L’honneur est un langage.

L’honneur est un mot qui vibre comme un chant ancien, une note suspendue entre la terre et le ciel.

Il évoque des chevaliers aux âmes ardentes, des sages méditant sous des étoiles, des poètes écrivant à la plume des vers pour défier l’oubli. 

Mais l’honneur est-il une ombre du passé, un écho perdu dans le tumulte moderne ?

Ou bien est-il un langage vivant, une parole sacrée qui relie l’homme au divin, l’éphémère à l’éternel ? 

L’honneur est comme un langage universel. 

C’est une vibration philosophique, poétique et spirituelle, qui s’incarne dans nos gestes, nos silences et nos aspirations. 

Dans le même temps l’honneur dialogue avec le monde céleste.

1. L’Honneur comme langage de l’âme. 

2. L’Honneur et le monde spirituel. 

3. L’Honneur face au temps. 

4. La poésie de l’Honneur. 

5. L’Honneur comme résistance et communion. 

6. L’Honneur et l’autre.  

7. Conclusion : parler Honneur c’est parler avec le divin.

I. L’Honneur comme langage de l’âme.

L’honneur est un langage intérieur, une grammaire de l’âme. 

Il est l’ensemble des lois invisibles qui guident nos choix lorsque le regard des autres s’éteint. 

Comme tout langage, il possède ses inflexions, ses silences éloquents, ses accents propres à chaque culture et à chaque cœur. 

Pourtant, son essence demeure universelle : une fidélité à soi-même et une droiture face aux tempêtes du monde.

Dans les traditions héroïques, l’honneur brille comme une armure. 

  • Achille, dans sa quête de gloire immortelle, ou Antigone, défiant la loi humaine pour obéir à une justice divine, incarnent ce langage avec une intensité tragique. 
  • Dans les philosophies orientales, comme le bushido, l’honneur se pare de retenue, plaçant le devoir au-dessus des désirs. 

Mais l’honneur n’est pas l’apanage des légendes. 

Il vit dans le courage de l’ouvrier qui refuse de trahir sa conscience, dans le pardon silencieux d’une blessure et dans la main tendue à l’inconnu. 

C’est un langage parlé par le cœur, inscrit dans le corps.

C’est une promesse d’alignement entre l’être et l’idéal.

II. L’Honneur et le monde spirituel.

L’honneur, cependant, ne se limite pas à la sphère terrestre. 

Il est un langage sacré, un dialogue avec le divin. 

Dans le monde spirituel, l’honneur devient une offrande, une manière de s’élever vers ce qui nous dépasse. 

Il est l’expression d’une âme qui reconnaît sa place dans l’ordre cosmique, une âme qui sait que chaque acte, chaque parole, résonne dans l’éternité.

L’honneur spirituel est une source d’inspiration divine. 

Lorsque nous agissons avec droiture, lorsque nous choisissons la vérité malgré la peur, nous ouvrons un espace en nous où le divin peut s’exprimer. 

Cette inspiration n’est pas un privilège réservé aux saints ou aux mystiques ; elle est une grâce offerte à quiconque parle le langage de l’honneur. 

L’honneur, dans sa quête de justice et de vérité, attire la lumière d’en haut, comme un miroir reflétant le soleil.

Mais ce dialogue est réciproque. 

Le divin, en retour, répond à nos comportements. 

Chaque acte d’honneur est une prière silencieuse, une offrande qui appelle une réponse. 

Cette réponse peut prendre la forme d’une paix intérieure, d’une synchronicité, d’une force soudaine face à l’adversité. 

Dans les traditions spirituelles, on dit que le ciel observe, que les anges notent, que l’univers conspire en faveur de ceux qui vivent avec honneur. 

Ce retour du divin n’est pas toujours visible ; il est souvent un murmure, une brise subtile qui guide l’âme vers sa destinée. 

Pourtant, il est réel, aussi réel que la lumière qui suit l’aube.

III. L’Honneur face au temps moderne. 

Le temps a-t-il altéré l’honneur ? 

Dans une ère de vitesse et de superficialité, où la gloire éphémère des écrans l’emporte sur la quête de sens, l’honneur semble parfois appartenir à un autre âge. 

Une image saisissante en tête de cet article, tirée du livre “Der Untergang des Römischen Reiches” d’Edward Gibbon, montre la chute de Rome : des bâtiments en flammes, des soldats en combat, un empire s’effondrant sous le poids de la corruption et de la décadence. 

Cette vision est une métaphore puissante du déclin des valeurs, de l’abandon de l’honneur qui précipite les civilisations dans l’oubli. 

Lorsque l’intégrité cède à la compromission, lorsque la vérité devient négociable, les flammes de la ruine ne sont jamais loin.

Pourtant, l’honneur n’a pas disparu ; il s’est métamorphosé. 

Comme un langage vivant, il emprunte de nouveaux mots, tout en préservant sa grammaire sacrée. 

Aujourd’hui, l’honneur s’exprime dans des combats modernes. 

