Discours de Trump le 23 septembre 2025 à New York, ONU.

Aujourd’hui, seulement 8 mois après le début de mon administration, nous sommes le pays le plus dynamique au monde, et aucun autre pays ne nous arrive même à la cheville.

L’Amérique est bénie avec l’économie la plus forte, les frontières les plus solides, l’armée la plus puissante, les amitiés les plus solides et l’esprit le plus fort de toutes les nations sur Terre.

C’est véritablement l’âge d’or de l’Amérique.

Nous avons inversé rapidement la calamité économique héritée de l’administration précédente (les hausses de prix de l’energie et une inflation record, une inflation comme nous n’en avons jamais connue auparavant).

Sous mon leadership, les coûts de l’énergie ont diminué, les prix de l’essence ont baissé, les prix des produits alimentaires ont diminué, les taux hypothécaires sont en baisse, et l’inflation a été vaincue.

La seule chose qui augmente, c’est la bourse, qui vient d’atteindre un record historique. En fait, elle a atteint un record 48 fois au cours de cette courte période.

La croissance explose, l’industrie manufacturière prospère. Comme je l’ai dit, la bourse se porte mieux qu’elle ne l’a jamais fait, et tous ceux dans cette salle en bénéficient. Presque tout le monde.

Et, surtout, les salaires des travailleurs augmentent à un rythme jamais vu depuis plus de 60 ans. C’est bien de cela qu’il s’agit, n’est-ce pas ?

En 4 ans sous le président Biden, nous avions moins de 1 000 milliards de dollars d’investissements nouveaux aux États-Unis. En seulement 8 mois depuis mon entrée en fonction, nous avons obtenu des engagements et des fonds déjà versés pour 17 000 milliards de dollars. Pensez-y : 4 ans, moins de 1 000 milliards ; 8 mois, bien plus de 17 000 milliards sont investis aux États-Unis, et cela afflue maintenant de toutes les parties du monde.

Nous avons mis en place les plus importantes réductions d’impôts de l’histoire américaine et les plus grandes réductions de réglementations de l’histoire américaine, faisant de notre pays, une fois encore, le meilleur endroit au monde pour faire des affaires. Beaucoup de personnes dans cette salle investissent en Amérique, et cela s’est avéré être un investissement sacrément rentable au cours de ces 8 mois.

Lors de mon premier mandat, j’ai construit la plus grande économie de l’histoire mondiale. Nous avions la meilleure économie au monde, et je fais la même chose à nouveau, mais cette fois, c’est encore plus grand et mieux. Les chiffres surpassent largement mon record précédent.

À notre frontière sud, pendant les 4 derniers mois, et cela fait 4 mois consécutifs, le nombre d’immigrants illégaux admis ou entrés dans notre pays est de 0. Difficile à croire, car il y a un an à peine, des millions et des millions de personnes affluaient de partout dans le monde, des prisons, des institutions psychiatriques, des trafiquants de drogue. Ils arrivaient de partout dans le monde, déferlant dans notre pays à cause de la politique ridicule de frontière ouverte de l’administration Biden.

Notre message est très simple : si vous entrez illégalement aux États-Unis, vous irez en prison ou vous serez renvoyé d’où vous venez, vous savez ce que cela signifie. Je tiens à remercier le Salvador pour le travail efficace et professionnel qu’ils ont accompli en recevant et en emprisonnant tant de criminels qui sont entrés dans notre pays.

Sous l’administration précédente, ce nombre avait atteint des records, mais ils sont tous en train d’être expulsés. Vous n’avez pas le choix, et les autres pays n’ont pas le choix non plus, car ils sont dans la même situation avec l’immigration. Cela détruit votre pays, et il faut faire quelque chose.

Sur la scène mondiale, l’Amérique est à nouveau respectée comme jamais auparavant. Il y a quelques années, 3 ou 4 ans, ou même 1 an, nous étions la risée du monde entier.

Lors du sommet de l’OTAN en juin, presque tous les membres de l’OTAN se sont officiellement engagés, à ma demande, à augmenter leurs dépenses de défense de 2 % à 5 % de leur PIB, rendant notre alliance bien plus forte et puissante qu’elle ne l’a jamais été.

En mai, je me suis rendu au Moyen-Orient pour rendre visite à mes amis et reconstruire nos partenariats dans le Golfe. Ces relations précieuses avec l’Arabie saoudite, le Qatar, les Émirats Arabes Unis et d’autres pays sont, je crois, plus étroites que jamais.

Mon administration a négocié un accord commercial historique après l’autre, y compris avec le Royaume-Uni, l’Union européenne, le Japon, la Corée du Sud, le Vietnam, l’Indonésie, les Philippines, la Malaisie, et bien d’autres encore.

De même, en seulement 7 mois, j’ai mis fin à 7 guerres prétendument insolubles. On disait qu’elles ne pourraient jamais être résolues. Certaines duraient depuis 31 ans, deux d’entre elles pendant 31 ans, une autre 36 ans, une autre 28 ans. J’ai mis fin à sept guerres, des conflits où des milliers de personnes étaient tuées. Cela inclut le Cambodge et la Thaïlande, le Kosovo et la Serbie, le Congo et le Rwanda – une guerre d’une violence extrême –, le Pakistan et l’Inde, Israël et l’Irak, l’Égypte et l’Éthiopie, ainsi que l’Arménie et l’Azerbaïdjan.

Aucun président, aucun premier ministre, ni aucun autre pays n’a jamais accompli quelque chose de comparable, et je l’ai fait en seulement 7 mois. Cela n’était jamais arrivé auparavant. J’en suis très honoré, mais c’est dommage que j’aie dû le faire à la place des Nations Unies, qui, malheureusement, n’ont même pas essayé d’aider dans aucun de ces cas.

J’ai mis fin à 7 guerres, j’ai traité avec les dirigeants de chacun de ces pays, et je n’ai jamais reçu un seul appel des Nations Unies proposant leur aide pour finaliser ces accords.

Tout ce que j’ai obtenu des Nations Unies, c’est un escalator qui s’est arrêté en plein milieu alors que la Première Dame et moi étions dessus – elle aurait pu tomber, mais heureusement, nous avons une super fome tous les deux – et un téléprompteur qui ne fonctionnait pas. Voilà les deux choses que j’ai reçues des Nations Unies : un mauvais escalator et un mauvais téléprompteur. Merci beaucoup. D’ailleurs, le téléprompteur fonctionne maintenant, il vient de s’éteindre. Merci. Je pense que je devrais le faire à l’ancienne, c’est plus simple. Merci beaucoup.

Je n’y avais pas pensé sur le moment, car j’étais trop occupé à travailler pour sauver des millions de vies en mettant fin à ces guerres. Mais plus tard, j’ai réalisé que les Nations Unies n’étaient pas là pour nous. Je n’y ai pensé qu’après coup, pas pendant ces négociations, qui n’étaient pas faciles.

Cela étant dit, à quoi sert l’ONU ? Les Nations Unies ont un potentiel immense, je l’ai toujours dit, un potentiel énorme, mais elles n’en exploitent même pas une fraction. Pour l’instant, elles se contentent d’écrire des lettres au ton très ferme, sans jamais donner suite. Ce ne sont que des mots vides, et les mots vides ne résolvent pas les guerres.

