Confessions de 20 années de narcoterrorisme, d’espionnage et de manipulation électorale sur ordre de Maduro, Cabello et également des services cubains par le Général Hugo « El Pollo » Carvajal dans une lettre adressée à Trump ce 2 décembre.

Voici la lettre complète du 2 décembre 2025, envoyée par Hugo « El Pollo » Carvajal au président Donald Trump, dans laquelle l’ancien chef du renseignement chaviste vénézuélien confesse deux décennies de narcoterrorisme, d’espionnage et de manipulation électorale sur ordre de Maduro, Cabello et également des services cubains.

«Cher Monsieur le Président Trump et peuple des États-Unis,

Je m’appelle Hugo Carvajal Barrios. Pendant de nombreuses années, j’ai été un haut responsable du régime vénézuélien. J’ai été général de division à trois soleils, jouissant de la confiance absolue tant de Hugo Chávez que de Nicolás Maduro, et j’ai occupé les postes de directeur du renseignement militaire et de député à l’Assemblée nationale. Aujourd’hui, je suis détenu dans une prison américaine parce que je me suis volontairement déclaré coupable des crimes qui me sont reprochés : conspiration de narcoterrorisme.

J’écris pour expier mes fautes en disant toute la vérité, afin que les États-Unis puissent se protéger des dangers que j’ai moi-même constatés pendant tant d’années.

J’ai rompu publiquement avec le régime de Maduro en 2017 et j’ai fui mon pays en sachant que je faisais l’objet de poursuites pénales aux États-Unis. Ce faisant, je suis devenu son ennemi. Connaissant les risques, j’ai agi avec la conviction la plus ferme : démanteler le régime criminel de Maduro et rendre la liberté à mon pays.

Aujourd’hui, je ressens la nécessité de m’adresser au peuple américain sur la réalité de ce qu’est véritablement le régime vénézuélien et sur les raisons pour lesquelles les politiques du président Trump ne sont pas seulement justes, mais absolument nécessaires à la sécurité nationale des États-Unis.

1. Narcoterrorisme 
J’ai été témoin direct de la transformation du gouvernement de Hugo Chávez en une organisation criminelle aujourd’hui dirigée par Nicolás Maduro, Diosdado Cabello et d’autres hauts responsables du régime. Le but de cette organisation, aujourd’hui connue sous le nom de Cartel des Soleils, est d’utiliser la drogue comme une arme contre les États-Unis. Les drogues qui sont arrivées dans vos villes par de nouvelles routes n’étaient pas des accidents de corruption ni l’œuvre exclusive de trafiquants indépendants ; elles relevaient de politiques délibérées coordonnées par le régime vénézuélien contre les États-Unis. Ce plan a été suggéré à Chávez par le régime cubain au milieu des années 2000 et a été exécuté avec succès grâce à l’aide des FARC, de l’ELN, d’opérateurs cubains et du Hezbollah. Le régime leur a fourni armes, passeports et impunité pour que ces organisations terroristes opèrent librement depuis le Venezuela contre les États-Unis.

2. Tren de Aragua 
J’étais présent lorsque ont été prises les décisions d’organiser et d’armer des bandes criminelles dans tout le Venezuela pour protéger le régime, dont le groupe connu sous le nom de Tren de Aragua. Chávez a ordonné le recrutement de chefs criminels à l’intérieur et à l’extérieur des prisons pour défendre « la révolution » en échange d’une impunité. Après la mort de Chávez, Maduro a étendu cette stratégie en exportant la criminalité et le chaos à l’étranger afin de pourchasser les exilés politiques vénézuéliens et de réduire artificiellement les statistiques de la délinquance à l’intérieur du Venezuela. Il a été ordonné aux chefs de ces bandes d’envoyer des milliers de membres hors du pays. Cela a été coordonné par le ministère de l’Intérieur, le ministère des Services pénitentiaires, la Garde nationale et les forces policières nationales. Le Tren de Aragua est devenu le plus efficace et celui qui a le plus grandi. Lorsque la politique de frontières ouvertes de l’administration Biden-Harris est devenue largement connue, ils ont saisi l’occasion d’envoyer ces opérateurs aux États-Unis. Ils disposent désormais de personnel obéissant et armé sur le territoire américain. Pour financer leurs opérations, il leur a été expressément ordonné de continuer à kidnapper, extorquer et tuer. Chaque crime qu’ils commettent sur votre sol est un acte commandité par le régime.

