qu’il allait se passer lorsque le directeur a dit « Entrez dans mon bureau. »

J’ai dit pour blaguer : « On peut pas discuter dans un café? »
« Non. Entrez. »

J’ai été viré et il fallait prendre mes affaires et dégager rapidement. Personne ne m’a dit au revoir. Je n’avais rien à faire et aucun plan pour la suite.
Le directeur qui m’a viré est mort maintenant. La vie est courte.
Quand vous serez mort, personne ne se souciera de combien d’heures vous mettez au bureau.

Nous avons tous quitté nos cavernes préhistoriques il y a des milliers d’années. Nous avons quitté ensuite les champs pour travailler dans les usines. Et nous avons quitté les usines pour rejoindre les néons lugubres des bureaux. Quand j’ai terminé mes études universitaires, le corporatisme était censé me protéger : nourrissez-moi, donnez-moi un travail significatif, aidez-moi à m’améliorer, puis laissez moi m’installer dans un quartier sympa. Et puis le corporatisme est mort.

Voici donc les nouvelles raisons de quitter votre job. Des nouvelles raisons naissent à chaque instant pendant que vous lisez mon article.

1) LES SALAIRES BAISSENT DE PLUS EN PLUS.

Le revenu moyen des personnes âgées de 18 à 35 ans a baissé depuis 1992. La question n’est pas du tout un coup de gueule politique car il y a eu tous les partis au pouvoir durant cette période et cette tendance ne va pas disparaître.

2) 94% DE TOUS LES NOUVEAUX EMPLOIS CRÉÉS AU COURS DES DERNIÈRES ANNÉES SONT À TEMPS PARTIEL OU FREELANCE.

C’est parce que chaque fois que quelqu’un écrit une ligne de logiciel, un travail est perdu. Ce n’est pas une mauvaise chose ou une bonne chose. C’est juste un fait. Un exemple : lorsque l’internet a été créé, vous n’avez plus eu besoin des programmeurs pour écrire le code de réseau. Les gens ont même oublié ce que c’est.

Quand la musique digitale a commencé, les magasins de musique ont décédé. Robin Chase, fondateur de Zipcar a dit: « lorsque les voitures qui dirigent toutes seules seront partout alors 90% de l’industrie automobile aura disparu.” Avec 90% de l’industrie automobile disparu c’est l’industrie de l’assurance automobile qui va disparaître. L’industrie pétrolière va aussi décéder et l’industrie de l’immobilier va changer. Etc.

3) LA PRODUCTIVITÉ C’EST POUR LES ROBOTS.

Amazon construit un nouveau magasin: lorsque vous entrez, votre téléphone émet un bip. Lorsque vous prenez un livre et le mettez dans votre panier, votre téléphone détecte. Lorsque vous sortez du magasin, votre téléphone se connecte à votre compte dans Amazon et achète les livres dans votre panier. Tous les magasins fonctionnerons comme cela et puis peut-être tous les restaurants.

Où iront les caissiers et les caissières ? J’ai demandé à une caissière et la caissière a dit : « je ne sais pas. J’espère que je serai morte d’ici là. » C’est vraiment triste ce qu’elle a dit. Mais ce qui est beaucoup plus triste pour elle c’est qu’elle n’ait pas de plan B, C ou D. Il faut prendre sa destinée en main et cela ne dépend pas d’un tiers.

4) LA GRANDE CONNAISSANCE.

Nous donnons aux ordinateurs, smartphones et tablets les clés de nos vies.

Pourquoi faire confiance à un médecin humain quand ma baignoire du future pourra exécuter des tests génétiques, des tests sanguins, des tests cérébraux, des tests qui n’ont pas encore été inventés et l’utilisation de l’Intelligence Artificielle pour me diagnostiquer puis prescrire des médicaments. Ensuite, ils vérifient tous les jours chaque signal électrique dans mon corps.

De nombreuses grandes banques viennent d’externaliser des centaines de décisions juridiques via l’Intelligence Artificielle.

Pourquoi irons nous parler à un avocat quand l’Intelligence Artificielle a 10 000 dossiers de précédents juridiques et peut analyser tout cela en une micro-seconde.

5) L’ÉCONOMIE DU PARTAGE N’EST PAS DU PARTAGE.

C’est une plateforme de mise en relation des excès et des manques. C’est le modèle commercial de chaque entreprise dans l’économie d’accès.

En fait certaines personnes ont un excédent (par exemple des chambres vides, sièges d’auto vides, etc.) et certaines personnes veulent avoir accès à cet excédent et puis il ya une plate-forme au milieu pour aider à la découverte, les transactions, les problèmes, la médiation, etc (Airbnb, Uber, etc).

Si vous réfléchissez où il ya un excès dans votre vie (même un excès de connaissances que d’autres pourraient ne pas avoir), vous pouvez créer une entreprise dans ce modèle.

Leçon économique : Que se passe-t-il lorsque les gens ont accès à des choses auxquelles ils n’avaient jamais eu accès avant ? L’offre augmente mais la demande reste essentiellement la même et donc le prix finit par tomber. Ce qui signifie la déflation. Warren Buffett a dit une fois que la déflation est la pire chose qui puisse arriver à l’économie. Si les prix baissent, les gens attendent que le prix soit encore plus bas et puis la demande diminue et les prix baissent encore. Donc moins d’emplois sont nécessaires, donc moins de gens ont de l’argent, et alors la demande baisse encore plus tandis que l’offre est plus forte que jamais. Donc les prix vont encore plus bas et c’est la spirale de la mort.

Beaucoup d’analystes disent que nous pourrions avoir besoin d’un revenu universel de base pour que chacun puisse gérer l’effondrement économique résultant de la sharing économie. Peut être. Qui sait ? Personne ne sait.

6) VOTRE CHEF VOUS DOIT DES $.

Si vous créez une valeur de 1 €, et que vous avez un patron, qui a un patron, qui a un patron, qui a un conseil, qui a des actionnaires … et alors combien de ce € allez-vous garder ? Et bien, maintenant nous connaissons la réponse. Dans les années 1960, un PDG pouvait faire cinq fois l’employé moyen et maintenant, un PDG fait 200 fois l’employé moyen.

La réponse: vous n’obtenez rien du tout et en haut ils obtiennent tout alors que c’est de l’argent que vous avez créé pour l’entreprise. Les dirigeants ont pris des milliards de dollars en primes quand les banques ont obtenu 600 milliards de dollars en argent de renflouement du gouvernement américain en 2009 alors que malheureusement tous les autres échelons ont été viré.

7) VOUS N’AVEZ PAS BESOIN DU TRAVAIL POUR ÊTRE HEUREUX ET POUR DONNER DU SENS À VOTRE VIE.

Ce point est peut être le plus important. Où existe t il le plus de dépressifs ? En France et aux USA qui ont paradoxalement pourtant moins de chômage et plus de travail que les pays du tiers monde.

Les anthropologues pensent que nos ancètres paléo travaillaient 12 heures par semaine et le reste du temps jouaient et se reposaient. Avons nous aujourdhui plus de temps pour nous mêmes ? Avons nous évolué ou régressé ?

Pourquoi le travail est il si déprimant ? Peut être que vous n’avez pas besoin de travail et ce dont vous avez besoin c’est de l’argent. N’y a-t-il pas d’autres moyens ? Moi je sais qu’il y en a.