La seule chose qui résout les guerres, c’est l’action. Après avoir mis fin à toutes ces guerres et négocié les Accords d’Abraham – un événement majeur pour lequel notre pays n’a reçu aucun crédit, comme d’habitude –, tout le monde dit que je devrais recevoir le prix Nobel de la paix pour chacune de ces réalisations.

Mais pour moi, le véritable prix, ce sont les fils et les filles qui pourront grandir avec leurs mères et leurs pères, car des millions de personnes ne sont plus tuées dans des guerres sans fin et inutiles. Ce qui m’importe, ce n’est pas de gagner des prix, c’est de sauver des vies.

Nous avons sauvé des millions et des millions de vies avec ces 7 guerres terminées, et nous travaillons sur d’autres accords de paix, vous le savez.

Il y a de nombreuses années, un promoteur immobilier très prospère à New York, connu sous le nom de Donald J. Trump, a fait une offre pour la rénovation et la reconstruction de ce complexe des Nations Unies. Je m’en souviens très bien. À l’époque, j’avais dit que je le ferais pour 500 millions de dollars, en reconstruisant tout magnifiquement. Je parlais de sols en marbre, alors qu’eux proposaient du terrazzo. Je parlais des meilleurs matériaux, de murs en acajou, alors qu’eux proposaient du plastique.

Mais ils ont choisi une autre voie, beaucoup plus coûteuse, et qui a produit un résultat bien inférieur. J’avais réalisé qu’ils ne savaient pas ce qu’ils faisaient en matière de construction, que leurs concepts étaient totalement erronés, et que le produit qu’ils proposaient était mauvais et extrêmement coûteux. Cela allait leur coûter une fortune, et j’avais prévenu qu’il y aurait des dépassements de coûts énormes.

Eh bien, j’avais raison. Ils ont eu des dépassements massifs et ont dépensé entre 2 et 4 milliards de dollars pour le bâtiment, sans même obtenir les sols en marbre que je leur avais promis. Vous marchez sur du terrazzo, vous l’avez remarqué ? Pour moi, franchement, en regardant le bâtiment et en restant coincé dans l’escalator, ils n’ont toujours pas fini le travail, même après toutes ces années.

Ce projet était tellement corrompu que le Congrès m’a même demandé de témoigner sur ce gâchis monumental, car ils n’avaient aucune idée du coût réel, qui se situait entre 2 et 4 milliards de dollars, contre 500 millions garantis. J’avais dit que cela coûterait bien plus de 5 milliards.

Malheureusement, beaucoup de choses aux Nations Unies se passent ainsi, mais à une échelle encore bien plus grande. C’est très triste à voir.

Je suis venu ici aujourd’hui pour offrir la main du leadership et de l’amitié américaine à toute nation de cette assemblée prête à se joindre à nous pour forger un monde plus sûr et plus prospère, un monde qui sera bien plus heureux, avec un avenir bien meilleur à portée de main.

Mais pour y parvenir, nous devons rejeter les approches ratées du passé et travailler ensemble pour affronter certaines des plus grandes menaces de l’histoire. Il n’y a pas de danger plus sérieux pour notre planète aujourd’hui que les armes les plus puissantes et destructrices jamais conçues par l’homme, dont les États-Unis, comme vous le savez, possèdent beaucoup.

Comme je l’ai fait lors de mon premier mandat, j’ai fait de la lutte contre ces menaces une priorité absolue, en commençant par la nation d’Iran. Ma position est très simple : le plus grand sponsor mondial du terrorisme ne doit jamais être autorisé à posséder l’arme la plus dangereuse.

C’est pourquoi, peu après mon entrée en fonction, j’ai envoyé une lettre au soi-disant Guide suprême, proposant une offre généreuse. J’ai promis une coopération totale en échange de la suspension du programme nucléaire iranien. La réponse du régime a été de continuer leurs menaces constantes contre leurs voisins et les intérêts américains dans la région, ainsi que contre certains grands pays voisins. Aujourd’hui, beaucoup d’anciens commandants militaires iraniens, en fait presque tous, ne sont plus parmi nous, ils sont morts.

Et il y a trois mois, lors de l’opération « Marteau de Minuit », 7 bombardiers B-2 américains ont largué des bombes de 1 430 000 livres chacune sur la principale installation nucléaire iranienne, détruisant tout. Aucun autre pays au monde n’aurait pu faire ce que nous avons fait.

Aucun autre pays n’a l’équipement pour faire ce que nous avons fait. Nous avons les armes les plus puissantes au monde. Nous détestons les utiliser, mais nous avons fait quelque chose que les gens voulaient faire depuis 22 ans. Avec la capacité d’enrichissement nucléaire de l’Iran détruite, j’ai immédiatement négocié la fin de la guerre de 12 jours, comme on l’appelle, entre Israël et l’Iran, les deux parties acceptant de cesser les combats.

Comme tout le monde le sait, je me suis également profondément impliqué pour obtenir un cessez-le-feu à Gaza. Il faut que cela soit fait. Malheureusement, le Hamas a rejeté à plusieurs reprises des offres raisonnables de paix. Nous ne pouvons pas oublier le 7 octobre, n’est-ce pas ?

Cependant, certains membres de cette assemblée semblent encourager le conflit en reconnaissant unilatéralement un État palestinien. Une telle démarche reviendrait à récompenser le Hamas pour ses atrocités, y compris celles du 7 octobre, alors qu’il refuse de libérer les otages et d’accepter un cessez-le-feu. Au lieu de céder aux exigences du Hamas, ceux qui aspirent à la paix doivent envoyer un message clair et uni : libérez les otages immédiatement. Merci.

Nous devons nous unir pour mettre fin à la guerre à Gaza sans délai. Il faut négocier la paix et obtenir la libération des otages. Nous voulons le retour des 20 otages restants, pas seulement quelques-uns. Comme vous le savez, avec l’aide de personnes comme Steve Witkoff et Marco Rubio, nous avons réussi à en récupérer la plupart. Mais j’ai toujours dit que les 20 derniers seraient les plus difficiles, et c’est exactement ce qui s’est produit. Nous devons les ramener maintenant, tous ensemble, y compris ceux qui ont tragiquement perdu la vie. Les parents de ces otages me l’ont demandé avec insistance, désirant leur retour avec autant de force que s’ils étaient encore en vie.

Par ailleurs, j’ai travaillé sans relâche pour stopper les combats en Ukraine. Je pensais que cette guerre, parmi les sept que j’ai contribué à arrêter, serait la plus facile à résoudre en raison de ma bonne relation avec le président Poutine. Mais la guerre réserve toujours des surprises.

Tout le monde s’attendait à ce que la Russie l’emporte en trois jours, mais cela ne s’est pas déroulé ainsi. Ce conflit, censé être une simple escarmouche, dure depuis trois ans et demi, causant la mort de 50 à 7 000 jeunes soldats chaque semaine, des deux côtés. Des villes sont bombardées par des roquettes et des drones. Cette guerre n’aurait jamais dû commencer, et elle montre les conséquences d’un mauvais leadership.

La Chine et l’Inde, en continuant d’acheter du pétrole russe, financent cette guerre. Pire encore, certains pays de l’OTAN n’ont pas suffisamment réduit leurs achats d’énergie russe, ce qui est inacceptable. J’ai découvert cela il y a deux semaines et j’étais furieux. Comment peut-on financer un pays tout en le combattant ? Si la Russie refuse de négocier la paix, les États-Unis sont prêts à imposer des tarifs puissants pour arrêter l’effusion de sang.

