Pourquoi le Venezuela est important pour la sécurité des États-Unis. Transformer le Venezuela : démanteler une structure criminelle pour un avenir prospère. Avec Maria Karina Machado

L’histoire du déclin du Venezuela, passé de la nation la plus riche d’Amérique latine à un État plus pauvre qu’Haïti, est un avertissement brutal des conséquences d’un socialisme incontrôlé, du communisme et d’une gouvernance criminelle.

Autrefois symbole de prospérité, les vastes ressources du Venezuela — pétrole, gaz, or, minerais et potentiel touristique — ont été pillées par un régime qui a transformé le pays en un centre pour les cartels, les adversaires étrangers et la répression.

Maria Karina Machado, leader de l’opposition vénézuélienne, est devenue un symbole de résilience, plaidant pour le démantèlement de cette structure criminelle afin de restaurer la nation comme une puissance économique dynamique.

Dans une interview exclusive sur « American Optimists », Machado a partagé sa vision d’un Venezuela libre, les menaces posées par le régime actuel et le rôle crucial que les États-Unis peuvent jouer dans cette transformation.

La chute d’une nation.

Le déclin du Venezuela a commencé avec Hugo Chavez, dont la rhétorique populiste promettait l’égalité mais a conduit à la destruction. Les politiques de Chavez, ancrées dans l’idéologie socialiste, ont confisqué plus de 5 000 entreprises et 22 millions d’acres de terres productives, paralysant le secteur privé.

« Le socialisme prêché par Chavez avait besoin d’une société dépendante, mendiant à mains tendues et tête baissée », a expliqué Machado.

Cet appauvrissement délibéré était stratégique, conçu pour consolider le pouvoir en rendant les citoyens dépendants de l’État.

Le résultat fut catastrophique : hyperinflation, pénuries alimentaires et l’exode de plus de 30 % de la population.

Sous Nicolas Maduro, successeur de Chavez, la situation s’est aggravée. Le régime de Maduro a transformé le Venezuela en un « centre criminel des Amériques », comme le décrit Machado.

Le pays sert désormais de base aux cartels de drogue, dont le tristement célèbre Tren de Aragua, et de refuge pour des adversaires comme l’Iran, la Russie et la Chine.

Selon la DEA, 24 % de la cocaïne mondiale transite par le Venezuela, facilité par les infrastructures étatiques — ports, aéroports et systèmes financiers.

L’Iran exploite une usine de drones militaires au Venezuela, et les accords d’armement russes ont renforcé les capacités militaires du régime.

Ces activités ne déstabilisent pas seulement le Venezuela, elles représentent une menace directe pour la sécurité nationale des États-Unis, avec des réseaux criminels opérant à seulement quelques heures de la Floride.

Une élection volée et une opposition résiliente.

L’élection présidentielle de 2024 a marqué un tournant. Machado, qui a remporté la primaire de l’opposition avec 92 % des voix, a été disqualifiée par le régime, mais sa coalition a obtenu plus de 70 % des voix lors de l’élection générale.

Malgré ce mandat écrasant, Maduro a refusé de céder le pouvoir, accusant les leaders de l’opposition de terrorisme.

Plus de 2 000 personnes ont été emprisonnées, 44 ont disparu, et des rapports de torture, y compris contre des femmes et des enfants, ont émergé.

Machado elle-même est en clandestinité depuis plus d’un an, avec un nez cassé suite à une attaque lors d’une session parlementaire et des menaces constantes contre sa vie. « Ils m’ont accusée de tout ce qui figure dans le code pénal », a-t-elle déclaré, mais sa détermination reste inébranlable.

Le courage de Machado provient d’un engagement profondément personnel.

Fille d’un homme d’affaires visionnaire, elle a été élevée avec un sens de la responsabilité envers sa nation. Initialement ingénieure industrielle avec une formation en finance, elle a fondé le premier parti libertarien du Venezuela, défiant le monopole socialiste.

« J’ai réalisé qu’on ne peut pas vivre sur des îles isolées quand son pays s’effondre », a-t-elle dit. Son mouvement a uni les Vénézuéliens au-delà des clivages — ruraux et urbains, riches et pauvres — autour d’un désir commun de liberté et de prospérité.

La menace criminelle pour la sécurité des États-Unis.

Les activités criminelles du régime de Maduro s’étendent bien au-delà des frontières du Venezuela.

Le cartel Tren de Aragua, dirigé par des figures alignées sur Maduro, opère du Canada à l’Argentine, trafiquant de la drogue et propageant la violence.

Les alliances du régime avec l’Iran, la Russie et la Chine amplifient sa menace. Les drones iraniens, la technologie militaire russe et l’influence économique chinoise ont transformé le Venezuela en un satellite pour les puissances anti-occidentales.

