L’identité humaine est dissoute dans le virtuel.

Résumé :

L’aliénation de l’homme moderne peut être décrite comme une perte de substance.

Nous vivons une modernité dans laquelle le temps accéléré et la technocratie érodent l’être. 

Les réseaux sociaux nous mettent face à des scrolls infinis et à une quête insatiable de validation. 

Ils incarnent une facette particulièrement insidieuse de cette crise, illustrant la dissolution de l’identité. 

La modernité produit des individus performants mais épuisés, incapables de contempler, car leur existence se réduit à une série d’actes éphémères. 

Avez-vous l’impression pesante que les plateformes numériques sont parvenus à fragmenter l’identité dans une série de performances volatiles ?

Nous proposerons au final des chemins pour reconstruire un moi ancré dans le réel.

La performance numérique : Une identité éphémère.

Les réseaux sociaux et nos smartphones toujours connectés transforment l’identité en un spectacle permanent. 

Chaque publication, chaque story, chaque reel, chaque statut, chaque like devient une brique dans une identité virtuelle. Mais celle-ci est aussi fragile qu’un château de cartes. 

L’utilisateur, en quête d’approbation, adapte son image aux attentes d’un public anonyme, devenant un acteur de sa propre vie plutôt qu’un sujet authentique. 

Il s’agit d’une transparence aliénante : l’individu, exposé à la surveillance constante des autres, se plie à une logique de performance où l’être se dissout dans le paraître. 

En 2023, une étude de l’Université de Stanford révélait que les adolescents passent en moyenne 3,5 heures par jour sur les réseaux sociaux, façonnant leur estime de soi à travers les métriques de likes et de followers. 

Cette dépendance au regard d’autrui fragmente l’identité, la réduisant à une série d’instantanés sans profondeur.

En 2022, des rapports comme celui de l’American Psychological Association ont mis en lumière une vague de burn-out parmi les créateurs de contenu, avec 68 % des influenceurs interrogés déclarant souffrir d’épuisement mental lié à la pression de produire du contenu quotidien.

Ces figures, souvent perçues comme des modèles de succès, incarnent pourtant une identité en perpétuelle fuite : leur valeur dépend de leur capacité à captiver un public volatile, les obligeant à réinventer constamment leur persona. 

Une influenceuse française, Léna Situations, a publiquement évoqué en 2022 son besoin de «déconnexion» face à cette spirale, révélant l’envers du décor : une vie où l’authenticité cède la place à une mise en scène épuisante. 

Cette «hâte» moderne est une «fuite» devant l’angoisse existentielle. 

Les influenceurs, en courant après la nouveauté, fuient la question fondamentale : qui sont-ils hors du regard des autres ?

Dans une critique de la modernité, nous offrons une clé pour comprendre cette dissolution. 

La hâte obsessionnelle du progrès – ici incarnée par le flux incessant des réseaux – est une tentative désespérée d’échapper au vide intérieur. 

«Ils appellent progrès leur hâte, mais c’est une fuite.»

Les réseaux sociaux amplifient cette dynamique en transformant l’identité en un produit de consommation, où chaque individu devient une marque à promouvoir. 

Cette marchandisation du moi, où l’on se vend à coups de filtres et de hashtags, érode la capacité à exister pour soi-même. 

Nous nous retrouvons dans un monde où «nous ne vivons plus dans le temps ; nous sommes vécus par lui». 

L’utilisateur, enchaîné à son écran, n’est plus maître de son identité : il est façonné par des algorithmes qui dictent ce qui est visible, désirable, ou rentable.

Cette fuite dans le virtuel a des conséquences psychologiques et spirituelles profondes. 

En 2024, une étude du Pew Research Center indiquait que 41 % des jeunes adultes américains ressentaient une «déconnexion de soi» liée à leur usage intensif des réseaux sociaux, décrivant un sentiment de vide après des heures de scrolling. 

C’est une fragmentation de l’identité, où le moi se disperse en avatars numériques, et à force de s’agiter sans repos, l’homme oublie d’être. 

Les réseaux sociaux, en imposant un rythme frénétique, privent l’individu du temps nécessaire à la réflexion et à l’introspection, le condamnant à une existence sans ancrage.

