Discours de Trump le 23 septembre 2025 à New York, ONU.

Aujourd’hui, seulement 8 mois après le début de mon administration, nous sommes le pays le plus dynamique au monde, et aucun autre pays ne nous arrive même à la cheville.

L’Amérique est bénie avec l’économie la plus forte, les frontières les plus solides, l’armée la plus puissante, les amitiés les plus solides et l’esprit le plus fort de toutes les nations sur Terre.

C’est véritablement l’âge d’or de l’Amérique.

Nous avons inversé rapidement la calamité économique héritée de l’administration précédente (les hausses de prix de l’energie et une inflation record, une inflation comme nous n’en avons jamais connue auparavant).

Sous mon leadership, les coûts de l’énergie ont diminué, les prix de l’essence ont baissé, les prix des produits alimentaires ont diminué, les taux hypothécaires sont en baisse, et l’inflation a été vaincue.

La seule chose qui augmente, c’est la bourse, qui vient d’atteindre un record historique. En fait, elle a atteint un record 48 fois au cours de cette courte période.

La croissance explose, l’industrie manufacturière prospère. Comme je l’ai dit, la bourse se porte mieux qu’elle ne l’a jamais fait, et tous ceux dans cette salle en bénéficient. Presque tout le monde.

Et, surtout, les salaires des travailleurs augmentent à un rythme jamais vu depuis plus de 60 ans. C’est bien de cela qu’il s’agit, n’est-ce pas ?

En 4 ans sous le président Biden, nous avions moins de 1 000 milliards de dollars d’investissements nouveaux aux États-Unis. En seulement 8 mois depuis mon entrée en fonction, nous avons obtenu des engagements et des fonds déjà versés pour 17 000 milliards de dollars. Pensez-y : 4 ans, moins de 1 000 milliards ; 8 mois, bien plus de 17 000 milliards sont investis aux États-Unis, et cela afflue maintenant de toutes les parties du monde.

Nous avons mis en place les plus importantes réductions d’impôts de l’histoire américaine et les plus grandes réductions de réglementations de l’histoire américaine, faisant de notre pays, une fois encore, le meilleur endroit au monde pour faire des affaires. Beaucoup de personnes dans cette salle investissent en Amérique, et cela s’est avéré être un investissement sacrément rentable au cours de ces 8 mois.

Lors de mon premier mandat, j’ai construit la plus grande économie de l’histoire mondiale. Nous avions la meilleure économie au monde, et je fais la même chose à nouveau, mais cette fois, c’est encore plus grand et mieux. Les chiffres surpassent largement mon record précédent.

À notre frontière sud, pendant les 4 derniers mois, et cela fait 4 mois consécutifs, le nombre d’immigrants illégaux admis ou entrés dans notre pays est de 0. Difficile à croire, car il y a un an à peine, des millions et des millions de personnes affluaient de partout dans le monde, des prisons, des institutions psychiatriques, des trafiquants de drogue. Ils arrivaient de partout dans le monde, déferlant dans notre pays à cause de la politique ridicule de frontière ouverte de l’administration Biden.

Notre message est très simple : si vous entrez illégalement aux États-Unis, vous irez en prison ou vous serez renvoyé d’où vous venez, vous savez ce que cela signifie. Je tiens à remercier le Salvador pour le travail efficace et professionnel qu’ils ont accompli en recevant et en emprisonnant tant de criminels qui sont entrés dans notre pays.

Sous l’administration précédente, ce nombre avait atteint des records, mais ils sont tous en train d’être expulsés. Vous n’avez pas le choix, et les autres pays n’ont pas le choix non plus, car ils sont dans la même situation avec l’immigration. Cela détruit votre pays, et il faut faire quelque chose.

Sur la scène mondiale, l’Amérique est à nouveau respectée comme jamais auparavant. Il y a quelques années, 3 ou 4 ans, ou même 1 an, nous étions la risée du monde entier.

Lors du sommet de l’OTAN en juin, presque tous les membres de l’OTAN se sont officiellement engagés, à ma demande, à augmenter leurs dépenses de défense de 2 % à 5 % de leur PIB, rendant notre alliance bien plus forte et puissante qu’elle ne l’a jamais été.

En mai, je me suis rendu au Moyen-Orient pour rendre visite à mes amis et reconstruire nos partenariats dans le Golfe. Ces relations précieuses avec l’Arabie saoudite, le Qatar, les Émirats Arabes Unis et d’autres pays sont, je crois, plus étroites que jamais.

Mon administration a négocié un accord commercial historique après l’autre, y compris avec le Royaume-Uni, l’Union européenne, le Japon, la Corée du Sud, le Vietnam, l’Indonésie, les Philippines, la Malaisie, et bien d’autres encore.

De même, en seulement 7 mois, j’ai mis fin à 7 guerres prétendument insolubles. On disait qu’elles ne pourraient jamais être résolues. Certaines duraient depuis 31 ans, deux d’entre elles pendant 31 ans, une autre 36 ans, une autre 28 ans. J’ai mis fin à sept guerres, des conflits où des milliers de personnes étaient tuées. Cela inclut le Cambodge et la Thaïlande, le Kosovo et la Serbie, le Congo et le Rwanda – une guerre d’une violence extrême –, le Pakistan et l’Inde, Israël et l’Irak, l’Égypte et l’Éthiopie, ainsi que l’Arménie et l’Azerbaïdjan.

Aucun président, aucun premier ministre, ni aucun autre pays n’a jamais accompli quelque chose de comparable, et je l’ai fait en seulement 7 mois. Cela n’était jamais arrivé auparavant. J’en suis très honoré, mais c’est dommage que j’aie dû le faire à la place des Nations Unies, qui, malheureusement, n’ont même pas essayé d’aider dans aucun de ces cas.