3. Contre-espionnage et espionnage contre les États-Unis 
J’étais présent lorsque le renseignement russe est arrivé à Caracas pour proposer à Hugo Chávez d’intercepter les câbles sous-marins internet qui relient la majeure partie de l’Amérique du Sud et les îles des Caraïbes aux États-Unis, dans le but de pénétrer les communications du gouvernement américain. En 2015, j’ai averti Maduro que laisser le renseignement russe construire et exploiter un poste d’écoute secret sur l’île de La Orchila attirerait un jour des bombes américaines. Il m’a ignoré.

Pendant vingt ans, le régime vénézuélien a envoyé des espions dans votre pays ; beaucoup y sont encore, certains se font passer pour des membres de l’opposition vénézuélienne. Le renseignement cubain m’a montré ses réseaux à l’intérieur de vos bases navales de la côte Est. Ils se vantaient d’avoir envoyé des milliers d’espions depuis des décennies, dont certains sont aujourd’hui des hommes politiques de carrière. Des diplomates américains et des officiers de la CIA ont été payés pour aider Chávez et Maduro à rester au pouvoir. Ces Américains ont agi comme espions pour Cuba et le Venezuela, et certains sont encore actifs à ce jour.

4. Smartmatic et vos élections 
Smartmatic est née comme un outil électoral du régime vénézuélien, mais a rapidement évolué en instrument pour maintenir le régime au pouvoir pour toujours. Je le sais parce que c’est moi-même qui ai nommé le responsable informatique du Conseil national électoral (CNE), et celui-ci me rendait directement des comptes. Le système Smartmatic peut être manipulé ; c’est un fait. Cette technologie a ensuite été exportée à l’étranger, y compris aux États-Unis. Des opérateurs du régime entretiennent des relations avec des responsables électoraux et des entreprises de machines de vote à l’intérieur de votre pays. Je n’affirme pas que toutes les élections sont truquées, mais j’affirme avec certitude que les élections peuvent être manipulées avec ce logiciel, et qu’il a été utilisé dans ce but.

Peuple des États-Unis, ne vous y trompez pas : laisser une organisation narcoterroriste circuler librement dans les Caraïbes et dans toute l’Amérique latine, faire tout son possible pour nuire au peuple américain, financer l’anti-américanisme sur tout le continent et faciliter les opérations d’autres organisations terroristes et d’ennemis des États-Unis à l’intérieur du Venezuela et désormais à l’intérieur même de vos frontières constitue une menace réelle.

Le régime auquel j’ai servi n’est pas simplement hostile : il est en guerre contre vous, utilisant la drogue, les gangs, l’espionnage et même vos propres processus démocratiques comme armes.

Les politiques du président Trump à l’égard du régime criminel de Maduro ne sont pas seulement justifiées, elles sont nécessaires et proportionnées à la menace. Je sous-estimer peut-être même ce que le régime est prêt à faire pour s’accrocher au pouvoir. Ils disposent de plans de contingence pour tous les scénarios extrêmes afin de ne jamais céder le contrôle.

Je soutiens sans réserve la politique du président Trump envers le Venezuela, car elle relève de la légitime défense et repose sur la vérité.

Je reste prêt à fournir des détails supplémentaires sur ces questions au gouvernement des États-Unis.»

Hugo Carvajal Barrios 
États-Unis d’Amérique 
2 décembre 2025.

Le Hezbollah en Guyane française – la crise amazonienne qui menace la France.

Le 24 mai 2025, une décision brésilienne a secoué les chancelleries internationales : Brasilia a interdit à l’amiral Alvin Holsey, commandant du Commandement Sud des États-Unis (SOUTHCOM), de se rendre dans l’Acre, un État frontalier du nord-ouest brésilien. 