  • Il est dans le courage des lanceurs d’alerte, qui risquent tout pour révéler des vérités cachées. 
  • Il est dans la résilience des défenseurs de la liberté, qui s’élèvent contre l’oppression. 
  • Il est dans la dignité de ceux qui, face à l’injustice, refusent de plier. 

L’honneur, loin d’être une relique, est une force dynamique, un pont entre la terre et le ciel, un rempart contre le déclin, un appel à vivre en accord avec les lois divines et humaines.

Mais ce langage est fragile. 

La frénésie du monde, son culte de l’immédiat, son égoïsme débridé, menacent de l’étouffer. 

Comme Rome, notre société risque de s’effondrer si elle oublie l’honneur, si elle sacrifie ses idéaux sur l’autel de la facilité. 

Pourtant, il suffit d’un instant, d’un choix, pour raviver ce langage. 

Car l’honneur n’est pas une contrainte ; c’est une invitation à parler une langue plus haute, une langue qui relie l’âme au divin.

IV. La poésie de l’Honneur.

L’honneur est une poésie incarnée. 

Il est un chant, une métaphore, une danse entre le visible et l’invisible.

Comme un poème, il ne se justifie pas ; il se vit. 

Il y a une beauté dans l’honneur, une beauté qui ne réside pas dans la perfection, mais dans l’élan.

C’est la fragilité de celui qui choisit d’être fidèle à ses valeurs, malgré le poids du monde.

Pensons à Don Quichotte, ce chevalier errant dont l’honneur, bien que moqué, touche le sublime. 

Il nous enseigne que l’honneur n’est pas une question de victoire, mais d’intention, une offrande au divin à travers l’idéal. 

Cette poésie s’exprime aussi dans les silences. 

L’honneur n’hurle pas ; il murmure. 

Il est dans le regard qui refuse de répondre à la haine, dans la retenue de celui qui choisit la paix plutôt que la vengeance. 

Ces silences sont des vers sacrés, des prières sans mots, des dialogues avec l’éternel.

V. L’Honneur comme résistance et communion.

Dans un monde où les vérités sont manipulées, où les valeurs sont négociées, l’honneur est une résistance. Il est un refus de céder à la lâcheté, à l’indifférence, au chaos. 

Parler le langage de l’honneur, c’est s’opposer au conformisme, c’est affirmer que certaines choses – la justice, la vérité, la dignité – sont sacrées, intouchables.

Cette résistance est aussi une communion. 

L’honneur spirituel nous rappelle que nos actes ne sont pas isolés ; ils s’inscrivent dans une trame plus vaste, une tapisserie tissée par le divin. 

Chaque choix honorable est un fil d’or dans cette trame, un acte qui renforce le lien entre l’homme et le sacré. 

Lorsque nous vivons avec honneur, nous ne résistons pas seulement pour nous-mêmes ; nous résistons pour le monde, pour l’ordre cosmique, pour la lumière qui refuse de s’éteindre.

VI. L’Honneur et l’autre.

L’honneur est un langage relationnel. 

Il se manifeste dans le respect de l’autre, dans la reconnaissance de sa dignité, dans la fidélité à nos promesses. 

Il est un pont entre les âmes, une manière de dire : « Tu es sacré, car tu portes en toi une étincelle du divin. » L’honneur nous lie non seulement aux autres, mais aussi à l’univers, dans une danse d’interdépendance où chaque geste compte.

Dans cette perspective, l’honneur est une prière collective. 

Lorsque nous agissons avec honneur, nous honorons non seulement notre propre âme, mais aussi celle des autres, et, par extension, le divin qui réside en tout. 

C’est un langage qui construit, qui guérit, qui élève.

VII. Conclusion : parler l’Honneur, parler le divin.

L’honneur est un langage ancien, mais éternellement jeune. 

Il est philosophique, car il questionne le sens de nos vies. 

Il est évocateur, car il réveille des visions d’héroïsme, de sacrifice, de lumière. 

Il est poétique, car il transforme l’ordinaire en sacré. 

Et il est spirituel, car il est un dialogue avec le divin, une offrande qui appelle une réponse.

Dans un monde qui nous pousse à oublier, à trahir, à nous perdre, l’honneur est une ancre, une étoile, un feu sacré. 

Il ne promet ni gloire ni récompense terrestre, mais il offre une paix profonde, celle de vivre en harmonie avec soi, avec les autres, avec le divin. 

Parler l’honneur, c’est parler la langue des anges, c’est écrire un poème dont chaque vers est un pas vers la lumière.

Alors, parlons l’honneur. 

Parlons-en dans nos silences, dans nos luttes, dans nos amours. 

Parlons-le avec audace, avec humilité, avec foi. 

Car l’honneur n’est pas seulement un langage ; c’est une manière d’être, une manière de dire au monde, à l’univers, au divin : je suis là, je tiens debout, je choisis la vérité.

Le message résumé d’Olavo de Carvalho. Philosophe et écrivain brésilien.

Illustration de quelques uns des plus de 64 livres incluant ceux réunissant ces articles dans des journaux.

Olavo de Carvalho (1947-2022) était un philosophe, écrivain et auteur à succès brésilien.