Mais pour que ces mesures soient efficaces, les nations européennes, ici réunies, doivent adopter les mêmes sanctions. Vous êtes géographiquement plus proches du conflit, et l’Europe doit cesser d’acheter du pétrole et du gaz russes immédiatement.

Sinon, nous perdons tous notre temps. Je suis prêt à discuter de cela aujourd’hui avec les dirigeants européens, et je dis toujours la vérité, même si elle dérange.

Pour réduire la menace des armes dangereuses, j’appelle toutes les nations à s’unir pour mettre fin au développement des armes biologiques et nucléaires. Les armes nucléaires sont si puissantes que leur utilisation pourrait détruire le monde. Il n’y aurait plus d’ONU ni rien d’autre.

Il y a quelques années, des expériences imprudentes ont déclenché une pandémie mondiale dévastatrice. Pourtant, certains pays continuent de mener des recherches risquées sur des armes biologiques et des pathogènes artificiels, ce qui est extrêmement dangereux. Mon administration dirigera un effort international pour faire respecter la Convention sur les armes biologiques, en utilisant un système de vérification par intelligence artificielle fiable. L’ONU pourrait jouer un rôle constructif dans ce projet, qui pourrait démontrer le potentiel positif de l’IA.

L’ONU, au lieu de résoudre des problèmes, en crée souvent de nouveaux. Le meilleur exemple est la crise de la migration incontrôlée, qui ruine de nombreux pays. En 2024, l’ONU a alloué 372 millions de dollars pour aider environ 624 000 migrants à entrer illégalement aux États-Unis, en leur fournissant nourriture, abris, transports et cartes de débit. C’est inacceptable.

L’ONU devrait empêcher les invasions, pas les financer. Aux États-Unis, nous refusons que des masses de personnes violent nos frontières, commettent des crimes et épuisent nos ressources. Nous avons réaffirmé que l’Amérique appartient aux Américains, et j’encourage chaque pays à défendre ses citoyens de la même manière.

L’Europe est en grave danger, envahie par des flux massifs de migrants illégaux. Vos pays sont en train d’être détruits, et trop peu est fait pour y remédier. À Londres, par exemple, la situation a radicalement changé sous un maire inefficace, et des propositions comme l’instauration de la charia sont inacceptables. Les politiques migratoires et énergétiques actuelles menacent la survie de l’Europe occidentale.

Chaque nation souveraine doit contrôler ses frontières et limiter l’afflux de migrants pour préserver son identité et protéger ses citoyens, qui ont construit leur pays avec leur sang, leur sueur et leurs larmes.

Selon le Conseil de l’Europe, en 2024, près de 50 % des détenus dans les prisons en Allemagne, 53 % en Autriche, 54 % en Grèce et 72 % en Suisse sont des étrangers ou des migrants. Ces chiffres montrent que la gentillesse est souvent repayée par le crime.

Il est temps de mettre fin à l’expérience des frontières ouvertes. Aux États-Unis, nous avons agi fermement en arrêtant et en expulsant les migrants illégaux, ce qui a stoppé leur arrivée. Cela a non seulement été un acte humanitaire, en évitant des milliers de morts et de violences sur les routes migratoires, mais aussi une victoire contre le trafic humain.

Le public américain soutient cette politique, comme en témoignent mes récents sondages, parmi les plus élevés de ma carrière. Ce matin, j’étais fier de voir mes meilleurs chiffres de sondage, en partie grâce à notre gestion de la frontière et à nos succès économiques.

Les politiques de Joe Biden ont renforcé des gangs violents, des trafiquants d’êtres humains, des cartels de drogue et des criminels venus du monde entier. Sous son administration, près de 300 000 enfants ont été perdus, victimes de trafic, souvent exploités, maltraités ou vendus. Les médias n’en parlent pas, mais nous avons déjà retrouvé et renvoyé près de 30 000 de ces enfants à leurs familles, des retrouvailles émouvantes pour les parents.

Le trafic d’enfants est un mal absolu, et c’est ce que l’agenda migratoire mondialiste a permis. En Amérique, cette époque est révolue. Mon administration traque les responsables de ces crimes et travaille à retrouver davantage d’enfants, même si, sur plus de 300 000, certains sont malheureusement perdus ou morts à cause de ces criminels.

Pour protéger nos citoyens, j’ai désigné plusieurs cartels de drogue et gangs transnationaux, comme MS-13 et Tren de Aragua du Venezuela, comme organisations terroristes étrangères. Ces groupes torturent, mutilent et tuent sans scrupules. Ils sont les ennemis de l’humanité. Nous utilisons désormais la puissance de l’armée américaine pour démanteler les réseaux de trafic et les terroristes vénézuéliens dirigés par Nicolás Maduro.

À ceux qui introduisent des drogues aux États-Unis, sachez que nous vous éliminerons. Les drogues, comme le fentanyl, ont tué 300 000 Américains l’an dernier. Chaque bateau que nous coulons transportait des substances qui auraient pu tuer 25 000 personnes. Nous ne permettrons pas cela.

Sur le plan énergétique, les États-Unis prospèrent comme jamais. Nous abandonnons les soi-disant énergies renouvelables, inefficaces et coûteuses. Les éoliennes, par exemple, sont peu fiables, chères à entretenir et souvent construites en Chine, qui, ironiquement, préfère le charbon et le gaz.

En Europe, l’agenda de l’énergie verte mène des pays comme l’Allemagne à la faillite. Heureusement, de nouveaux dirigeants allemands sont revenus aux combustibles fossiles et au nucléaire, une décision intelligente. Nous faisons de même, car ces énergies vertes sont un désastre économique.

À New York, la criminalité diminue, et à Washington D.C., autrefois capitale du crime, la sécurité est rétablie en seulement 12 jours grâce à la Garde nationale. Nous avons expulsé ou emprisonné 1 700 criminels de carrière. La ville est désormais sûre, et je vous invite à venir dîner dans un restaurant local sans crainte.

Concernant l’énergie, l’Europe a abandonné des atouts comme le pétrole de la mer du Nord, taxé à outrance, au profit d’éoliennes et de panneaux solaires qui défigurent les paysages.

Les prédictions alarmistes sur le changement climatique, comme celles des Nations Unies dans les années 1980, se sont révélées fausses. Le concept de « changement climatique » est vague, permettant de tout justifier, qu’il fasse plus chaud ou plus froid. C’est, à mon avis, une escroquerie coûteuse.

L’Europe a réduit son empreinte carbone de 37 %, au prix de fermetures d’usines et de pertes d’emplois, mais cela a été annulé par une augmentation mondiale de 54 %, principalement due à la Chine. Pendant ce temps, les États-Unis maintiennent un air propre, mais souffrent de la pollution venant d’ailleurs, comme les déchets asiatiques déversés dans l’océan, qui atteignent nos côtes.

Ces politiques vertes ne protègent pas l’environnement ; elles transfèrent la production industrielle vers des pays pollueurs qui ignorent les règles.