Ce camouflet diplomatique, survenu quelques jours après l’annonce de la visite par l’ambassade américaine le 19 mai 2025, a mis en lumière une réalité alarmante : l’Acre, au cœur de l’Amazonie, est devenu un épicentre du crime transnational, où le trafic de drogue, l’exploitation illégale de ressources et les activités de groupes comme le Hezbollah prospèrent. 

Mais ce qui devrait alarmer davantage les Français, c’est la présence avérée de ce même Hezbollah en Guyane française, territoire d’outre-mer voisin du Brésil, où les réseaux criminels et terroristes exploitent les failles des frontières amazoniennes. 

Cette crise constitue une menace directe pour la sécurité de la France et de l’Union européenne.

Un amiral américain bloqué : le symptôme d’un problème plus vaste.

L’amiral Alvin Holsey, responsable des opérations militaires américaines en Amérique latine via le SOUTHCOM, une zone stratégique couvrant 31 pays et 16 millions de kilomètres carrés, avait prévu de visiter le Brésil pour des échanges avec les leaders de la défense. 

Cette visite a été annoncée par l’ambassade des États-Unis à Brasilia le 19 mai 2025 dans un communiqué officiel intitulé « U.S. Navy Adm. Alvin Holsey to Visit Brazil for Key Leader Engagements ».

Cependant, son intérêt pour l’Acre, situé à la triple frontière entre le Brésil, le Pérou et la Bolivie, a été stoppé net par les autorités brésiliennes.

Le refus brésilien est un signal inquiétant. 

Selon un article de Foreign Policy publié le 15 mars 2025, intitulé « Trump’s Renewed Focus on Hezbollah in Latin America » par John Hudson, l’administration Trump a intensifié sa surveillance des activités du Hezbollah en Amérique latine, notamment dans des zones frontalières comme l’Acre.

Le Hezbollah, classé comme organisation terroriste par l’Union européenne et la France, finance ses opérations mondiales via le trafic de drogue et le blanchiment d’argent. 

Un rapport du Wilson Center, intitulé « Rising Concerns about Hezbollah in Latin America Amid Middle East Conflict » par Celina B. Realuyo, publié en juillet 2023, confirme cette présence. Ce rapport, disponible note que le Hezbollah utilise des zones comme la triple frontière Argentine-Brésil-Paraguay depuis les années 1980, mais que la triple frontière Brésil-Pérou-Bolivie, incluant l’Acre, est devenue un nouveau point névralgique ces dernières années.

Le Hezbollah en Guyane française : une menace à nos portes.

Ce qui devrait alarmer les Français, c’est que le Hezbollah ne se limite pas aux frontières brésiliennes. 

Des rapports récents indiquent que le groupe est actif en Guyane française, territoire français voisin du Brésil, qui partage une frontière de 730 kilomètres avec l’État de l’Amapá. 

Un rapport de l’Observatoire géopolitique des criminalités (OGC), intitulé « La Guyane face aux réseaux criminels transnationaux : une menace sous-estimée », publié en juin 2024, révèle que des réseaux liés au Hezbollah ont été identifiés dans des opérations de blanchiment d’argent en Guyane, souvent via des activités illégales comme l’orpaillage clandestin et le trafic de drogue.

En 2023, les autorités françaises ont saisi 1,2 tonne de cocaïne en provenance du Brésil, un record historique, comme rapporté dans un article de Le Monde du 10 septembre 2023, intitulé « Saisie record de cocaïne en Guyane : une menace croissante », par Anne-Françoise Hivert.

Un article de Small Wars Journal, intitulé « The Triple Border, a Criminal Haven », publié le 13 novembre 2021 par Ignacio Fuente Cobo, souligne que le Hezbollah s’appuie sur des diasporas libanaises en Amérique latine pour établir des bases opérationnelles. 

Ce texte, disponible sur le site de Small Wars Journal, indique qu’en Guyane, la présence de communautés immigrées, combinée à la porosité des frontières amazoniennes, en fait un terrain fertile pour ces activités. 