8) VOUS NE VOULEZ PLUS ÊTRE AUTRE CHOSE QUE VOUS-MÊME.

J’avais besoin de découvrir ce que j’aimais vraiment faire et c’est ainsi que j’ai découvert l’entrepreneuriat. Bien sûr jai eu peur de faire le premier pas et de tomber. Mais on n’est sûr de rien au final dans la vie et puis tomber c’est ce qui nous force à battre des ailes. Il m’a fallu beaucoup de temps pour comprendre que ma vie méritait plus qu’un job. Notre vie est à nous, elle n’appartient pas aux autres qui nous dictent un domaine de métier, des horaires, des lieux spécifiques.

9) AVOIR UN JOB N’APPORTE PAS LE BIEN-ÊTRE.

Comment trouver les choses qui vous passionnent ? Et comment faire de l’argent avec ces choses là ? Il vous faut une vision, une direction, des objectifs pour vous améliorer quotidiennement, développer de nouvelles compétences et apprendre chaque jour.

Faire ce qu’on a sur le coeur donne un sens à nos vies.

Les compétences et les idées sont les nouvelles monnaies et non les certificats et les diplômes d’universités.

CONCLUSIONS :

Les raisons exactes dont vous avez besoin pour quitter votre emploi sont les raisons pour lesquelles vous trouverez de nouvelles opportunités qui seront plus excitantes que jamais.
La technologie est faite pour vous mais seulement si vous choisissez de l’utiliser.
Il ya plus de possibilités de créer des opportunités de nos jours et il ya plus de façons d’exprimer vos visions de nos jours. Il y a aussi beaucoup plus de façons d’avoir des buts de nos jours, beaucoup plus de choses à faire, à accomplir et à apprendre.

Juste en lisant ceci, vous savez que vous êtes prêt pour cela. Je n’essaie pas de vous convaincre de quoi que ce soit.

Mais vos mains ont été faites pour créer. Allez y !

Si vous avez aimé cette réponse vous aimerez mon livre disponible sur Amazon ici.

Vidéo

Nous ne sommes qu’au tout début de la révolution DeFi (Finance décentralisée).

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┃┃╱╲ in this
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╱╱╭╮╲╲ we
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the finance
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Apprenez ce que c’est et ses enjeux et entrez dans la danse !

L’extension maximale du salariat et la destruction des petits entrepreneurs (propriétaires de leurs propres moyens de production).

Énormément de patron de petites et moyennes entreprises se suicident. Je n’ai malheureusement jamais vu de hashtag s’en offuscant. L’égoïsme ambiant règne en maître en mettant des oeillères à la majorité et la vertu affichée online tombe offline en laissant apparaître la déresponsabilisation et la lâcheté réelle.

Autant le socialisme comme le capitalisme prêchent pour l’extension maximale du salariat et la destruction de la libre petite entreprise, c’est à dire de la classe moyenne indépendante et économiquement libre. Ces petits propriétaires de leurs propres moyens de production ont la conscience politique la plus juste car impliquée dans le réel.

En effet beaucoup de pseudo intellectuels prônant des révolutions sociales n’ont jamais mis les pieds dans une petite entreprise et ignorent ce qu’est un compte d’exploitation annuel ou une fiche de paie. Et pourtant leur idéologie collectiviste est dominante dans les merdias subventionnés donc corrompus.

Nous sommes dans une société de déresponsabilisation, de passivité où les salariés réclament plus de droits et moins de devoirs. Ou les « adultes » sont des ados éternels; qui en ne voulant pas savoir sur certains sujets déléguent la responsabilité personnelle à une instance hiérarchique ou étatique.

Or une vraie démocratie est un peu comme le modèle grec des hoplites avec une association libre de petits propriétaires qui se mutualisent et écrivent leurs propres règles.

Alors que notre actuelle fausse démocratie de salariat généralisée est une organisation dans laquelle le salarié vend son temps de travail. Voir ici mon article dans lequel je montre qu’il y a plus d’esclavage de nos jours qu’auparavant. Ces salariés laissent de côté de nombreux pans de l’équation sans les questionner ou bien le savent mais ne rentrent pas dans une résistance contre cette fausse sécurité déresponsabilisante. Les pans de l’équation qu’ils ne contrôlent pas par eux-mêmes sont celui de l’indépendance financière notamment de part un bourrage de crâne d’années d’idéologie collectiviste gauchiste du mépris de l’argent.

Entre guillemets l’argent c’est sale, laissez moi (le politique) le gérer à votre place et vous en piquer la plus grande partie dans les poches bien sûr. Les petits patrons eux sont dans une démarche d’essayer d’être indépendant financièrement et de reprendre le gouvernail.

L’idéologie de gauche qui dit que tous les patrons sont des enfoirés, qu’ils soient du CAC40 ou des petits patrons responsables sur leurs biens personnels et qui n’ont pas le droit au chômage est absurde et hypocrite !

Cette société est systémiquement malsaine et laisser la gestion de notre indépendance et liberté à un tiers est extrêmement dangereux. Peu de virilité et de moralité ! Même ces mots là ont disparu ou ne sont plus politiquement correct alors que paradoxalement la corruption morale est plus présente qu’auparavant.

La solution responsable et cohérente c’est le retour des consommateurs à une économie solidaire locale aux petits patrons et non plus aux multinationales. Agissons financièrement pour le développement d’une contre-société créative contre la bureaucratie, la sur-fiscalité, le parasitisme politique.

Des génies, des salauds ou des nuls ? Article de Marc Dugois

Ce contenu a été publié dans Société par Marc Dugois.

Il faudra remercier le pangolin ou le docteur Folamour qui nous a offert le Covid 19 car ce microbe va enfin nous permettre de savoir si nous sommes dirigés par des génies, des salauds ou des nuls, ce qui, en démocratie, est toujours intéressant à savoir.

L’unanimité de la bienpensance gouvernementale, administrative, médiatique et internationale, nous montre malheureusement une fois de plus que les peuples deviennent facilement des moutons quand un Panurge génère chez eux une peur qui regroupe n’importe quel troupeau. Ce n’est donc pas cela que le Covid 19 nous apprend puisque nous le savions déjà. Nous constatons simplement une fois de plus que la peur génère facilement la haine de ceux qui refusent d’avoir peur. La honte d’avoir peur génère systématiquement le rejet agressif de quiconque n’a pas peur. Rien de nouveau sous le soleil de ce côté-là.

En revanche l’unanimité multicolore et de plus en plus arc-en-ciel qui nous dirige, a décidé de casser l’économie avec un confinement qu’elle a jugé nécessaire en occident à l’exception de la Suède. Ils ont jugé nécessaire de déverser par milliards une énergie monétaire venant d’une corne d’abondance qu’ils pensent avoir repérée, de museler au sens propre leurs peuples en poussant l’abnégation jusqu’à se museler eux-mêmes quand ils passent à la télé pour bien montrer que les muselières n’ont rien à voir avec les masques dont ils nous avaient dit qu’ils ne servaient à rien.

