Livre «Chroniques des ombres de la modernité.»

Le livre est disponible ici : https://amzn.eu/d/iGfHb9U

«Chroniques des ombres de la modernité» est une plongée poétique dans les paradoxes de notre époque, un manifeste vibrant pour réenchanter notre existence face aux défis d’un monde en crise.

À travers une mosaïque de réflexions philosophiques, historiques et sociologiques, ce recueil dresse un portrait percutant des aliénations contemporaines dont  l’accélération du temps, la dissolution de l’identité dans le virtuel, l’effacement des récits collectifs et la servitude masquée de l’esclavage moderne.

Portée par une plume incisive et des références riches – d’Hannah Arendt à Byung-Chul Han, de Platon à Nietzsche –, cette œuvre mêle critique lucide et méditation profonde pour résister à la subversion idéologique et raviver la voix du cœur.

Loin d’un simple constat, l’auteur propose des voies de résistance : ralentir, rêver, reconquérir le sacré et le corps, raviver la mémoire collective.

De la démocratie transformée en «supermarché de l’illusion», à la dictature du relativisme, chaque chronique invite à questionner, douter et agir pour retrouver une humanité vivante et libre.

Destiné aux épuisés, aux désenchantés, aux rêveurs en quête de sens, ainsi qu’aux amateurs de philosophie, de spiritualité et de réflexion sur notre temps, ce livre est une ode à l’immortalité de l’âme sous un ciel d’acier.

Ouvrez le livre et reprenez votre souffle : l’avenir commence par un retour à l’essentiel.

Le livre est disponible ici :

https://amzn.eu/d/iGfHb9U

Ce qui échappe à l’abordage commun des géopolitologues et spécialistes des relations internationales.

Olavo de Carvalho est un écrivain et philosophe anti-progressiste (ou autrement dit anti communiste ou anti marxiste ou anti wokiste ou anti révolutionnaire) connu en 2011 par le livre intitulé «Les États-Unis et le nouvel ordre mondial» qui est la retranscription du débat qu’il a eu avec Alexandr Dougine.

Voir à ce sujet mon article : https://antoinebachelinsena.com/2024/01/06/olavo-de-carvalho-vs-aleksandr-dugin/

Olavo était le président de l’IAI (Inter American institute for philosophy, government & social thought).
Installé aux États-Unis il a combattu le marxisme et expliqué comment le marxisme a détruit la haute culture, a réduit les universités à des centres de propagande communiste et comment la dégradation morale est tellement extrême de nos jours qu’elle paraîtrait impensable à un voyageur du temps venant du passé.

Le philosophe français Jean-François Revel dans le livre «La grande parade» dit en 2000 que c’est important de se questionner pourquoi 10 ans après la chute de l’URSS le mouvement communiste est encore aussi fort. Olavo a toujours expliqué que l’Union soviétique est différente du mouvement soviétique et tout le monde disait qu’il était fou quand il commençait à expliquer cela.

Ce qui échappe à l’abordage commun des géopolitologues et spécialistes des relations internationales ce sont ces formes subtiles d’influencer la culture peu à peu.

Dans les années 1920 le philosophe hongrois Georg Lukács a proposé des changements dans la stratégie communiste et il est parti en Allemagne où il a fondé l’école de Francfort.
Et la spécialité de cette école c’est la pénétration culturelle ou autrement dit la destruction culturelle subtile et de long terme, peu à peu et qui s’accumule et qui devient énorme au fur et à mesure des décennies.
C’est détruire les valeurs des croyances et toute la confiance que les personnes ont les unes des autres. Et cette posture intellectuelle de s’opposer à tout, de douter de tout a corrompu de nombreuses cultures nationales de fierté de la patrie.

Staline lui-même n’acceptait pas la philosophie de l’école de Francfort et les a envoyé dans un autre pays car il ne voulait pas de cela dans l’Union Soviétique.
Mais il était d’accord pour que ce soit fait justement dans d’autres pays pour provoquer la décadence morale des citoyens.