J’ai mis fin à 7 guerres, j’ai traité avec les dirigeants de chacun de ces pays, et je n’ai jamais reçu un seul appel des Nations Unies proposant leur aide pour finaliser ces accords.

Tout ce que j’ai obtenu des Nations Unies, c’est un escalator qui s’est arrêté en plein milieu alors que la Première Dame et moi étions dessus – elle aurait pu tomber, mais heureusement, nous avons une super fome tous les deux – et un téléprompteur qui ne fonctionnait pas. Voilà les deux choses que j’ai reçues des Nations Unies : un mauvais escalator et un mauvais téléprompteur. Merci beaucoup. D’ailleurs, le téléprompteur fonctionne maintenant, il vient de s’éteindre. Merci. Je pense que je devrais le faire à l’ancienne, c’est plus simple. Merci beaucoup.

Je n’y avais pas pensé sur le moment, car j’étais trop occupé à travailler pour sauver des millions de vies en mettant fin à ces guerres. Mais plus tard, j’ai réalisé que les Nations Unies n’étaient pas là pour nous. Je n’y ai pensé qu’après coup, pas pendant ces négociations, qui n’étaient pas faciles.

Cela étant dit, à quoi sert l’ONU ? Les Nations Unies ont un potentiel immense, je l’ai toujours dit, un potentiel énorme, mais elles n’en exploitent même pas une fraction. Pour l’instant, elles se contentent d’écrire des lettres au ton très ferme, sans jamais donner suite. Ce ne sont que des mots vides, et les mots vides ne résolvent pas les guerres.

La seule chose qui résout les guerres, c’est l’action. Après avoir mis fin à toutes ces guerres et négocié les Accords d’Abraham – un événement majeur pour lequel notre pays n’a reçu aucun crédit, comme d’habitude –, tout le monde dit que je devrais recevoir le prix Nobel de la paix pour chacune de ces réalisations.

Mais pour moi, le véritable prix, ce sont les fils et les filles qui pourront grandir avec leurs mères et leurs pères, car des millions de personnes ne sont plus tuées dans des guerres sans fin et inutiles. Ce qui m’importe, ce n’est pas de gagner des prix, c’est de sauver des vies.

Nous avons sauvé des millions et des millions de vies avec ces 7 guerres terminées, et nous travaillons sur d’autres accords de paix, vous le savez.

Il y a de nombreuses années, un promoteur immobilier très prospère à New York, connu sous le nom de Donald J. Trump, a fait une offre pour la rénovation et la reconstruction de ce complexe des Nations Unies. Je m’en souviens très bien. À l’époque, j’avais dit que je le ferais pour 500 millions de dollars, en reconstruisant tout magnifiquement. Je parlais de sols en marbre, alors qu’eux proposaient du terrazzo. Je parlais des meilleurs matériaux, de murs en acajou, alors qu’eux proposaient du plastique.

Mais ils ont choisi une autre voie, beaucoup plus coûteuse, et qui a produit un résultat bien inférieur. J’avais réalisé qu’ils ne savaient pas ce qu’ils faisaient en matière de construction, que leurs concepts étaient totalement erronés, et que le produit qu’ils proposaient était mauvais et extrêmement coûteux. Cela allait leur coûter une fortune, et j’avais prévenu qu’il y aurait des dépassements de coûts énormes.

Eh bien, j’avais raison. Ils ont eu des dépassements massifs et ont dépensé entre 2 et 4 milliards de dollars pour le bâtiment, sans même obtenir les sols en marbre que je leur avais promis. Vous marchez sur du terrazzo, vous l’avez remarqué ? Pour moi, franchement, en regardant le bâtiment et en restant coincé dans l’escalator, ils n’ont toujours pas fini le travail, même après toutes ces années.

Ce projet était tellement corrompu que le Congrès m’a même demandé de témoigner sur ce gâchis monumental, car ils n’avaient aucune idée du coût réel, qui se situait entre 2 et 4 milliards de dollars, contre 500 millions garantis. J’avais dit que cela coûterait bien plus de 5 milliards.

Malheureusement, beaucoup de choses aux Nations Unies se passent ainsi, mais à une échelle encore bien plus grande. C’est très triste à voir.

Je suis venu ici aujourd’hui pour offrir la main du leadership et de l’amitié américaine à toute nation de cette assemblée prête à se joindre à nous pour forger un monde plus sûr et plus prospère, un monde qui sera bien plus heureux, avec un avenir bien meilleur à portée de main.

Mais pour y parvenir, nous devons rejeter les approches ratées du passé et travailler ensemble pour affronter certaines des plus grandes menaces de l’histoire. Il n’y a pas de danger plus sérieux pour notre planète aujourd’hui que les armes les plus puissantes et destructrices jamais conçues par l’homme, dont les États-Unis, comme vous le savez, possèdent beaucoup.

Comme je l’ai fait lors de mon premier mandat, j’ai fait de la lutte contre ces menaces une priorité absolue, en commençant par la nation d’Iran. Ma position est très simple : le plus grand sponsor mondial du terrorisme ne doit jamais être autorisé à posséder l’arme la plus dangereuse.

C’est pourquoi, peu après mon entrée en fonction, j’ai envoyé une lettre au soi-disant Guide suprême, proposant une offre généreuse. J’ai promis une coopération totale en échange de la suspension du programme nucléaire iranien. La réponse du régime a été de continuer leurs menaces constantes contre leurs voisins et les intérêts américains dans la région, ainsi que contre certains grands pays voisins. Aujourd’hui, beaucoup d’anciens commandants militaires iraniens, en fait presque tous, ne sont plus parmi nous, ils sont morts.