«Il ne s’agit pas d’un changement de régime», a souligné Machado. « Il s’agit de démanteler une structure criminelle qui représente la plus grande menace pour la sécurité nationale des États-Unis. »

L’administration Trump a pris des mesures audacieuses pour répondre à cette crise.

Une prime de 50 millions de dollars sur Maduro, qualifié de trafiquant de drogue international, marque un changement par rapport aux politiques américaines passées qui hésitaient à confronter le communisme latino-américain.

Désigner les cartels comme organisations terroristes étrangères souligne davantage la reconnaissance de cette menace par l’administration. Cependant, Machado soutient que davantage peut être fait.

Couper les sources de revenus du régime, en particulier celles provenant du pétrole, est crucial. « Chaque dollar que Maduro reçoit est utilisé pour la répression, la violence et la déstabilisation », a-t-elle averti.

Les sanctions sur les exportations pétrolières, précédemment assouplies pour permettre à des entreprises comme Chevron d’opérer, doivent être renforcées pour asphyxier le régime financièrement.

Une opportunité de 1 700 milliards de dollars.

Le potentiel du Venezuela est stupéfiant. Avec les plus grandes réserves pétrolières prouvées au monde, d’immenses gisements de gaz, de l’or, des minerais et une position stratégique pour le tourisme et les télécommunications, le pays représente une opportunité économique de 1 700 milliards de dollars.

Machado envisage un Venezuela transformé en « hub énergétique des Amériques », avec une gouvernance transparente, l’État de droit et des protections pour les investissements privés.

« Les entreprises américaines auront l’opportunité de leur vie », a-t-elle déclaré, en mettant l’accent sur un avenir où les entreprises américaines pourront opérer sans les contraintes mafieuses imposées par le régime actuel.

Cette vision ne concerne pas seulement le gain économique, mais aussi la stabilité régionale. Un Venezuela libre affaiblirait les régimes communistes à Cuba et au Nicaragua, créant un effet domino en Amérique latine.

Les récents changements dans la région — l’adoption de politiques de libre marché en Argentine sous Javier Milei et le rejet de la gauche en Bolivie — signalent un rejet croissant du socialisme.

« S’il y a un pays qui rejette le socialisme, c’est le Venezuela », a déclaré Machado.

« Nous avons trop souffert pour répéter ces erreurs. »

La voie à suivre.

Le plan de Machado pour la renaissance du Venezuela repose sur l’unité et l’ambition.

« Nous avons brisé les barrières que le régime a construites pour nous diviser », a-t-elle dit, notant que 90 % des Vénézuéliens partagent désormais un objectif commun : évincer Maduro et reconstruire une nation prospère.

Sa feuille de route inclut des actions immédiates dans les 100 premières heures et jours après le régime, axées sur la restauration de l’État de droit, l’attraction d’investissements et le rapatriement des millions de Vénézuéliens qui ont fui.

« Nos enfants rentreront chez eux », a-t-elle promis, soulignant la motivation émotionnelle derrière son mouvement.

Pour les États-Unis, la politique est claire : il ne s’agit pas de changer de régime, mais de démanteler une entreprise criminelle.

Machado exhorte les États-Unis à envoyer des messages forts aux alliés de Maduro — Russie, Chine, Iran et Syrie — les mettant en garde contre le soutien à un régime qui sape les démocraties occidentales.

La position ferme de l’administration Trump, y compris les sanctions et la pression diplomatique, doit être maintenue et élargie.

Les départements du Trésor et d’État peuvent encore isoler le régime en ciblant ses réseaux financiers et en exposant ses soutiens internationaux.

Leçons pour l’Amérique.

L’effondrement du Venezuela offre un avertissement pour les États-Unis. La rhétorique de Chavez — diabolisation des riches, confiscation des propriétés et division de la société — fait écho à certains discours politiques américains contemporains.

« Il y a vingt-six ans, les gens disaient que cela ne pouvait pas arriver au Venezuela », a averti Machado. « Cela peut arriver n’importe où. »

Les États-Unis doivent rester vigilants face aux politiques qui érodent la propriété privée, favorisent la dépendance ou permettent aux réseaux criminels de prospérer.

Soutenir la transition du Venezuela vers la démocratie n’est pas seulement un impératif moral, mais une nécessité stratégique pour empêcher la propagation du chaos dans les Amériques.

Un appel à l’action.

Le courage et la vision de Maria Karina Machado inspirent l’espoir non seulement pour le Venezuela, mais pour tout l’hémisphère occidental.

Son message aux Américains est clair : « C’est la plus grande opportunité de notre vie. »

En soutenant le combat du Venezuela pour la liberté, les États-Unis peuvent aider à transformer une nation en ruines en un allié dynamique, libérant un immense potentiel économique et sécurisant la région contre les menaces criminelles et autoritaires.