Reconstruire l’identité : vers un retour au réel.

Face à cette dissolution nous proposons des pratiques pour reconstruire une identité authentique, en un appel à «ralentir» et à «reprendre le temps».

Le journaling, ou écriture introspective, est une première piste. 

En consignant nos pensées et émotions dans un carnet, loin des écrans, l’individu retrouve un espace de dialogue avec soi. Une étude de l’Université de Cambridge (2021) a montré que 20 minutes de journaling quotidien réduisent l’anxiété et renforcent le sentiment de cohérence personnelle. 

Cette pratique, simple mais puissante, permet de tisser un fil narratif entre les fragments de la vie, restaurant une identité stable et réfléchie.

Les cercles communautaires offrent une autre voie. 

En se réunissant pour partager des histoires, des savoirs ou des rituels – comme les cercles de parole inspirés des traditions autochtones –, les individus échappent à l’isolement du virtuel. 

En France, des initiatives comme les «cafés-philo» ou les groupes de lecture locaux (en hausse de 15 % entre 2020 et 2023, selon le ministère de la Culture) recréent des espaces de connexion humaine. 

Ces cercles, en favorisant l’écoute et le partage, rappellent l’idée aristotélicienne de l’homme comme «animal politique» qui s’épanouit dans la communauté. 

Ils contrebalancent la logique individualiste des réseaux, où l’identité est un produit à vendre, en valorisant un moi relationnel, ancré dans des liens réels.

Enfin il est crucial de proposer un «retour du sacré» pour proposer une reconnexion symbolique. 

Méditer sur un objet naturel – une feuille, une pierre – peut réactiver une perception profonde, où le moi se sent relié à une réalité plus vaste. 

Cette pratique, proche de la contemplation échappe à la superficialité du virtuel et restaure une identité enracinée dans l’être. 

Les processions religieuses montrent aussi comment des rituels collectifs peuvent renforcer l’identité face à la sécularisation. 

Même sans dimension religieuse, des gestes simples, comme écrire une lettre manuscrite ou participer à une fête de quartier, amènent l’individu à une présence authentique.

Conclusion : 

L’identité moderne, dissoute dans le flux numérique, est une ombre sans substance, un écho de l’aliénation de la modernité. 

Les réseaux sociaux, en transformant le moi en performance éphémère, incarnent une fuite devant l’existence. 

Mais cette perte n’est pas irréversible. 

En ralentissant, en écrivant, en partageant dans des cercles humains, l’individu peut reconstruire une identité ancrée, fidèle à ce qui le rend vivant : sa capacité à être, non pas pour les autres, mais pour lui-même et pour le réel. 

Ralentissons, non par nostalgie, mais par fidélité à ce qui nous rend vivants! 

Dans un monde de scrolls, choisir la plume, la parole ou le silence, c’est reprendre le contrôle et redevenir soi.

Audience de la Chambre des représentants lors de la commission juridique sur le “complexe industriel de la censure”, le 12 février 2025.

Voici l’article ici sur France Soir :

https://www.francesoir.fr/politique-monde-societe-justice/le-complexe-industriel-de-la-censure-une-menace-mondiale-la-liberte

Les journalistes des ‘Twitter Files’, Matt Taibbi et Michael Shellenberger, témoignent aux côtés de la journaliste canadienne Rupa Subramanya sur la campagne de censure de l’administration Biden et d’autres menaces contre la liberté d’expression.

Sommaire :

– Introduction du terme “complexe industriel de censure”.

– Personnages clés.

– Introduction de Jim Jordan (représentant du congrès élu dans l’état de l’Ohio et président de la commission des affaires juridiques).

– Intervention de Rupa Subramanya.

– Intervention de Matt Taibi.

– Intervention de Michael Schellenberger.

🤫Secrets de l’Amazonie🤐

🇧🇷

Le 📖 vise à renforcer un processus de prise de conscience :
La corruption des ONGs qui se cachent derrière la démarcation politique des terres 🇧🇷.
«Amazonie Politique.»

