Livre «Chroniques des ombres de la modernité.»

Le livre est disponible ici : https://amzn.eu/d/iGfHb9U

«Chroniques des ombres de la modernité» est une plongée poétique dans les paradoxes de notre époque, un manifeste vibrant pour réenchanter notre existence face aux défis d’un monde en crise.

À travers une mosaïque de réflexions philosophiques, historiques et sociologiques, ce recueil dresse un portrait percutant des aliénations contemporaines dont  l’accélération du temps, la dissolution de l’identité dans le virtuel, l’effacement des récits collectifs et la servitude masquée de l’esclavage moderne.

Portée par une plume incisive et des références riches – d’Hannah Arendt à Byung-Chul Han, de Platon à Nietzsche –, cette œuvre mêle critique lucide et méditation profonde pour résister à la subversion idéologique et raviver la voix du cœur.

Loin d’un simple constat, l’auteur propose des voies de résistance : ralentir, rêver, reconquérir le sacré et le corps, raviver la mémoire collective.

De la démocratie transformée en «supermarché de l’illusion», à la dictature du relativisme, chaque chronique invite à questionner, douter et agir pour retrouver une humanité vivante et libre.

Destiné aux épuisés, aux désenchantés, aux rêveurs en quête de sens, ainsi qu’aux amateurs de philosophie, de spiritualité et de réflexion sur notre temps, ce livre est une ode à l’immortalité de l’âme sous un ciel d’acier.

Ouvrez le livre et reprenez votre souffle : l’avenir commence par un retour à l’essentiel.

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Délaissant les tanks pour investir les esprits. La subversion idéologique comme arme invisible.

Article publié sur France Soir : https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/delaissant-les-tanks-pour-investir-les-esprits-la-subversion-ideologique-comme

Dans les analyses classiques des relations internationales et de la géopolitique, l’attention se porte souvent sur les événements majeurs : guerres, traités, crises économiques ou rivalités entre puissances. Pourtant, une dynamique bien plus sournoise échappe fréquemment à ces approches : une influence subtile et progressive qui s’exerce sur les cultures nationales, un lent processus d’érosion qui, sur des décennies, sape les fondations mêmes des sociétés.

Certaines idéologies mortifères, loin de disparaître avec la chute des régimes tyranniques qui les incarnaient, se réinventent sous des formes plus discrètes, mais tout aussi destructrices. Elles abandonnent les assauts militaires pour s’infiltrer dans les esprits.

Un mal insidieux a gangréné les institutions académiques et artistiques. Ce courant malsain a transformé les universités – jadis bastions de la haute culture et de la recherche désintéressée – en machines de propagande. La dérive est si profonde qu’un voyageur temporel du XVIIIe siècle la trouverait inconcevable, voire monstrueuse.

Cette déchéance n’est pas fortuite : elle résulte d’un projet délibéré, mûri sur le long terme, visant à dissoudre les valeurs traditionnelles et à semer un doute systématique dans les consciences. Ce que les experts en géopolitique négligent trop souvent, c’est cette capacité des idéologies à s’immiscer dans les interstices de la culture, à opérer hors du champ des grandes analyses stratégiques.

Cette subversion ne passe pas par des coups d’État spectaculaires, mais par une lente corrosion des valeurs, des croyances et des liens sociaux. Ses mécanismes, quasi imperceptibles à court terme, produisent des effets cumulatifs dévastateurs sur plusieurs générations.

Pour en saisir l’origine, remontons aux années 1920 avec Georg Lukács, philosophe hongrois. Face à l’échec des révolutions prolétariennes violentes en Europe centrale, Lukács propose une réorientation stratégique : plutôt que de miser uniquement sur la lutte armée, il faut conquérir les esprits par la culture.

Exilé en Allemagne, il participe à la fondation de l’École de Francfort, un courant intellectuel qui révolutionne l’implantation du marxisme en Occident. Réunissant des penseurs comme Herbert Marcuse, Max Horkheimer et Walter Benjamin, cette école développe une stratégie inédite : la pénétration culturelle. Contrairement aux assauts frontaux des bolcheviks, elle cherche à miner les sociétés capitalistes de l’intérieur en ébranlant leurs valeurs, leurs traditions et leur cohésion.