Comme l’a dit Machado, « Nous transformerons cette tragédie en une véritable terre de grâce. » Les enjeux sont élevés, mais les récompenses le sont encore plus.

Un Venezuela libre promet stabilité, prospérité et un rejet des idéologies ratées qui ont tourmenté l’Amérique latine.

Avec les actions audacieuses de l’administration Trump et la résilience de leaders comme Machado, le rêve d’un Venezuela revitalisé est à portée de main.

La question est de savoir si les États-Unis et leurs alliés saisiront ce moment pour façonner l’avenir des Amériques.

Pourquoi Gaza OUI et Venezuela NON ? Quelles sont les œillères à retirer ?

Les médias alternatifs dénoncent ce qu’il se passe à Gaza mais un silence entoure les crises au Venezuela, à Cuba et au Nicaragua marquées par l’exode, la répression et la misère économique. 

Pourquoi ce contraste ?

  • Il s’explique tout d’abord par un raccourci, une vision binaire anti-occidentale : il s’agit d’une caricature qui ignore les abus et idéalise les régimes socialistes latino-américains comme des bastions de résistance contre “l’occident opresseur impérialiste”. 
  • Dans le même temps, cette caricature ignore les dynamiques complexes de pouvoir pour préserver une cohérence idéologique. 
  • De plus, les alliances géopolitiques en place avec ces pays biaisent les analyses de certains médias alternatifs, les poussant à taire les échecs des régimes socialistes latino-américains tout en amplifiant la crise à Gaza. 
  • Daniel Di Martino démontre par les faits historiques comment le socialisme (via la nationalisation massive, le contrôle des devises et des prix et enfin l’expansion irresponsable des programmes sociaux) est la principale cause de ces crises.
  • Finalement, ce silence révèle la présence forte du marxisme culturel comme œillère idéologique que nous détaillerons ci-dessous. 
  • Il existe aussi une fascination pour la propagande Eurasiste d’Aleksandr Dugin qui est pourtant incohérente dans ses concepts comme nous le montrerons ci-dessous.

Les erreurs philosophiques du marxisme révolutionnaire.

Olavo de Carvalho, dans son analyse philosophique du mouvement révolutionnaire marxiste, offre un éclairage crucial. Il décrit la révolution comme un processus d’auto-transformation sans fin et il identifie trois inversions fondamentales : 

  • 1) l’inversion du sens du temps, où le futur utopique prime sur le présent
  • 2) l’inversion sujet/objet, où l’individu est subordonné au collectif
  • 3) l’inversion de la responsabilité morale, où les moyens justifient la fin

Ces inversions expliquent pourquoi les médias alternatifs idéalisent des régimes socialistes comme le Venezuela, le Nicaragua et Cuba malgré leurs échecs. 

Le socialisme comme source des crises latino-américaines.

Daniel Di Martino démontre que la crise vénézuélienne n’est pas due aux sanctions américaines ou à la chute des prix du pétrole, mais aux politiques socialistes de Hugo Chávez et Nicolás Maduro.

Trois mesures ont précipité l’effondrement : 

  • 1) la nationalisation massive, qui a détruit la production agricole (en chute de 75 % en deux décennies) et pétrolière ; 
  • 2) le contrôle des devises et des prix, qui a engendré un marché noir, une corruption massive et des pénuries ; 
  • 3) l’expansion irresponsable des programmes sociaux, financée par l’impression monétaire, qui a alimenté une hyperinflation. 

Ces politiques ont ruiné l’économie et poussé 7 millions de Vénézuéliens à l’exil. 

Des dynamiques similaires s’observent au Nicaragua et à Cuba et ces échecs socialistes, documentés par des organisations comme Human Rights Watch, devraient attirer l’attention des médias alternatifs. 

Pourtant, ils restent muets, préférant idéaliser par un raccourci caricatural ces régimes comme des symboles de résistance anti-occidentale.

L’œillère idéologique d’un marxisme culturel non compris.

Le silence des médias s’explique aussi en partie par un marxisme culturel non compris.

Certains médias réduisent la géopolitique à une lutte binaire entre un “Occident impérialiste” et des “forces de résistance”. 

Cette vision simpliste néglige les dynamiques complexes de pouvoir et n’a pas connaissance des analyses nuancées de penseurs comme Louis Althusser, Ernesto Laclau et Chantal Mouffe.

Althusser, avec sa théorie des appareils idéologiques d’État, montre comment les institutions culturelles façonnent les consciences, tandis que Laclau et Mouffe, dans Hégémonie et stratégie socialiste, insistent sur la construction de récits collectifs pour fédérer des luttes diverses. 