Nous voulons tous sauver les animaux et ce sont des nobles sentiments de préserver bien sûr la faune et la flore mais les enjeux véritables sont cachés par les mérdias mainstream derrière ce discours en apparence si bien intentionné. Nous savons que l’enfer est remplie de bonnes intentions et que le diable se cache dans les détails. Nous vous expliquerons donc
qu’au-delà du fait que nous sommes tous d’accord pour protéger l’Amazonie, ce qui est intéressant à retenir ici et ce que je vais développer, c’est DE QUI PROTÉGER L’AMAZONIE. Et c’est de ce point justement très important que viennent les divergences, les manipulations et les informations cachées justement.

La vérité cachée derrière la loi OIT 169 de Fernando Henrique Cardoso, aussi appelé FHC, c’est un ex-président du Brésil et on va voir que son action concernant cette loi est décisive pour éloigner l’armée et la police des opérations de contrebande de minerais et de drogues. Plus important aussi, c’est la démarcation du territoire.

Le problème qui n’est pas exposé par les mérdias corrompus, c’est que le principal problème de l’Amazonie est la démarcation des terres. Pourquoi ? Vous n’en avez jamais entendu parler, bien évidemment, vous avez seulement entendu parler de protéger les animaux, et justement, c’est là où on rentre dans les vraies questions. Qu’est-ce que cette démarcation ? C’est ce qui va être développé dans le livre.

Elle a été faite au profit de ceux qui exploitent les minerais, via toujours les mêmes partis politiques au pouvoir. Cela est fait contre les populations locales qui doivent se déplacer. Mais les mérdias corrompus, dans un procédé connu d’inversion, présentent les démarcations comme «salvatrices des cultures indigènes», ce qui est totalement faux.

Un point très important, crucial aussi, à rappeler ici en introduction, c’est que le Brésil est historiquement le premier producteur mondial de niobium et de ferroniobium, utilisés dans les alliages métalliques, notamment en production d’acier spéciaux pour une haute stabilité thermique. Cela permet aussi la production de moteurs d’avions, la propulsion de fusées et divers matériaux supraconducteurs utilisent ce niobium. Il y a aussi la résonance magnétique, l’industrie nucléaire, l’électronique, l’optique, la production de bijoux qui utilisent le niobium, donc énormément de domaines.
Et le Brésil est historiquement le premier producteur mondial de niobium. Il est responsable de 75% de la production mondiale. C’est le point crucial aussi, très important à expliquer.

Le Brésil a aussi des réserves qui sont les plus grandes du monde, qui ont été découvertes récemment. Notamment autour du territoire Yanomami partagé aussi avec le Venezuela. Ce n’est pas seulement du niobium mais aussi de l’or, des diamants, du pétrole, du gaz.

Donc les globalistes ont les yeux rivés dessus. Et on va justement expliquer cela depuis la démarcation des terres puis dans différents chapitres pour chaque organisation comme la CIA, dans un chapitre avec la création de lacs artificiels. On a un chapitre aussi sur les Rockefeller et un chapitre sur les Rothschilds.

Comment Fernando Henrique Cardoso, qui a créé ces lois pour interdire l’entrée de l’armée et de la police fédérale dans les réserves indigènes voulait en fait protéger les business illégaux des Rothschilds. Comment cette démarcation des terres a été faite autour des richesses minières et non pas autour des territoires indigènes !
C’est le point le plus important. C’est pour cela que le livre s’intitule «De qui protéger l’Amazonie ?».

Des généraux brésiliens, notamment Durval Neri, qui est aussi le consultant du centre brésilien des études stratégiques de l’armée brésilienne, le CEBRES ont dénoncé ces crimes commis sous l’administration de Fernando Henrique Cardoso.

Dans le livre, on revient aussi sur le scandale du gisement de niobium dans la réserve de Raposa do Sol, évalué à des centaines de milliards de dollars et qui a été cédé pour la bagatelle de centaines de millions de dollars à la famille Rothschild. Heureusement, l’ancien sénateur Luis Eduardo Magalhães a empêché la vente, mais quelques mois plus tard, ce même Magalhães est mort mystérieusement. Des enquêtes ont révélé qu’il a été empoisonné.