Le projet est ambitieux : déconstruire tout ce qui ancre les individus – couple, famille, communauté, patrie, histoire, langue, art, religion – en instillant un doute permanent, une critique exacerbée qui finit par tout ronger. Cette méthode, subtile et patiente, s’est révélée d’une efficacité redoutable. En quelques décennies, elle a transformé des nations fières de leur héritage en sociétés fragmentées, où un scepticisme universel remplace toute certitude collective.

Staline lui-même, maître d’un régime totalitaire, regardait cette approche avec suspicion. Il exila les membres de l’École de Francfort hors de l’URSS, refusant leur influence sur son peuple. Mais il encourageait leur action à l’étranger, conscient que cette décadence morale imposée à l’Occident servirait ses ambitions géopolitiques.

La « révolution » : un chaos cohérent dans son incohérence.
Lénine rejetait le nationalisme comme un frein à la lutte des classes, tandis que Staline en faisait une arme pour galvaniser les masses soviétiques durant la Seconde Guerre mondiale. Cette contradiction apparente n’a rien d’étonnant : la logique révolutionnaire ne repose pas sur des principes fixes, mais sur une quête de pouvoir adaptable. Ce qui unit les révolutionnaires, ce n’est pas une doctrine rigide, mais une volonté de renverser l’ordre existant, quel qu’il soit. Ainsi, un même mouvement peut défendre des lois racistes à une époque et des politiques antiracistes à une autre, sans que cela ne révèle une incohérence profonde – la révolution s’ajuste, elle ne s’encombre pas de cohérence.

Cette flexibilité explique la survie du marxisme culturel en Occident, malgré l’effondrement de l’URSS, son incarnation politique la plus visible.

Herbert Marcuse, figure clé de l’École de Francfort, a durablement marqué la culture populaire américaine dès les années 1930. À Hollywood, des scénaristes comme John Howard Lawson, membre du Parti communiste américain, ont glissé des messages subversifs dans les films grand public. Lawson l’admettait : il ne s’agissait pas de propagande ostentatoire, mais d’insérer des idées marxistes par touches subtiles dans les dialogues, les intrigues et les personnages. Ces gouttes d’eau ont fini par creuser la pierre, faisant du cinéma un outil de déconstruction des valeurs traditionnelles.

La conscience humaine : cible ultime de la révolution.
Au cœur de cette guerre idéologique, se trouve la conscience humaine, un terrain que les révolutionnaires cherchent à dominer à tout prix. Un paradoxe surgit ici : si les matérialistes réduisent la conscience à une illusion chimique, pourquoi le XXe siècle a-t-il vu tant d’efforts pour la contrôler, la modeler et la soumettre ? Des régimes totalitaires aux campagnes de propagande modernes, l’histoire récente trahit une obsession pour cette faculté imprévisible et créative qui échappe au déterminisme.

Cette lutte révèle une crise spirituelle plus profonde : la perte, en Occident, du sens de l’immortalité. En reniant l’idée que l’âme transcende le temps et la matière, les sociétés modernes se sont rendues vulnérables aux chimères des idéologies révolutionnaires.

Face à cela, une résistance s’impose, ancrée dans une vision métaphysique : reconnaître que nous ne sommes pas de simples pions dans un rêve utopique, mais des êtres dotés d’une dignité éternelle. La révolution, avec ses ambitions étriquées, ne mérite que mépris face à l’immensité de l’éternité divine.

Parler depuis notre immortalité ?
Les commentateurs politiques, géopolitologues et stratèges, enfermés dans leurs grilles d’analyse conventionnelles, peinent à percevoir cette guerre souterraine qui se joue dans les esprits et les cultures.

En puisant dans la philosophie classique, la théologie chrétienne et une observation lucide de notre temps, nous devons élargir notre perspective. Notre mission n’est pas seulement de nous défendre contre les assauts révolutionnaires – un danger secondaire – mais de refuser d’inverser la hiérarchie des valeurs, de ne pas réduire l’existence humaine à une lutte terrestre.

C’est là notre force : parler depuis notre immortalité, une fois pleinement reconnue.

Le mouvement révolutionnaire marxiste taillé en pièces par l’examen philosophique via Olavo de Carvalho.