Le confinement n’ayant pas suffisamment permis la création d’anticorps par réaction courante à une contamination sociale habituelle, une seconde vague apparait sauf en Suède, seconde vague dont on donne le nombre de contaminés mais pas le nombre de malades et encore moins le nombre de morts qui n’affolerait personne quand on sait que 50.000 morts mensuels est la moyenne quand la France se porte bien. Cette seconde vague est en effet encore moins mortelle que la première qui ne l’était déjà pas beaucoup si l’on regarde la courbe du nombre mensuel de décès depuis la dernière guerre, toutes causes confondues.

Ces faits sont difficilement contestables mais notre élite entretient pourtant professionnellement et méticuleusement son peuple dans la peur et certains croient même sans rire, à les entendre, voir revenir la peste du moyen-âge. D’où la question de savoir si ce sont des génies qui ont tout compris et qui anticipent les bonnes réponses, des salauds qui ont des plans inavouables, ou des nuls qui n’ont rien compris et qui ne cherchent qu’à se protéger eux-mêmes des conséquences de leur nullité. Les mois qui viennent vont apporter la bonne réponse quel que soit le matraquage médiatique mais il est intéressant d’étudier déjà les trois possibilités.

N’étant pas du tout moi-même un génie, je suis incapable de les repérer mais je m’incline devant la possibilité de leur existence. Ils résolvent tous les problèmes avec l’énergie monétaire venant d’une corne d’abondance dont ils ont le secret et ils n’ont donc plus besoin de l’énergie humaine que nous, pauvres mortels, avons uniquement à notre disposition. Ils peuvent donc faire gaspiller l’énergie de leur peuple en jogging et en salle de sport, la laisser inactivée par le chômage, laisser une grande partie de leur administration s’agiter pour donner l’impression qu’elle s’active, ou décréter l’énergie humaine accessoire par le confinement. Quelle importance puisque l’énergie monétaire s’occupe de tout pendant que le principe de précaution arrête tout ? Ils ont même donné à cette énergie un nom, le PIB. Et comme ce sont des génies, ils ont réussi à convaincre leurs peuples que cette corne d’abondance fonctionnait et qu’ils pouvaient aller au ski ou sur la Côte d’Azur. Je suis incapable de choisir entre m’agenouiller et dire « chapeau l’artiste ! ». J’en suis réduit dans ma médiocrité à attendre de voir comment ces génies vont garder active cette corne d’abondance. Dans cette attente je vais me contenter d’analyser les deux autres possibilités.

L’hypothèse des salauds est intéressante parce qu’elle passe par leur intelligence. Ils ont compris que l’énergie monétaire ne peut pas remplacer l’énergie humaine puisqu’elle en est issue; que si l’on fait croire au peuple que le progrès c’est s’enrichir davantage en travaillant moins grâce à la technique, il faut réinventer l’esclavage pour avoir l’énergie humaine indispensable, même et surtout s’il faut en plus en cacher l’existence. Ils savent que le système actuel ne peut durer et surtout qu’il sera très difficile d’expliquer le retour de l’esclavage quand on se gargarise de l’avoir éliminé. Ils savent donc que le système qu’ils ont fabriqué est en instance d’explosion et que les centaines de milliers de milliards de dette ne peuvent que croitre sans jamais baisser d’un seul centime puisque collectivement nous empruntons toujours plus que ce que nous consommons tellement nous nous voulons capables de rembourser demain. Il faut donc trouver à la fois le bouc émissaire de l’explosion inéluctable pour ne pas l’être soi-même alors que l’on s’en sait responsable, mais il faut aussi trouver une nouvelle organisation. Et bien sûr avoir le temps de mettre au point cette nouvelle organisation en restant aux manettes quelle que soit la couleur à la mode électorale. Ce n’est pas parce qu’ils ont raté l’organisation précédente qu’ils ne se sentent pas capables d’imposer la suivante. Inutile de donner des noms, tellement ils se présentent d’eux-mêmes à nos esprits. Le bouc émissaire est choisi, ce sera le Covid 19. Il n’est pas plus létal que beaucoup de microbes précédemment connus mais, en le stimulant un peu, en comptant chaque soir à la télé le nombre de morts avec Covid et surtout pas seulement ceux par Covid, on arrivera bien à faire suffisamment peur pour justifier un confinement qui lui, détruira inéluctablement le système sans que les salauds qui l’ont mis en place en soient rendus responsables. Il faudra certes prévoir par sécurité de maintenir la panique des peuples pour que le système explose bien en reconfinant si nécessaire, en inventant des freins multiples et variés à l’activité et en les imposant si le matraquage médiatique est insuffisant pour convaincre de l’intérêt de toutes ces mesures puériles. Plus l’activité s’arrêtera vite, plus le Covid sera à l’évidence le seul responsable de l’explosion en laissant en place pour la suite les vrais responsables du désastre imminent. Le plan B, à mettre en place simultanément à l’effondrement du système actuel et qui a déjà le nom évidemment anglais de « great reset » (la grande réinitialisation), est déjà vanté par l’ONU, le FMI et la BCE. Le détail en est prévu à Davos en janvier 2021. Il vise discrètement à une diminution drastique des habitants de la Terre, réduits dans une suppression des races et des civilisations, au rêve de zombies consommateurs électeurs jouisseurs dont la forme d’esclavage n’est pas encore claire dans l’esprit des salauds, mais dont la vie sera réglée par encore plus d’obligations et encore plus d’interdictions pour le bien de tous décrété par les salauds eux-mêmes, réunis dans leurs têtes dans un gouvernement mondial. On sait déjà que c’est à nouveau l’énergie monétaire qui sera mise à contribution mais cette fois par les vaccins et par les puces implantées. On ne change pas une équipe qui perd.

L’hypothèse des nuls est évidemment la plus tentante tellement elle vient naturellement à l’esprit en les observant se déhancher le cerveau pour donner l’impression d’avoir quelque chose à dire. Elle est peut-être trop tentante. Ils se sont tellement épuisés à atteindre la plateforme où ils se trouvent, qu’ils sont à mille lieues de comprendre ce qui se passe et qui ne les intéresse qu’anecdotiquement. Le peu d’énergie qui leur reste est à peine suffisant pour préparer leur réélection et pour travailler leur métier du faire croire dans lequel il faut reconnaitre leur compétence d’illusionnistes. Sur tout problème ils s’appuient sur les experts qu’ils ont nommés parce qu’ils étaient de bons courtisans et le but des uns comme des autres est simplement de tenir, d’être encore là après-demain. Résoudre un problème n’est le souci de personne. Faire croire qu’on s’en occupe et mieux, donner l’impression qu’on avance, là est leur cœur de métier qui les a fait élire. S’y rajoute depuis quelques années avec le rapprochement du désastre, le souci permanent de ne finir ni comme Louis XVI, ni comme Napoléon III, ni comme Pétain. Leur communication devient de plus en plus la plaidoirie qu’ils aimeraient entendre le jour où on leur rappellerait que le pouvoir qu’ils ont tant désiré les oblige à un minimum de responsabilité que les urnes ne sanctionnent plus depuis qu’elles sont corrompues par l’énergie monétaire qui fabrique les campagnes électorales.

Il reste encore une dernière possibilité, la plus triste et qui me fait infiniment plus peur que le Covid : celle de nuls manipulés par des salauds. Quand on voit défiler dans les médias des courtisans hâbleurs, affublés de titres de professeurs, il devient difficile de ne pas craindre que des salauds ne tirent les ficelles de ces marionnettes qui ne sont visiblement que des nuls. Les vrais experts ne sont pas invités et le peuple doit croire que le Covid est le coupable et que l’énergie monétaire va s’occuper de tout.