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Olavo démontre la fausseté des icônes culturelles.
On se retrouve dans le vide car toutes les sécurités idéologiques sont cassées sans violence, de façon lucide et naturelle.

Les répétitions mécaniques que les gens font sont cassées.

C’est une cassure existentielle avec nos sécurités intellectuelles.

Olavo m’a vacciné contre l’hédonisme, le matérialisme, le scepticisme qui règnent dans les médias, les universités et l’imaginaire collectif.

Il a mis en lumière l’incompatibilité des discours des soi-disant intellectuels face à leur pratique quotidienne cynique et vide de toute pratique éthique autrement dit hypocrite.

Il crée un bouleversement dans la structure de notre pensée pour assumer un moi qu’on ne peut corrompre pour que notre vie prenne de la cohérence et une direction personnelle.

Cela détruit tout relativisme autrement dit le scepticisme comme attitude de vie très répandue et promue par certains intérêts à notre époque. 

Et le scepticisme absolu entraîne le doute permanent sur tout, ce qui est un suicide de l’esprit et un aveuglément permanent. 

L’engagement éthique nous libère, nous émancipe et nous donne du courage. 
Aller contre la majorité et ne pas être prisonnier d’un amas de mensonges et de superficialités, c’est l’authenticité. 

Répéter des formules et protocoles à l’école avec un chantage émotionnel de suivre le groupe, un dressage collectif est une folie suicidaire alors qu’il faut émotionnellement et socialement être prêt à questionner notre situation sociale. 

Ceux qui ne peuvent décrire la réalité montrent juste leur carte du club autrement leur appartenance ou auto identification au groupe. Ils partagent juste les lieux communs avec un sens de concordance, acquis dans un dressage de protocoles. 
Cela renforce des manques émotionnels.
 
Le système d’éducation sociale corrompt notre liberté de penser.

Carvalho a publié ses premiers livres dans les années 1990, qui restent aujourd’hui en circulation avec 30 autres titres publiés.

– (1994). Une ère nouvelle et une révolution culturelle : Fritjof Capra & Antonio Gramsci [Le nouvel âge et la révolution culturelle] ;

– (1995). O jardim das aflições: de Epicuro à ressurreição de César – ensaio sobre o Materialismo e a religião civil [Le jardin des afflictions : de l’épicure à la résurrection de César – une étude sur le matérialisme et la religion civile] ;

– (1996). Aristote em nova perspectiva : Introdução à Teoria dos Quatro Discursos [Aristote dans une nouvelle perspective : Introduction à la théorie des quatre discours] ;

– (1996). O imbecil coletivo: atualidades inculturais brasileiras [L’imbécile collectif : l’actualité inculturelle brésilienne] ;

– (1997). O futuro do pensamento brasileiro : Estudos sobre o nosso lugar no mundo [L’avenir de la pensée brésilienne : Études sur notre place dans le monde].

De 2009 à 2022, année de son décès, il a donné des cours en ligne à des milliers d’étudiants.

Carvalho a laissé des contributions indélébiles dans les domaines de la philosophie, de la littérature et des sciences politiques.

Après sa mort, ses enseignements continuent d’inspirer et de façonner le paysage intellectuel, laissant une marque durable sur le discours entourant la philosophie et l’environnement culturel.

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Qui est Antoine Bachelin Sena ?

Antoine Bachelin Sena est un ecrivain qui démonte les narratifs et dynamiques de pouvoir.

Retrouvez ses différents livres ici.

Retrouvez Antoine Bachelin Sena sur Twitter et Youtube.

Antoine mentionne souvent des concepts dans le domaine de l’information comme la “guerre de cinquième génération”, où la guerre numérique et la désinformation jouent un rôle crucial.

Ses écrits et ses vidéos sont une invitation à se détacher des narratifs imposés, à retrouver une forme de liberté intérieure où l’individu n’est plus un pion dans le jeu de la tyrannie collective. Antoine Bachelin Sena prône une forme de souveraineté personnelle, où l’écoute de soi devient un acte de rébellion contre les forces qui cherchent à uniformiser les pensées et les comportements.

Sa présence en ligne, ses articles, et ses livres montrent un homme engagé dans la réinformation, cherchant à éduquer et réveiller les consciences.

Antoine ne se contente pas de critiquer; il propose une vision iconoclaste, une invitation à la rébellion intellectuelle et à l’authenticité personnelle dans un monde où la pression sociale et les médias tentent de modeler nos pensées et nos actions.

«Les promesses “bibliques” de la science moderne». Extrait du chapitre 111 du livre «Cours de Philosophie d’Olavo de Carvalho».

L’idéologie scientifique et le marxisme ont vécu côte à côte pendant un certain temps, collaborant parfois, parfois en opposition mutuelle, jusqu’à ce qu’ils fusionnent dans les années 1920 ou 1930, en particulier chez des scientifiques comme John Halden, John D. Bernal, CH Waddington, John D. Barrel, Frank Tipler, Freeman Dyson, Paul Davis, Fred Hoyle.

