Explorez les secrets enfouis au cœur des méandres fascinants de l’Amazonie avec «Amazonie Politique».
Ce 📖 vise à renforcer un processus de prise de conscience : La corruption des ONGs qui se cachent derrière la démarcation politique des terres 🇧🇷.
Dans un monde où l’environnementalisme et l’indigénisme se drapent d’une aura de vertu, « Amazonie Politique » dévoile les véritables enjeux derrière ces mouvements.
1. Les ONGs Proliférantes :
Depuis le début des années 2000, le Brésil est devenu une terre fertile pour près de 800,000 ONGs, agissant souvent sans véritable transparence ni contrôle, alimentant une toile complexe d’intérêts internationaux.
2. Paralysie des Infrastructures :
Le livre explore comment les politiques de balkanisation et de domination financière ont mené à la stagnation de projets vitaux pour le développement du Brésil, comme les barrages hydroélectriques et les routes, sous prétexte de protection écologique.
3. Manipulation Théologique et Sociale :
« Amazonie Politique » examine l’utilisation de récits théologiques et des manipulations sociales pour justifier des interventions étrangères, transformant des problématiques locales en causes globales.
4. Sous l’Égide des Organisations Internationales :
Antoine Bachelin Sena révèle comment les conférences et les accords internationaux servent de plateformes pour les agendas anti-développement, avec des personnalités qui incarnent cette influence à l’échelle nationale.
5. Conflits Locaux, Luttes Globales :
Le livre décrypte la stratégie de transformer les conflits internes en luttes internationales, soutenues par des réseaux transnationaux, pour contrôler les ressources et les territoires amazoniens.
Un appel à la Souveraineté et au Développement:
Ce livre est une analyse incisive qui invite à une prise de conscience accélérée de l’impact des mouvements environnementalistes et indigénistes sur la souveraineté et le développement socio-économique du Brésil.
Il expose les pressions et les manipulations qui entravent le progrès national, et appelle à une réaffirmation de l’autonomie brésilienne face aux ingérences étrangères.
Rejoignez-nous dans cette exploration critique et sans compromis, où chaque page soulève des questions sur l’avenir du développement en Amazonie et la véritable nature des forces qui la gouvernent.
«Amazonie Politique» est un appel à l’action, dévoilant une vérité qui ne peut plus être ignorée, cachée dans les profondeurs des méandres fascinants de cette magnifique forêt amazonienne.
Selon le général Augusto Heleno Pereira dans la réserve de Raposa do Sol, à Roraima, se trouve une mine de diamants en cours d’exploration par les Rothschilds, celle-ci étant considérée comme la plus grande du monde.
La Terre Indigène Raposa Serra do Sol est une zone de terre indigène (TI) située au nord-est de l’État brésilien de Roraima, dans les municipalités de Normandia, Pacaraima et Uiramutã, entre les rivières Tacutu, Maú, Surumu, Miang et la frontière avec le Venezuela.
Plus de la moitié de la superficie est constituée de végétation de savane, appelée localement «lavrado». La partie montagneuse culmine avec le mont Roraima, au sommet duquel se situe la triple frontière entre le Brésil, la Guyane et le Venezuela. C’est l’une des plus grandes terres autochtones du pays, avec 1 743 089 hectares et 1 000 kilomètres de périmètre.
La Raposa a été identifiée en 1993 par la Fondation Nationale des Peuples Indigènes (Funai). Délimitée sous la présidence de Fernando Henrique Cardoso puis approuvée en 2005 par son successeur, Luiz Inácio Lula da Silva.
Les Rothschild extraient des tonnes de diamants de cette réserve et gagnent des milliards de dollars aux dépens du peuple brésilien.
Le gouvernement de FHC (Fernando Henrique Cardoso, un des pères du socialisme brésilien) a délimité la zone et l’a déclarée réserve autochtone en 1996 !
FHC (Fernando Henrique Cardoso).
Plusieurs agriculteurs ruraux qui habitaient les terres délimitées par FHC ont été expulsés de ces zones. De cette manière, FHC a permis aux Rothschild de contrôler les réserves délimitées. Ce sont eux et des milliers d’ONGs qui blanchissent l’argent qui gouvernent l’Amazonie.