Je vous invite donc à vous procurer en pré-vente sur le lien suivant le livre «Amazonie Politique

Explorez les secrets enfouis au cœur des méandres fascinants de l’Amazonie avec De qui protéger l’Amazonie ? Découvrez que Fernando Henrique Cardoso, un des pères du socialisme brésilien, révèle sa véritable nature en tant que chef d’organisation criminelle. Plongez dans les dédales de cette collusion entre le pouvoir politique, les intérêts criminels et les merdias mainstream (mérdias de grand chemin) complices qui pendant des décennies ont délibérément caché ces faits.

Les milliers d’ONG créées par les lois de Fernando Henrique Cardoso deviennent elles-mêmes des acteurs majeurs blanchissant l’argent de la contrebande de minerais et de drogues en complicité avec des mercenaires, des sociétés minières et des familles influentes telles que les Rothschild. Nous exposons avec des documents datés et chiffrés, de nombreux témoignages comment la démarcation des terres a été faite au profit de ces sociétés multinationales étrangères puissantes avec l’appui de ces politiques de gauche. Voilà ce que vous allez découvrir : De qui véritablement il faut protéger l’Amazonie, alors que les mérdias mainstream vous parlent uniquement des animaux…

Voilà le vrai danger, et la vérité derrière le titre «Amazonie Politique».

C’est un appel à l’action dévoilant une vérité qui ne peut plus être ignorée, cachée dans les profondeurs des méandres fascinants de cette magnifique forêt amazonienne.

Le père du socialisme brésilien Fernando Henrique Cardoso (FHC) est le chef d’innombrables gangs criminels qui volent les minerais d’Amazonie, principalement pour les Rothschild.

LA VÉRITÉ SUR FHC, LES «ONG» & LES ROTHSCHILD, CONCERNANT LE VOL DES MINERAIS EN AMAZONIE.

Fernando Henrique Cardoso (FHC) est membre du Club de Rome, ami de David Rockefeller, franc-maçon du 33e degré, chef du parti corrompu PSDB et ancien président du Brésil. Il est également l’auteur de la loi qui interdit l’entrée de l’armée et de la police fédérale dans les réserves indigènes afin de protéger ses businesses illégaux aux services des Rothschild.

Il est l’un des chefs d’innombrables gangs qui extraient, volent et font passer en contrebande de l’or, des diamants, du niobium, des émeraudes, des bois nobles, de l’uranium, du graphène, zinc et autres minerais d’Amazonie.

C’est FHC lui-même qui a créé la loi qui a donné naissance aux réserves autochtones et ces réserves ont été délibérément délimitées sur les zones les plus riches de l’Amazonie. Ainsi, les mercenaires, les sociétés minières et les mineurs illégaux ont pû négocier et s’installer très facilement dans ces régions.

Un général de l’armée brésilienne, Durval Nery, également consultant au Centre Brésilien des Études Stratégiques de l’Armée Brésilienne (CEBRES) a dénoncé ces crimes commis sous l’administration de FHC. Nery a indiqué qu’un commandement de soldats brésiliens patrouillait à la frontière des réserves. Les soldats naviguaient le long d’une rivière et tombèrent soudain sur une mine illégale. L’endroit était encerclé par des mercenaires armés jusqu’aux dents. Nery a dénoncé l’existence de plusieurs sociétés minières appartenant à la famille Rothschild qui opéraient clandestinement dans le pays dans des réserves indigènes avec des pots de vin versés aux chefs de tribu.
FHC avait des liens privilégiés avec Jacob et Nathanael Rothschild et recevaient des milliards de commissions.
C’était aussi sous la gestion de
FHC que d’innombrables «ONG» ont reçu de sa part carte blanche pour opérer en Amazonie.

FHC a aussi tenté de vendre un gisement de niobium dans la réserve de Raposa do Sol, évalué à des centaines de milliards de dollars, pour la bagatelle de centaine de millions de dollars, à la famille Rothschild. Heureusement, l’ancien sénateur Luiz Eduardo Magalhães a empêché la vente. Et quelques mois plus tard, Magalhães mourut mystérieusement et des enquêtes ont révélées qu’il avait été empoisonné par un type de poison utilisé par des agents du KGB.