Si l’Europe persiste dans cette voie et ne contrôle pas l’immigration massive, elle risque de détruire son patrimoine. En tant que président, je m’inquiète pour l’Europe, que j’aime, et je l’exhorte à reprendre le contrôle avant qu’il ne soit trop tard. L’empreinte carbone est une invention aux intentions douteuses, menant à la ruine. Les États-Unis, eux, choisissent la prospérité et la sécurité.

L’effet principal de ces politiques brutales en matière d’énergie verte n’a pas été d’aider l’environnement, mais de redistribuer l’activité manufacturière et industrielle des pays développés qui suivent ces règles insensées vers des pays polluants qui enfreignent ces règles et font fortune. Ils font fortune.

Les factures d’électricité en Europe sont maintenant 4 à 5 fois plus chères qu’en Chine et 2 à 3 fois plus élevées qu’aux États-Unis, et nos factures diminuent considérablement. Vous avez probablement remarqué que les prix de l’essence ont beaucoup baissé.

Chaque année, l’Europe déplore plus de 175 000 décès dus à la chaleur. Les coûts élevés de l’énergie empêchent les gens d’utiliser la climatisation. Ce n’est pas l’Europe que je connais et que j’aime. Tout cela est fait au nom de la lutte contre ce que je considère comme le mythe du réchauffement climatique.

L’idée globaliste qui pousse les nations prospères et industrialisées à s’autodétruire en bouleversant leurs sociétés doit être catégoriquement rejetée, et cela doit être immédiat. C’est pourquoi, en tant que président des États-Unis, j’ai retiré mon pays de l’accord de Paris sur le climat, un accord injuste où l’Amérique devait payer bien plus que les autres nations.

Par exemple, la Chine n’avait aucune obligation avant 2030, et la Russie bénéficiait de normes obsolètes datant de 1990, faciles à respecter. Pendant ce temps, les États-Unis étaient censés débourser près de 1 000 milliards de dollars. J’ai dénoncé cette situation comme une escroquerie.

Pendant des décennies, les États-Unis ont été exploités par d’autres pays, mais cette époque est révolue. Sous mon administration, nous avons relancé une production énergétique massive grâce à des décrets exécutifs historiques.

Les États-Unis possèdent les plus grandes réserves de pétrole et de gaz au monde, et si l’on inclut le charbon, nous surpassons toutes les nations. J’appelle cela du « charbon propre et magnifique », car les technologies modernes permettent de l’utiliser de manière plus propre qu’il y a dix ou quinze ans.

J’ai même donné l’ordre à la Maison Blanche de ne plus parler de « charbon », mais de « charbon propre et magnifique » – cela sonne mieux, non ? Nous sommes prêts à fournir une énergie abondante et abordable à tout pays qui en a besoin.

Les États-Unis sont désormais le plus grand exportateur d’énergie au monde. Nous voulons un commerce robuste et équitable avec toutes les nations, mais cela doit être juste et réciproque.

Le commerce et le climat posent des défis similaires. Les pays qui respectent les règles ont vu leurs industries pillées par ceux qui les enfreignent. C’est une situation tragique.

Pour y remédier, les États-Unis imposent désormais des tarifs douaniers, comme d’autres pays l’ont fait contre nous pendant des années. Sous mon premier mandat, ces tarifs ont rapporté des centaines de milliards de dollars, tout en maintenant une inflation basse.

Aujourd’hui, nous continuons sur cette voie pour garantir un système équitable et durable. Ces tarifs protègent également notre souveraineté et notre sécurité face aux nations qui ont profité des administrations américaines précédentes, notamment celle de Joe Biden, que je considère comme la plus corrompue et incompétente de l’histoire.

Le Brésil, par exemple, fait maintenant face à des tarifs importants en raison de ses tentatives d’ingérence dans les droits et libertés des citoyens américains, à travers la censure, la répression, la corruption judiciaire et le ciblage des opposants politiques.

Récemment, j’ai croisé le président brésilien. Nous avons échangé quelques mots, partagé une accolade, et même prévu de nous rencontrer la semaine prochaine. Il semblait sympathique, et nous avions une bonne alchimie. Mais je ne fais des affaires qu’avec ceux que j’apprécie. Par le passé, le Brésil a imposé des tarifs injustes à notre nation, mais aujourd’hui, nous ripostons fermement.

En tant que président, je défendrai toujours la souveraineté des États-Unis et les droits de nos citoyens. Le Brésil traverse des difficultés et continuera à en traverser s’il ne coopère pas avec nous. Sans notre soutien, il échouera, comme d’autres avant lui.

L’année prochaine, les États-Unis célébreront le 250e anniversaire de leur indépendance, un symbole de liberté et de puissance.

Nous accueillerons également la Coupe du monde de la FIFA en 2026 et les Jeux Olympiques de 2028.

Ces événements seront des célébrations mondiales de la liberté et de l’excellence humaine. J’invite le monde entier à y participer.

Depuis le 4 juillet 1776, les États-Unis sont une lumière pour les nations, et à l’occasion de cet anniversaire, j’espère que les pays inspirés par notre exemple renouvelleront leur engagement envers les valeurs de liberté d’expression, de liberté religieuse – en particulier pour le christianisme, la religion la plus persécutée aujourd’hui – et de souveraineté nationale.

Pour conclure, je tiens à souligner que l’immigration incontrôlée et le coût exorbitant des énergies renouvelables dites « vertes » nuisent gravement au monde libre et à notre planète.

Les nations qui chérissent la liberté déclinent à cause de ces politiques.

Pour redevenir grandes, elles doivent avoir des frontières solides et des sources d’énergie traditionnelles. Chaque leader ici représente une culture riche, une histoire noble et un héritage unique qui rendent nos nations majestueuses.

De Londres à Lima, de Rome à Séoul, de Paris à Tokyo, nous nous appuyons sur les épaules de héros, de généraux et de visionnaires qui ont bâti nos pays avec courage et détermination.

Nos ancêtres ont conquis des océans, traversé des déserts, combattu dans des batailles épiques et transformé des idées en industries.

Ils étaient des soldats, des agriculteurs, des ouvriers, des explorateurs et des patriotes. Leurs valeurs ont façonné nos identités nationales, et leurs visions ont forgé notre destin.

Aujourd’hui, il nous incombe de protéger les nations qu’ils ont construites. Ensemble, assumons ce devoir sacré : protégeons nos frontières, préservons nos cultures et traditions, et luttons pour les rêves et les libertés de nos citoyens.

En unissant nos forces dans une vision d’amitié, construisons une planète de paix, plus riche, meilleure et plus belle que jamais. Cela peut commencer dès maintenant.

Nous rendrons nos pays plus sûrs, plus prospères et plus beaux.

Merci beaucoup. Ce fut un honneur.

Que Dieu bénisse les nations du monde.

La vision hamiltonienne à l’épreuve des politiques de Trump : Une quête d’autonomie moderne.

Article aussi publié sur France Soir :

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-vision-hamiltonienne-l-epreuve-des-politiques-de-trump-une-quete-d-autonomie

En 1791, Alexander Hamilton, premier secrétaire du Trésor américain, publie son Report on Manufactures, un plaidoyer audacieux pour transformer une Amérique rurale en puissance industrielle.

« La richesse et la sécurité d’un pays dépendent de ses manufactures », écrit-il (Library of Congress).

Contre Thomas Jefferson, chantre d’une société agraire, Hamilton prône des tarifs douaniers, des subventions et des usines pour briser la dépendance britannique.