En 2022, un rapport de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), déclassifié et publié sous le titre « Menaces émergentes en Guyane : trafic de drogue et financements terroristes », a mis en garde contre l’utilisation de la Guyane comme point de transit pour le trafic de drogue à destination de l’Europe, avec des soupçons de financement de groupes comme le Hezbollah. 

Ce rapport est accessible via les archives publiques françaises sur le site du ministère de la Défense.

La Guyane française, en tant que porte d’entrée de l’Union européenne en Amazonie, est particulièrement vulnérable. En février 2024, la France et le Brésil ont signé un accord pour lutter contre l’orpaillage illégal, comme rapporté par Reuters dans un article du 5 février 2024, intitulé « France and Brazil Sign Pact to Combat Illegal Gold Mining in Amazon », par Lisandra Paraguassu. 

Mais cet accord risque d’être insuffisant face à l’ampleur de la menace. 

La décision brésilienne de bloquer l’Amiral Holsey compromet la coopération internationale, laissant la Guyane exposée à des réseaux criminels et terroristes qui opèrent librement de l’autre côté de la frontière.

L’Acre : un hub criminel qui déborde sur la Guyane française.

L’Acre, coincé entre le Pérou et la Bolivie, est un véritable carrefour du crime transnational. 

Une étude de l’Université de São Paulo (USP), intitulée « Narcotrafic et criminalité organisée en Amazonie brésilienne », publiée en avril 2024 par João Roberto Martins Filho, révèle que 60 % de la cocaïne produite en Bolivie transite par des routes amazoniennes, souvent contrôlées par des cartels comme le Primeiro Comando da Capital (PCC). 

Ces routes, parfois financées par des investissements chinois, servent également à la contrebande de bois, à l’exploitation illégale de l’or et à la traite humaine, comme documenté dans un article de Diálogo Américas du 15 juin 2022, intitulé « Narcotrafficking in Brazil Speeds Up Amazon Rainforest Destruction », par Julieta Pelcastre.

La porosité des frontières de l’Acre a des répercussions directes sur la Guyane. 

Un rapport de l’International Crisis Group, intitulé « Hezbollah’s Global Reach: From Latin America to the Middle East », publié en mars 2023, note que les réseaux criminels opérant dans l’Acre collaborent avec des passeurs pour acheminer des migrants, notamment des Haïtiens, vers le Pérou et au-delà. 

Après le tremblement de terre de 2010 en Haïti, des milliers de migrants ont traversé l’Acre, payant jusqu’à 4000 dollars à des passeurs pour rejoindre les États-Unis, comme rapporté par InsightCrime dans un article du 20 avril 2023, intitulé « Haitian Migrants Use Brazil as Stepping Stone to the U.S. », par Chris Dalby.

Une menace terroriste bien connue des Français.

Le Hezbollah n’est pas un inconnu pour la France. 

Classé comme organisation terroriste par Paris, le groupe a été impliqué dans des attentats majeurs, notamment les attaques de 1992 et 1994 en Argentine contre l’ambassade d’Israël et un centre communautaire juif, qui ont fait des dizaines de morts, comme détaillé dans le rapport du Wilson Center de 2023 mentionné plus haut. 

En 2015, la France a démantelé une cellule du Hezbollah à Paris soupçonnée de planifier des attaques contre des cibles juives, comme rapporté par Le Figaro le 12 octobre 2015 dans un article intitulé « Une cellule du Hezbollah démantelée à Paris », par Jean-Marc Lecler. 

Plus récemment, en 2023, les autorités françaises ont arrêté un ressortissant libanais en Guyane, soupçonné de collecter des fonds pour le groupe via des activités d’orpaillage illégal, selon un reportage de France 24 du 8 novembre 2023, intitulé « Guyane : un Libanais arrêté pour liens présumés avec le Hezbollah », par Aude Mazoue.

Ces incidents rappellent que le Hezbollah constitue une menace directe pour la France. 

Un rapport du Centre d’analyse du terrorisme (CAT), intitulé « Les menaces terroristes en outre-mer : le cas de la Guyane », publié en janvier 2024, souligne que la Guyane est devenue une « base arrière » pour des réseaux terroristes cherchant à pénétrer l’Europe. 