Pourtant, les médias alternatifs adoptent une approche manichéenne et échouent à appliquer ces outils pour critiquer équitablement les régimes socialistes et l’Occident.

L’Eurasisme de Dugin : une vision simpliste et biaisée.

L’influence de l’Eurasisme d’Aleksandr Dugin joue un rôle central dans le silence des médias. 

Dugin oppose des “puissances terrestres” (Russie, Chine) autoritaires et traditionnelles à des “puissances maritimes” (États-Unis, Royaume-Uni) libérales et mercantiles, prétendant également que les premières incarnent une transcendance spirituelle face à l’individualisme matérialiste des secondes. 

Cette dichotomie, inspirée de penseurs comme Mackinder et Haushofer, repose sur une vision géopolitique caricaturale qui divise le monde en blocs opposés. 

Dugin soutient que les puissances terrestres, comme la Russie, privilégient le politique et le spirituel sur l’économique, tandis que les puissances maritimes, menées par les Anglo-Saxons, incarnent un libéralisme économique destructeur. 

Il trace cette opposition jusqu’à l’Antiquité, comparant Rome (terrestre) à Carthage (maritime), et dans la modernité, la Russie et l’Allemagne face à l’Angleterre et les États-Unis.

Mais avec une rigueur philosophique il est possible de démonter cette construction car les États, nations ou empires ne sont pas des agents historiques primaires. 

Ce sont des résultats de processus complexes impliquant des forces plus durables comme les religions, les dynasties familiales, les sociétés ésotériques ou les mouvements révolutionnaires. 

Par exemple, l’influence de l’Église orthodoxe russe a survécu à l’Empire de Kiev, à l’Empire tsariste et à la Révolution bolchevique. 

Cette Église, et non l’“empire eurasien” imaginaire de Dugin, est un des véritables agents historiques, car elle maintient une continuité d’action à travers les siècles. 

L’“empire eurasien” n’est qu’une métaphore élastique, incapable d’unifier des idéologies contradictoires comme le socialisme vénézuélien, le conservatisme orthodoxe russe, ou l’islamisme radical. 

Dugin confond également le collectif (les structures autoritaires des puissances terrestres) avec le supra-individuel (le spirituel), assimilant à tort l’autoritarisme à une transcendance. 

En réalité, le collectif et l’individuel sont deux faces d’une même réalité, et la véritable transcendance réside dans la liberté de l’âme humaine.

Dugin commet une autre erreur en ignorant les faits historiques. 

Par exemple, l’Union soviétique, une prétendue “puissance terrestre”, exerçait une influence mondiale, y compris en Amérique latine, défiant la notion d’un clivage strict entre puissances terrestres et maritimes. 

De plus, la liberté économique, que Dugin associe aux puissances maritimes, trouve ses racines dans la tradition catholique ibérique, bien avant les Lumières. 

En effet on peut noter que les premières puissances maritimes modernes, l’Espagne et le Portugal, ont été marginalisées par les Anglo-Saxons, contredisant le schéma simpliste de Dugin. 

Enfin, Dugin ne reconnaît pas que son projet eurasien est subordonné à l’Église orthodoxe, qui lie son expansion à celle de l’empire russe, contrairement à l’Église catholique (avant Vatican II) qui est capable de s’étendre indépendamment des empires. 

Cette confusion entre agents historiques et entités géopolitiques rend la vision de Dugin incohérente.

Les médias alternatifs, séduits par l’Eurasisme, adoptent cette grille de lecture pour percevoir le Venezuela, le Nicaragua et Cuba comme des alliés anti-occidentaux. 

Cette idéologie leur permet de justifier leur silence sur les abus de ces régimes, qu’ils considèrent comme des remparts ou des résistants contre l’hégémonie de l’impérialisme américain. 

En réalité, l’Eurasisme de Dugin sacrifie la vérité des souffrances individuelles à une vision holiste qui glorifie des structures autoritaires. 

Cette fascination explique pourquoi ces médias focalisent leur indignation sur Gaza, où l’Occident est facilement blâmable, tout en ignorant les crises latino-américaines, où des régimes alignés sur l’axe Russie-Chine reproduisent des abus similaires.

Confusion entre État profond et Amérique.

Les médias alternatifs confondent souvent l’État profond (deep state) – un réseau d’élites non élues influençant la politique – avec l’Amérique dans son ensemble. 

Cette erreur les empêche de saisir les dynamiques complexes des États-Unis où des forces divergentes coexistent. 

En dénonçant Gaza comme un symptôme de l’impérialisme américain, ils négligent les crises latino-américaines, où des régimes socialistes, alliés à l’axe Russie-Chine, reproduisent des abus similaires.

Intérêts géopolitiques.

Le silence des médias alternatifs sur les crises au Venezuela, au Nicaragua et à Cuba s’explique également par des intérêts géopolitiques qui les alignent avec ces régimes et leurs alliés dans l’axe Russie-Chine. 