Et il y a trois mois, lors de l’opération « Marteau de Minuit », 7 bombardiers B-2 américains ont largué des bombes de 1 430 000 livres chacune sur la principale installation nucléaire iranienne, détruisant tout. Aucun autre pays au monde n’aurait pu faire ce que nous avons fait.

Aucun autre pays n’a l’équipement pour faire ce que nous avons fait. Nous avons les armes les plus puissantes au monde. Nous détestons les utiliser, mais nous avons fait quelque chose que les gens voulaient faire depuis 22 ans. Avec la capacité d’enrichissement nucléaire de l’Iran détruite, j’ai immédiatement négocié la fin de la guerre de 12 jours, comme on l’appelle, entre Israël et l’Iran, les deux parties acceptant de cesser les combats.

Comme tout le monde le sait, je me suis également profondément impliqué pour obtenir un cessez-le-feu à Gaza. Il faut que cela soit fait. Malheureusement, le Hamas a rejeté à plusieurs reprises des offres raisonnables de paix. Nous ne pouvons pas oublier le 7 octobre, n’est-ce pas ?

Cependant, certains membres de cette assemblée semblent encourager le conflit en reconnaissant unilatéralement un État palestinien. Une telle démarche reviendrait à récompenser le Hamas pour ses atrocités, y compris celles du 7 octobre, alors qu’il refuse de libérer les otages et d’accepter un cessez-le-feu. Au lieu de céder aux exigences du Hamas, ceux qui aspirent à la paix doivent envoyer un message clair et uni : libérez les otages immédiatement. Merci.

Nous devons nous unir pour mettre fin à la guerre à Gaza sans délai. Il faut négocier la paix et obtenir la libération des otages. Nous voulons le retour des 20 otages restants, pas seulement quelques-uns. Comme vous le savez, avec l’aide de personnes comme Steve Witkoff et Marco Rubio, nous avons réussi à en récupérer la plupart. Mais j’ai toujours dit que les 20 derniers seraient les plus difficiles, et c’est exactement ce qui s’est produit. Nous devons les ramener maintenant, tous ensemble, y compris ceux qui ont tragiquement perdu la vie. Les parents de ces otages me l’ont demandé avec insistance, désirant leur retour avec autant de force que s’ils étaient encore en vie.

Par ailleurs, j’ai travaillé sans relâche pour stopper les combats en Ukraine. Je pensais que cette guerre, parmi les sept que j’ai contribué à arrêter, serait la plus facile à résoudre en raison de ma bonne relation avec le président Poutine. Mais la guerre réserve toujours des surprises.

Tout le monde s’attendait à ce que la Russie l’emporte en trois jours, mais cela ne s’est pas déroulé ainsi. Ce conflit, censé être une simple escarmouche, dure depuis trois ans et demi, causant la mort de 50 à 7 000 jeunes soldats chaque semaine, des deux côtés. Des villes sont bombardées par des roquettes et des drones. Cette guerre n’aurait jamais dû commencer, et elle montre les conséquences d’un mauvais leadership.

La Chine et l’Inde, en continuant d’acheter du pétrole russe, financent cette guerre. Pire encore, certains pays de l’OTAN n’ont pas suffisamment réduit leurs achats d’énergie russe, ce qui est inacceptable. J’ai découvert cela il y a deux semaines et j’étais furieux. Comment peut-on financer un pays tout en le combattant ? Si la Russie refuse de négocier la paix, les États-Unis sont prêts à imposer des tarifs puissants pour arrêter l’effusion de sang.

Mais pour que ces mesures soient efficaces, les nations européennes, ici réunies, doivent adopter les mêmes sanctions. Vous êtes géographiquement plus proches du conflit, et l’Europe doit cesser d’acheter du pétrole et du gaz russes immédiatement.

Sinon, nous perdons tous notre temps. Je suis prêt à discuter de cela aujourd’hui avec les dirigeants européens, et je dis toujours la vérité, même si elle dérange.

Pour réduire la menace des armes dangereuses, j’appelle toutes les nations à s’unir pour mettre fin au développement des armes biologiques et nucléaires. Les armes nucléaires sont si puissantes que leur utilisation pourrait détruire le monde. Il n’y aurait plus d’ONU ni rien d’autre.

Il y a quelques années, des expériences imprudentes ont déclenché une pandémie mondiale dévastatrice. Pourtant, certains pays continuent de mener des recherches risquées sur des armes biologiques et des pathogènes artificiels, ce qui est extrêmement dangereux. Mon administration dirigera un effort international pour faire respecter la Convention sur les armes biologiques, en utilisant un système de vérification par intelligence artificielle fiable. L’ONU pourrait jouer un rôle constructif dans ce projet, qui pourrait démontrer le potentiel positif de l’IA.

L’ONU, au lieu de résoudre des problèmes, en crée souvent de nouveaux. Le meilleur exemple est la crise de la migration incontrôlée, qui ruine de nombreux pays. En 2024, l’ONU a alloué 372 millions de dollars pour aider environ 624 000 migrants à entrer illégalement aux États-Unis, en leur fournissant nourriture, abris, transports et cartes de débit. C’est inacceptable.

L’ONU devrait empêcher les invasions, pas les financer. Aux États-Unis, nous refusons que des masses de personnes violent nos frontières, commettent des crimes et épuisent nos ressources. Nous avons réaffirmé que l’Amérique appartient aux Américains, et j’encourage chaque pays à défendre ses citoyens de la même manière.

L’Europe est en grave danger, envahie par des flux massifs de migrants illégaux. Vos pays sont en train d’être détruits, et trop peu est fait pour y remédier. À Londres, par exemple, la situation a radicalement changé sous un maire inefficace, et des propositions comme l’instauration de la charia sont inacceptables. Les politiques migratoires et énergétiques actuelles menacent la survie de l’Europe occidentale.