Ce texte, bien que freiné à l’époque, inspire le « Système américain » de Henry Clay, des canaux d’Érié aux textiles de Lowell, faisant des États-Unis une puissance mondiale au XXe siècle.

Deux siècles plus tard, les échos d’Hamilton résonnent dans les politiques protectionnistes de Donald Trump, président de 2017 à 2021 et depuis janvier 2025.

Ses tarifs de 2018 sur l’acier (25 %) et l’aluminium (10 %), ou ceux annoncés pour avril 2025 – 10 % sur toutes les importations, jusqu’à 34 % sur la Chine – rappellent l’appel d’Hamilton à l’autosuffisance.
Mais dans un monde globalisé, cette stratégie est-elle pertinente ?

Cet essai explore les parallèles entre Hamilton et Trump, leurs succès, et les défis d’une souveraineté économique au XXIe siècle.

Hamilton : une vision pour l’indépendance.
À l’aube de l’indépendance américaine, les États-Unis exportaient coton et tabac, mais importaient des biens manufacturés de Grande-Bretagne.
Cette dépendance menaçait leur souveraineté, surtout en temps de guerre. Hamilton, dans son Report on Manufactures, propose une industrialisation rapide.

Il défend des tarifs pour protéger les jeunes industries, des subventions pour encourager l’innovation, et des infrastructures (routes, canaux) pour doper le commerce. Sa « Society for Establishing Useful Manufactures » (SEUM) vise à coordonner ces efforts, ciblant des secteurs stratégiques : métallurgie, textiles, papier.

Pour Hamilton, l’industrie crée des emplois, stimule l’innovation et sécurise la nation, produisant armes et vêtements en cas de crise.
Face à Jefferson, qui craint inégalités et urbanisation, Hamilton insiste : manufactures et agriculture se renforcent mutuellement, un marché intérieur robuste garantissant la prospérité.

Trump : un héritier d’Hamilton ?
Comme Hamilton, Trump veut réduire la dépendance aux importations, protéger les industries et renforcer la sécurité nationale.

En 2018, ses tarifs sur l’acier et l’aluminium relancent la sidérurgie américaine (+8 % de production entre 2017 et 2019, US Geological Survey).

En avril 2025, il intensifie cette approche : un tarif universel de 10 %, des taxes de 34 % sur la Chine, 25 % sur l’automobile, et la fin de l’exemption « de minimis » pour les colis chinois.

Ces mesures ciblent des secteurs vitaux – semi-conducteurs, automobiles, pharmaceutiques – pour contrer la domination chinoise (60 % des puces mondiales, Semiconductor Industry Association).
Des projets comme les usines TSMC en Arizona, promettant 20 000 emplois, illustrent une relocalisation concrète, écho moderne à l’autonomie prônée par Hamilton.

Trump justifie ces tarifs par une « urgence nationale » face à un déficit commercial de 1,2 trillion de dollars (2024).

Lors de son discours du « Liberation Day » (2 avril 2025), il déclare : « Nos ouvriers, agriculteurs, artisans ont souffert. Nous restaurons notre base industrielle. »

Cette rhétorique rappelle Hamilton, pour qui l’industrie garantissait la souveraineté.
Comme le colbertisme français sous Louis XIV, où l’État forgeait manufactures et marine, Trump mise sur un État fort pour relancer « Main Street » – les travailleurs et petites entreprises – contre la volatilité des marchés mondiaux.

Succès et limites dans un monde globalisé.
Les tarifs de Trump portent leurs fruits : la sidérurgie rebondit, et des usines de puces s’installent aux États-Unis, réduisant la dépendance à Taïwan et à la Chine.

Les investisseurs obligataires, notant la résilience économique américaine face à la chute chinoise, valident cette stratégie long terme (Bloomberg, 2025).

À l’image d’Hamilton, qui voyait loin malgré les critiques de Jefferson, Trump parie sur des gains durables : emplois, pouvoir d’achat, moins de dettes pour les générations futures.

Mais des défis subsistent.
Les économistes comme Paul Krugman et le Peterson Institute prédisent des hausses de prix (10-20 % sur les biens importés) et des représailles chinoises, potentiellement coûteuses (500 milliards pour les ménages, Peterson, 2025).
En 2018, les taxes chinoises sur le soja ont coûté 27 milliards aux fermiers américains.

Dans une économie mondialisée, où les chaînes d’approvisionnement sont interdépendantes (puces taïwanaises, pièces automobiles européennes), le protectionnisme peut perturber.

Hamilton opérait dans un monde mercantiliste ; Trump navigue un réseau complexe. Ses détracteurs arguent que l’autonomie totale est illusoire, et que la volatilité des marchés – critiquée par Trump comme les « panican » de Wall Street – pourrait freiner la croissance.
Pourtant, ces hausses de prix semblent temporaires.

Les industries se réinstallent, comme le montre TSMC, et les prix pourraient baisser à mesure que la production locale s’accroît.
Hamilton lui-même tolérait des coûts initiaux pour bâtir une économie robuste.

Trump, conseillé par des figures comme Peter Navarro, adapte cette vision : briser la tutelle chinoise, comme Hamilton ciblait l’Angleterre, reste une priorité.

Les représailles sont un risque, mais la souveraineté – industrielle, technologique, sanitaire – prime pour sécuriser l’avenir.

Conclusion : une ambition intemporelle ?
Hamilton rêvait d’une Amérique autonome, capable de rivaliser avec l’Europe. Trump, avec ses tarifs, poursuit cet idéal, modernisé pour affronter la Chine et les crises globales.

Les succès – emplois, relocalisation – côtoient des défis – inflation, tensions commerciales.

Pour un public français, cette quête évoque le colbertisme : un État audacieux, mais confronté à un monde interdépendant.

Hamilton n’anticipait pas tout ; Trump et ses équipes sauront-ils équilibrer souveraineté et coopération ?

L’histoire jugera, mais leur pari long terme, comme celui d’Hamilton, pourrait redessiner l’Amérique.

Qui sont les principaux désinformateurs ? Par le Général Dominique Delawarde.

Comment les faits historiques et actuels montrent que les principaux désinformateurs sont toujours les gouvernements occidentaux, l’OTAN ainsi que les organes de presse “les plus respectés”…

Citation de Mike Pompéo ex-secrétaire d’État US et ex-directeur de la IA: « Lorsque j’étais élève officier à West Point, quelle était la devise du cadet ? Tu ne mentiras pas, tu ne tricheras pas, tu ne voleras pas et tu ne toléreras pas que d’autres le fassent. J’ai été directeur de la CIA et nous avons menti, triché, volé. C’était comme si nous avions eu des stages entiers de formation pour apprendre à le faire »…

Voir la vidéo :
https://www.france-irak-actualite.com/2020/04/mike-pompeo-et-l-arme-du-mensonge.html

Les professionnels de la propagande et de la manipulation des opinions savent bien que le mensonge relayé abondamment par une meute de médias mainstream, transformée en arme de guerre, devient la vérité dans l’esprit des gens, soumis au matraquage continu de fausses nouvelles. Le mensonge médiatique vaut mieux que tout autre moyen pour tenter de noircir l’adversaire et de mettre l’opinion de son côté. Il faut jouer sur l’émotion et faire perdre ainsi, au téléspectateur, toute rationalité. C’est la règle du jeu de la guerre de l’information.