FHC était responsable de l’organisation des « Diretas Já », un mouvement qui a ramené au Brésil tous les gangs terroristes communistes qui, dans les années 60 et 70, tentaient de transformer le Brésil en un Cuba brésilien avec des attentats à la bombe contre la population brésilienne ! FHC a créé la « Bourse Terroriste », dont lui et Lula ont bénéficié pendant plus de 20 ans avec des salaires absurdes.

FHC a également tenté de diviser l’Amazonie en 216 micro-nations autochtones avec le projet de livrer l’Amazonie à l’exploitation internationale.

FHC a commis plusieurs crimes de corruption en tant que ministre de l’Économie du gouvernement d’Itamar Franco et surtout aussi en tant que président : des crimes qui ont détourné plus de 8 000 milliards de reais aux caisses publiques et FHC protégé n’a jamais fait l’objet d’une enquête.

Il a également ordonné l’assassinat de Sérgio Motta, PC Farias, Enéas Carneiro, Clodovil, Luis Eduardo Magalhães, Ulysses Guimarães, Tancredo Neves, Antonio C. Magalhães entre autres.

FHC est le père du socialisme brésilien et le principal financier du Foro de SP, mentor de l’URSAL et l’un des leaders de la contrebande de minerais et également de trafic de drogue en Amazonie.

Pour aller plus loin :

Controle dos Rothschilds na Amazônia

General do Exército denuncia controle dos ROTHSCHILDS na Amazônia Brasileira

Maintenir organisée une entreprise en forte croissance : les meilleurs livres sur le sujet.

Disclaimer : je lis en anglais mais si vous ne voulez pas lire en anglais il vous suffit de chercher sur le net le nom de l’auteur et vous trouverez ses écrits.

  • The Phoenix Project sur comment organiser son infrastructure technologique dans une industrie. Avec plein de questionnements généraux que tous les entrepreneurs se posent.
  • Scaling Up par Harnish Verne est très utile.
  • Le livre Monopoly rules de Milind M Lele.
  • Good to Great & Built to Last de Mim Collins sur la vision centrale d’une entreprise sur le long terme et comment aligner les équipes sur cette vision.
  • Zero to One de Peter Thiel.
  • “Growing a Business” by Paul Hawken.
  • The Emperor’s New Mind de Roger Penrose (le physicien qui a découvert les trous noirs avec Hawking).
  • Help Desk Management de Wayne Schlight.
  • Emyth by Michael E. Gerber.
  • Traction de Gino Wickman.
  • Radical Candor de Kim Scott.
  • Tilman Fertitta avec le livre Shut Up and Listen.

Bonnes lectures.

Je montre qu’il y a plus d’esclavage aujourd’hui qu’avant !

Les esclavagistes devaient acheter cher des esclaves, les faire venir, les soigner, les loger, les nourrir, les habiller.

Tout cela avait un coût.

Aujourd’hui ce sont les esclaves modernes qui doivent payer eux-mêmes leur transport, leur nourriture, leur maison et etc.

Et c’est moins cher pour les esclavagistes !

Les coûts pour l’esclavagiste sont mutualisés via les impôts ce qui fait que l’esclave lui même paie pour son propre esclavage.

Ils ne sont même plus obligés de payer toute la vie comme auparavant.

Et les esclaves continuent aujourdhui de travailler pour les esclavagistes même s’ils ont la «liberté» de choisir la plantation.

Les intermédiaires divers ont augmenté et prennent leur pourcentage aussi en impôts sur la consommation, impôt foncier etc + la dette gouvernementale sur d’innombrables générations.

Et l’esclavagiste dépense moins de sa poche.

L’éducation nationale et les merdias corrompus vendent les mauvaises luttes et les gens sont à genoux devant les mauvaises croix.

La vraie liberté c’est de changer de classe sociale car nous sommes tous des esclaves et le fruit de notre travail est capté par d’autres. Nous devons gagner 10 pour en toucher 1.

Pas seulement la TVA ni l’impôt ni le crédit mais aussi l’inflation et les prélévements cachés indirects. Ne vivez pas dans un monde utopiste car la réalité est sombre.

Le corporatisme de plus haut niveau se monopolise et vise à vérouiller le marché. C’est créer un système fasciste oú l’employé doit se considérer comme privilégié. Et s’il rate son objectif de mission c’est un désonheur triste et honteux pour sa famille.