Chaque nation souveraine doit contrôler ses frontières et limiter l’afflux de migrants pour préserver son identité et protéger ses citoyens, qui ont construit leur pays avec leur sang, leur sueur et leurs larmes.

Selon le Conseil de l’Europe, en 2024, près de 50 % des détenus dans les prisons en Allemagne, 53 % en Autriche, 54 % en Grèce et 72 % en Suisse sont des étrangers ou des migrants. Ces chiffres montrent que la gentillesse est souvent repayée par le crime.

Il est temps de mettre fin à l’expérience des frontières ouvertes. Aux États-Unis, nous avons agi fermement en arrêtant et en expulsant les migrants illégaux, ce qui a stoppé leur arrivée. Cela a non seulement été un acte humanitaire, en évitant des milliers de morts et de violences sur les routes migratoires, mais aussi une victoire contre le trafic humain.

Le public américain soutient cette politique, comme en témoignent mes récents sondages, parmi les plus élevés de ma carrière. Ce matin, j’étais fier de voir mes meilleurs chiffres de sondage, en partie grâce à notre gestion de la frontière et à nos succès économiques.

Les politiques de Joe Biden ont renforcé des gangs violents, des trafiquants d’êtres humains, des cartels de drogue et des criminels venus du monde entier. Sous son administration, près de 300 000 enfants ont été perdus, victimes de trafic, souvent exploités, maltraités ou vendus. Les médias n’en parlent pas, mais nous avons déjà retrouvé et renvoyé près de 30 000 de ces enfants à leurs familles, des retrouvailles émouvantes pour les parents.

Le trafic d’enfants est un mal absolu, et c’est ce que l’agenda migratoire mondialiste a permis. En Amérique, cette époque est révolue. Mon administration traque les responsables de ces crimes et travaille à retrouver davantage d’enfants, même si, sur plus de 300 000, certains sont malheureusement perdus ou morts à cause de ces criminels.

Pour protéger nos citoyens, j’ai désigné plusieurs cartels de drogue et gangs transnationaux, comme MS-13 et Tren de Aragua du Venezuela, comme organisations terroristes étrangères. Ces groupes torturent, mutilent et tuent sans scrupules. Ils sont les ennemis de l’humanité. Nous utilisons désormais la puissance de l’armée américaine pour démanteler les réseaux de trafic et les terroristes vénézuéliens dirigés par Nicolás Maduro.

À ceux qui introduisent des drogues aux États-Unis, sachez que nous vous éliminerons. Les drogues, comme le fentanyl, ont tué 300 000 Américains l’an dernier. Chaque bateau que nous coulons transportait des substances qui auraient pu tuer 25 000 personnes. Nous ne permettrons pas cela.

Sur le plan énergétique, les États-Unis prospèrent comme jamais. Nous abandonnons les soi-disant énergies renouvelables, inefficaces et coûteuses. Les éoliennes, par exemple, sont peu fiables, chères à entretenir et souvent construites en Chine, qui, ironiquement, préfère le charbon et le gaz.

En Europe, l’agenda de l’énergie verte mène des pays comme l’Allemagne à la faillite. Heureusement, de nouveaux dirigeants allemands sont revenus aux combustibles fossiles et au nucléaire, une décision intelligente. Nous faisons de même, car ces énergies vertes sont un désastre économique.

À New York, la criminalité diminue, et à Washington D.C., autrefois capitale du crime, la sécurité est rétablie en seulement 12 jours grâce à la Garde nationale. Nous avons expulsé ou emprisonné 1 700 criminels de carrière. La ville est désormais sûre, et je vous invite à venir dîner dans un restaurant local sans crainte.

Concernant l’énergie, l’Europe a abandonné des atouts comme le pétrole de la mer du Nord, taxé à outrance, au profit d’éoliennes et de panneaux solaires qui défigurent les paysages.

Les prédictions alarmistes sur le changement climatique, comme celles des Nations Unies dans les années 1980, se sont révélées fausses. Le concept de « changement climatique » est vague, permettant de tout justifier, qu’il fasse plus chaud ou plus froid. C’est, à mon avis, une escroquerie coûteuse.

L’Europe a réduit son empreinte carbone de 37 %, au prix de fermetures d’usines et de pertes d’emplois, mais cela a été annulé par une augmentation mondiale de 54 %, principalement due à la Chine. Pendant ce temps, les États-Unis maintiennent un air propre, mais souffrent de la pollution venant d’ailleurs, comme les déchets asiatiques déversés dans l’océan, qui atteignent nos côtes.

Ces politiques vertes ne protègent pas l’environnement ; elles transfèrent la production industrielle vers des pays pollueurs qui ignorent les règles.

Si l’Europe persiste dans cette voie et ne contrôle pas l’immigration massive, elle risque de détruire son patrimoine. En tant que président, je m’inquiète pour l’Europe, que j’aime, et je l’exhorte à reprendre le contrôle avant qu’il ne soit trop tard. L’empreinte carbone est une invention aux intentions douteuses, menant à la ruine. Les États-Unis, eux, choisissent la prospérité et la sécurité.

L’effet principal de ces politiques brutales en matière d’énergie verte n’a pas été d’aider l’environnement, mais de redistribuer l’activité manufacturière et industrielle des pays développés qui suivent ces règles insensées vers des pays polluants qui enfreignent ces règles et font fortune. Ils font fortune.

Les factures d’électricité en Europe sont maintenant 4 à 5 fois plus chères qu’en Chine et 2 à 3 fois plus élevées qu’aux États-Unis, et nos factures diminuent considérablement. Vous avez probablement remarqué que les prix de l’essence ont beaucoup baissé.