Le travail conjoint entre la science et le marxisme a ensuite été mis à profit par l’élite mondialiste. L’ambition des scientifiques révolutionnaires est d’étendre la présence humaine à l’univers entier, y compris même tous les univers logiquement possibles, et aussi de prolonger l’existence de l’univers ou même d’empêcher sa fin, peut-être même de changer la forme fermée de l’univers et de modifier sa topologie, de créer des univers artificiels et, cerise sur le gâteau, dans un avenir très lointain peut-être se développera une forme de vie étrangère à la chair et au sang et qui pourra être incorporée dans un bloc nuageux interstellaire ou un ordinateur sensible.

Mary Midgley a rassemblé nombre de ces prétentions dans le livre “Science as Salvation”, où le désir de ces personnes d’accomplir les promesses bibliques de manière inversée est clair, c’est-à-dire que l’homme est une créature purement matérielle mais que la science peut le spiritualiser, peut-être même fabriquer une immortalité pour lui, à incorporer dans une entité, comme une poussière d’étoiles intelligente.
Ils croient vraiment à la possibilité que ces choses se produisent, ce n’est pas comme le font les auteurs de science-fiction, qui mettent en place des situations fictives comme une manière de méditer sur la société dans laquelle ils vivent.
Ils pensent que la fin de l’univers est la fin de tout, alors que c’est un « moment » qui ne représente rien dans l’ordre de l’être.

L’être ne peut être compris que dans la dimension de l’infini et de l’éternité : rien de ce qui s’est passé n’arrivera. Mais ces scientifiques prennent l’existence de l’univers en termes spatio-temporels et le rendent absolu, pensant qu’il n’y a rien d’autre.

Dans le christianisme, la vie plus courte a déjà un sens éternel car elle est déjà dans l’éternité, elle ne dépend pas de ce que l’humanité fera dans le futur, comme le pensent certains scientifiques modernes, qui croient que le futur peut créer une imitation de l’éternité.

L’univers a un ordre total, qui englobe un élément de chaos (le langage a donc besoin d’ambiguïtés, de métaphores, de figures de style) mais englobe également le fait que l’homme comprend des aspects de cet ordre, comme le fait qu’il a plusieurs niveaux.
Ainsi, l’univers n’est pas entièrement gérable mais il n’est pas non plus compréhensible, et nous pouvons être sûrs que nos esprits sont ordonnés par le propre ordre de l’univers.
Si nous nous adaptons à cet ordre, de nouvelles parties se révéleront à nous, selon nos besoins, mais si nous suivons la prétention de la science moderne (ou de Stephen Hawking) à faire une description complète de l’univers existant (ce qui suppose que nous aurions déjà des concepts rigoureux de tout, alors que nous n’avons même pas un concept rigoureux de la matière), nous entrons déjà dans un univers psychotique.

De là viennent les prétentions de contrôle total, toutes incompatibles avec la structure de l’existence humaine mais c’est une idée qui peut être vendue comme quelque chose à atteindre.
La vraie relation avec l’ordre universel doit être celle de la confiance, de la patience et de la modestie, et en dehors de cela nous nous aliénons dans les pseudo-ordres de la culture contemporaine.

Le livre «Cours de Philosophie par Olavo de Carvalho : une conversion des concepts généraux en expérience existentielle effective.» est disponible ici : https://www.amazon.fr/Cours-Philosophie-Olavo-Carvalho-existentielle/dp/B0BVT3J6JV?ref_=ast_author_mpb

Livre «Cours de philosophie par Olavo de Carvalho: une conversion des concepts généraux en expérience existentielle effective.»

C’est un livre d’études pratiques et personnelles pour revivre des expériences cognitives.

«Un jour, nous découvrons que l’infini est encore plus confortable que le fini. (…)
Ouvrir son esprit à la transcendance est ce qui permet la rationalité
Olavo de Carvalho.

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Ce cours de philosophie est le seul qui puisse vous aider à pratiquer la philosophie au lieu de simplement répéter ce que d’autres personnes, illustres et que vous aimez, en ont dit.

Mais, de par sa nature même, la philosophie n’est pas un savoir spécialisé sur une certaine classe d’objets : c’est une activité intégrale de l’intelligence qui se tourne vers tous les champs du savoir et de l’expérience à la recherche de son unité, de son fondement et de ce qu’elle signifie ultimement pour la conscience humaine.

Il n’y a donc pas de limites aux connaissances spécialisées qui peuvent devenir nécessaires, comme subsides auxiliaires, à l’apprentissage et à l’exercice de la philosophie.
La formation philosophique est aussi, et indissociablement, l’ouverture de l’intelligence à la totalité systémique des connaissances humaines.

Pour cette raison, ce cours est également un système éducatif complet, ouvert aux domaines d’études suivants, en plus de la philosophie stricto sensu :
🔹Religion comparée,
🔹Lettres et arts,
🔹Sciences humaines,
🔹Sciences naturelles,
🔹Communication et expression.

Cette portée fait de ce cours une sorte d’introduction générale aux études supérieures dans leur globalité.

Mais ce n’est pas tout.