Un drapeau étranger flotte même à l’intérieur de la réserve. C’est comme si ces régions appartenaient aux Rothschilds et non au Brésil. Outré par cette audace, le général brésilien ordonne que le drapeau soit retiré du mât. Un des employés de Rothschild s’est approché du général et lui a dit de ne pas retirer le drapeau étranger, car celui qui PAYE le plus a le droit d’arborer le drapeau de son choix. Une honte! Qui paie le plus et à qui ? Combien FHC et les autres socialo communistes du parti de Lula prennent-ils sous la table pour permettre cette invasion et ce pillage des ressources minières ?
Le général rapporte également que des groupes liés aux Rothschild et à des ONG se trouvaient à l’intérieur de la jungle brésilienne et préparaient une embuscade. Des soldats brésiliens du commandement du bataillon de la jungle de Santa Isabel inspectaient la zone d’un ruisseau lorsqu’ils ont aperçu un homme blond armé d’un fusil. Avec l’homme blond, il y avait 3 autres éléments cachés dans la jungle, tous armés et préparés pour l’embuscade. Les intrus pensèrent ouvrir le feu sur l’armée brésilienne, mais comme ils étaient en infériorité numérique, ils abandonnèrent.
L’incident s’est produit dans une zone yanomami. Le groupe de 4 envahisseurs s’est enfui dans la jungle pour échapper au bataillon brésilien et a disparu dans la jungle. L’armée brésilienne ne pouvait pas pénétrer dans la zone délimitée comme réserve environnementale. Pourquoi ? Cette interdiction est dans la loi de démarcation créée par FHC. Ce n’est qu’avec l’autorisation d’un juge fédéral que l’armée brésilienne peut entrer au sein de la réserve.
Les envahisseurs peuvent arborer des drapeaux étrangers, faire passer de la drogue, des armes, des diamants, blanchir de l’argent, violer et tuer des mineurs, tendre des embuscades dans les réserves brésiliennes, mais l’armée brésilienne ne peut pas entrer et doit demander une autorisation!
Le commandant du bataillon qui dirigeait l’opération dans la jungle s’est ensuite rendu au tribunal de Santa Isabel pour demander l’autorisation d’entrer dans la réserve. Lorsque le bataillon revint sur le lieu remontant l’Igarapé, le colonel qui commandait la mission trouva un site protégée par 15 hommes, tous anciens soldats américains. Le colonel, alors qu’il s’adressait à l’américain identifié, a été brutalement interpellé. Les mercenaires et militaires américains agissent comme s’ils possédaient la région.
Selon le Général, le site sert en réalité de façade ou de couverture (cover up) à la contrebande des ressources minières. Il y avait des bateaux motorisés et un hydravion sur place pour transporter la contrebande.
Le général Durval Nery lui-même a été empêché de se rendre de Manaus à Boavista par des groupes armés à Estadas !
General Durval Nery.
Même s’identifiant comme général de l’armée brésilienne, le général ne peut pas suivre son chemin à travers la réserve. Il lui faut une autorisation de la Cour suprême dont les ministres sont nommés par le parti corrompu de Lula, héritier de FHC.
La démarcation des terres indigènes a été réglementée par le décret nº 1 775/96 de Fernando Henrique Cardoso. L’une des étapes prévues dans la procédure de démarcation était l’évacuation des terres par les populations non autochtones. Des centaines de familles d’agriculteurs ont été expulsées de la région et jetées sur la route avec simplement leurs vêtements du jour. Ils n’ont même pas reçu de compensation de la part de l’État.
Plus d’informations dans le livre à paraître en 2025 :
Le 📖 vise à renforcer un processus de prise de conscience : La corruption des ONGs qui se cachent derrière la démarcation politique des terres 🇧🇷. «Amazonie Politique.»
Nous voulons tous sauver les animaux et ce sont des nobles sentiments de préserver bien sûr la faune et la flore mais les enjeux véritables sont cachés par les mérdias mainstream derrière ce discours en apparence si bien intentionné. Nous savons que l’enfer est remplie de bonnes intentions et que le diable se cache dans les détails. Nous vous expliquerons donc qu’au-delà du fait que nous sommes tous d’accord pour protéger l’Amazonie, ce qui est intéressant à retenir ici et ce que je vais développer, c’est DE QUI PROTÉGER L’AMAZONIE. Et c’est de ce point justement très important que viennent les divergences, les manipulations et les informations cachées justement.