Chaque année, l’Europe déplore plus de 175 000 décès dus à la chaleur. Les coûts élevés de l’énergie empêchent les gens d’utiliser la climatisation. Ce n’est pas l’Europe que je connais et que j’aime. Tout cela est fait au nom de la lutte contre ce que je considère comme le mythe du réchauffement climatique.

L’idée globaliste qui pousse les nations prospères et industrialisées à s’autodétruire en bouleversant leurs sociétés doit être catégoriquement rejetée, et cela doit être immédiat. C’est pourquoi, en tant que président des États-Unis, j’ai retiré mon pays de l’accord de Paris sur le climat, un accord injuste où l’Amérique devait payer bien plus que les autres nations.

Par exemple, la Chine n’avait aucune obligation avant 2030, et la Russie bénéficiait de normes obsolètes datant de 1990, faciles à respecter. Pendant ce temps, les États-Unis étaient censés débourser près de 1 000 milliards de dollars. J’ai dénoncé cette situation comme une escroquerie.

Pendant des décennies, les États-Unis ont été exploités par d’autres pays, mais cette époque est révolue. Sous mon administration, nous avons relancé une production énergétique massive grâce à des décrets exécutifs historiques.

Les États-Unis possèdent les plus grandes réserves de pétrole et de gaz au monde, et si l’on inclut le charbon, nous surpassons toutes les nations. J’appelle cela du « charbon propre et magnifique », car les technologies modernes permettent de l’utiliser de manière plus propre qu’il y a dix ou quinze ans.

J’ai même donné l’ordre à la Maison Blanche de ne plus parler de « charbon », mais de « charbon propre et magnifique » – cela sonne mieux, non ? Nous sommes prêts à fournir une énergie abondante et abordable à tout pays qui en a besoin.

Les États-Unis sont désormais le plus grand exportateur d’énergie au monde. Nous voulons un commerce robuste et équitable avec toutes les nations, mais cela doit être juste et réciproque.

Le commerce et le climat posent des défis similaires. Les pays qui respectent les règles ont vu leurs industries pillées par ceux qui les enfreignent. C’est une situation tragique.

Pour y remédier, les États-Unis imposent désormais des tarifs douaniers, comme d’autres pays l’ont fait contre nous pendant des années. Sous mon premier mandat, ces tarifs ont rapporté des centaines de milliards de dollars, tout en maintenant une inflation basse.

Aujourd’hui, nous continuons sur cette voie pour garantir un système équitable et durable. Ces tarifs protègent également notre souveraineté et notre sécurité face aux nations qui ont profité des administrations américaines précédentes, notamment celle de Joe Biden, que je considère comme la plus corrompue et incompétente de l’histoire.

Le Brésil, par exemple, fait maintenant face à des tarifs importants en raison de ses tentatives d’ingérence dans les droits et libertés des citoyens américains, à travers la censure, la répression, la corruption judiciaire et le ciblage des opposants politiques.

Récemment, j’ai croisé le président brésilien. Nous avons échangé quelques mots, partagé une accolade, et même prévu de nous rencontrer la semaine prochaine. Il semblait sympathique, et nous avions une bonne alchimie. Mais je ne fais des affaires qu’avec ceux que j’apprécie. Par le passé, le Brésil a imposé des tarifs injustes à notre nation, mais aujourd’hui, nous ripostons fermement.

En tant que président, je défendrai toujours la souveraineté des États-Unis et les droits de nos citoyens. Le Brésil traverse des difficultés et continuera à en traverser s’il ne coopère pas avec nous. Sans notre soutien, il échouera, comme d’autres avant lui.

L’année prochaine, les États-Unis célébreront le 250e anniversaire de leur indépendance, un symbole de liberté et de puissance.

Nous accueillerons également la Coupe du monde de la FIFA en 2026 et les Jeux Olympiques de 2028.

Ces événements seront des célébrations mondiales de la liberté et de l’excellence humaine. J’invite le monde entier à y participer.

Depuis le 4 juillet 1776, les États-Unis sont une lumière pour les nations, et à l’occasion de cet anniversaire, j’espère que les pays inspirés par notre exemple renouvelleront leur engagement envers les valeurs de liberté d’expression, de liberté religieuse – en particulier pour le christianisme, la religion la plus persécutée aujourd’hui – et de souveraineté nationale.

Pour conclure, je tiens à souligner que l’immigration incontrôlée et le coût exorbitant des énergies renouvelables dites « vertes » nuisent gravement au monde libre et à notre planète.

Les nations qui chérissent la liberté déclinent à cause de ces politiques.

Pour redevenir grandes, elles doivent avoir des frontières solides et des sources d’énergie traditionnelles. Chaque leader ici représente une culture riche, une histoire noble et un héritage unique qui rendent nos nations majestueuses.

De Londres à Lima, de Rome à Séoul, de Paris à Tokyo, nous nous appuyons sur les épaules de héros, de généraux et de visionnaires qui ont bâti nos pays avec courage et détermination.

Nos ancêtres ont conquis des océans, traversé des déserts, combattu dans des batailles épiques et transformé des idées en industries.

Ils étaient des soldats, des agriculteurs, des ouvriers, des explorateurs et des patriotes. Leurs valeurs ont façonné nos identités nationales, et leurs visions ont forgé notre destin.

Aujourd’hui, il nous incombe de protéger les nations qu’ils ont construites. Ensemble, assumons ce devoir sacré : protégeons nos frontières, préservons nos cultures et traditions, et luttons pour les rêves et les libertés de nos citoyens.

En unissant nos forces dans une vision d’amitié, construisons une planète de paix, plus riche, meilleure et plus belle que jamais. Cela peut commencer dès maintenant.

Nous rendrons nos pays plus sûrs, plus prospères et plus beaux.

Merci beaucoup. Ce fut un honneur.

Que Dieu bénisse les nations du monde.