Photo ci-dessous entrée d’un goulag, camp de concentration soviétique avec inscription : «travail en URSS c’est une question d’honneur, de gloire, d’orgueil et d’héroisme.»

L’esclavagisme n’a pas disparu. Les grandes fortunes n’ont pas intérêt à le voir disparaître.

Comment définir l’esclavagisme ? Voici une bonne question pour chacun de nous.

L’économie a besoin d’esclaves ?
Nous sommes passé d’un esclavage ethnique à un esclavage généralisé.

CELUI QUI RÊVE EST VIVANT

J’ai passé plusieurs nuits blanches, en étudiant, en pensant, en créant, en stressant, en imaginant, en discutant, en célébrant.

J’ai passé beaucoup de temps avec un cahier dans la main, puis un téléphone portable en réfléchissant, en imaginant des hypothèses pour le jour suivant pouvoir partir à l’action afin de réaliser mes objectifs.

Vue depuis ma varanda ici à São Paulo, Brésil.

Au fur et à mesure que la nuit passe, le bruit des voitures commence à diminuer pour ensuite être remplacé par le gazouillement des oiseaux et puis on perçoit des choses qui sont imperceptibles durant la journée. On sent des choses différentes et puis viennent les premiers rayons du soleil.

L’aurore amène avec elle l’espoir d’un renouveau, une nouvelle chance pour que nos idéaux se concrétisent et que l’on puisse enfin s’arracher de la médiocrité et de la multitude croissante des mécontents.

J’aime beaucoup le silence de l’aurore et ce processus de renaissance qui crée énormément d’idées dans mon cerveau. Notre cerveau est quand même extraordinaire et on dirait que nos neurones ne se fatiguent jamais.

Lorsque nous rêvons, notre focus est dans le futur et dans la construction de notre futur. Mais lorsque le futur ne nous séduit plus nous vivons dans un présent rempli de regrets qui sont comme des morts-vivants qui nous réveillent. Réveillez-vous pour réaliser vos rêves. Qui a arrêté de rêver est déjà mort.

La bonne nouvelle c’est que dans un claquement de doigts les rêves apparaissent. Les rêves arrivent à croître entre les cailloux de notre monde aride, puis arrivent à vaincre l’amertume d’un soleil de plomb et dépasser l’ambiance hostile d’un mauvais entourage toxique. Cette jeune pousse se transforme déjà en un arbre gigantesque où les oiseaux pourront poser, se reposer et profiter de l’ombre de son robuste feuillage.

Ce sont justement ces oiseaux qui emmèneront les graines vers d’autres régions, au-delà du vent, vers d’autres terres, afin de porter l’espoir et la vie là oú la mort mène le jeu.

Je me rappelle encore d’un jour bien noir, durant lequel j’ai pensé que je n’arriverai pas à vaincre la pression. Mais je m’étais trompé car notre capacité de nous rénover est infini.

Je souhaite qu’aujourd’hui soit un jour de grande rénovation pour vos rêves.

Un travail qui ne vous permet pas d’évoluer ne sert tout simplement à rien.

La vérité c’est que beaucoup de gens font des métiers qui n’ont aucune valeur ajoutée. Ils se sont fait arnaquer, consciemment ou inconsciemment par notre société moderne qui leur a raconté que cela avait une valeur ajoutée parce qu’on en avait besoin.

Du jour au lendemain, quand on passera du on au off, ce sera plus libérateur que de rester dans ces métiers sans aucun sens.

  • Un travail qui ne vous demande pas de vous dépasser ne vous permettra pas d’évoluer, ou de croître en tant que personne.
  • Un travail qui nous vous défie pas ne vous permettra pas d’évoluer.
  • Un travail qui à certains moments ne ne vous donne pas envie de désister et de tout laisser tomber ne vous permettra pas d’évoluer.
  • Un travail confortable et qui vous demande peu d’heures de boulot ne vous permettra pas d’évoluer.
  • Un travail qui ne vous permet pas d’évoluer ne sert tout simplement à rien.