La révolution est un processus d’auto-transformation de la totalité de la réalité et, par définition, n’a pas de limite.

La révolution n’est pas un projet défini à réaliser par certains moyens, elle ne peut exister que comme promesse d’avenir.


Le processus révolutionnaire ressemble à une création artistique et non à l’exécution d’un projet technique ou politique de changement social.


L’idée de révolution est imprégnée d’éléments gnostiques, qui expriment une révolte générale contre la structure de la réalité, vue comme quelque chose de mal.

Le mouvement révolutionnaire ne se conçoit que comme un mouvement qui ne peut pas s’arrêter, c’est pourquoi il n’a pas non plus de point d’arrivée.

Il n’y aura jamais de paramètres de normalité car dans leur vision l’existence est anormale.

Ainsi, cela n’a aucun sens de s’attendre à une quelconque cohérence dans les propositions révolutionnaires, par exemple, les révolutionnaires peuvent être des fois en faveur de lois racistes, et d’autres fois en faveur de lois antiracistes.

Le seul véritable objectif pour les révolutionnaires c’est de provoquer l’inspiration pour que d’autres continuent le mouvement et au final qu’augmente l’élan de la révolution.

Tout rentre dans la révolution, par exemple, Lénine était anti-nationaliste et Staline a utilisé le nationalisme comme la grande arme de la révolution.

Pour être contre révolutionnaire il ne faut pas être bloqué sur des visions technico-scientifiques mais s’aligner à partir du même horizon intemporel.

Et c’est justement à cause de LA PERTE GÉNÉRALISÉE DU SENS DE L’IMMORTALITÉ que la logique révolutionnaire a prévalue en Occident.

C’est ainsi que dans le travail intellectuel, le grand risque que nous courons est celui d’inverser la hiérarchie des valeurs, ce n’est pas celui d’être attaqué par des révolutionnaires.

Comme le mouvement révolutionnaire n’a pas une fin :

  • soit il s’éteint par auto-destruction de l’humanité,
  • soit la mentalité révolutionnaire est détruite à sa base en écartant tous les révolutionnaires de la vie publique quels que soient leurs propositions.

Le mouvement révolutionnaire doit être rejeté dans son intégralité en comprenant les 3 inversions révolutionnaires :

  • a) l’inversion du sens du temps,
  • b) l’inversion de la relation sujet/objet et
  • c) l’inversion de la responsabilité morale.

Nous ne pouvons parler qu’à partir de notre propre immortalité et une fois que nous en avons acquis le sens.

Plus de détails dans le «Cours de Philosophie d’Olavo de Carvalho.»

Histoire du pouvoir sur 15 siècles par Olavo de Carvalho.

Après le démantèlement de l’Empire, les églises réparties sur tout le territoire sont devenues les substituts de l’administration romaine dispersée. Dans la confusion générale, alors que les formes d’une ère nouvelle étaient à peine visibles parmi les brumes du provisoire, les prêtres sont devenus notaires, auditeurs et maires.

Les graines de la future aristocratie européenne ont germé sur le champ de bataille, dans la lutte contre l’envahisseur barbare. Dans chaque village et paroisse, les chefs de communauté qui se sont démarqués dans l’effort de défense ont été récompensés par le peuple avec des terres, des animaux et des pièces de monnaie, par l’Église avec des titres de noblesse et l’onction légitime de leur autorité.

Ils devinrent de grands fermiers, des comtes, des ducs, des princes et des rois.

La propriété agraire n’a jamais été le fondement ou l’origine, mais le fruit de sa puissance, de son pouvoir militaire.

Le pouvoir d’une caste féroce et hautaine, enrichie par l’épée et non par la charrue. Une caste veillant à ne pas se mélanger aux autres, et de ne pas se consacrer à la culture de l’intelligence, bonne uniquement pour les prêtres et les femmes, ni aux travaux de la terre confiés aux serfs, pas même les affaires qui sont l’occupation des bourgeois et des juifs.

Pendant plus d’un millénaire, cette caste dirigea l’Europe par la force des armes, soutenu par le trépied de :

1) la légitimation ecclésiastique et culturelle,

2) l’obéissance populaire traduite en travail et en impôts,

3) le soutien financier obtenu ou extorqué aux marchands et aux banquiers en temps de crise et de guerre.