On en arrive à des aberrations comme la proposition stupide d’un général français naïf, qui se pose en expert géopolitique, mais qui entre dans le « jeu médiatique » et qui, se basant sur des affirmations occidentales peu précises, mal interprétées, non confirmées, et donc douteuses par définition, propose, pour sortir de la guerre, ni plus ni moins que de raser une ville avec une bombe nucléaire tactique, sans, évidemment, évoquer les risques et les conséquences d’une telle entreprise.

S’agissant des mensonges des médias mainstream occidentaux qui ont été avérés à posteriori, et qui ont entraîné des conséquences graves, allant jusqu’à provoquer jusqu’à quelques centaines de milliers de morts sur la planète, voire plusieurs millions, les exemples sont nombreux. Nous allons en rappeler quelques uns avant de traiter de celui qui nous occupe aujourd’hui : l’attaque (?) présumée et délibérée (?) d’une centrale nucléaire par l’armée russe dans la nuit du 4 mars 2022.

1 – Timisoara Les plus anciens d’entre nous se souviennent de l’affaire de Timisoara de décembre 1989. C’était la première des révolutions de couleurs européennes, qui pourtant n’avait pas encore de nom «coloré» car les occidentaux n’avaient pas encore inventé le concept …. et qui ne pouvait pas être qualifiée de «Printemps» parce que cette révolution se déroulait en hiver.

Voici ce qu’en dit aujourd’hui Wikipédia (source créée et contrôlé par les occidentaux et qui n’est donc pas neutre):

Les journalistes rapportèrent qu’il y «aurait eu» ??? 1 104 tués et 3 352 blessés pendant l’insurrection, en opposition avec le nombre réel de 93 morts à la fin de celle-ci. Les images de cadavres dont l’origine véritable avait été cachée furent abondamment diffusées dans le monde entier. Ce n’est qu’en février 1990 qu’il fut officiellement établi qu’il s’agissait là d’une campagne de désinformation. Le nom de Timișoara est, dès lors, resté associé aux manipulations dont les médias sont toujours susceptibles d’être à la fois les dupes et les relais. Dès la première diffusion des images aux téléspectateurs il était visible, pour un observateur un tant soit peu attentif, que les corps déterrés portaient de nombreuses cicatrices de plaies recousues trahissant des interventions chirurgicales….

En février 1990, les médias s’étaient répandus en excuse, après six semaines de mensonges, en prétendant avoir été dupés. L’avaient-ils été vraiment ? Probablement pas, mais peu importe les mensonges, pour les occidentaux l’affaire était gagnée. Ceaucescu avait été renversé et un régime pro-occidental mis en place. Aujourd’hui, les choses sont beaucoup plus simples pour les médias. Ils ne s’excusent plus, ils changent de sujet et passent à autre chose lorsque le mensonge apparaît en pleine lumière et devient gênant pour leur notoriété. Les médias comptent beaucoup sur l’oubli et sur la mémoire courte des citoyens lambdas et les nettoyeurs du net s’efforcent très vite d’effacer les traces les plus compromettantes des «énormités» diffusées par nos médias.

2 – Le Kosovo: Sans revenir sur les innombrables fake news répandues par les médias mainstream dans la guerre de Bosnie pour salir un camp et promouvoir l’autre, (et j’étais sur place pour le constater tous les jours), j’évoquerai les mensonges relatifs au Kosovo parce qu’ils ont été dénoncés avec vigueur, à postériori, par des journaliste inattaquables du journal « Le monde diplomatique »: Serge Halimi (rédacteur en chef) et Pierre Rimbert dans un article d’avril 2019, intitulé : « Le plus gros bobard de la fin du XXème siècle ». J’étais très bien placé, à l’époque des faits, pour confirmer ces témoignages. https://www.monde-diplomatique.fr/2019/04/HALIMI/59723

On y apprend, 20 ans après les faits (tout de même) que la plupart des « informations » (???) majeures rapportées par les médias mainstream occidentaux et qui ont justifié le bombardement de la Serbie étaient des fake news.

Nos deux journalistes écrivent : « Les Serbes commettent un « génocide », « jouent au football avec des têtes coupées, dépècent des cadavres, arrachent les fœtus des femmes enceintes tuées et les font griller », prétendit le ministre de la défense allemand, le social-démocrate Rudolf Scharping, dont les propos furent repris par les médias ; ils ont tué « de 100 000 à 500 000 personnes » (TF1, 20 avril 1999), incinéré leurs victimes dans des «fourneaux, du genre de ceux utilisés à Auschwitz » (The Daily Mirror, 7 juillet).

Une à une, ces fausses informations seront taillées en pièces — mais après la fin du conflit —,notamment par l’enquête du journaliste américain Daniel Pearl (The Wall Street Journal, 31 décembre 1999). Tout comme se dégonflera l’une des plus retentissantes manipulations de la fin du XXe siècle : le plan Potkova (« fer à cheval »), un document censé prouver que les Serbes avaient programmé l’« épuration ethnique » du Kosovo. »

Et nos deux auteurs ajoutent en conclusion « Loin d’être des internautes paranoïaques, les principaux désinformateurs furent les gouvernements occidentaux, l’OTAN ainsi que les organes de presse les plus respectés. » Tiens donc …. encore eux …. ?

Laissons méditer les journalistes, les politiques et les experts qui ont encore un cerveau et une conscience, sur cette affaire du Kosovo qui a été le point de départ des évènements que nous connaissons. Humiliée, la Russie qui ne pouvait rien faire en défense d’un allié fidèle a commencé à se réarmer pour se préparer à affronter l’avenir. Humiliée, elle aussi, par le bombardement de son ambassade à Belgrade, la Chine qui ne pouvait rien faire à l’époque, a suivi l’exemple russe. Tous deux ont créé l’Organisation de Coopération de Shangaï en 2001, une alliance à caractère sécuritaire aujourd’hui très puissante, qui compte désormais 9 états dont 4 puissances nucléaires, contrôle 25 % des terres émergées, 43 % de la population, un quart de l’économie mondiale en dollar nominal et un tiers de cette économie en dollars PPA (Parité de Pouvoir d’Achat). Aucun membre de cette alliance n’a voté pour condamner l’intervention de la Russie en Ukraine. La puissance économique et militaire de cette alliance orientale ne cesse de croître, alors même que le déclin économique et militaire de la coalition occidentale peut être observé par les experts et les citoyens éclairés du monde entier.

3 – La 3ème grosse série de mensonges politiques et médiatiques a concerné les deux guerres d’Irak.

Pour la première guerre, il s’est agi de l’affaire des couveuses koweïtiennes, en Octobre 1990. Elle a largement contribué à l’entrée en guerre des USA, suivis par leurs vassaux de l’OTAN, contre l’Irak de Saddam Hussein qui, à ma connaissance, ne menaçait aucun des pays de l’alliance atlantique. Pour ceux qui ne se souviendraient pas de cette affaire qui n’est pas à la gloire des USA et de l’OTAN, je les invite à relire ce qu’en dit Wikipédia et surtout à relire le faux témoignage, relayé par les médias du monde entier, qui a justifié l’intervention de l’OTAN (du fort au faible, évidemment): https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_des_couveuses_au_Kowe%C3%AFt

Pour la seconde guerre d’Irak, il s’agit du mensonge désormais bien connu, de Colin Powell, alors secrétaire d’État américain, brandissant une fiole de poudre de perlin pimpin devant le Conseil de Sécurité de l’Onu en prétendant que c’était un échantillon des armes de destruction massives de Saddam Hussein. On se souvient que la France, l’Allemagne et le Canada avait refusé de suivre cet énorme mensonge US mais qu’une partie importante de l’OTAN (Espagne, Italie, UK, …etc) les avait quand même soutenu dans leur croisade «anti Saddam Hussein».