Si vous attendez d’avoir toutes les réponses pour commencer alors trois choses vont arriver:

1. Vous n’aurez jamais les réponses.
2. Vous ne commencerez jamais.
3. Votre vie continuera à être telle qu’elle est.

Si vous vous illusionnez en pensant qu’un jour vous serez prêt pour ne plus commettre des erreurs, alors trois choses vont arriver:

1. vous allez continuer à commettre des erreurs.
2. Vous allez être frustré.
3. Votre vie continuera telle qu’elle est.

Organisez-vous, ayez le courage et la résilience pour apprendre avec chaque erreur. Vos chances de faire mouche vont augmenter beaucoup si vous suivez ce chemin. Ce jour-là votre vie aura changé.

Aimez vous tout contrôler ?

On m’a demandé une fois, « vous considérez-vous comme un monstre obsédé du contrôle? » J’ai répondu, « oui je le suis totalement et sans aucun doute. » Nous allons définir le contrôle dans cet article.

J’aime le contrôle, le contrôle des situations, des objectifs, des résultats. J’adore cela ! Les seules personnes qui n’aiment pas le contrôle sont celles qui ne l’ont pas ou qui l’ont mal utilisé dans le passé.

Si vous ne voulez pas de contrôle, pourquoi? Vous ne voulez pas de pouvoir? Vous ne voulez pas prendre des décisions?

Tous mes modèles en grandissant étaient prêts à exercer un contrôle. Qui n’aime pas et n’admire pas la personne au contrôle, le super-héros qui se met en danger pour résoudre les problèmes, protéger les gens et sauver le monde?

James Bond, par exemple, a tout l’équipement nécessaire. Il est également toujours en train de tout contrôler en étant même prêt à ignorer l’autorité pour faire la bonne chose, et il est même plus dangereux que les méchants !

La différence entre le succès et l’échec est que le succès prend la situation en place et la fait fonctionner à son avantage.

Le contrôle n’est jamais une mauvaise chose sauf si vous ne controlez rien.

Le contrôle vient de la préparation et de la prise en charge de vos résultats.

En analysant, ceux qui réussissaient étaient – à un moment ou à un autre de leur vie – prêts à se mettre dans des situations inconfortables, alors que ceux qui échouaient recherchaient le réconfort dans toutes leurs décisions.

Si vous n’êtes pas à l’aise du fait de prendre le contrôle, vous devez aprendre à surmonter vos sentiments.

Décidez de prendre le contrôle même de l’inconfortable. C’est justamente là où vous aurez le plus de résultats significatifs.

Soyez prêt à être mal à l’aise, et faites ce qui rend les autres mal à l’aise en sachant que la plupart des gens ne s’aventureront jamais dans l’inconfortable et ne le contrôleront jamais.

Allons plus loin. Si je dirigeais le monde; et j’adorerais diriger le monde; je ferais plusieurs choses:

  • Plus de salaire minimum. Désolé, mes amis smicards mais tout dans la vie est une vente et tout ce que vous gagnez est une commission. Vous commencerez à gagner beaucoup plus lorsque vous devrez tout gagner. Ce ne sera pas facile mais vous me remercierez plus tard.
  • La vente serait enseignée dans chaque école. Il est ridicule que l’on nous enseigne seulement certaines matières à l’école en négligeant des compétences plus pratiques et qui changent la vie.
  • L’université publique n’existerait plus. Elle deviendrait privée, payante, plus spécialisée et réservée aux quelques privilégiés qui le veulent ou qui en ont besoin, et non pas à tous les 18 ans comme quelque chose qu’ils doivent faire. Aujourd’hui à 25 ans ils étudient encore des choses générales, trop de théorie et rien de pratique. Trop de gens rentrent dans la vie active à presque 30 ans.
  • Plus de gens porteraient des armes. Plus de gens qui portent des armes seront plus de gens prêts à mettre un terme au mal. Ceux qui ne combattent pas le mal contribuent au mal. Le mal persiste quand les bonnes personnes ne font rien. Chargez vos guns mes amis.
  • Réduction des taxes et du nombre de fonctionnaires publics. L’état vous vole et gaspille ensuite.

Si vous voulez m’appeler un monstre obsédé du contrôle, je considère que c’est un compliment.

Prenez le contrôle d’abord de votre propre vie et ensuite vous pouvez commencer à contrôler plus du monde.