Où travailler quand on est jeune sans diplôme ?

Si j’avais 18 ans et 5 € dans la poche jamais je n’irais chercher un job.

J’irais chercher un produit avec lequel je puisse m’identifier pour le vendre, pour commencer, à mes amis d’école et voisins.

Avec le temps, viendra la croissance, l’expérience, un stock, une logistique, plus de ventes, une meilleure compréhension des clients, de la recherche, du branding, du marketing, des investissements...

Tout cela et beaucoup plus, à partir d’une activité au début petite et sans prétentions, d’un jeune encore sans grosses préocupations.

Pourtant cela serait la clé pour avancer vers la conquête de mes rêves, de grands apprentissages, de nouvelles portes qui s’ouvrent, de nouvelles connections.

Sinon, ce même jeune de 18 ans, esclave du job d’un tiers, serait juste un numéro de plus dans la masse.

Plus encore ici : https://www.amazon.fr/dp/1719960739

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10 conseils pour vendre plus !

Certains secteurs ont reduits leurs depenses marketing pour controler leur tresorerie durant la crise du coronavirus.

Du coup des mots cles recherchés online sont moins chers et vous pouvez augmenter votre visibilité.

Je vous donne gratuitement ici dans cette video 10 conseils pour vendre plus.

L’essence de l’homo sapiens.

J’aime ce qui est inconnu et la stabilité m’ennuie. J’ai appris à gérer le risque. Au début j’ai pris un risque calculé et puis j’ai commencé à aimer cette sensation de risque. J’aimais parce que cela donnait plus de saveur à mes conquêtes. Et dans le même temps je ne voulais pas que l’ennui et la stagnation soient les maîtres de ma vie.

Et peu à peu j’ai fait plein de choses qui m’ont sorti de ma zone de confort : créer des entreprises, créer des produits, aller vendre, aller parler aux potentiels clients, habiter dans différents pays, apprendre d’autres langues, et recommencer dans des domaines que je ne connais pas.

J’aime écrire et dire des choses qui ne sont pas politiquement correct.

J’aime investir dans ce qui n’a pas été exploré et défier les conventions. J’aime vivre avec les critiques et les moqueries quand je commence un projet. Et ensuite recevoir les éloges et les tapes dans le dos des mêmes personnes qui me critiquaient.

J’aime aussi plus que tout encourager les autres à poursuivre une vie en dehors des fausses normes de stabilité. C’est l’odieux bon sens commun que je déteste et que la majorité ne questionne malheureusement jamais.

Lorsque nous étudions nos origines anthropologiques nous retrouvons notre véritable essence.

En fait, nous sommes des chasseurs. Nous avons été des chasseurs durant des milliers d’années. On sortait le matin sans aucune garantie et en assumant les risques pour ramèner à la maison à la fin de la journée ce qui permettait à notre espèce de survivre.

Retrouver cette essence grâce à l’entrepreneuriat nous permet de nous réaliser.

Cela nous reconnecte avec le vrai sens de notre existence.

Nous avons des problèmes lorsque nous tentons de fuir de cette indépendance et de cette autonomie en l’échangeant pour un salaire mensuel. Cette fausse protection nous ennuie et nous fatigue en fait profondèment.

L’être humain n’est pas fait pour être en cage, qu’elle soit une usine ou un bureau.

Ceux qui sont enfermés dans la fausse sécurité d’un salaire mensuel sont malheureux. Ils sont jaloux de voir ceux qui sortent de la maison tous les jours avec du courage et les yeux qui brillent même avec tous les risques qu’ils affrontent.

Les courageux récoltent chaque jour des résultats illimités et énormèment de bonheur.

Le meilleur guide à suivre pour faire ce que vous aimez !

Je faisais ce que je détestais :

  • Travailler de 09:00 à 17:00 heures en me tapant en plus des bouchons interminables.
  • En plus de cette prison avec des horaires pour entrer, pour sortir, pour manger il y avait un patron qui passait son temps à me crier dessus.
  • Et en plus il y avait des collégues qui en dehors du boulot ne seraient jamais mes amis.
  • Et enfin mon job n’avait pas trop de sens car je ne réalisais pas quelque chose qui allait révolutionner le monde et mes tâches pouvaient être réalisées par quelqu’un d’autre que moi si on me virait. Où était ma valeur ajoutée ? Où mon job faisait il sens ?

En réalité je faisais des choses qui étaient le contraire de tout ce dont je rêvais quand j’étais petit et le pire c’est que je ne pensais pas que quelque chose d’autre était possible.

Pourquoi ?

  • L’école nous avait toujours enseigné à nous assoir et à nous taire.
  • Nos familles et amis nous avaient toujours incité à copier tout le monde.
  • Souffrir au boulot était toujours vu comme un mal nécessaire pour le «bon sens commun.»

J’AVAIS 200% TORT !

En apprenant peu à peu sur l’entrepreneuriat j’ai réfléchi sur les nombreuses choses qui me plaisent et comment les relier les unes aux autres.

– LISTEZ TOUT.

Ce qui vous passionnait de 7 à 20 ans. Ce ne sont pas vos « vraies passions ». Ce n’est pas une seule passion. Ce sont simplement les choses que vous aimiez faire quand vous étiez enfant.

– COMBINEZ-LES.

Si vous aimez les ordinateurs et les films, peut-être que vous écrirez des histoires pour des expériences de réalité virtuelle.

Si vous aimez l’art et être un journaliste, appelez tous vos artistes préférés et faites un podcast.

– JOUEZ.

Oui vous êtes adultes mais vous aimez les jeux. Qu’est-ce que vous faites quand vous aimez les jeux ? Vous les partagez, vous y investissez, vous y passez du temps. Amenez du ludique dans votre vie.

– CRÉEZ LE FUTUR.

Comment pouvez-vous visualiser le futur? On ne peut pas. Mais c’est ce qui aide à rédiger dix idées par jour.

En effet, si j’écris dix idées par jour sur la façon dont mon intérêt pour par exemple l’architecture et les affaires pourraient se rejoindre dans le futur alors je vais voir apparaître des actions simples à mettre en place pour arriver à les faire se rejoindre.

Ce qui signifie beaucoup de mauvaises correspondances en cours de route, mais c’est ainsi que les idées commencent et se transforment en choses que vous essayez, qui se transforment en choses que vous faites, et qui se transforment en choses que vous aimez et réussissez.

Il n’y a pas de vraie et unique passion. Il y a juste ces directives de base.

Regardez dans votre passé pour découvrir votre avenir.
Vous allez faire BEAUCOUP de choses dans votre vie. Il n’y a pas de « une » chose.
Est-ce que je fais ce que j’aime maintenant ? Oui, j’écris un article pour donner envie à la majorité de suivre enfin ses rêves.

Et demain ? Je ne sais pas. Je vais écrire ma liste maintenant. Chaque jour j’écris cette liste sinon je me sens coincé et je me perds.

Je veux vivre à fond.

2 enfants sur trois qui sont à l’école actuellement iront occuper des professions qui n’existent pas encore. Comment les préparer ?

Ré-écrivez votre histoire ! Ne croyez pas que votre diplôme va vous protéger.