Les médias mainstream et les professeurs d’université : architectes de la haine anti-Trump et de la manipulation collective.

Dans le tumulte politique qui a marqué les États-Unis et le monde ces dernières années, une vague de haine viscérale s’est abattue sur Donald J. Trump.

Accusé tour à tour de nazi, de fasciste et de dictateur, Trump a été la cible d’une rhétorique impitoyable orchestrée par les grands médias mainstream et une élite académique internationale.

Mais qui sont les véritables responsables de cette onde de choc ?

Les médias comme le Guardian, CNN ou la BBC, et des professeurs d’universités prestigieuses comme Yale ou Columbia, qui, année après année, ont déversé des comparaisons outrancières avec Hitler ou Mussolini.

En les citant, cet article démontre comment ces acteurs ont propagé une haine systématique, et propose une analyse en profondeur de leur rôle dans la modélisation de l’opinion publique, de l’imaginaire collectif et des raisonnements individuels.

Il est temps de les mettre face à leurs responsabilités : la liberté d’expression n’excuse pas la fabrication de monstres.

La machine médiatique : des accusations de nazisme et de dictature comme arme politique.

Depuis l’ascension de Trump en 2016, les médias mainstream ont multiplié les analogies historiques les plus graves pour le discréditer.

Ces comparaisons ne sont pas des analyses nuancées, mais des armes rhétoriques destinées à démoniser un adversaire politique.

Prenons l’exemple du « Guardian », un pilier de la presse britannique progressiste.

Dans un article publié le 3 juin 2024 intitulé « The reich stuff – what does Trump really have in common with Hitler ?« , le journal explore explicitement les similarités entre Trump et le Führer nazi.

L’article cite : « Les comparaisons entre Donald Trump et Adolf Hitler ne sont pas nouvelles, mais un nouveau livre examine les similarités entre eux. »

Plus loin, il évoque comment Trump a « fait écho au dictateur nazi en qualifiant ses opposants politiques de ‘vermine’« , une référence directe à la rhétorique hitlérienne des années 1930.

Cette formulation n’est pas isolée ; elle s’inscrit dans une série d’articles du « Guardian » qui, depuis 2018, associent Trump à des « échos de totalitarisme ».

Par exemple, dans « ‘Enemy of the people’: Trump’s phrase and its echoes of totalitarianism » du 3 août 2018, le journal explique que l’expression « ennemi du peuple » utilisée par Trump contre la presse rappelle les purges nazies : « Le propagandiste d’Hitler, Joseph Goebbels, et d’autres nazis décrivaient les Juifs et d’autres groupes que son gouvernement visait pour la détention et le meurtre comme des ‘ennemis du peuple’. »

Ces mots, publiés par un média lu par des millions, ont contribué à ancrer l’idée que Trump est un proto-dictateur, justifiant ainsi une hostilité sociétale.

Aux États-Unis, CNN n’est pas en reste.

Le 24 octobre 2024, dans « People are calling Trump a fascist. What does that mean ?« , le réseau cite John Kelly, ancien chef de cabinet de Trump : « Trump correspond à la définition de ‘fasciste’. »

L’article développe : « Cela place le nom de Trump dans le même espace idéologique que les fascistes les plus infâmes, Adolf Hitler et Benito Mussolini. »

Kamala Harris elle-même y est citée : « Oui, je le pense. Oui, je le pense« , en réponse à la question de savoir si Trump est fasciste.

Ce n’est pas une opinion marginale ; CNN, avec son audience massive, a diffusé ces accusations lors de débats électoraux, amplifiant une narrative qui assimile les électeurs de Trump à des complices de nazis.

De même, l’Associated Press (AP), dans un article du 7 décembre 2023, titre : « Trump’s vow to only be a dictator on his first day back in office« .

Bien que Trump ironise, l’AP le présente comme une menace réelle de dictature, relayant ainsi une peur irrationnelle chez ses lecteurs.

L’AP note : « Trump fait face à un examen croissant sur sa rhétorique de plus en plus autoritaire et violente« , et cite Trump lui-même dans une interview avec Sean Hannity : « Sauf pour le premier jour… Je veux fermer la frontière, et je veux forer, forer, forer. »

Sur le plan international, la BBC britannique a joué un rôle similaire dès 2017.

Dans « ‘Enemies of the people’: Trump remark echoes history’s worst tyrants » du 18 février 2017, le média lie Trump à Staline et Mao : « La remarque de Trump a suscité des comparaisons avec les dictateurs Staline et Mao.« 

Gabriel Sherman, éditeur de « New York Magazine« , y est cité : « un discours de dictateur pur et dur« .

Mitchell Orenstein, professeur à l’Université de Pennsylvanie, ajoute : « ‘Charmant que notre président inculte parvienne à canaliser les mots de Staline et ne parvienne pas à entendre la résonance historique de cette phrase’. »

En France, « France 24 » a publié le 7 mars 2025 un article intitulé « What parallels do historians see between the Trump administration and the Nazi regime ?« , où des experts comparent Trump à Hitler.

Peter Hayes déclare : « Trump a multiplié les attaques contre ‘les ennemis intérieurs’ qui doivent être retirés du corps politique, et il montre, comme Hitler, une certitude absolue sur son propre génie couplée à une détermination impitoyable pour éliminer tout obstacle à la réalisation de ses objectifs.« 

Christopher Browning ajoute : « Trump, lui aussi, ‘a lancé un coup d’État raté, n’a pas été destitué… et est maintenant lancé dans une ‘révolution légale’ pour démanteler et remodeler le gouvernement américain’. »

Ces médias, lus globalement, ont créé un « écho chamber » où Trump est systématiquement diabolisé. PBS, un média public américain, a contribué à cette vague.