Son essor culmine et son déclin commence avec la fondation des monarchies absolutistes et l’avènement de l’État Nation.

Elle culmine parce que ces nouvelles formations incarnent le pouvoir de la caste guerrière à l’état pur, source d’elle-même par délégation directe de Dieu, sans intermédiation du sacerdoce, réduit à la condition subalterne de complice forcé et récalcitrant.

Mais c’est déjà le début du déclin, car le monarque absolu, issu de l’aristocratie, s’en démarque et doit chercher contre elle – et contre l’Église – le soutien du Tiers État, qui finit par devenir une force politique indépendante, capable d’intimider ensemble le roi, le clergé et la noblesse.

Si le système médiéval avait duré dix siècles, l’absolutisme n’en a pas duré plus de trois.

Le règne de la bourgeoisie libérale durera encore moins.

Un siècle de liberté économique et politique suffit à rendre certains capitalistes si formidablement riches qu’ils ne veulent plus se soumettre aux caprices du marché qui les a enrichis.

Ils veulent le contrôler, et les instruments pour cela sont au nombre de trois:

1) le domaine de l’État pour l’implantation des politiques étatistes nécessaires à l’éternisation de l’oligopole;

2) stimuler les mouvements socialistes et communistes qui favorisent invariablement la croissance du pouvoir étatique;

3) la régimentation d’une armée d’intellectuels qui préparent l’opinion publique pour dire adieu aux libertés bourgeoises et les faire entrer joyeusement dans un monde de répression omniprésente et obsessionnelle (s’étendant jusqu’aux derniers détails de la vie privée et du langage courant), et en plus présentée comme un paradis ornée à la fois de l’abondance du capitalisme et de la «justice sociale» du communisme.

Dans ce nouveau monde, la liberté économique indispensable au fonctionnement du système est préservée dans la stricte mesure nécessaire pour lui permettre de subventionner l’extinction de la liberté dans les domaines politique, social, moral, éducatif, culturel et religieux.

Avec cela, les mégacapitalistes changent la base même de leur pouvoir.

Il ne repose plus sur la richesse en tant que telle, mais sur le contrôle du processus politico-social.

Un contrôle qui, les libérant d’une exposition aventureuse aux fluctuations du marché, en fait une puissance dynastique durable, une néo-aristocratie capable de traverser les variations de fortune et la succession des générations, abritée dans le fief de l’État et des organisations internationales.

Ce ne sont plus des mégacapitalistes: ce sont des métacapitalistes – la classe qui a transcendé le capitalisme et l’a transformé en le seul socialisme qui ait jamais existé ou qui existera: le socialisme des grands maîtres et des ingénieurs sociaux à leur service.

Cette nouvelle aristocratie n’est pas née, comme la précédente, d’un héroïsme militaire récompensé par le peuple et béni par l’Église.

Il est né d’une prévoyance machiavélique fondée sur l’intérêt personnel et, à travers un faux clergé d’intellectuels subventionnés, se bénit.

Il reste à voir quel genre de société cette aristocratie auto-inventée peut créer – et combien de temps une structure si manifestement basée sur le mensonge peut durer.

5 idées de start-ups en 2019-2020

De nombreux facteurs doivent être pris en compte pour créer une start up, mais il y a des príncipes de base à suivre.

Lorsque vous construisez une maison, la longévité du bâtiment dépend fortement de la qualité de ses fondations.

En affaires, la base est la viabilité de votre entreprise à long terme.

J’ai rassemblé 5 idées de start-ups pour 2019.

Et la question principale c’est « Qu’est-ce qui rend une idée viable? »

Votre entreprise sera en vie tant que vos biens ou services restent demandés.

Cela signifie que les gens ont besoin de vos produits (ou services) pour résoudre leurs problèmes et que votre entreprise est un fournisseur décent.

Ainsi l’idée viable répond aux trois exigences:

1) Être une solution pertinente au problème existant;

2) Avoir des avantages concurrentiels par rapport aux autres entreprises;

3) Pouvoir croître pour avancer.

En parlant de start-ups, vous pouvez lancer un énième blog, un studio de plus de graphisme ou une autre agence de marketing. MAIS votre «produit» sera-t-il pertinent, opportun et suffisamment unique pour survivre dans un environnement extrèmement concurrentiel ?