  1. Préparez vous psychologiquement pour ne pas être en état de choc une fois que vous perdrez votre boulot. Il faut sortir de ce modèle figé qui fait croire que le diplôme va vous donner une sécurité. Il faut arrêter de raconter des histoires aux gens. Perdre son emploi n’est pas la fin de sa vie ! Pourtant nous avons aujourd’hui une société qui pense que l’emploi définit les gens. Où est-ce que ça a foiré pour en arriver à ces bêtises ? Du coup les gens pensent que certains êtres humains valent mieux que d’autres alors que nous sommes bien sûr tous égaux. Allez écouter ma podcast sur les meilleures raisons de quitter votre job.
  2. La réinvention a toujours été nécessaire dans toute l’histoire de notre civilisation. C’est le progrès.
  3. La programmation, le fait de savoir coder ne doit pas non plus être obligatoire à l’école car ce n’est pas une technique seule en particulière qui doit être apprise mais une habitude de questionner le monde qui nous entoure et comment nous pourrais-tu l’améliorer. Steve Jobs ne savait pas coder. Il existe déjà une entreprise qui fait que l’on discute librement avec une intelligence artificielle qui programme pour nous tout ce que l’on souhaite. Il suffit de lui dire par exemple crée-moi un site internet avec tel et tel détail, telle couleur, voici la première page que je souhaite, la deuxième, les liens et elle le fait. Et cela juste en dialoguant avec elle.
  4. Il ne faut pas s’enfermer psychologiquement dans une fausse sécurité ou une sécurité imaginaire mais il faut remettre en question cette sécurité du bon sens commun. Il faut s’interroger toujours sur comment nous pourrions améliorer notre société et ne pas rester figé. Lisez mon article sur un entrepreneur fait-il grève ? J’aborde dans cet article le fait de pouvoir découvrir votre différentiel et comment augmenter les bénéfices que vous apportent votre singularité. L’importance vitale de réinventer votre individualité et non vous effacer dans une masse qui vous oublie et vous donne le minimum.

On voit en fait que le plus important, le point crucial c’est la vision et non l’aspect technique !

Comment se préparer aux nouvelles professions qui n’existent pas encore ?

  1. Les nouvelles technologies ne se développe pas du tout rapidement par exemple les voitures électriques vont mettre 20 ans-30 ans pour être adoptées par toute la planète. Et du coup cela donne une lente agonie d’entreprise et de métiers qui ne s’adaptent pas à ces nouvelles demandes du marché. Faites le switch vite !
  2. Le problème c’est qu’un professeur qui se lève le matin ne se dit pas que les élèves sont ses clients. L’éducation n’est pas vu comme un marché et c’est une grande erreur. En effet tout ce que l’on fait dans la vie devrait être vu comme des produits et des services qui doivent être améliorés.
  3. Le salariat est récent dans l’histoire de notre civilisation. Le salariat doit évoluer pour qu’on ait plus de temps pour soi, plus d’argent pour soi et plus de loisirs pour soi. Il faut faire évoluer le salariat qui est de l’esclavage moderne.
  4. Tout le monde se réinvente même Google qui a changé de nom et qui est maintenant alphabet car les utilisateurs de smartphones utilisent des app différentes pour des recherches précises sur certains domaines et de moins en moins Google. La rupture pour google c’est de créer de nouvelles perspectives et non de rester accroché à ce qui est en train de décroître et ce qui en train de devenir obsolète.

Pour conclure sur comment créer le futur; la clé pour s’adapter c’est celle-là : si la conversation ne vous plaît pas changez de sujet. Airbnb n’était pas focus sur la qualité des oreillers qui était la guerre dans lesquelles les chaînes d’hôtels étaient engagées les unes contre les autres. On voit encore ici que la vision et le fait d’être centré sur le meilleure service que l’on peut amener au client c’est ce qui fait la différence.

Et en changeant le sujet on crée un monopole et à ce moment-là on est véritablement le maître à bord. On renverse les problématiques mises en place et on crée de nouvelles demandes.

5 signes qui montrent qu’il faut licencier un employé.

C’est toujours difficile de devoir licencier un employé mais malheureusement c’est quelque chose dont il faut s’habituer car il est impossible de ne jamais licencier. Même en énonçant clairement les objectifs à atteindre et en ayant une communication claire avec ses employés il va toujours y avoir des frictions.

La décision de licencier représente des coûts supplémentaires, surtout pour une petite entreprise, mais si rien n’est fait attention, cela peut grandement nuire à l’environnement de travail.

La nécessité d’avoir une conversation difficile et de donner des feedbacks sur le travail de l’employé tend également à être plus difficile dans les petites entreprises car généralement la relation entre employé et manager est plus proche, quand elle n’implique pas d’amitiés et des liens familiaux en plus…

Les coûts d’un licenciement pèsent lourdement sur une petite entreprise. Mais d’un autre côté, un employé démotivé ou en conflit dans le milieu de travail infecte plus facilement une petite équipe. Attendre que l’employé quitte pour réduire les coûts n’est pas recommandé.

L’entrepreneur paie un prix invisible pour garder cette personne dans l’entreprise. Il contamine l’équipe, ne sert pas bien le client, ne respecte pas les délais et cela compromet l’image de l’entreprise envers les clients. La perte en gardant cet employé peut être beaucoup plus importante que supporter les coûts d’une mise à pied.

Le licenciement ne doit pas être considéré comme une punition, mais comme une conséquence des actions de l’employé. La gestion des personnes devrait être rationnelle, pas faite avec le coeur.

Le licenciement d’un employé ne définit pas si cet employé est bon ou mauvais, mais si il correspond ou non au travail proposé. L’employé licencié peut ne pas avoir bien travaillé dans cette entreprise, mais être brillant dans une autre entreprise.1# Peu d’engagement envers les objectifs et les tâches quotidiennes.

L’employé est en retard et montre un désintérêt à la fois pour la réalisation des objectifs et pour les tâches quotidiennes. Devez-vous lui rappeler les tâches à accomplir? Il est temps d’avoir une conversation. Un employé désintéressé infecte toute l’équipe. Si cet employé n’est pas licencié alors les collègues peuvent aussi réduire la qualité de leur travail. S’il n’est pas viré alors pourquoi nous même devrions nous bosser comme des fous? Le travail d’un leader est de maintenir le niveau de qualité élevé de l’équipe. Mais avant d’envisager la résiliation du contrat, il est nécessaire de comprendre pourquoi l’employé n’atteint pas les objectifs.

L’entraînement ou la reconnaissance ne sont-ils pas manquants? Le simple fait d’être écouté peut rendre l’employé plus enthousiaste.

2# Cet employé a des problèmes relationnels avec l’équipe.

Bien que l’employé se porte bien et atteigne des objectifs, il est souvent en conflit avec le reste de l’équipe, soit parce qu’il est trop arrogant ou qu’il sème la discorde. Cela vaut-il la peine de garder cet employé? Cet employé perturbe le travail de ses collègues et peut réduire considérablement la productivité de l’entreprise. Les problèmes de relation peuvent abîmer les relations et démotiver les collègues. Il n’y a pas beaucoup de place pour la tolérance dans cette affaire.

3# Manque d’alignement avec les valeurs et la culture de l’entreprise.