La vérité cachée derrière la loi OIT 169 de Fernando Henrique Cardoso, aussi appelé FHC, c’est un ex-président du Brésil et on va voir que son action concernant cette loi est décisive pour éloigner l’armée et la police des opérations de contrebande de minerais et de drogues. Plus important aussi, c’est la démarcation du territoire.
Le problème qui n’est pas exposé par les mérdias corrompus, c’est que le principal problème de l’Amazonie est la démarcation des terres. Pourquoi ? Vous n’en avez jamais entendu parler, bien évidemment, vous avez seulement entendu parler de protéger les animaux, et justement, c’est là où on rentre dans les vraies questions. Qu’est-ce que cette démarcation ? C’est ce qui va être développé dans le livre.
Elle a été faite au profit de ceux qui exploitent les minerais, via toujours les mêmes partis politiques au pouvoir. Cela est fait contre les populations locales qui doivent se déplacer. Mais les mérdias corrompus, dans un procédé connu d’inversion, présentent les démarcations comme «salvatrices des cultures indigènes», ce qui est totalement faux.
Un point très important, crucial aussi, à rappeler ici en introduction, c’est que le Brésil est historiquement le premier producteur mondial de niobium et de ferroniobium, utilisés dans les alliages métalliques, notamment en production d’acier spéciaux pour une haute stabilité thermique. Cela permet aussi la production de moteurs d’avions, la propulsion de fusées et divers matériaux supraconducteurs utilisent ce niobium. Il y a aussi la résonance magnétique, l’industrie nucléaire, l’électronique, l’optique, la production de bijoux qui utilisent le niobium, donc énormément de domaines. Et le Brésil est historiquement le premier producteur mondial de niobium. Il est responsable de 75% de la production mondiale. C’est le point crucial aussi, très important à expliquer.
Le Brésil a aussi des réserves qui sont les plus grandes du monde, qui ont été découvertes récemment. Notamment autour du territoire Yanomami partagé aussi avec le Venezuela. Ce n’est pas seulement du niobium mais aussi de l’or, des diamants, du pétrole, du gaz.
Donc les globalistes ont les yeux rivés dessus. Et on va justement expliquer cela depuis la démarcation des terres puis dans différents chapitres pour chaque organisation comme la CIA, dans un chapitre avec la création de lacs artificiels. On a un chapitre aussi sur les Rockefeller et un chapitre sur les Rothschilds.
Comment Fernando Henrique Cardoso, qui a créé ces lois pour interdire l’entrée de l’armée et de la police fédérale dans les réserves indigènes voulait en fait protéger les business illégaux des Rothschilds. Comment cette démarcation des terres a été faite autour des richesses minières et non pas autour des territoires indigènes ! C’est le point le plus important. C’est pour cela que le livre s’intitule «De qui protéger l’Amazonie ?».
Des généraux brésiliens, notamment Durval Neri, qui est aussi le consultant du centre brésilien des études stratégiques de l’armée brésilienne, le CEBRES ont dénoncé ces crimes commis sous l’administration de Fernando Henrique Cardoso.
Dans le livre, on revient aussi sur le scandale du gisement de niobium dans la réserve de Raposa do Sol, évalué à des centaines de milliards de dollars et qui a été cédé pour la bagatelle de centaines de millions de dollars à la famille Rothschild. Heureusement, l’ancien sénateur Luis Eduardo Magalhães a empêché la vente, mais quelques mois plus tard, ce même Magalhães est mort mystérieusement. Des enquêtes ont révélé qu’il a été empoisonné.
Je vous invite donc à vous procurer en pré-vente sur le lien suivant le livre «Amazonie Politique.»
Explorez les secrets enfouis au cœur des méandres fascinants de l’Amazonie avec De qui protéger l’Amazonie ? Découvrez que Fernando Henrique Cardoso, un des pères du socialisme brésilien, révèle sa véritable nature en tant que chef d’organisation criminelle. Plongez dans les dédales de cette collusion entre le pouvoir politique, les intérêts criminels et les merdias mainstream (mérdias de grand chemin) complices qui pendant des décennies ont délibérément caché ces faits.