Si vous voulez vraiment vous démarquer, mieux vaut se placer sur un marché émergent avec moins de concurrence et plus de clients qui cherchent désespérément la bonne solution.

J’ai compilé 5 idées de start-ups en 2019, alors dépêchez-vous de jeter un coup d’œil avant que ces niches ne soient également inondées.

1) Cours et autres formations en ligne.

L’idée de gagner de l’argent en éduquant les autres est très ancienne et n’a rien de particulièrement innovant.

Existe-t-il des niches moins compétitives ? Oui si vous faites partie des 5% qui enseignent aux gens quelque chose d’innovant ou de concurrentiel.

Selon les recherches de LinkedIn, les compétences les plus pertinentes (et donc les plus compétitives) sont le cloud, l’intelligence artificielle et le traitement de données. Mais il y a plein d’autres domaines.

Si vous êtes un expert dans ces domaines ou dans d’autres domaines pertinents, vous pouvez créer votre propre cours en ligne qui aidera les personnes à maîtriser des compétences spécifiques.

Il est important de fournir du matériel sous un angle différent de celui des autres fournisseurs, car vous devez avoir certains avantages par rapport à vos concurrents.

L’autre cas gagnant est celui où vous enseignez aux gens les innovations.

Pour cela, vous devez rechercher et vous assurer qu’il n’y a pas de cours en ligne sur le sujet ou que tous les cours existants sont incomplets.

La meilleure partie de cette idée est que vous n’avez même pas besoin de posséder les compétences requises pour enseigner les innovations. Il est possible de faire appel à des spécialistes et d’être uniquement distributeur du cours.

2) Plateforme de données client (CDP)

2018 a été une année de plateformes de données clients. Le CDP Institute enregistre une croissance de 60% par rapport à l’année précédente et de 15,4% de financement des fournisseurs de plus qu’en 2017. En 2019, le marché va se stabiliser et ses taux de croissance vont progressivement chuter d’ici 10 ans, mais sa valeur devrait augmenter de 903,7 M $ en 2018 à 3,2 G $ en 2023.

Mais en quoi consiste exactement une plate-forme de données client et pourquoi vous pouvez l’utiliser comme une idée pour votre startup ?

Une plate-forme de données client (CDP) est un outil marketing permettant de récupérer des informations personnellement identifiables auprès des clients. À l’aide d’un CDP, les spécialistes du marketing créent une base de données clients unifiée et appliquent les données collectées à leurs campagnes marketing.

Un CDP est un excellent concept pour votre nouvelle entreprise car il est extrêmement populaire parmi les investisseurs. En 2018, une start-up nommée Lytics a reçu 14 M $ de Two Sigma Ventures, tandis qu’une autre société, Simon Data, a levé 20 M $ avec le soutien de Polaris Partners.

Les jeunes CDP ont tendance à intégrer les technologies de tendance à leurs outils marketing, tout comme Amperity, en utilisant l’IA et l’apprentissage automatique pour personnaliser l’expérience client. Cela renforce encore plus leur attractivité pour les investisseurs.

Les CDP existent depuis de nombreuses années, avec une bascule entre les données de tierce partie et de tierce partie, principalement parce que les utilisateurs préfèrent partager les données directement.

3) Développement de jeux AR / VR dans le domaine des casinos.

Les technologies de réalité virtuelle et augmentée commencent seulement à conquérir le marché de masse.

2019 est donc le bon moment pour entrer dans l’industrie en tant que pionnier. Cependant, le développement de jeux vidéo AR / VR haut de gamme implique des budgets énormes et constitue donc un obstacle important à l’entrée.

Comparés à ceux-ci, les jeux de casino en ligne nécessitent moins d’argent, car ils sont par nature plus simples.

La manière dont les machines à sous sont programmées est généralement moins complexe que les jeux vidéo classiques à gros budget, qui nécessitent beaucoup plus de ressources pour répondre aux besoins et aux désirs des joueurs.

Mais méfiez-vous: c’est un domaine réservé à ceux qui ne considérent pas le jeu comme un problème moral.