Ce qui est malheureux pour les populations victimes de ces mensonges de l’occident otanien, c’est qu’elles ont du compter leurs morts par centaines de milliers, dans un silence assourdissant des médias mainstream et de l’opinion publique otanienne qui gémit aujourd’hui. Rien d’étonnant que la montée d’une haine inextinguible contre les occidentaux se soit développée dans le monde et qu’elle ait été suivie par la montée d’un terrorisme, principalement anti occidental.

Dans la période tourmentée que nous connaissons, il serait bon que les bonnes âmes qui compatissent aux malheurs très réels du peuple ukrainien, se souviennent aussi des malheurs infiniment supérieurs en importance infligés à d’autres par les USA et tout ou partie de l’OTAN (dont la France).

J’invite le lecteur à visionner les deux documents sur les liens ci après, qui leur permettront de réfléchir et de relativiser.

Dans le premier Madeleine Albright, Secrétaire d’état US de l’époque, assume et justifie la mort de 500 000 enfants irakiens en disant : «Je crois que c’était un choix très difficile, mais le prix… nous pensons que le prix en valait la peine.» Puis, réalisant qu’elle avait dit une énormité, cette brave dame a fini par présenter des excuses quelques heures plus tard. Avez vous entendu l’opinion publique otanienne s’indigner de ces propos inacceptables ? La mort des enfants irakiens ? les médias occidentaux et les opinions publiques occidentales s’en moquent, en revanche il faut aujourd’hui sauver le soldat Zelinski …. C’est prévu dans le scénario …
https://www.france-irak-actualite.com/2018/03/quand-madeleine-albright-approuvait-la-mort-de-500-000-enfants-irakiens.html

Dans l’opération russe, visant à protéger les populations russophones du Donbass ukrainien et à démilitariser l’Ukraine, la Russie semble, jusqu’à présent, beaucoup plus respectueuse de la vie humaine que les USA et l’OTAN ne l’ont jamais été dans leurs multiples ingérences meurtrières et leurs bombardements aveugles depuis 1990. Des images détestables de tortures et de meurtres par les forces US à Abu Graib et Guantanamo ont circulé sur les réseaux sociaux et ont suscité la colère et la haine de toute une partie du monde. Ces images expliquent, pour une large part, la montée du terrorisme anti-occidental. Enfin, les statistiques de bombardement publiées chaque années par le commandement des Forces américaines ont le mérite d’être claires : depuis 1990, plus d’un million de bombes « occidentales » ont été larguées sur les différents théâtres d’ingérence des USA et de leur bras armé : l’OTAN, souvent bien loin de l’Atlantique Nord …Voyons ce qu’en dit l’ex, et peut être futur, président Trump :

https://t.me/trottasilvano/20954

Dans le second document, le général US Clark, ancien commandant en chef de l’OTAN, nous explique clairement les vraies raisons de la russophobie qui perdure aux USA et, par simple imitation ou suivisme, dans les pays de l’UE, membres de l’OTAN. Voir ou revoir la vidéo sous titrée en français:

On pourrait citer de très nombreux exemples de narratifs mensongers, de montages ou d’attaques sous faux drapeau montés par les services (CIA, MI6, Mossad) et relayés par les médias occidentaux pour noircir l’adversaire, manipuler l’opinion et provoquer une épreuve de force dont ils espéraient sortir vainqueurs et en tirer avantage (Affaires Skripal, Navalny, attaques au gaz sous faux drapeau en Syrie …etc, …etc). «Nous avons menti, triché, volé, comme si nous avions suivi des stages de formation pour le faire …» : lire ou relire les liens ci après :

https://www.asafrance.fr/item/affaire-skripal-et-accusation-britannique-libre-opinion-du-general.html

https://www.voltairenet.org/article180213.html

Quid du plus gros bobard en Ukraine ?

Ayant une connaissance de plus de 40 ans de la propagande de guerre et de ses mensonges, j’étais en attente du plus gros bobard de ce début du XXIème siècle depuis le début du conflit en Ukraine. Quelle histoire rocambolesque l’OTAN allait-il inventer pour enflammer les opinions occidentales en faveur de l’Ukraine et pour donner au président Poutine le visage du diable ?

Bingo! Ce mensonge est survenu dès le 5 mars 2022. L’OTAN n’a pas perdu de temps.
Elle a réussi à faire accuser bruyamment la Russie d’avoir tenté le 4 mars, dans la nuit, de détruire la centrale nucléaire de Zaporojie, la plus grande d’Europe, dans un but qu’elle ne peut évidemment pas rationnellement expliquer.

Après le faux massacre de Timisoara, les couveuses du Koweït, la poudre de Perlin Pimpin de Donald Rumsfeld à l’ONU, bien d’autres Fake News sur le Kosovo et les narratifs mensongers déclenchant les révolutions colorées un peu partout sur la planète, voici donc la vraie-fausse attaque de l’Armée Russe sur une usine nucléaire, mettant en danger «délibérément» l’Europe toute entière.

Comme prévu par ses concepteurs, la mousse faite, par les médias mainstream autour d’une affaire mineure qui va vous être contée ci après, a enflammé les opinions des pays membres de l’OTAN et a réjoui les parieurs, comme moi, qui avaient misé gros sur la survenance d’une histoire foireuse, d’un narratif otanien abracadabrantesque et d’une réaction moutonnière de l’opinion.

Sans épiloguer trop longtemps sur cette pitoyable histoire qui a fait long feu, je laisse à chacun le soin de découvrir par lui même les détails des événements sur lesquels les agences de presse et les médias ont construit leur première grande fake news du XXI ème siècle. Voir le lien ci après:
http://stratediplo.blogspot.com/2022/03/centrale-nucleaire-de-zaporojie.html

Devant le nombre croissant de citoyens européens qui refusent de croire aux narratifs politiques et médiatiques de moins en moins crédibles qui leurs sont proposés, et presque imposés, devant le scepticisme grandissant de la population à l’égard des vérités politiques et médiatiques,
https://www.apar.tv/societe/la-chute-des-grands-medias-et-les-plus-gros-mensonges-quils-ont-racontes-en-2021/ , la censure de toutes les opinions divergentes est progressivement mise en place par les autorités européennes qui s’arrogent toujours plus de pouvoirs, non prévus par les traités. Ainsi Russia Today et Sputnik qui nous donnaient un point de vue alternatif ont été censurés et qualifiés, par une superbe inversion accusatoire, d’organes de propagande, comme si nos médias n’en étaient pas aussi..

Désormais, seuls nos médias mainstream, subventionnés et instrumentalisés par nos politiques, eux même «tenus» et instrumentalisés par les USA et par l’OTAN, ont le monopole pour définir «la vérité occidentale». Personne ne semble choqué par le fait indéniable que le contrôle de nos médias soit concentré dans les mains d’une poignée de milliardaires mondialistes, très liés à leurs frères d’outre atlantique, qui tiennent eux aussi les médias US, et qui ont pris la fâcheuse habitude de faire et de défaire les présidents des USA (et de la France) et de leur imposer une politique étrangère agressive qui serve leurs intérêts.