Comme la philosophie consiste avant tout dans l’unité du savoir et de la conscience, les différents domaines abordés dans le cours ne constituent pas une somme d’éléments sans liens, mais plutôt la vision synthétique de l’unité organique du savoir humain.
Grâce à cette approche, le cours devient une pratique des savoirs interdisciplinaires.

Cependant, la philosophie ne peut jamais constituer une simple activité professionnelle et universitaire, déconnectée de l’intimité personnelle de celui qui l’exerce.

C’est, par définition, un exercice de conscience de soi, qui recherche systématiquement les liens entre savoir, être et agir, dans l’unité de la conscience individuelle du philosophe.

👉 L’unité du savoir, de l’être et de l’agir est le but de toute philosophie : c’est la conquête de la sagesse.

Cherchant constamment le lien entre connaissance et conscience de soi, le philosophe (ou, ce qui revient exactement au même : l’étudiant) se soumet à la discipline de la sincérité, qui devient lentement, progressivement et sûrement une voie d’ascèse spirituelle : le développement du sens personnel de la vérité.

Comme, d’ailleurs, l’intelligence humaine ne se développe pas plus ou moins selon les taux fictifs de certains QI innés ou selon certaines déterminations induites, mais seulement selon la détermination plus ou moins grande de chaque homme à rechercher la vérité et à l’intégrer dans les structures de sa personnalité et les lignes de sa manière d’agir, le cours devient aussi une méthode de développement de l’intelligence personnelle.

Voici ce qu’est le cours de Philosophie :
🔹Un cours de philosophie,
🔹Un système éducatif complet,
🔹Une introduction générale aux études supérieures,
🔹Une théorie et une pratique de l’interdisciplinarité,
🔹Un chemin d’ascétisme spirituel,
🔹Une méthode de développement de l’intelligence personnelle.

Si ces objectifs vous paraissent trop grands pour être atteints d’un coup, le cours vous montrera qu’il n’est pas possible d’en atteindre un seul séparément : la philosophie, l’éducation intégrale, l’élargissement de l’horizon cognitif, l’unité du savoir, l’ascèse spirituelle basée sur la conscience de soi-même et le développement de l’intelligence humaine ne sont que six noms pour une seule et même chose.

Le cours ne promet pas de vous les donner, car aucun d’entre eux n’est quelque chose que vous pouvez recevoir en cadeau.

Il promet seulement de vous montrer le chemin pour les conquérir et les faire vôtres pour toujours.

Le cours de Philosophie ne vous demandera que deux choses : la sincérité et l’effort tranquille.

En 1 minute sur Olavo

Du temps libre vaut + que de l’argent !

Tout le monde dit que le temps, c’est de l’argent. Ok oui ça c’est simple. Mais ce que la majorité ne sait pas c’est qu’il faut faire la différence expliquée dans cet article entre acheter du temps pour soi et vendre son temps pour de l’argent. Et cela est essentiel ! Si vous n’avez pas encore lu ce premier article allez-y maintenant.

Parlons du temps libre car le temps passe vite et ne revient pas alors que l’argent par contre va et vient.

De plus l’argent une fois dépensé c’est fini : il ne peut être dépensé 2 fois.
Bien sûr il peut être investit et du coup multiplié. Mais c’est un autre sujet détaillé dans cet article : quel est le prix du temps ?

Le temps libre, UTILISÉ CORRECTEMENT peut générer des connaissances qui peuvent produire beaucoup plus de possibilités que de l’argent. Ce sont des nouvelles perspectives, des nouvelles façons de voir le monde, des visions différentes de ce que l’on avait habitude de voir.

La plupart des gens ont toujours cette mauvaise excuse pour ne pas avoir d’éducation entrepreneuriale et financière : ils disent qu’ils n’ont pas le temps ! C’est vraiment juste une excuse mais le problème c’est qu’ils y croient vraiment. S’il vous plaît questionnez ces croyances que la majorité suit par conformisme et envoyez balader le bon sens !

La plupart d’entre nous sont mis en quarantaine. Nous pouvons être bouleversés, tristes, inquiets ou nous pouvons voir cela comme une opportunité qui ira changer notre vie.

Au lieu de faire la navette entre le travail et la maison, que se passe-t-il si vous avez utilisé ce temps pour acquérir une compétence entrepreneuriale ? Vous pouvez enfin vous poser et réfléchir à de nouveaux choix de vie, à de nouvelles envies. C’est un peu comme durant la période de fin d’année oú vous questionnez vos derniers pas et les prochains…

Avez-vous utilisé ce temps pour élaborer une nouvelle stratégie d’investissement ? Ou appris de nouvelles connaissances en marketing ou d’autres domaines ?

Ces connaissances pourraient prendre soin de vous et de vos proches pour toujours ! Envisagez de profiter de cette occasion pour questionner, apprendre, tester.

Vous pouvez prendre des virages totalement différents dans votre vie alors s’il vous plaît permettez-vous de tout questionner et de ne rien laisser tabou.

La connaissance est la nouvelle monnaie !

Les relations humaines fonctionnent comme cela :

Ce qui est plus important que « ce que vous dites » c’est « comment vous l’exprimez ».
Plus important que le thème ou l’idée c’est la manière dont c’est transmis qui importe.