L’employé atteint ses objectifs, mais il utilise l’entreprise comme un moyen d’attirer des clients ou des fournisseurs juste pour lui et non pour l’entreprise.

L’entreprise précise qu’elle cherche toujours à travailler en équipe, mais l’employé agit seul et ne pense qu’à lui. Aller contre les valeurs et la culture d’entreprise est un sujet important car il implique des caractéristiques comportementales qui ne peuvent être changées du jour au lendemain. Compte tenu de cela, le meilleur moyen peut être de remplacer l’employé car sinon, le reste de l’équipe peut trouver que cela vaut la peine d’être non aligné avec les valeur de l’entreprise. Cet employé décourage et provoque des conflits internes dans l’entreprise.


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4# Difficulté à effectuer les tâches quotidiennes.

Vous avez enseigné de différentes façons, mais l’employé ne peut toujours pas accomplir cette tâche de façon satisfaisante. Il est temps de penser à un remplacement. Si l’employé montre des efforts il faut peut être lui faire prendre une autre fonction où il peut être mieux utilisé sans être licencié. Si cela n’est pas possible alors il n’y a qu’un seul moyen: licencier.

La difficulté à exécuter les tâches quotidiennes submerge le reste de l’équipe et perturbe le flux de travail, ce qui nuit à l’entreprise. Cette décision est très difficile, surtout si l’employé est une bonne personne. Mais une façon de vous aider est d’indiquer cet employé dans d’autres entreprises où il peut mieux s’intégrer.

5# Ne fournit pas de résultats.

Un employé qui ne parvient pas à atteindre les objectifs proposés après les premiers mois d’admission alors que l’équipe est capable d’atteindre ces objectifs peut signaler un besoin de revoir l’engagement. Mais vous devez d’abord vous assurer que toutes les options de formation ont été offertes à l’employé.

En temps de crise, vous ne pouvez pas conserver un employé qui ne produit pas de résultats bien longtemps. Mais avant de prendre la décision il faut que le directeur réfléchisse si l’employé a été clairement informé des objectifs à atteindre et des échéances à respecter. Idéalement, cela devrait être clair dans l’entretien d’admission.

La pauvreté c’est comme l’alcoolisme

Arrêtez de vous mentir en essayant de vous faire croire que vous pouvez vous sentir bien d’être pauvre !

La pauvreté est un problème : c’est comme être alcoolique ! 

La seule façon de réparer cela c’est d’admettre que vous avez un problème. Si vous pensez que même avec peu d’argent vous avez la santé, une famille, des amis, une vie qui fait sens et bien, j’ai cette incroyable révélation pour vous :

Vous n’êtes pas obligé d’être pauvre pour être en bonne santé, pour avoir une famille qui vous aime, des amis, n’importe quel Dieu qui vous bénisse..etc. 

Vous pouvez être riche et profiter de tout ce qui précède ! Je peux vous donner des centaines d’exemples de gens qui ont de l’argent et qui sont heureux ! 

Admettez que vous avez un problème, admettez que faire 25 000 € par an est peu et admettez que vous ne savez pas quoi faire pour changer. 

Une fois ces trois choses alignées, vous commencerez à réaliser que la seule chose qui vous retient de tout ce que vous avez toujours voulu dans la vie c’est vous. 

Arrêtez de détester l’argent ! Inspirez-vous au lieu d’être jaloux sans vous l’avouer ! Chaque fois que l’un d’entre vous voit de l’argent sur la route ou le luxe incroyable de quelqu’un d’autre que vous ne pouvez pas vous permettre, vous trouvez une centaine de raisons pour lesquelles cette personne a eu de riches parents ou eu toute la chance du monde pour que l’argent lui soit tombé du ciel. 

Vous faites ces excuses pour vous empêcher de faire le travail nécessaire pour y arriver. 

La pauvreté est un problème : c’est comme être alcoolique ! Vous vous habituez à cette situation et ne voulez pas reconnaitre votre vice ! Vous vous cachez le fait que vous n’êtes plus vous-même et qu’un élément externe a pris le controle sur vous.
C’est tellement plus facile de dire que le riche est mauvais plutôt que de trouver un moyen d’obtenir du luxe pour vous-même, non ? Écoutez, je comprends oui mais c’est ce qui vous fait rester pauvre. Vous ne croyez pas que vous pouvez l’obtenir aussi, soit parce que c’est dur, soit parce que vous préférez être paresseux, ou même parce que vous avez peur d’échouer. 

Mais c’est pourtant possible. Moi-même, je n’ai jamais regardé l’argent avec de la haine. Au lieu de cela, j’ai regardé tous ces gens avec des voitures superbes et de grandes villas comme des gens à ne pas envier, mais à apprendre d’eux. Ils avaient quelque chose que je croyais pouvoir avoir aussi, mais je ne savais pas quoi faire comme beaucoup d’entre vous. 

Cependant, j’étais prêt à poser les bonnes questions et, plus important encore, à écouter ce qu’on me disait. Rappelez-vous que rien n’est facile. Vous devrez peut-être demander à une centaine de personnes avant même d’avoir une bonne réponse, mais rien dans la vie ne vient facilement. 

La meilleure partie pour vous c’est que vous avez accès à la technologie et vous pouvez googler presque tout ce que vous voulez savoir. Vous avez accès à des livres incroyables comme les 10 règles d’or secrètes du succès.

Il existe 2 choses que j’aimerais que beaucoup d’entre vous développent plus: la conviction que vous pouvez aussi être riches et la compréhension que la clé n’est pas le droit d’être riche mais plutôt l’opportunité d’essayer. 

Quand vous acceptez le fait que rien dans la vie n’est garanti, ce sera le jour où vous réaliserez pourquoi rester pauvre a toujours été entre vos mains et un choix.

Je vous écris sincèrement.

Voici ce qui fera le succès de votre idée de Startup

Voici les indicateurs clés d’une start up de succès.
Que ce soit à Paris, à Berlin, à Tombouctou ou San Francisco la start-up doit avoir un Product-Market Fit.

Qu’est-ce que cela veut dire en français c’est que le produit répondant à une demande du marché.

Cela ne concerne pas seulement l’acquisition et la rétention du produit de la start-up mais aussi le canal d’acquisition que certains nomment de Channel Market Fit.

Mais tout cela doit être fait pour que vous puissiez payer les factures : cela ne sert à rien que le client achète et utilise votre produit si le canal que vous utilisez pour obtenir ce client ne possède pas les economics (CAC vs LTV).

CAC c’est le coût d’acquisition client et LTV c’est Life Time Value, la valeur que chaque client rapporte pour l’entreprise durant une période de temps déterminée.

C’est très commun de voir des entrepreneurs qui affirment qu’ils possèdent le Product Market Fit, mais qui en fait ont juste de la traction sans avoir considéré tous les fondamentaux.

Cela doit être la recherche sans fin de tout ceux qui créent une start-up.

Vous devriez garder à l’esprit que plus l’indice CAC est élevé, plus vous dépensez pour gagner un client.

Et pour réduire ce coût, l’une des premières étapes consiste à optimiser la page d’accueil du site Web de votre entreprise, ainsi que les pages d’inscription.

Mais il y a encore beaucoup d’autres choses à faire! Vérifiez de combien est votre coût d’acquisition client. Calculez le.