Le 27 décembre 2023, dans « Trump says he didn’t know his immigration rhetoric echoes Hitler« , l’article affirme : « Donald Trump fait face à des critiques pour avoir utilisé à plusieurs reprises une rhétorique autrefois employée par Adolf Hitler pour arguer que les immigrants entrant aux États-Unis ‘empoisonnent le sang’ du pays. »

Cette comparaison directe à la propagande nazie a renforcé l’idée d’un Trump raciste et totalitaire.

De même, « The Intercept » notait le 25 octobre 2024 : « Adolf Hitler était si unique dans sa malveillance que toute comparaison d’un politicien américain avec le leader nazi était considérée comme injuste et hors limites. »

Pourtant, le média justifie rétrospectivement ces analogies, admettant que les médias mainstream hésitaient autrefois, mais les embrassent désormais.

Ces exemples, tirés d’une décennie de couverture, illustrent une stratégie cohérente : hyperboliser pour délégitimer.

Résultats ? Une haine propagée qui a conduit à des attentats contre des figures trumpistes et une division sociétale profonde.

Les médias doivent répondre de cette escalade.

Les Professeurs d’Université : des intellectuels au service de la démonisation.

Parallèlement aux médias, une caste académique internationale a amplifié cette rhétorique, utilisant leur autorité pour légitimer les accusations les plus extrêmes.

Jason Stanley, professeur de philosophie à Yale, est emblématique.

Dans un discours du 27 mars 2025 à la Unitarian Society of New Haven, il compare la politique éducative de Trump à la « Gleichschaltung » nazie : « le professeur a comparé la politique fédérale d’enseignement supérieur sous le président Trump à la Gleichschaltung, une stratégie nazie pour purger les institutions gouvernementales des opposants idéologiques« .

Stanley, qui a fui au Canada par peur d’une « dictature fasciste« , a publié des ouvrages comme « How Fascism Works » (2018), où il assimile Trump à un leader fasciste dès ses premiers discours.

Ses conférences, relayées par les médias, ont influencé des milliers d’étudiants, formant une génération imprégnée de cette vision.

Robert Paxton, professeur émérite à Columbia University, a évolué : jusqu’au 6 janvier 2021, il rejetait l’étiquette fasciste pour Trump, mais ensuite : « l’image des partisans de Trump prenant d’assaut le Capitole des États-Unis ‘enlève mon objection à l’étiquette fasciste’. »

Dans des interviews post-2021, Paxton a multiplié les comparaisons avec Mussolini, arguant que Trump incarne un « fascisme américain« .

Aux États-Unis, Gen. Mark Milley, cité dans CNN, comparait le déni électoral de Trump au « grand mensonge » de Hitler : « Milley a également comparé en privé le déni électoral de Trump au ‘grand mensonge’ d’Hitler. »

En Europe, Henk de Berg, professeur d’allemand à l’Université de Sheffield, publie en 2024 « Trump and Hitler: A Comparative Study in Lying« .

Il déclare : « Mais ensuite, j’ai examiné leurs stratégies rhétoriques… et j’ai commencé à voir à quel point ils sont similaires à bien des égards. » De Berg argue que les deux sont des « artistes de la performance politique » utilisant des mensonges massifs, citant Mein Kampf pour expliquer le « grand mensonge » trumpien sur l’élection de 2020.

En France, des historiens comme Christopher Browning (Université du Nord-Caroline) notent : « Hitler a lancé un coup d’État raté… Trump, lui aussi, ‘a lancé un coup d’État raté’. »

Paul Lerner (USC) ajoute : « La manière dont Trump… encourage la violence… me rappelle Mussolini. »

Anne Berg (Columbia) dénonce : « L’attaque de Trump contre les médias est en réalité une attaque contre la vérité… exprimée dans ses attaques concertées contre l’enseignement supérieur. »

Au Royaume-Uni, des professeurs comme ceux de l’Université de Birmingham analysent en 2020 « How Fascist was Trump ?« , concluant à des similarités malgré des différences.

En Australie, des débats sur ABC en 2024 comparent l’ascension de Trump à celle de Hitler en 1930.

Ces voix académiques, publiées dans des revues comme « The Conversation« , ont un impact mondial : « Bien qu’ils partagent de nombreuses caractéristiques, il a argué que le fascisme est une forme de dictature tandis que le populisme fonctionne dans les limites de la démocratie. Pourtant… Trump est un fasciste. »

Ces professeurs, payés par des fonds publics, ont transformé leurs chaires en tribunes partisanes, propageant une haine qui imprègne les campus et les médias.

Analyse en profondeur : comment médias et professeurs modèlent l’opinion publique, l’imaginaire collectif et les raisonnements.

Au-delà des accusations, il faut analyser le mécanisme profond par lequel ces acteurs – médias mainstream et professeurs – sculptent l’âme collective.

Cette modélisation n’est pas accidentelle ; elle repose sur des théories de la communication et de la psychologie sociale bien établies.

D’abord, « l’agenda-setting » : les médias décident de ce qui est important.

En focalisant sur les « comparaisons avec Hitler » pendant huit ans, CNN et le « Guardian » ont imposé Trump comme menace existentielle.

Selon Maxwell McCombs et Donald Shaw, les médias ne disent pas « quoi » penser, mais « sur quoi » penser.

Résultat : 70 % des Américains en 2024 percevaient Trump comme « dangereux » pour la démocratie, selon des sondages Pew, en partie grâce à cette surmédiatisation.

Les professeurs amplifient cela via l’éducation : Stanley à Yale forme des étudiants qui internalisent ces cadres, créant un effet boule de neige générationnel.

Ensuite, le « framing » : les médias et académiciens encadrent la réalité.

Appeler Trump « fasciste » n’est pas neutre ; c’est invoquer un imaginaire collectif chargé d’Holocauste et de totalitarisme.