Tout rentre dans la révolution, par exemple, Lénine était anti-nationaliste et Staline a utilisé le nationalisme comme la grande arme de la révolution.
Le point de cohérence n’est pas l’idéologie ou la politique, c’est l’association de personnes unies par l’idée même du mouvement révolutionnaire.

Cela n’a aucun sens de s’attendre à une quelconque cohérence dans les propositions révolutionnaires car par exemple ces révolutionnaires peuvent être soit en faveur de lois racistes soit de lois antiracistes.

La question cruciale est justement de savoir pourquoi et c’est ce qu’explique Olavo.

La logique révolutionnaire a prévalu en Occident en grande partie à cause de la perte généralisée du sens de l’immortalité.
Cela révèle la difficulté que nous avons de nos jours à concevoir l’immortalité comme quelque chose qui nous a déjà été donnée.

Nous devons être conscient que nous ne sommes pas un élan du rêve révolutionnaire et que nous sommes des âmes immortelles avec une durée qui dépasse tout cela.
Le mouvement révolutionnaire doit être méprisé parce qu’il est mesquin et ne signifie rien face à la lumière de l’Éternité Divine.
Dans le travail intellectuel, le grand risque que nous courons est celui-ci : celui d’inverser la hiérarchie des valeurs, ce n’est pas celui d’être attaqué par des révolutionnaires.
Notre mission est d’avoir un horizon de vision infiniment plus large que celui des révolutionnaires et de créer une modalité d’expression qui méprise tout ce qui ne mérite pas d’être respecté.

Des intellectuels comme Herbert Marcuse, Walter Benjamin ont influencé profondément les films américains spécialement depuis les années 1930 avec une école des scénaristes qui étaient tous dirigés para John Howard Lawson.
Et lui-même disait qu’ils ne faisaient pas des films totalement communistes mais des films américains avec des messages communistes saupoudrés là et là peu à peu et de plus en plus et dans tous les films.

La même année de la destruction de l’URSS en 1990 a été créé le Foro de São Paulo et comme dit Lula avec ce nom neutre les gens ne savent pas ce qu’il s’y passe.
C’était une idée de Fidel Castro, Lula et Frei Berto un ami de Lula à La Havana dans la première réunion.
Puis des centaines d’organisations ont été ajoutées avec des criminels spécialisés dans les enlèvements, les narcotraficants comme les FARC, MIR chilien (Movimiento de la Izquierda Revolucionária) qui ont le monopole du trafic de drogue en Amérique latine avec l’aide des Clinton qui ont aidé le gouvernement colombien en prenant des narcos et mettant tout dans les mains des FARC.

Et ce que disait Lula c’est que «ce que nous avons perdu dans l’Est européen nous allons le reconquérir en Amérique latine.»
Et ils ont réussi.

La conscience humaine est généralement tenue en très mauvais état, non seulement par les sectes initiatiques, qui aspirent à des états « supérieurs », mais aussi par les matérialistes et comportementalistes, qui disent que la conscience n’existe même pas, qu’elle n’est qu’une illusion née des mécanismes chimiques.

Mais si la conscience humaine n’est presque rien, pourquoi tant d’efforts ont-ils été faits au XXe siècle pour la policer, la contrôler, l’opprimer et la neutraliser ?

Toutes les questions politiques qu’Olavo de Carvalho a posées sont nées de là, ce qui conduit à des préoccupations de premier ordre de nature éminemment philosophique.

Reflétant la liberté humaine et la puissance de Dieu le Père lui-même, la conscience humaine est imprévisible, créative et n’obéit pas aux lois. Par conséquent, elle rend possible la désobéissance et la rébellion, y compris la possibilité de se rebeller contre Dieu. L’idée de liberté métaphysique humaine au fil du temps s’est traduite en liberté politique, qui est une liberté de conscience.

Dans la Constitution américaine, pour la première fois, le principe de la liberté politique a été manifesté, basé sur un principe biblique, traduit en lois et en institutions. Ainsi, la liberté de conscience, telle qu’incarnée dans cette constitution et ses institutions, ne vient pas des Lumières mais de sources bibliques.