Ils servent de relais pour les récits anti-impérialistes qui séduisent les médias. 

Par exemple, la chaîne RT Russe a historiquement soutenu des figures comme Hugo Chávez et Nicolás Maduro, présentant le Venezuela comme un modèle de résistance socialiste face à l’impérialisme américain. 

Les médias alternatifs, en relayant ou en s’inspirant de ces narratifs, évitent de critiquer les régimes latino-américains pour ne pas contrarier leurs partenaires idéologiques ou financiers.

Sur le plan géostratégique, les régimes du Venezuela, du Nicaragua et de Cuba sont des alliés clés de l’axe Russie-Chine dans l’hémisphère occidental. 

La Russie, par exemple, a investi des milliards de dollars dans l’industrie pétrolière vénézuélienne via Rosneft, tandis que la Chine a fourni des prêts massifs à Caracas en échange de pétrole. 

Le Nicaragua, sous Ortega, a renforcé ses liens avec Moscou, accueillant des bases militaires russes et participant à des exercices conjoints. 

Cuba, de son côté, reste un partenaire stratégique de longue date de la Russie, avec des accords économiques et militaires remontant à l’époque soviétique. 

Ces alliances créent un réseau géopolitique où les médias, alignés sur l’axe anti-occidental, évitent de critiquer ces régimes pour ne pas affaiblir leurs partenaires stratégiques. 

En se concentrant sur Gaza, où les abus israéliens et le soutien américain sont facilement dénonçables, ces médias maintiennent leur crédibilité auprès d’une audience anti-impérialiste tout en évitant de froisser leurs alliés.

Ce parti pris n’est pas uniquement financier ou stratégique ; il est aussi idéologique. 

Les régimes latino-américains, en se présentant comme des victimes de l’impérialisme américain, s’inscrivent dans le récit eurasien de Dugin, qui glorifie les “puissances terrestres” comme des remparts contre l’hégémonie occidentale. 

En adoptant ce cadre, les médias deviennent des relais de cette propagande, sacrifiant la vérité des crises humanitaires au Venezuela, au Nicaragua et à Cuba pour préserver leurs alliances où les intérêts financiers et géopolitiques priment sur l’objectivité.

Une analyse sociologique éclaire aussi ce phénomène : 

Les médias s’appuient sur des récits et des images des victimes pour mobiliser leur audience et Gaza, perçue comme une victime de l’impérialisme occidental, s’inscrit dans ce cadre, tandis que les crises latino-américaines, causées par des régimes dépeints comme soit disant des “résistants”, sont difficiles à intégrer comme des victimes sans fragiliser le récit révolutionnaire. 

Cette sélectivité reflète une stratégie narrative où la cohérence idéologique prime sur la réalité.

La dialectique de l’illusion et de la vérité.

Un dernier élément philosophique est intéressant : la dialectique entre l’illusion et la vérité. 

Le marxisme révolutionnaire et l’Eurasisme de Dugin privilégient le collectif en sacrifiant l’individu à des illusions géopolitiques ou eschatologiques. 

Cette perspective explique pourquoi les médias négligent les souffrances individuelles au Venezuela, au Nicaragua et à Cuba : en glorifiant des régimes “révolutionnaires”, ils sacrifient la vérité à une vision holiste.

Conclusion : vers une critique cohérente.

Le silence des médias alternatifs sur les crises au Venezuela, au Nicaragua et à Cuba révèlent en plus des influences géostratégiques de l’axe Russie-Chine, l’existence d’œillères idéologiques. 

Celles-ci sont ancrées dans un marxisme culturel non compris, dans une fascination pour l’Eurasisme et dans la propagande des récits révolutionnaires gnostiques sur l’imaginaire collectif. 

Pour regagner en crédibilité, les médias doivent dépasser les biais géopolitiques ainsi que les œillères idéologiques afin de pouvoir critiquer tous les abus de pouvoir, qu’ils viennent de l’Occident ou de ses adversaires.

Ce n’est qu’en embrassant la complexité de la réalité qu’ils pourront prétendre à une véritable quête de vérité.

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🚨⚠️ Urgent ! Juste 3 minutes de lecture pour ne plus jamais être socialiste!

Voici des explications que les socialistes n’ont pas eus. Cela a été prouvé par de nombreux ex.socialistes que lorsqu’ils apprennent ce qui suit ils arrêtent d’être socialistes alors êtes-vous prêts ? Allons-y ! Si vous cherchez vraiment au fond de vous la vérité alors lisez ce qui suit.

Rigolons déjà un peu en introduction avec une vérité dont il faut mieux rire que pleurer même si c’est tragique : «Comme l’indice de pauvreté gênait les socialistes argentins, ils l’ont supprimé en disant que c’était un indice stigmatisant!»