L’empathie établie est plus importante que la technique.

L’initiative qui est produite, l’engagement, l’insight créé, le cœur gagné et la confiance établie sont plus importants que le contenu structuré.

Peu y parviennent.

Pour cette raison, la plupart lisent de nombreux livres, étudient divers sujets, consomment des contenus sans fin, collectent de nombreux certificats, et malheureusement le cœur reste froid, les yeux ternes, sans initiatives voire carrèment lâches.

Ils ne peuvent donc pas gagner la confiance de leur propre équipe, voire même pas en créer ou en conserver une.

L’art du leadership réside dans des facteurs non appris en classe, mais auprès de ceux qui ont cette « énergie » de transmettre.

Il ne se développe pas avec des certifications, ni avec des diplômes obtenus en répétant comme des perroquets, ni avec une méthodologie spéciale, mais avec ceux qui ont appris à écouter leurs propres émotions.

Le monde a besoin de plus de leaders !

11 conseils pour vendre plus 🤩

1 – Découvrez ce que veut le client.

La dernière feature du produit ne suffit pas à vendre.
Ce que votre client souhaite, c’est quelque chose qui puisse résoudre son problème.
Et si vous ne trouvez pas cette connexion, tout sera plus difficile. Comprenez votre client et donnez-lui ce qu’il cherche.

2 – Quels sont les avantages ?

Aussi simple que ça !
Trouvez ce qui sera bon pour votre client et concentrez-vous dessus. Rendez-le intéressé par votre produit mais en faisant en sorte que cela vienne de lui-même.

3 – Penser aux problèmes.

Soyez prêt à affronter tous types de problèmes.
Préparez-vous à tout type de difficulté et essayez d’y répondre avant même que les questions ne se posent. Décrivez les objections de vente et comment y répondre.

4 – Trouver des solutions.

Si vous identifiez les problèmes et les objections créez des options et des solutions permettant au client de ne jamais abandonner.

5 – Aider le client.

Souvent, le client ne sait pas ce qu’il veut.
Aidez-le à découvrir qu’il veut quelque chose, plus précisément « cette chose » que vous vendez. Comment ? En lui faisant tester différentes solutions.

6 – Construire la confiance.

Il est important que votre client vous fasse confiance.
Bien sûr, lors du premier achat, c’est compliqué, mais il faut dés le début créer une réputation de quelqu’un qui prend soin de des clients.

7 – Flexibilité, flexibilité et encore flexibilité.

Un bon vendeur est toujours prêt à s’adapter à la situation.
Plus le client a le sentiment que vous êtes préparé à ce qui se passe et que vous lui offrez un cadre sécurisant, plus il vous fera confiance.

8 – Ne sous-estimez personne.

Oubliez le temps oú il était possible d’envoyer balader ou d’arnaquer votre client.
Aujourd’hui sur internet tout le monde est plus attentif et inquiet, alors n’essayez de duper personne.

9 – Travailler la résilience.

Tirez des leçons de tout ce qui se passe.
S’il vous arrive quelque chose de négatif, ayez la force de continuer le combat.
Laissez le « non » derrière vous et avancez car un “oui” arrivera.

10 – Créer des stratégies.

Il ne sert à rien d’avoir une seule option.
Vous devez avoir des options et des produits qui conviennent à toutes les situations, obstacles et objections.

11 – Croire.

La première personne qui doit être convaincue de la qualité de votre produit doit être vous-même.
Si vous ne croyiez dans vos mots, personne ne vous croira.
Plus vous défendez vos idées avec enthousiasme, plus il est facile transmettre votre passion aux autres.

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Le meilleur guide à suivre pour faire ce que vous aimez !

Je faisais ce que je détestais :

  • Travailler de 09:00 à 17:00 heures en me tapant en plus des bouchons interminables.
  • En plus de cette prison avec des horaires pour entrer, pour sortir, pour manger il y avait un patron qui passait son temps à me crier dessus.
  • Et en plus il y avait des collégues qui en dehors du boulot ne seraient jamais mes amis.
  • Et enfin mon job n’avait pas trop de sens car je ne réalisais pas quelque chose qui allait révolutionner le monde et mes tâches pouvaient être réalisées par quelqu’un d’autre que moi si on me virait. Où était ma valeur ajoutée ? Où mon job faisait il sens ?

En réalité je faisais des choses qui étaient le contraire de tout ce dont je rêvais quand j’étais petit et le pire c’est que je ne pensais pas que quelque chose d’autre était possible.

Pourquoi ?

  • L’école nous avait toujours enseigné à nous assoir et à nous taire.
  • Nos familles et amis nous avaient toujours incité à copier tout le monde.
  • Souffrir au boulot était toujours vu comme un mal nécessaire pour le «bon sens commun.»

J’AVAIS 200% TORT !

En apprenant peu à peu sur l’entrepreneuriat j’ai réfléchi sur les nombreuses choses qui me plaisent et comment les relier les unes aux autres.

– LISTEZ TOUT.