Groucho Marx comédien et acteur avait l’habitude de dire «Allez-vous croire ce que je vous dis ou dans ce que voient vos propres yeux ?»

Et c’est justement ce que font ces marxistes culturels lorsque nous présentant un homme vêtu comme une femme ils nous disent de l’appeler femme. Ils attaquent directement notre intégrité morale.
L’ingénierie sociale derrière c’est de croire à ce que dit le gouvernement et non à ce que voient nos yeux.
C’est une attaque contre l’intelligence et conscience humaine, ou une crise de dimension anthropologique.

En conclusion :
Nous ne pouvons parler qu’à partir de notre propre immortalité et une fois que nous en avons acquis le sens.

Article aussi publié sur Le Media en 442 :

Olavo de Carvalho – La destruction culturelle subtile : Comprendre la stratégie de l’école de Francfort

Individualité versus bon sens commun

Dans cette podcast j’évoque la nécessité d’envoyer balader le bon sens et de renforcer votre individualité, votre différentiel en tant qu’entrepreneur.

Le sens commun bloque la créativité et maintient en cage la majorité dans un tout petit espace.
Suivez les pensées d’un entrepreneur et investisseur de succès !

Envoyez balader le bon sens !

Qu’est ce que le bon sens commun ?
Le bon sens est formé par l’ensemble des opinions, visions et valeurs adoptées par l’inconscient collectif.
C’est la voix idiote de la majorité qui vous envoie droit en enfer brûler votre âme dans la stagnation de la médiocrité.

Pour le bon sens il est commun d’être découragé à croire en innovation, en de nouveaux concepts différents de ceux hérités de générations en générations.
Le bon sens maintient la majorité à sa place dans un tout petit espace.
image

Le bon sens domine les esprits et ainsi les décisions.
De cette façon, les résultats sont mediocres et vont alimenter les thèses de l’impossibilité de changer de vie en mostrant par A+B qu’il n’est pas possible d’avoir des rêves de grandeur et qu’il n’est pas possible d’arriver à les réaliser.

Nous vivons à l’intérieur de ce maudit bon sens car nous pensons faussement qu’au moins avec lui nous sommes libres des grandes frustrations.
Pourtant connaissez vous quelque chose de plus frustrant que de maintenir vos propres rêves en cage et de vivre chaque jour avec vos plans B, C, D… Z ?

Qui a crée ce bon sens ?
Ce bon sens je l’envoie balader, que ce soit en famille, à l’école, à l’université, à l’église, au bar, à la plage et dans l’entreprise privée et publique du monde entier.

Qui a le courage d’envoyer balader le sens commun a beaucoup plus de chances de sortir de cette course de rats.
image

C’est la possibilité à chaque moment d’arrêter de courir après son ombre et de pouvoir enfin être le maître à bord de ses pensées.

Á chaque fois qu’un homme fait différemment du bon sens il est critiqué sévèremment.
Il sera vu comme un fou, un rêveur, un inconscient de la réalité etc.

Osez dire : «je vais larguer l’école» ou «je ne veux pas savoir de stabilité et je veux des bénéfices sans limites».
Osez dire : «je veux créer ma boîte». Osez dire : «je ne veux pas être avocat ou médecin car je veux être musicien».
Ou alors pour que la majorité vous traite d’idiot dites à tous «j’aime travailler».

Le bon sens est une prison.
S’il vous plaît ne préférez pas la stabilité à la possibilité de faire ce que vous aimez.

Le bon sens c’est la modalité dans laquelle l’esclave préfère un job et un salaire plutôt qu’un retour sur investissement.

La révolution se passe à chaque moment, devant chaque prise de décision, devant chaque choix.
image

Ceux qui se libérent du bon sens commun seront libres pour s’envoler.
Après des années oú ils ont été critiqués et méprisés du fait de leur courage de faire l’opposé de la masse, ils recevront alors les bravos de ceux qui suivent la dictature du bon sens.
Les jaloux perplexes qui diront que c’est de la chance.
Bah oui la chance…

Voici d’autres articles sur le même thème :
Les trucs les plus cool ne sont pas raisonnables
Je ne travaille plus depuis 2011