«Je célèbre l’économiste et philosophe Friedrich Von Hayek qui disait que si les socialistes apprenaient véritablement toutes les théories économiques ils cesseraient d’être socialistes.

La théorie de l’exploitation surgit en fait avec Johan Karl Rodbertus, économiste et socialiste allemand qui considère que toute la valeur qui est créé est la valeur travail et pour lui tout ce qui sort de cela est de l’exploitation.

Cela ne fonctionne pas du tout comme cela dans la réalité bien sûr et de nombreux auteurs ont détruit cette croyance simpliste et grotesque.

Par exemple Carl Menger le fondateur de l’Austrian School of Economics, mais aussi l’économiste anglais William Stanley Jevons et l’économiste français Léon Walras ont créé la «théorie de valeur subjective» en découvrant que ce qui détermine les valeurs sont les préférences et la rareté.

Démontrons que cette théorie de valeur travail est absurde et ne fait pas sens en réalité :

-Si la théorie de valeur travail était une explication alors les coûts à eux seuls pourraient expliquer les prix et il n’y aurait pas de banqueroutes alors que pourtant dans le monde on voit des banqueroutes.

-Ou si on regarde par exemple la taxe argentine égale sur les dividendes cela ne fait pas sens car la valeur travail est différente pour chaque entreprise.

-Mais cela va encore plus loin dans l’absurdité et le ridicule car si l’exploitation est causée par le chef d’entreprise pourquoi apporterait il le progrès technologique qui réduit la valeur travail ?

L’économiste austro-hongrois Eugen Böm Bawerk a détruit la théorie de valeur travail mais aussi par l’économiste espagnol Jésus Huerta de Soto, l’allemand-americain et anarco-capitaliste Hans Hermann Hoppe tout comme le célèbre économiste austro-americain Ludwig Von Mises qui s’amuse tellement c’est facile de démonter cette théorie de valeur travail.»

Milei le 26 août 2021.

Allez lire ces économistes que les fourbes et menteurs vous cachent !

Une autre vidéo rapide sur la critique de la valeur travail :

Comment le socialisme a détruit le Vénezuela et non les sanctions US ni les prix du pétrole, par Daniel Di Martino.

De nombreux médias ont imputé l’aggravation de la crise humanitaire au Venezuela aux sanctions américaines, aux prix du pétrole, à la corruption – tout sauf à la montée du socialisme dans ce qui était autrefois le pays le plus riche d’Amérique du Sud !

Mais la corruption et la mauvaise gestion sont le résultat direct du contrôle accru de l’économie par le gouvernement – le socialisme – et en réalité, la baisse des prix du pétrole et les sanctions américaines n’ont pas grand-chose à voir avec la crise.

Au contraire, la famine et l’exode massifs auxquels sont confrontés les Vénézuéliens sont la conséquence naturelle des politiques socialistes mises en œuvre par les dictateurs Hugo Chavez et Nicolas Maduro.

Trois principales politiques mises en œuvre par Chavez depuis 1999 ont produit la crise actuelle :

  • 1) la nationalisation généralisée de l’industrie privée,
  • 2) le contrôle des devises et des prix,
  • 3) l’expansion fiscalement irresponsable des programmes de protection sociale.

1) L’une des premières mesures de Chavez a été de commencer à nationaliser le secteur agricole, censé réduire la pauvreté et les inégalités en prenant aux riches propriétaires fonciers pour les donner aux travailleurs pauvres.

Entre 1999 et 2016, son régime a volé plus de 6 millions d’hectares de terres à leurs propriétaires légitimes.

La nationalisation a détruit la production dans les industries concernées, car aucun gouvernement n’a la capacité de gérer des milliers d’entreprises ni de générer des profit et d’innover pour les gérer efficacement. Au lieu de cela, les responsables gouvernementaux sont incités à plaire aux électeurs en vendant des produits à bas prix et en embauchant plus d’employés que nécessaire, même lorsque c’est la mauvaise décision industrielle.

Comme le prévoyait la théorie économique, à mesure que le contrôle de l’État sur l’industrie agricole s’est accru, la production alimentaire du Venezuela a chuté de 75 % en deux décennies, tandis que la population du pays a augmenté de 33 %. C’était la recette pour des pénuries et un désastre économique.

Après l’agriculture, le régime a nationalisé l’électricité, l’eau, le pétrole, les banques, les supermarchés, la construction et d’autres secteurs cruciaux. Dans tous ces secteurs, le gouvernement a augmenté les salaires et distribué des produits à bas prix, ce qui a entraîné des coupures de courant de plusieurs jours dans tout le pays, des interruptions fréquentes du service d’eau, une chute de la production pétrolière et la faillite des entreprises devenues publiques.