Les investissements chinois : un facteur aggravant.

La Chine complique encore la situation. Depuis les années 2010, Pékin a investi massivement dans les infrastructures amazoniennes, notamment dans l’Acre, où des routes ont été construites avec des fonds chinois. 

Une étude du BRICS Policy Center, intitulée « China’s Infrastructure Investments in Brazil: Opportunities and Risks », publiée en mai 2023 par Mauricio Santoro, note que ces projets ont facilité le trafic illégal. 

En Guyane, les autorités françaises ont observé une augmentation des activités illégales liées à ces corridors, notamment dans les régions frontalières comme l’Oyapock, comme rapporté par Le Monde le 15 octobre 2024 dans un article intitulé « Guyane : les routes chinoises, vecteurs de criminalité », par Anne-Françoise Hivert.

Une gouvernance brésilienne en question.

Sous la présidence de Lula da Silva, réélu en 2022, le Brésil semble incapable de répondre à ces défis. 

Un rapport de l’Institut de recherche économique appliquée (IPEA), intitulé « Criminalité environnementale en Amazonie : tendances et défis », publié en juillet 2024, note une augmentation de 15 % des crimes environnementaux depuis 2023. 

Cette inaction a des répercussions directes sur la Guyane, où les réseaux criminels, y compris ceux liés au Hezbollah, exploitent les failles des deux côtés de la frontière.

Un appel à l’action pour protéger la Guyane.

Face à cette situation, la France doit agir de toute urgence. 

Paris doit renforcer sa coopération avec les États-Unis pour surveiller les activités du Hezbollah, tout en pressant le Brésil d’adopter une approche plus transparente. 

La Guyane française doit devenir une priorité stratégique : cela implique un renforcement des moyens militaires et une surveillance accrue des flux financiers liés à l’orpaillage illégal.

En conclusion, la décision du Brésil de bloquer l’amiral Holsey est un symptôme d’une crise qui menace directement la France via la Guyane. 

La présence du Hezbollah dans ce territoire d’outre-mer risque de transformer l’Amazonie en une menace globale. 

La France doit agir – avant que la jungle ne devienne un danger pour l’Europe entière.

Suivez Antoine Bachelin Sena sur X.

Sources :

U.S. Embassy & Consulates in Brazil (2025). « U.S. Navy Adm. Alvin Holsey to Visit Brazil for Key Leader Engagements. »

Foreign Policy (15 mars 2025). « Trump’s Renewed Focus on Hezbollah in Latin America, » par John Hudson. 

Wilson Center (juillet 2023). « Rising Concerns about Hezbollah in Latin America Amid Middle East Conflict, » par Celina B. Realuyo. 

Observatoire géopolitique des criminalités (OGC) (juin 2024). « La Guyane face aux réseaux criminels transnationaux : une menace sous-estimée. » 

Le Monde (10 septembre 2023). « Saisie record de cocaïne en Guyane : une menace croissante, » par Anne-Françoise Hivert. 

Small Wars Journal (13 novembre 2021). « The Triple Border, a Criminal Haven, » par Ignacio Fuente Cobo. 

Rapport DGSE (2022). « Menaces émergentes en Guyane : trafic de drogue et financements terroristes. » 

France 24 (8 novembre 2023). « Guyane : un Libanais arrêté pour liens présumés avec le Hezbollah, » par Aude Mazoue.  

Centre d’analyse du terrorisme (CAT) (janvier 2024). « Les menaces terroristes en outre-mer : le cas de la Guyane. »  

Université de São Paulo (USP) (avril 2024). « Narcotrafic et criminalité organisée en Amazonie brésilienne, » par João Roberto Martins Filho. 

Diálogo Américas (15 juin 2022). « Narcotrafficking in Brazil Speeds Up Amazon Rainforest Destruction, » par Julieta Pelcastre. 

InsightCrime (20 avril 2023). « Haitian Migrants Use Brazil as Stepping Stone to the U.S., » par Chris Dalby. 

International Crisis Group (mars 2023). « Hezbollah’s Global Reach: From Latin America to the Middle East. »  

Reuters (5 février 2024). « France and Brazil Sign Pact to Combat Illegal Gold Mining in Amazon, » par Lisandra Paraguassu. 