Ce qui vous passionnait de 7 à 20 ans. Ce ne sont pas vos « vraies passions ». Ce n’est pas une seule passion. Ce sont simplement les choses que vous aimiez faire quand vous étiez enfant.

– COMBINEZ-LES.

Si vous aimez les ordinateurs et les films, peut-être que vous écrirez des histoires pour des expériences de réalité virtuelle.

Si vous aimez l’art et être un journaliste, appelez tous vos artistes préférés et faites un podcast.

– JOUEZ.

Oui vous êtes adultes mais vous aimez les jeux. Qu’est-ce que vous faites quand vous aimez les jeux ? Vous les partagez, vous y investissez, vous y passez du temps. Amenez du ludique dans votre vie.

– CRÉEZ LE FUTUR.

Comment pouvez-vous visualiser le futur? On ne peut pas. Mais c’est ce qui aide à rédiger dix idées par jour.

En effet, si j’écris dix idées par jour sur la façon dont mon intérêt pour par exemple l’architecture et les affaires pourraient se rejoindre dans le futur alors je vais voir apparaître des actions simples à mettre en place pour arriver à les faire se rejoindre.

Ce qui signifie beaucoup de mauvaises correspondances en cours de route, mais c’est ainsi que les idées commencent et se transforment en choses que vous essayez, qui se transforment en choses que vous faites, et qui se transforment en choses que vous aimez et réussissez.

Il n’y a pas de vraie et unique passion. Il y a juste ces directives de base.

Regardez dans votre passé pour découvrir votre avenir.
Vous allez faire BEAUCOUP de choses dans votre vie. Il n’y a pas de « une » chose.
Est-ce que je fais ce que j’aime maintenant ? Oui, j’écris un article pour donner envie à la majorité de suivre enfin ses rêves.

Et demain ? Je ne sais pas. Je vais écrire ma liste maintenant. Chaque jour j’écris cette liste sinon je me sens coincé et je me perds.

Je veux vivre à fond.

La curiosité de connaître d’autres façons de vivre.

Je vis au Brésil depuis 2011 et chaque fois que quelqu’un réclame des taux d’intérêt brésiliens qui sont trop élevés (et ils le sont), je dis qu’en raison de cela, tous les $br que vous économiserez généreront l’un des plus hauts retour sur investissement du monde ! Dans ce scénario, ceux qui ont une bonne éducation financière auront des héritiers plus heureux.

Chaque fois que vous voulez vous plaindre de la mauvaise qualité des services dans les pays en développement, rappelez-vous qu’il est beaucoup plus facile que dans les pays développés de créer des entreprises qui résolvent les problèmes sans fin que nous voyons de tous les côtés.

Quoi d’autre est mauvais au Brésil ? Partout où vous regardez, il y aura une chance de changer votre destinée.

« Mais, Antoine, je n’ai pas de capitaux! »

Bienvenue dans le club. De nombreux entrepreneurs comme vous et moi non plus. Vous n’êtes pas le seul à devoir commencer sans $. Et puis si vous n’arrivez vraiment pas à bootstraper ne nous envoyez même pas un pitch deck à Bachelin Sena Venture Capital !

Mais voici tout de même une liste de moyens pour vous aider à démarrer et générer votre capital:

1. Créez le projet et vendez une participation (%) à un ami qui a plus de $ pour être votre partenaire.

2. Un prêt, que ce soit de quelqu’un de proche (love money) ou de banque (plus risqué).

3. Commencez à vendre un produit et organisez votre capital (à moyen terme).

4. Si vous êtes déjà hautement qualifié, il est possible de contacter un investisseur institutionnel. Ils n’investissent pas dans les idées, ils investissent dans les gens!

Pensez grand, mais commencez petit. Un autre conseil, soyez bons en vente. C’est le meilleur chemin pour les personnes ayant peu de capitaux. Lorsque vous vendez, votre client est celui qui finance. Kick  starter c’est encore plus extrème : cela finance des «produits» qui ne sont même pas encore crées !

Ne vous offensez pas. Partager ma vision est mon engagement pour toujours.

Entreprendre c’est comme voler librement dans les cieux d’un monde dangereux. Le fait de ne pas entreprendre c’est comme être piégé dans une cage et se sentir protégé par les grilles.

Personne n’est mieux que quiconque, mais ceux qui veulent plus de vie (quand je dis plus c’est plus de choix, plus de temps, plus de liberté, plus d’argent, plus de rêves..etc) n’ont qu’une seule alternative: entreprendre.

Le monde nous a formés pour rester à l’intérieur de la cage, et être nourri par les miettes une fois par mois, rêver de gagner à la loterie ou juste de révasser à ses prochaines vacances ou que son fils devienne le nouveau Neymar.

Ceux qui osent savent que la porte de la cage est déjà ouverte. Il suffit juste d’avoir le courage de sauter et de voler.
Pensez-vous que c’est trop risqué? Une franchise d’une marque bien établie peut être une alternative plus sûre.

La soif de connaissances.