Mais prendre le contrôle des secteurs les plus importants de l’économie n’a pas suffi au régime socialiste.

2) En 2003, Chávez a mis en place un système de contrôle des devises étrangères dans lequel le gouvernement a fixé un taux de change surévalué entre la monnaie vénézuélienne et le dollar américain.

L’un des objectifs de ce système était de réduire l’inflation en surévaluant la monnaie et en subventionnant les produits importés. Mais le contrôle des devises a obligé le régime à rationner les dollars américains disponibles pour les importateurs, car, à un taux de change surévalué (bon marché), la demande de dollars américains était supérieure à l’offre.

Naturellement, un marché noir des devises étrangères a émergé et les membres corrompus du régime se sont vu attribuer des dollars américains bon marché et ont obtenu de gros profits.

Pire encore, ce système a en fait accru l’inflation, car la surévaluation de la monnaie a réduit les revenus pétroliers du gouvernement en monnaie vénézuélienne, ce qui a conduit le régime à imprimer de la monnaie pour couvrir le déficit budgétaire qui en a résulté.

Le régime socialiste a également imposé des prix plafonds sur des centaines de produits de base tels que le bœuf, le lait et le papier hygiénique. Avec des prix artificiellement bas, davantage de personnes étaient prêtes à acheter ces produits, mais les quelques usines privées restantes – non nationalisées – ne pouvaient pas tirer profit du prix plafonné par le gouvernement, alors elles ont réduit ou arrêté leur production.

Au lieu de bénéficier aux pauvres, les prix plafonds ont entraîné, comme on pouvait s’y attendre, des pénuries qui les ont obligés à faire la queue pendant des heures, tandis que les employés des supermarchés et les personnes bien connectées obtenaient les produits dont ils avaient besoin.

3) Mais l’aspect le plus néfaste du projet socialiste vénézuélien est peut-être celui que les médias internationaux et les personnalités de gauche ont le plus souvent vanté : les programmes d’aide sociale. Le régime socialiste a créé des « missions » sociales visant à lutter contre la pauvreté, l’analphabétisme, les soins de santé, etc. Mais malgré les revenus pétroliers plus élevés du gouvernement en raison d’une multiplication par dix du prix du baril de pétrole, de 10 dollars en 1999 à plus de 100 dollars en 2008, le régime a financé un déficit croissant en imprimant davantage de monnaie.

Les programmes d’aide sociale et les projets de travaux publics massifs ont ouvert la voie à une corruption toujours plus grande.

Et l’impression de monnaie pour financer des programmes publics sans fin a sans surprise entraîné des taux d’inflation élevés.

C’est ainsi que c’est le socialisme qui a crée la misère au Venezuela et non les prix du pétrole ou les sanctions américaines.

  • Les programmes sociaux censés aider les pauvres ont en fait augmenté le coût de la vie.
  • Le contrôle des devises étrangères qui visait à réduire l’inflation n’a fait qu’augmenter cette dernière et a permis une corruption massive.
  • Et les nationalisations qui auraient dû donner du « pouvoir » aux travailleurs n’ont fait que les laisser au chômage et affamés.

Le socialisme a ainsi entraîné l’hyperinflation et les pénuries généralisées.

De plus, même avec les prix bas actuels du pétrole, le pétrole vénézuélien se vend deux à trois fois plus cher qu’en 1999, en tenant compte de l’inflation. Et la seule sanction américaine susceptible d’affecter les Vénézuéliens ordinaires, l’interdiction des importations de pétrole, n’est en vigueur que depuis deux mois, alors que l’inflation et les pénuries affligent le pays depuis des années.

Alors ne cherchez pas d’excuses.

Comme les Vénézuéliens l’ont appris au cours des 20 dernières années de socialisme, les « choses gratuites » ont un prix élevé.

Source de Daniel Di Martino (@DanielDiMartino) : https://manhattan.institute/article/how-socialism-destroyed-venezuela

En 5 minutes : «La stratégie socialiste d’hégémonie» appliquée dans le monde et expliquée par Olavo.

En 5 minutes : «La stratégie socialiste d’hégémonie» appliquée dans le monde et expliquée par Olavo.

Le passage du marxisme «pur et dur» de lutte des classes vers le marxisme culturel a été expliqué en 1985 dans une théorie.
Cette théorie de Laclau & Mouffe a été mise en place dans le monde entier.
Olavo de Carvalho revient dans le chapitre 239 de son cours de philosophie sur cette théorie et ses applications.



Le cours de philosophie d’Olavo de Carvalho est disponible ici : https://shorturl.at/gyAN7

Le père du socialisme brésilien Fernando Henrique Cardoso (FHC) est le chef d’innombrables gangs criminels qui volent les minerais d’Amazonie, principalement pour les Rothschild.