Ce que les politiques et les médias qui nous prennent trop souvent pour des imbéciles ignorent, c’est qu’il y a de multiple moyens de trouver des informations alternatives, comme le font les citoyens de tous les pays du monde lorsque leur gouvernement pratique la censure.

Voyons ce qu’il en est.

Il y a d’abord, pour les anglophones, les très nombreux sites d’information alternative dont certains sont très fiables. Ils sont autorisés. Il faut reconnaître que la censure est bien moindre en pays anglosaxons (USA, UK) qu’en UE et que la liberté d’expression y est donc bien supérieure à celle que nous pouvons connaître en UE en général, en France en particulier.

Un exemple? Le site de l’université de Chicago, où l’un des meilleurs géopoliticiens du monde occidental (le Raoult de la géopolitique) a pu et peut encore s’exprimer librement sur la crise ukrainienne et développer des positions qui sont à l’opposé de celles du président français et de ses maîtres européens, atlantistes et mondialistes. La conférence de 2015 de John Mersheimer, qui désigne clairement les responsables occidentaux de la crise ukrainienne, était prémonitoire. Elle revient à la mode et compte aujourd’hui plus de 18 millions de vues sans jamais avoir été censurée.

Il y a aussi, les très nombreux sites de médias mainstream étrangers qui ne sont pas hostiles à la Russie et qui diffusent des reportages et des points de vue très éloignés de ceux des autorités des et des médias des USA, de l’UE et de la France. Ils reprennent et commentent parfois les articles de Sputnik.
L’exemple des médias Indiens est très révélateur et intéressant. Le journal en ligne « Times of India » nous présente l’interview de deux officiers généraux qui, dans une longue interview argumentée, explique comment «Poutine a mis l’OTAN en Echec et Mat». Cette interview a fait plus de 3,7 millions de vues en une semaine. Elle en fera bien davantage dans les jours qui viennent.

Il y a même des médias mainstream US qui acceptent de donner la parole à des invités qui s’écartent du politiquement correct. Ainsi, la chaîne US Fox News donne régulièrement la parole à mon ami, le colonel Douglas Mac Gregor, consultant militaire, dont le discours est diamétralement opposé à celui de notre gouvernance et à certains de nos généraux de plateau TV, lorsqu’il dit notamment: «Zelenski n’est pas un héros, c’est une marionnette qui fait courir à sa population des risques inutiles».
https://www.realclearpolitics.com/video/2022/03/05/macgregor_zelensky_is_no_hero_hes_a_puppet_that_is_putting_his_own_population_at_unnecessary_risk.html

Il y a enfin les rapports officiels de sources françaises dont les politiques et les médias feignent d’ignorer l’existence. Un exemple parmi d’autres, le rapport de l’OFPRA (Office Français de Protection des Réfugiés et Apatrides du 13 novembre 2018 sur les « Violences commises par les groupes ultranationalistes ukrainiens envers les personnes soupçonnées de séparatisme » : ces ultranationalistes que certains appellent, non sans de solides raisons, les ukro–nazis.

Cliquer pour accéder à 1811_ukr_violences_groupes_ultranationalistes_0.pdf

Le président français peut difficilement prétendre «qu’il ne savait pas», que les ukro-nazis n’existent pas, et glorifier le «héros de l’Ukraine»: Zélenski, d’autant que cet amuseur public

bonimenteur professionnel, s’est fait prendre, les doigts dans le pot de confiture des Pandorra Papers et a donc trompé et volé le peuple ukrainien en se faisant élire sur la lutte contre la corruption, alors qu’il est lui même corrompu jusqu’à la moelle. Mais au fond, qui se ressemble s’assemble ….

Ukraine – Les Pandora papers révèlent les montages offshores de Zelensky

Si l’on sort du champ de la guerre de l’information mainstream, celui qui cherche à s’informer vraiment sur l’Ukraine, qu’il soit anglophone ou francophone, dispose d’un grand nombre de sites d’information alternative. Si tous ne sont pas fiables, beaucoup le sont. Ils disposent de gens bien informés qui mettent leur plume, leur expérience, et leurs réseaux, parfois international, à la disposition du plus grand nombre. Ils partagent leurs articles à titre bénévole et n’ont donc rien à gagner et rien à perdre à dire leur vérité, ce qui n’est pas le cas d’un journaliste mainstream qui doit s’autocensurer s’il veut garder son emploi, être promu et survivre dans le métier..

Voici une liste non exhaustive de sites permettant à chacun de se réinformer. Il faut être prudent, bien sûr, faire appel à son intelligence, son bon sens, garder son esprit critique en éveil, et débusquer les éventuels biais. Mais il y en a souvent, selon moi, beaucoup moins que dans les narratifs mainstream, et certains articles me paraissent vraiment excellents.

Pour le renseignement militaire proprement dit, le site anglophone South Front donne, chaque jour, des rapports et des cartes de situation presque parfaitement renseignées sur les différents théâtres d’opération dans le monde (Ukraine, mais aussi Syrie, Yemen, ….etc). Ils nous donnent aussi, à intervalles réguliers, la position des portes avions US, ce qui est un indicateur précieux sur les éventuelles opérations envisagées: https://southfront.org/

Pour la crise ukrainienne, je lis ou j’écoute avec intérêt les rapports hebdomadaires de Christelle Néant. https://reseauinternational.net/author/chrisrelleneant/ et de Xavier Moreau sur le site Stratpol, https://stratpol.com/ Je les sens plus compétents sur ce sujet qu’ils suivent depuis plus d’une décennie et surtout plus honnêtes et moins soumis au politiques que nos journalistes mainstream. Xavier Moreau est un ancien Saint Cyrien et un ancien des Forces Spéciales de notre pays. Il sait ce qu’est une analyse de renseignement.

Je recommande aussi les journaux télévisés et les émissions en ligne de TV liberté qui nous donnent une autre vue des choses avec professionnalisme et surtout déontologie. Pour vous mettre en appétit regardez le journal du 4 mars https://www.tvlibertes.com/guerre-en-ukraine-mensonges-et-manipulations-jt-du-vendredi-4-mars-2022

Sans pouvoir les citer tous, je recommande aussi le site https://reseauinternational.net/ qui produit des analyses intéressantes, notamment sur l’Ukraine. Quelques plumes sont des « pointures » en matière de géopolitique et particulièrement sur le sujet qui nous préoccupe . Paul Craig Roberts, ancien sous secrétaire à l’économie de l’administration Reagan, Avic, Pepe Escobar, Valentin Vasilescu, Thierry Meyssan, Karine Bechet Golovko … etc, … . Je recommande aussi le site https://lecourrierdesstrateges.fr/

La censure sera donc contreproductive. Tous ceux qui savent que les médias mentent comme des arracheurs de dents, en temps de crise, iront chercher ailleurs, l’information qu’on veut leur cacher.

Général Dominique Delawarde.

Article paru sur:

Médias mainstream: Comment développer l’hystérie russophobe en diffusant des Fakes News tout en pratiquant la censure, par le Général Delawarde

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