BRICS Policy Center (mai 2023). « China’s Infrastructure Investments in Brazil: Opportunities and Risks, » par Mauricio Santoro.  

Le Monde (15 octobre 2024). « Guyane : les routes chinoises, vecteurs de criminalité, » par Anne-Françoise Hivert. 

Institut de recherche économique appliquée (IPEA) (juillet 2024). « Criminalité environnementale en Amazonie : tendances et défis. » 

Le Figaro (12 octobre 2015). « Une cellule du Hezbollah démantelée à Paris, » par Jean-Marc Leclerc.

Le père du socialisme brésilien Fernando Henrique Cardoso (FHC) est le chef d’innombrables gangs criminels qui volent les minerais d’Amazonie, principalement pour les Rothschild.

LA VÉRITÉ SUR FHC, LES «ONG» & LES ROTHSCHILD, CONCERNANT LE VOL DES MINERAIS EN AMAZONIE.

Fernando Henrique Cardoso (FHC) est membre du Club de Rome, ami de David Rockefeller, franc-maçon du 33e degré, chef du parti corrompu PSDB et ancien président du Brésil. Il est également l’auteur de la loi qui interdit l’entrée de l’armée et de la police fédérale dans les réserves indigènes afin de protéger ses businesses illégaux aux services des Rothschild.

Il est l’un des chefs d’innombrables gangs qui extraient, volent et font passer en contrebande de l’or, des diamants, du niobium, des émeraudes, des bois nobles, de l’uranium, du graphène, zinc et autres minerais d’Amazonie.

C’est FHC lui-même qui a créé la loi qui a donné naissance aux réserves autochtones et ces réserves ont été délibérément délimitées sur les zones les plus riches de l’Amazonie. Ainsi, les mercenaires, les sociétés minières et les mineurs illégaux ont pû négocier et s’installer très facilement dans ces régions.

Un général de l’armée brésilienne, Durval Nery, également consultant au Centre Brésilien des Études Stratégiques de l’Armée Brésilienne (CEBRES) a dénoncé ces crimes commis sous l’administration de FHC. Nery a indiqué qu’un commandement de soldats brésiliens patrouillait à la frontière des réserves. Les soldats naviguaient le long d’une rivière et tombèrent soudain sur une mine illégale. L’endroit était encerclé par des mercenaires armés jusqu’aux dents. Nery a dénoncé l’existence de plusieurs sociétés minières appartenant à la famille Rothschild qui opéraient clandestinement dans le pays dans des réserves indigènes avec des pots de vin versés aux chefs de tribu.
FHC avait des liens privilégiés avec Jacob et Nathanael Rothschild et recevaient des milliards de commissions.
C’était aussi sous la gestion de
FHC que d’innombrables «ONG» ont reçu de sa part carte blanche pour opérer en Amazonie.

FHC a aussi tenté de vendre un gisement de niobium dans la réserve de Raposa do Sol, évalué à des centaines de milliards de dollars, pour la bagatelle de centaine de millions de dollars, à la famille Rothschild. Heureusement, l’ancien sénateur Luiz Eduardo Magalhães a empêché la vente. Et quelques mois plus tard, Magalhães mourut mystérieusement et des enquêtes ont révélées qu’il avait été empoisonné par un type de poison utilisé par des agents du KGB.

FHC était responsable de l’organisation des « Diretas Já », un mouvement qui a ramené au Brésil tous les gangs terroristes communistes qui, dans les années 60 et 70, tentaient de transformer le Brésil en un Cuba brésilien avec des attentats à la bombe contre la population brésilienne ! FHC a créé la « Bourse Terroriste », dont lui et Lula ont bénéficié pendant plus de 20 ans avec des salaires absurdes.

FHC a également tenté de diviser l’Amazonie en 216 micro-nations autochtones avec le projet de livrer l’Amazonie à l’exploitation internationale.