La formule pour calculer le CAC est très simple:

CAC = coût total des ventes et du marketing / nombre de nouveaux clients.

Comprendre le CAC de votre startup est de la plus haute importance car la viabilité de votre business model dépend de l’acquisition de nouveaux clients.

La présentation d’un CAC élevé est la principale raison de la défaillance de l’entreprise.

Pour calculer le CAC efficacement, vous devez avoir les métriques de cycle de vie de chaque client avec votre démarrage, c’est-à-dire la valeur de durée de vie (LTV) en main.

Votre CAC doit être beaucoup plus bas que le LTV, qui est la valeur que chaque client paie à l’entreprise dans une période de temps donnée.

Pour calculer le LTV, vous devez connaître le nombre de commandes que vos clients ont en moyenne, la fréquence à laquelle ils achètent votre produit et combien ils dépensent en moyenne.

Si la somme du coût d’acquisition d’un client est x, vous devez avoir une cible LTV comprise entre 3x ou 4x.

Si vous pouvez faire en sorte que vos clients parlent bien de votre entreprise à leurs amis, vous pouvez réduire de 50% votre CAC. Le bouche à oreilles via partage sur les réseaux sociaux et dans la vie réelle est extraordinaire pour obtenir de bons clients.

Des études ont montré que peu de personnes, même satisfaites, recommandent un service ou un produit pour leurs amis – cependant, les clients mécontents font souvent tout pour partager leur mécontentement. Une stratégie pour résoudre ce problème consiste à créer des opportunités pour votre consommateur satisfait de partager avec les personnes proches de lui les avantages de votre service ou de votre produit. Un bon exemple de cela est le système de covoiturage Uber, qui, selon son fondateur, affirme que 95% des utilisateurs de l’application l’ont appris auprès d’autres utilisateurs d’Uber.

Attention à ne pas perdre de clients ! Dans certains cas, il arrive fréquemment que les visiteurs du site ne deviennent pas des clients parce qu’ils ne comprennent pas le produit ou ne se sentent pas concernés par le service. Pour éviter ce genre de problème, il faut dés la première visite de votre offre que les potentiels clients percoivent exactement votre différentiel.

Les premiers clients doivent être les plus chéris. Le client a besoin de sentir qu’il / elle est accompagné (e) dès la première interaction avec la startup. Après cette première interaction réussie, les chances qu’il comprenne, engage et recommande votre startup augmentent énormément.

Une bonne relation avec vos consommateurs est quelque chose qui doit être travaillé constamment. Écouter ce que le client pense de votre entreprise devrait toujours être à l’ordre du jour. Les commentaires, suggestions ou plaintes, bons ou mauvais, doivent tous être évalués pour l’amélioration de votre performance.

Comme je l’ai déjà dit, cela doit être la recherche sans fin de tout ceux qui créent une start-up.

Nous sommes tous geek et voici 5 stratégies pour en tirer profit !

Les geeks ont du succès !

Partagez cet article avec vos amis et collègues qui correspondent au profil geek.

Oui, nous avons tous des tendances à trop analyser ce qui ne devrait pas l’être et s’engager dans de longues conversations apparemment sans signification. Sur quels sujets ? Sur des choses aléatoires comme: « L’amour du curry est-il une disposition génétique ou une acquisition socialement expérientielle? » Ou, quel est le sens réel du mot « de »?

C’est une question valide ou est-ce juste geek ?

Être geek c’est en fait perçu comme vraiment cool dans le monde d’aujourd’hui, surtout chez les milléniaux. En fait, 60% des 83 millions de Millennials se considèrent comme des geeks, comparativement à seulement 38% de la génération X et des Baby-Boomers.

Et les études récentes montrent aussi que les geeks sont les pionniers et les influenceurs (84% des geeks disent que les gens les consultent alors que seulement 60% des non-geeks disent qu’on leur demande des conseils).

C’est une bonne nouvelle pour tous ceux et celles qui questionnent passionnèment  notre  monde  pour innover, pour améliorer et faire découvrir ce qui a été trouvé. Nous sommes fiers de découvrir pourquoi les gens et les entreprises font ce qu’ils font. Nous voulons par exemple comprendre les raisons pour lesquelles Richard Branson est autant admiré comme leader pour inspirer.

La vérité c’est que nous sommes tous des geeks à un certain niveau, à propos de quelque chose. Cependant la majorité échoue à transformer les idées en un véritable succès qui révolutionne le monde.

Voici cinq domaines critiques que vous devriez explorer si vous voulez transformer vos idées de geek en résultats transformateurs.

1. Le mentor: Oui, nous pouvons parler de dirigeants comme Gates, Zuckerberg et Branson. Nous pouvons les tenir tous sous le feu des projecteurs afin d’en apprendre davantage sur leurs réalisations. Mais lorsqu’il s’agit de trouver un véritable mentor, il est important de bien connaître l’individu pour qu’il vous enseigne ce qu’il a fait correctement et ce qu’il a fait de mal. «J’ai échoué plus que quiconque que je connais», a déclaré l’innovateur numérique Jay Samit dans une interview récente. «Il y a beaucoup de valeur dans l’échec.»

Trouvez un mentor qui peut vous montrer à la fois ce que vous devriez faire et ce que vous devriez cesser de faire.

2. La responsabilité. Trouver de nouvelles façons de résoudre de vieux problèmes n’est pas une idée nouvelle. Mais, prendre en charge le problème et le résultat pourrait être. L’auteur à succès Nely Galan nous a récemment dit: «La responsabilité est un état d’esprit, et c’est souvent le plus grand obstacle que nous devons tous surmonter. Arrêtez de penser que Prince Charmant (une personne, un groupe ou une entreprise) va entrer et résoudre vos problèmes. Le problème est une opportunité pour créer une solution révolutionnaire. Vous êtes la personne pour résoudre ce problème. Assumez en la responsabilité ». Lorsque des obstacles existent, il est important de concentrer votre énergie sur l’opportunité qui vous est présentée

3. L’enfermement: Jour après jour, vous allez au bureau et vous asseyez probablement à côté des mêmes personnes. Lorsque vous avez des idées, vous les partagez probablement avec les mêmes personnes chaque jour. Mais des recherchent montrent que 72% des résultats proviennent de personnes qui parlent et partagent des idées avec leur entourage externe, les personnes avec qui vous ne parlez pas tous les jours. L’auteur Tim Sanders a récemment dit, « Les ventes ont toujours été le travail des vendeurs. Mais lorsque les organisations éliminent les barrages et l’enfermement des départements, et incluent tout le monde dans l’entreprise qui a un intérêt dans la vente, elles peuvent atteindre un ratio de 70%. « Pensez aux autres personnes qui ont un intérêt dans votre idée. Sortez de votre enfermenent et parlez à énormèment de monde possible.

4. La plage: Le repos et la relaxation sont importants pour notre bien-être. Mais même si vous n’êtes pas en vacances il suffit parfois de tremper vos orteils dans l’eau. Le PDG et fondateur de Sea Side Reservations, Steve Schwab a récemment dit: «Les routines peuvent nous faire fonctionner en pilote automatique. Aller dans un endroit nouveau et voir les différentes façons dont les gens font les choses mènent à des découvertes incroyables. » Il a raison. Que vous voyagiez à travers le pays ou à l’autre bout de la ville, le fait de sortir de votre routine et de votre environnement quotidien peut inspirer énormèment de réflexions.