En plus d’être un divertissement agréable, les machines à sous en ligne sont l’un des jeux de casino les plus addictifs. Ouvrir des jeux de casino en ligne revient à ouvrir un bar. Si vous ne voulez pas contribuer à la dépendance par quelque moyen que ce soit, il est préférable de choisir autre chose.

4) Développeur de chatbot ou “intelligence artificielle”.

On discute des chatbots sur tous les coins du Web, mais le secteur est loin d’être saturé.

Selon une étude de Business Insider, 80% des entreprises adopteront des chatbots d’ici à 2020, mais le nombre d’entreprises qui les utilisent actuellement est beaucoup plus réduit.

La demande pour les chatbots est motivée par la domination des messagers mobiles et leurs avantages considérables par rapport aux applications et aux e-mails, notamment une réponse plus rapide, des CTR plus élevés, etc.

Vous pouvez prendre en charge l’avenir du chatbot et créer de nouvelles solutions logicielles dans ce domaine, bien qu’une telle entreprise ne puisse être rentable qu’à long terme.

Si vous recherchez des retours sur investissements plus rapides, devenez un fournisseur de chatbots pour d’autres entreprises qui ne disposent pas de programmeurs internes pour leur développement.

Plutôt que d’embaucher de nombreux spécialistes pour développer des robots faits à la main, vous pouvez créer un constructeur de chatbot d’IA innovant et l’offrir en tant que solution SaaS.

La plupart d’entre eux disposent d’éditeurs visuels à copiar/coller avec un code prédéfini, ce qui permet de créer un chatbot même pour une personne sans aucune expérience de codage.

Entrez dans la révolution post-numérique : Blockchain, Bitcoin, Etherum et autres criptomonnaies.

Les cryptomonnaies vont perdurer! Ils sont à l’argent ce que l’email est aux cartes postales: c’est le futur de l’argent.

Dire que les crypto-monnaies vont disparaître c’est comme dire qu’internet va disparaître alors soyons sérieux cela ne va jamais arriver !

Si vous n’investissez pas dans les criptomonnaies vous ratez ce que les historiens appellent le plus grand BOOM de tous les temps. Des dizaines de monnaies numériques explosent aussi haut que 3475%, 21611% et même 81465% ! Et tout cela parce que beaucoup de ces criptomonnaies sont encore en train de négocier pour des centimes…

Vous pourriez juste commencer avec 100 € et transformer ce petit investissement en fortune en quelques mois!

J’ai récemment acheté une autre crypto-monnaie pour seulement 52 centimes et c’est déjà 800% … en seulement trois semaines!

Je veux vous montrer comment commencer, parce que vous ne verrez jamais un boom comme ça.

En tant qu’ange investisseur et capital-risqueur je peux vous dire que les investisseurs institutionnels parient déjà lourdement sur les cryptos.

Il était facile de faire une fortune rapide quand Bitcoin faisait des affaires pour des centimes. Mais maintenant que la monnaie numérique se négocie autour de plusieurs milliers d’€ il sera plus difficile pour vous de faire des millions de Bitcoins

Mais si vous avez manqué le boom Bitcoin, ne vous inquiétez pas parce que cette année des centaines de cryptocurrences plus petites ont surgi. Et contrairement au « cher » Bitcoin beaucoup de ces monnaies numériques moins connues sont en train de se négocier pour des centimes!

Et si vous suivez ma simple méthode en 3 étapes vous pourriez encaisser une fortune en quelques mois seulement. Tout comme cela est arrivé avec les premiers investisseurs Bitcoin. Je sais que c’est une énorme revendication mais ce genre d’opportunité de devenir riche rapidement est DÉJÀ là !

Regardez ce qui s’est passé avec Verge, une nouvelle crypto-monnaie qui améliore la technologie de confidentialité de Bitcoin. La plupart des gens n’en ont jamais entendu parler mais si vous aviez investi 100 € au mois de mai 2017 vous auriez pu encaisser 57236 € en juin 2017 !

Il est arrivé la même chose avec DigiByte, Nexus, Sibcoin, Nem.. C’est un véritable boom !