Les milliers d’ONG créées par les lois de Fernando Henrique Cardoso deviennent elles-mêmes des acteurs majeurs blanchissant l’argent de la contrebande de minerais et de drogues en complicité avec des mercenaires, des sociétés minières et des familles influentes telles que les Rothschild. Nous exposons avec des documents datés et chiffrés, de nombreux témoignages comment la démarcation des terres a été faite au profit de ces sociétés multinationales étrangères puissantes avec l’appui de ces politiques de gauche. Voilà ce que vous allez découvrir : De qui véritablement il faut protéger l’Amazonie, alors que les mérdias mainstream vous parlent uniquement des animaux…
Voilà le vrai danger, et la vérité derrière le titre «Amazonie Politique».
C’est un appel à l’action dévoilant une vérité qui ne peut plus être ignorée, cachée dans les profondeurs des méandres fascinants de cette magnifique forêt amazonienne.
LA VÉRITÉ SUR FHC, LES «ONG» & LES ROTHSCHILD, CONCERNANT LE VOL DES MINERAIS EN AMAZONIE.
Fernando Henrique Cardoso (FHC) est membre du Club de Rome, ami de David Rockefeller, franc-maçon du 33e degré, chef du parti corrompu PSDB et ancien président du Brésil. Il est également l’auteur de la loi qui interdit l’entrée de l’armée et de la police fédérale dans les réserves indigènes afin de protéger ses businesses illégaux aux services des Rothschild.
Il est l’un des chefs d’innombrables gangs qui extraient, volent et font passer en contrebande de l’or, des diamants, du niobium, des émeraudes, des bois nobles, de l’uranium, du graphène, zinc et autres minerais d’Amazonie.
C’est FHC lui-même qui a créé la loi qui a donné naissance aux réserves autochtones et ces réserves ont été délibérément délimitées sur les zones les plus riches de l’Amazonie. Ainsi, les mercenaires, les sociétés minières et les mineurs illégaux ont pû négocier et s’installer très facilement dans ces régions.
Un général de l’armée brésilienne, Durval Nery, également consultant au Centre Brésilien des Études Stratégiques de l’Armée Brésilienne (CEBRES) a dénoncé ces crimes commis sous l’administration de FHC. Nery a indiqué qu’un commandement de soldats brésiliens patrouillait à la frontière des réserves. Les soldats naviguaient le long d’une rivière et tombèrent soudain sur une mine illégale. L’endroit était encerclé par des mercenaires armés jusqu’aux dents. Nery a dénoncé l’existence de plusieurs sociétés minières appartenant à la famille Rothschild qui opéraient clandestinement dans le pays dans des réserves indigènes avec des pots de vin versés aux chefs de tribu. FHC avait des liens privilégiés avec Jacob et Nathanael Rothschild et recevaient des milliards de commissions. C’était aussi sous la gestion de FHC que d’innombrables «ONG» ont reçu de sa part carte blanche pour opérer en Amazonie.
FHC a aussi tenté de vendre un gisement de niobium dans la réserve de Raposa do Sol, évalué à des centaines de milliards de dollars, pour la bagatelle de centaine de millions de dollars, à la famille Rothschild. Heureusement, l’ancien sénateur Luiz Eduardo Magalhães a empêché la vente. Et quelques mois plus tard, Magalhães mourut mystérieusement et des enquêtes ont révélées qu’il avait été empoisonné par un type de poison utilisé par des agents du KGB.
FHC était responsable de l’organisation des « Diretas Já », un mouvement qui a ramené au Brésil tous les gangs terroristes communistes qui, dans les années 60 et 70, tentaient de transformer le Brésil en un Cuba brésilien avec des attentats à la bombe contre la population brésilienne ! FHC a créé la « Bourse Terroriste », dont lui et Lula ont bénéficié pendant plus de 20 ans avec des salaires absurdes.
FHC a également tenté de diviser l’Amazonie en 216 micro-nations autochtones avec le projet de livrer l’Amazonie à l’exploitation internationale.
FHC a commis plusieurs crimes de corruption en tant que ministre de l’Économie du gouvernement d’Itamar Franco et surtout aussi en tant que président : des crimes qui ont détourné plus de 8 000 milliards de reais aux caisses publiques et FHC protégé n’a jamais fait l’objet d’une enquête.
Il a également ordonné l’assassinat de Sérgio Motta, PC Farias, Enéas Carneiro, Clodovil, Luis Eduardo Magalhães, Ulysses Guimarães, Tancredo Neves, Antonio C. Magalhães entre autres.
FHC est le père du socialisme brésilien et le principal financier du Foro de SP, mentor de l’URSAL et l’un des leaders de la contrebande de minerais et également de trafic de drogue en Amazonie.
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