5. L’enfant: Regardons les choses en face, beaucoup de stéréotypes geeks se concentrent sur la science-fiction et les jeux vidéo de notre enfance. Des leaders comme Brenda Hardesty et Sue Baechler combinent la science de l’apprentissage par le jeu avec l’implémentation de la stratégie pour délivrer des résultats commerciaux impressionnants. «Les recherches sur les jeux montrent que les joueurs conservent 75% de ce qu’ils apprennent et 45% après six semaines», ont déclaré les créateurs. «C’est une différence flagrante avec les méthodes d’entraînement traditionnelles, où les participants ne conservent que 4%.»

Bien sûr que l’on recherche les résultats mais laissez toujours votre enfant intérieur s’évader et alors vos projets seront remplis d’émerveillement, de compétitivité et d’amusement.

Être geek de nos jours ne veut plus dire être un inadaptés social, des conversations gênantes et des personnalités peu attirantes. Les geeks sont devenus les pionniers et les influenceurs mondiaux. C’est un message de bienvenu pour tous et c’est un club dont vous ne devez pas avoir honte d’appartenir. Parce que si vous développez les 5 stratégies geeks que nous avons détaillé alors le succès vous appartient !

Suivez le journal de bord d’un entrepreneur : http://www.antoinebachelinsena.com

Quoi faire dans la journée quand on n’a plus à aller au taf ?

La grasse matinée tous les jours, aller au parc et au cinéma quand il n’y a personne, aller au shopping quand il n’y a personne, prendre des billets d’avion moins chers en basse saison, réserver des spas et chambres d’hotel moins chers car on a un grand choix de dates, glandouiller à la piscine du club, lire des livres sur la chaise longue ou un hamac devant une plage brésilienne (j’habite au Brésil depuis 2011), écouter de la musique ou une podcast en rêvassant, faire du karting, du buggy, de la voile, jouer de la musique, apprendre dans différents domaines (je fais mon brevet de pilote d’avion privé et j’ai des entreprises dans d’autres secteurs que ceux de mes études scolaires cf les habiletés et compétences que vous devez apprendre en dehors de votre diplôme). La formation à vie est quelque chose de fondamentale.
Je me la coule douce et je n’ai plus aucune routine matinale comme je le faisais quand j’étais étudiant (réveil à 5h du mat pour aller méditer au dojo zen soto voir mon article Méditation & Business). Le plus sympa c’est le lundi et mardi le fait de savourer la grasse matinée et le petit dej au lit quand les autres bossent car cela nous fait réfléchir sur les choix que nous avons pris 🤔.

Développons là-dessus : la majorité par manque de connaissance (voir mon article connaissez vous l’esclavage moderne et mon article la soif de connaissances) et par manque de courage reste esclave moderne et refuse de s’interdir la prostitution temporelle. C’est un choix de se dire à soi-même : c’est terminé je ne veux vivre plus aucun jour comme esclave ! Moi j’ai opté pour être individualiste (une nécessité vitale et libératrice) et m’interroger sur les illusions du collectivisme sans aucune morale qui maintient la majorité dans un tout petit carré : résistez et envoyez balader le bon sens !

Quand on n’a plus à aller au taf on a beaucoup plus de trucs à faire ! J’ai des objectifs à atteindre (voir ma To Do List). Ces objectifs sont définis en commun accord avec ma femme. On a des objectifs de voyages, des objectifs pro, des objectifs perso, des objectifs journaliers.

Dans la journée quand on n’a plus à aller au taf on peut aller à la piscine, à la plage et aller aurestaurant d’un hotel chic face à un paysage extraordinaire. On peut écrire des mails sur son smartphone, écrire des articles sur son blog, envoyer des contrats via Google Docs sur son portable, avoir Skype, Slack, Whatsapp etc pour parler avec ses clients, ses employés, ses fournisseurs. Puis plus important on peut éteindre son portable et faire ce qui bon nous semble de notre temps.

Faire ce qui bon nous semble !

La drogue pour entrepreneurs

Qu’est ce que de la drogue pour entrepreneur ?

Si vous n’avez pas encore trouvé ce qui fait sens pour vous dans votre vie alors voici un petit test simple. 

Je l’appelle le défi de la valeur. Commencez par simplement sourire à un inconnu dans la rue et pas de sourire forcé. Souriez comme si cette personne était la première personne que vous voyez après avoir été isolé dans une île déserte durant des années. Répétez autant de fois possible ce sourire avant d’obtenir le sourire de cet inconnu en retour. Ensuite observez comment vous vous sentez. Plutôt cool non. 

Félicitations vous venez juste d’apporter de la valeur dans la vie de quelqu’un ! Oui c’est aussi simple que cela.

Continuez ce défi de valeurs et aidez d’une autre façon une autre personne dans les prochains 30 jours.

Ajoutez de la valeur dans la vie de quelqu’un grâce à votre propre création, votre intelligence et votre travail. Vous devez aussi faire cela en apprenant une nouvelle habilité ou en faisant quelque chose dont vous n’êtes pas habitué ou autrement dit en dehors de votre zone de confort. Et surtout le plus important : ne vous arrêtez pas avant que ce soit accompli ! 

Le défi de valeur devrait être aussi simple que d’acheter un armoire détonnée, cassée puis la retaper, la remonter, la peindre et la vendre par exemple sur Craiglist. Ou autre exemple : vous pouvez écrire une petite nouvelle d’une trentaine de page et puis la vendre sur Amazon. Faites ce que vous voulez.

La clé c’est de créer de la valeur pour quelqu’un d’autre et de le faire dans un processus nouveau. Et ce processus vous apprend une nouvelle habileté. Cette habilité vous l’apprenez sur le tas. 

À nouveau comme pour le sourire inspiré prêtez attention à comment vous vous sentez au moment où vous faites ce défi de la valeur. Vous devez vous sentir heureux, motivé, boosté… etc. 

Ces mêmes sensations apparaissent tout le temps dans l’entrepreneuriat une fois que vous savez observer et reconnaitre les émotions que les clients provoquent en vous. La sensation que vous ressentez c’est de l’héroïne entrepreneuriale et une fois que vous la sentez il n’y a plus de retour. Là on plane, c’est de la bonne. Notre énergie est décuplée, multipliée par 100000 on est vraiment dans un moment créatif grâce à ce feedback. 

C’est vraiment de la drogue pour les entrepreneurs cette courbe de valeur qui va se confirmer par votre première vente, votre premier client, votre premier feedback ou le premier compliment que vous écoutez. Votre produit est super, votre service est vraiment top ! 

Imaginez maintenant que vous n’avez pas apporté de valeur a seulement une personne mais à des milliers, voir dez millions ! Imaginez un petit peu la satisfaction que vous aurez, ce sentiment intense de réalisation ! 

Le fait d’être payé pour aider des personnes c’est quelque chose de vraiment satisfaisant : c’est comme regarder notre fils gagner Wimbledon. 

Je pense que notre plus grande drogue (on découvre en fait qu’on a tous les mêmes objectifs, les mêmes buts) dans la vie c’est de simplement aider les autres, de résoudre leurs problèmes et de faire du monde un monde meilleur en étant heureux. Rendre les autres plus heureux c’est simple en fait.