LA VÉRITÉ SUR FHC, LES «ONG» & LES ROTHSCHILD, CONCERNANT LE VOL DES MINERAIS EN AMAZONIE.

Fernando Henrique Cardoso (FHC) est membre du Club de Rome, ami de David Rockefeller, franc-maçon du 33e degré, chef du parti corrompu PSDB et ancien président du Brésil. Il est également l’auteur de la loi qui interdit l’entrée de l’armée et de la police fédérale dans les réserves indigènes afin de protéger ses businesses illégaux aux services des Rothschild.

Il est l’un des chefs d’innombrables gangs qui extraient, volent et font passer en contrebande de l’or, des diamants, du niobium, des émeraudes, des bois nobles, de l’uranium, du graphène, zinc et autres minerais d’Amazonie.

C’est FHC lui-même qui a créé la loi qui a donné naissance aux réserves autochtones et ces réserves ont été délibérément délimitées sur les zones les plus riches de l’Amazonie. Ainsi, les mercenaires, les sociétés minières et les mineurs illégaux ont pû négocier et s’installer très facilement dans ces régions.

Un général de l’armée brésilienne, Durval Nery, également consultant au Centre Brésilien des Études Stratégiques de l’Armée Brésilienne (CEBRES) a dénoncé ces crimes commis sous l’administration de FHC. Nery a indiqué qu’un commandement de soldats brésiliens patrouillait à la frontière des réserves. Les soldats naviguaient le long d’une rivière et tombèrent soudain sur une mine illégale. L’endroit était encerclé par des mercenaires armés jusqu’aux dents. Nery a dénoncé l’existence de plusieurs sociétés minières appartenant à la famille Rothschild qui opéraient clandestinement dans le pays dans des réserves indigènes avec des pots de vin versés aux chefs de tribu.
FHC avait des liens privilégiés avec Jacob et Nathanael Rothschild et recevaient des milliards de commissions.
C’était aussi sous la gestion de
FHC que d’innombrables «ONG» ont reçu de sa part carte blanche pour opérer en Amazonie.

FHC a aussi tenté de vendre un gisement de niobium dans la réserve de Raposa do Sol, évalué à des centaines de milliards de dollars, pour la bagatelle de centaine de millions de dollars, à la famille Rothschild. Heureusement, l’ancien sénateur Luiz Eduardo Magalhães a empêché la vente. Et quelques mois plus tard, Magalhães mourut mystérieusement et des enquêtes ont révélées qu’il avait été empoisonné par un type de poison utilisé par des agents du KGB.

FHC était responsable de l’organisation des « Diretas Já », un mouvement qui a ramené au Brésil tous les gangs terroristes communistes qui, dans les années 60 et 70, tentaient de transformer le Brésil en un Cuba brésilien avec des attentats à la bombe contre la population brésilienne ! FHC a créé la « Bourse Terroriste », dont lui et Lula ont bénéficié pendant plus de 20 ans avec des salaires absurdes.

FHC a également tenté de diviser l’Amazonie en 216 micro-nations autochtones avec le projet de livrer l’Amazonie à l’exploitation internationale.

FHC a commis plusieurs crimes de corruption en tant que ministre de l’Économie du gouvernement d’Itamar Franco et surtout aussi en tant que président : des crimes qui ont détourné plus de 8 000 milliards de reais aux caisses publiques et FHC protégé n’a jamais fait l’objet d’une enquête.

Il a également ordonné l’assassinat de Sérgio Motta, PC Farias, Enéas Carneiro, Clodovil, Luis Eduardo Magalhães, Ulysses Guimarães, Tancredo Neves, Antonio C. Magalhães entre autres.

FHC est le père du socialisme brésilien et le principal financier du Foro de SP, mentor de l’URSAL et l’un des leaders de la contrebande de minerais et également de trafic de drogue en Amazonie.

Pour aller plus loin :

Controle dos Rothschilds na Amazônia

General do Exército denuncia controle dos ROTHSCHILDS na Amazônia Brasileira

Les liens très forts des narcotrafiquants avec le parti de Lula.

Plus que la venue du narco-dictateur vénézuélien Maduro au Brésil reçu par Lula je vais parler des liens des narcotrafiquants avec le parti de Lula.

Les communistes déguisés en socialistes aujourd’hui ont des liens anciens et très forts avec les narcotrafiquants.

Les mérdias qui veulent glamouriser le communisme et les narcotrafiquants vous cacheront cela.

Plus d’informations dans le livre : «Bolsonaro, mythes et mensonges: La force des valeurs millénaires de la majorité contre la tyrannie d’une minorité corrompue et décadente.»

Disponible ici : https://shorturl.at/gjyD6