Questionner toute sa vie, apprendre et être curieux c’est pour moi essentiel. Vive l’inconnu, l’incompréhensible et le mystérieux ! Bien sûr cela fait peur mais c’est justement ce qu’il faut déchiffrer de gré ou de force dans nos vies.

Questionner sa vie 2

Les hommes d’affaires de succès lisent énormément pour penser c’est á dire pour s’inspirer, pour apprendre de nouveaux chemins, de nouvelles solutions et pour exercer leur créativité. Ils adoptent une attitude révolutionnaire au vue de la majorité :  être enfin à 100% dans le contrôle de tout ce qu’il se passe dans leur vie.

C’est cette attitude qui fait la différence !

Tout vient de là : de ce positionnement d’acteur et de réalisateur de notre vie et non de figurant ! Le fait d’être le maître à bord pour tout ce qui nous arrive et non dans une position de victime qui réclame et qui n’est pas satisfaite de ce qu’elle vit.

Être à 100% dans le contrôle de sa vie veut dire aussi contrôler ce que l’on écoute et ce que l’on voit : écouter des choses stimulantes, encourageantes et qui nous bousculent aussi en nous poussant à courir après nos rêves. Cela veut dire être entouré de personnes positives et qui partagent nos rêves. C’est valable aussi pour Facebook : suivre des personnes motivées et inspirées et non des gens tristes (déprimés ?) qui s’attristent sur leur sort et qui n’ont pas le courage d’oser, de tester et de faire de façons différentes.

Stimuler son esprit afin de créer l’envie et la soif de connaissances est le premier pas vers la conquête du succès.

Ton boulot ne te plaît pas alors fais autre chose car personne ne t’oblige à part toi même à rester avec une impression d’être planté comme un arbre. Ne restes pas fixé là et je t’en prie, n’aies jamais peur de suivre tes rêves. Qui n’a pas de rêves est mort. Il vaut mieux connaître des difficultés mais courir après ses rêves plutôt que d’être dans une situation confortable mais ne pas avancer du tout dans la poursuite de ce qui nous fait vibrer, ce qui nous excite et stimule véritablement nos vies.

Écouter ses désirs et ses rêves profonds, ces rêves d’une vie vécue pleinement est quelque chose que peu de gens font car ils s’habituent à se conformer à la tristesse de la non réalisation de leurs rêves. Chacun a des rêves, des souhaits, des envies, des projets à analyser, à questionner, à redécouvrir.

Nos rêves ne se realiseront pas dans un claquement de doigts oui c’est sûr : cela ne sera pas aussi rapide que d’allumer la télé. Mais cela commence par une attitude de questionnement sur comment faire peu à peu, chaque jour un petit peu plus près de notre objectif même s’il est à des milliers de kilomètres. Cela commence par écouter ses désirs et c’est ce positionnement d’acteur et de réalisateur de notre vie et non de figurant qui révolutionne toute notre vie à chaque instant ! Voilá comment la différence se crée entre un homme actif et créateur de son futur et un homme passif et victime de ce qui lui arrive.

La soif de connaissances est ce qui fait que l’on reconnaît un  homme non conformiste à un homme mouton mou endormi qui a enterré ses rêves. Bien sûr la mollesse n’a jamais été synonyme de succès…

Leonardo da Vinci
Leonardo da Vinci

 

Les trucs les plus cools ne sont pas raisonnables

Les personnes qui font les trucs les plus cools (exemple faire un tour du monde en voilier avec ses enfants) sont vus comme non « raisonnables » par la majorité (avec des critiques du style : »les enfants ne vont pas à l’école durant tout ce temps ! »).

Mais en fait les enfants apprendront plus de choses durant ce voyage.

tour du monde en voilier

Beaucoup plus de choses que durant toute une vie d’adulte alors je crois que cela vaut fortement la peine.

En fait la majorité est molle, peureuse et ne questionne pas ses habitudes.

Vive les aventuriers et les courageux oui, je le dis.

Vive ceux qui prennent des risques !

tour du monde 2

Vive les personnes qui ne sont pas « raisonnables » ! En fait les « bien-pensants » ne comprennent pas ce qu’est être raisonnable et ce qu’est être non raisonnable. La vérité c’est qu’être bloqué tous les jours des heures au bureau n’est pas du tout raisonnable, c’est même complétement idiot, complétement fou, c’est être un esclave enfermé.

C’est important de tout questionner et de voir comment faire les choses différemment.

Il existe toujours une façon différente de faire les choses.

Trouver ces nouvelles alternatives, ces nouvelles routes, ces nouvelles façons de voir et de faire demande de raisonner véritablement.

Voilà ce que veut dire raisonner, plannifier, tester, innover, changer.

tour du monde 3

Il faut avoir peur de ne pas innover, il faut avoir peur de ne pas élargir son champ de vision. Il ne faut pas avoir peur de vivre ses rêves et de faire tout ce que l’on veut.

La vie est faite pour cela et il n’y a rien de plus triste que de vivre la vie de quelqu’un d’autre.

La vie est courte, belle et sauvage alors ne perdons pas notre temps à ne rien tenter de différent car c’est cela qui donne du goût à la vie !

gout de la vie