Obtenir des milliers d’€ voire des millions d’€ est aussi facile que de compter jusqu’à 3 : le boom des cryptomonnaies suit le même scénario qui a été joué, encore et encore. Chaque boom suit une séquence de trois étapes …

  1. Tout d’abord, seuls les premiers amateurs sont assez courageux pour investir dans la nouvelle tendance et c’est la première étape.
  2. Ensuite, les investisseurs institutionnels (la soi-disant «monnaie intelligente») interviennent. C’est la deuxième étape.
  3. Enfin, le public se joint à la fête, déclenchant une explosion massive des prix. C’est la troisième étape.

Si vous savez comment utiliser cette feuille de route, vous pourriez faire une fortune absolue.

Fidelity, qui gère 6,2 billions de dollars d’actifs, vient de s’associer à Coinbase, la bourse de crypto-monnaie la plus populaire. Imaginez ce qui se passera si certains de ces trillions commencent à se transformer en cryptos! En termes simples, les investisseurs institutionnels sautent avec les deux pieds dans le bain des criptomonnaies !

Je suis certain qu’Amazon acceptera le Bitcoin. Ils n’ont pas le choix. Et ce sera le point de basculement qui créera une richesse massive, un boom que nous n’avons jamais vu auparavant. Bien sûr, seul le PDG d’Amazon Jeff Bezos sait avec certitude la date exacte à laquelle cela va se passer. Mais Amazon pourrait faire l’annonce dès le 2 février, à 16 heures, lors de sa prochaine conférence téléphonique sur les résultats.

C’est pourquoi vous devez agir dès maintenant ! Cliquez ici pour bénéficier de réductions sur l’achat de criptomonnaies via mon lien

Lisez le journal de bord d’un entrepreneur.

Les entrepreneurs de succès sont plus désobéissants, indisciplinés et subversifs que nous.

Je pense que pour sortir de la matrice et avoir des résultats différents il faut apprendre ce qui suit :
Désobéissance, indiscipline et subversion.

Cela peut sembler bizarre pour certains mais pourtant ce qui est statistiquement prouvé c’est que les entrepreneurs de succès ont ces traits de désobéissance, d’indiscipline et de subversion. Bien sûr nous ne souhaitons pas être immorals. Les foundateurs d’Airbnb ont démantelé Craigslist jusqu’à se créer des problèmes. Bill Gates a vendu IBM DOS alors qu’il n’avait encore rien et a ensuite acheté un OS à quelqun pour $50,000. Mais la clé c’est de connaître les limites du bon sens et de savoir comment on peut les casser : envoyez balader le bon sens !
La vision stratégique.

La vision c’est cet élément « secret »que le fondateur possède et qui devient la culture de l’entreprise traduite en actions et non en une phrase sur un mur : voir ici comment clarifier ses propres objectifs et aussi quel est votre projet ? La vision stratégique peut être liée à une habileté ou compétence unique concernant une nouvelle technologie ou alors une connaissance sur un domaine que la majorité a laissé de côté. Cela est acquis et non inné ! Sans vision stratégique une start up est seulement une petite version fragile d’une plus grande entreprise. La grande vision stratégique est une arme d’attaque pour une start up de succès. Pour faire simple : sans la force d’une vision inspirante traduite en actions nous n’aurons pas de magie qui fonctionne pour les clients, ni pour les employés.
Excellence comme standard.

Dans le recrutement des équipes principalement et cela permet de poursuivre nos objectifs de long terme.
Pérsévérer.

C’est l’amour pour notre idée. Ce que je ne supporte pas c’est quand un foundateur/CEO souhaite jeter l’éponge avant moi : enthousiastes de long terme. Il n’existe pas de succés en une nuit et une entreprise performante demande énormèment de travail et de milliers de petites actions mises bout á bout réalisent de grandes choses.

Curiosité ou soif de connaissances.

Quand vous regardez le parcours de grands CEO comme Larry Page Bill Gates et Mark Zuckerberg, ce qui est formidable c’est la vitesse extraordinaire à laquelle ils apprennent. Ils absorbent de nouvelles informations comme des éponges, sur comment recruter, croître, construire une culture, comment construire une entreprise et pas seulement un produit, etc. Leur curiosité insatiable et leur engagement pour être meilleur et plus intelligent chaque jour est ce qui fait la différence entre un foundateur d’un produit qui ne correspond pas au marché à un entrepreneur légendaire qui réunit tous les éléments du succès : la soif de connaissances.