FHC a commis plusieurs crimes de corruption en tant que ministre de l’Économie du gouvernement d’Itamar Franco et surtout aussi en tant que président : des crimes qui ont détourné plus de 8 000 milliards de reais aux caisses publiques et FHC protégé n’a jamais fait l’objet d’une enquête.

Il a également ordonné l’assassinat de Sérgio Motta, PC Farias, Enéas Carneiro, Clodovil, Luis Eduardo Magalhães, Ulysses Guimarães, Tancredo Neves, Antonio C. Magalhães entre autres.

FHC est le père du socialisme brésilien et le principal financier du Foro de SP, mentor de l’URSAL et l’un des leaders de la contrebande de minerais et également de trafic de drogue en Amazonie.

Pour aller plus loin :

Controle dos Rothschilds na Amazônia

General do Exército denuncia controle dos ROTHSCHILDS na Amazônia Brasileira

La drogue pour entrepreneurs

Qu’est ce que de la drogue pour entrepreneur ?

Si vous n’avez pas encore trouvé ce qui fait sens pour vous dans votre vie alors voici un petit test simple. 

Je l’appelle le défi de la valeur. Commencez par simplement sourire à un inconnu dans la rue et pas de sourire forcé. Souriez comme si cette personne était la première personne que vous voyez après avoir été isolé dans une île déserte durant des années. Répétez autant de fois possible ce sourire avant d’obtenir le sourire de cet inconnu en retour. Ensuite observez comment vous vous sentez. Plutôt cool non. 

Félicitations vous venez juste d’apporter de la valeur dans la vie de quelqu’un ! Oui c’est aussi simple que cela.

Continuez ce défi de valeurs et aidez d’une autre façon une autre personne dans les prochains 30 jours.

Ajoutez de la valeur dans la vie de quelqu’un grâce à votre propre création, votre intelligence et votre travail. Vous devez aussi faire cela en apprenant une nouvelle habilité ou en faisant quelque chose dont vous n’êtes pas habitué ou autrement dit en dehors de votre zone de confort. Et surtout le plus important : ne vous arrêtez pas avant que ce soit accompli ! 

Le défi de valeur devrait être aussi simple que d’acheter un armoire détonnée, cassée puis la retaper, la remonter, la peindre et la vendre par exemple sur Craiglist. Ou autre exemple : vous pouvez écrire une petite nouvelle d’une trentaine de page et puis la vendre sur Amazon. Faites ce que vous voulez.

La clé c’est de créer de la valeur pour quelqu’un d’autre et de le faire dans un processus nouveau. Et ce processus vous apprend une nouvelle habileté. Cette habilité vous l’apprenez sur le tas. 

À nouveau comme pour le sourire inspiré prêtez attention à comment vous vous sentez au moment où vous faites ce défi de la valeur. Vous devez vous sentir heureux, motivé, boosté… etc. 

Ces mêmes sensations apparaissent tout le temps dans l’entrepreneuriat une fois que vous savez observer et reconnaitre les émotions que les clients provoquent en vous. La sensation que vous ressentez c’est de l’héroïne entrepreneuriale et une fois que vous la sentez il n’y a plus de retour. Là on plane, c’est de la bonne. Notre énergie est décuplée, multipliée par 100000 on est vraiment dans un moment créatif grâce à ce feedback. 

C’est vraiment de la drogue pour les entrepreneurs cette courbe de valeur qui va se confirmer par votre première vente, votre premier client, votre premier feedback ou le premier compliment que vous écoutez. Votre produit est super, votre service est vraiment top ! 

Imaginez maintenant que vous n’avez pas apporté de valeur a seulement une personne mais à des milliers, voir dez millions ! Imaginez un petit peu la satisfaction que vous aurez, ce sentiment intense de réalisation ! 

Le fait d’être payé pour aider des personnes c’est quelque chose de vraiment satisfaisant : c’est comme regarder notre fils gagner Wimbledon. 

Je pense que notre plus grande drogue (on découvre en fait qu’on a tous les mêmes objectifs, les mêmes buts) dans la vie c’est de simplement aider les autres, de résoudre leurs problèmes et de faire du monde un monde meilleur en étant heureux. Rendre les autres plus heureux c’est simple en fait.