George Lakoff, linguiste à Berkeley, explique que les métaphores façonnent le raisonnement : « Trump comme Hitler » active des schémas cognitifs de peur, rendant tout soutien à Trump moralement répréhensible.

Dans l’imaginaire collectif, tel que défini par Cornelius Castoriadis, cela crée un « monde nazi » où Trump est l’incarnation du mal absolu.

Les citations de Paxton ou Browning, relayées par « France 24« , renforcent ce frame global, unifiant une élite transnationale contre « le monstre« .

Cette manipulation touche les raisonnements individuels via la « dissonance cognitive » de Festinger : face à des preuves contraires (Trump n’a pas instauré de dictature en 2017-2021), les individus rationalisent en adoptant la haine pour éviter l’inconfort.

Les professeurs, en tant qu’autorités, exploitent l’effet « halo » : leurs mots paraissent irréfutables, modifiant les heuristiques de décision.

Une étude de 2023 dans « Nature Human Behaviour » montre que l’exposition répétée à des analogies extrêmes altère le jugement politique de 25 % des sujets.

Sur le plan collectif, cela génère un « effet Matthew » : les riches en capital culturel (lecteurs du « Guardian », étudiants de Columbia) propagent la haine via les réseaux sociaux, créant des bulles algorithmiques.

X (ex-Twitter) amplifie cela, avec des hashtags comme #TrumpNazi atteignant des milliards d’impressions.

Les médias et professeurs, en initiant cela, sont des catalyseurs : leur rhétorique crée un imaginaire où la violence symbolique (insultes) justifie la violence physique (attentats de 2024).

Enfin, cette dynamique érode la délibération démocratique, remplaçant le débat par la stigmatisation.

Comme l’avertit Habermas, la « colonisation de l’espace public » par des élites discrédite la raison.

Les professeurs, censés enseigner la nuance, optent pour la polarisation, formant un public qui raisonne en binaire : Trump = mal absolu.

Cette onde de haine n’est pas spontanée ; elle est fabriquée, et ses artisans doivent en répondre – par des enquêtes éthiques, des réformes médiatiques et une accountability académique.

Conclusion : vers une responsabilité collective.

Les médias comme CNN, le « Guardian » ou la BBC, et des professeurs comme Stanley, Paxton ou de Berg, ont, par leurs citations incessantes – « fasciste », « Nazi », « dictator » –, semé une haine qui divise les nations.

Cet article appelle à une introspection : ces élites doivent être mises devant leurs responsabilités, via des codes déontologiques renforcés et un pluralisme médiatique.

Seulement alors pourrons-nous restaurer un débat sain, libéré de l’imaginaire toxique qu’ils ont forgé.

L’histoire jugera ces pyromanes de la discorde.

Pourquoi le Venezuela est important pour la sécurité des États-Unis. Transformer le Venezuela : démanteler une structure criminelle pour un avenir prospère. Avec Maria Karina Machado

L’histoire du déclin du Venezuela, passé de la nation la plus riche d’Amérique latine à un État plus pauvre qu’Haïti, est un avertissement brutal des conséquences d’un socialisme incontrôlé, du communisme et d’une gouvernance criminelle.

Autrefois symbole de prospérité, les vastes ressources du Venezuela — pétrole, gaz, or, minerais et potentiel touristique — ont été pillées par un régime qui a transformé le pays en un centre pour les cartels, les adversaires étrangers et la répression.

Maria Karina Machado, leader de l’opposition vénézuélienne, est devenue un symbole de résilience, plaidant pour le démantèlement de cette structure criminelle afin de restaurer la nation comme une puissance économique dynamique.

Dans une interview exclusive sur « American Optimists », Machado a partagé sa vision d’un Venezuela libre, les menaces posées par le régime actuel et le rôle crucial que les États-Unis peuvent jouer dans cette transformation.

La chute d’une nation.

Le déclin du Venezuela a commencé avec Hugo Chavez, dont la rhétorique populiste promettait l’égalité mais a conduit à la destruction. Les politiques de Chavez, ancrées dans l’idéologie socialiste, ont confisqué plus de 5 000 entreprises et 22 millions d’acres de terres productives, paralysant le secteur privé.

« Le socialisme prêché par Chavez avait besoin d’une société dépendante, mendiant à mains tendues et tête baissée », a expliqué Machado.

Cet appauvrissement délibéré était stratégique, conçu pour consolider le pouvoir en rendant les citoyens dépendants de l’État.

Le résultat fut catastrophique : hyperinflation, pénuries alimentaires et l’exode de plus de 30 % de la population.

Sous Nicolas Maduro, successeur de Chavez, la situation s’est aggravée. Le régime de Maduro a transformé le Venezuela en un « centre criminel des Amériques », comme le décrit Machado.

Le pays sert désormais de base aux cartels de drogue, dont le tristement célèbre Tren de Aragua, et de refuge pour des adversaires comme l’Iran, la Russie et la Chine.

Selon la DEA, 24 % de la cocaïne mondiale transite par le Venezuela, facilité par les infrastructures étatiques — ports, aéroports et systèmes financiers.

L’Iran exploite une usine de drones militaires au Venezuela, et les accords d’armement russes ont renforcé les capacités militaires du régime.

Ces activités ne déstabilisent pas seulement le Venezuela, elles représentent une menace directe pour la sécurité nationale des États-Unis, avec des réseaux criminels opérant à seulement quelques heures de la Floride.

Une élection volée et une opposition résiliente.

L’élection présidentielle de 2024 a marqué un tournant. Machado, qui a remporté la primaire de l’opposition avec 92 % des voix, a été disqualifiée par le régime, mais sa coalition a obtenu plus de 70 % des voix lors de l’élection générale.

Malgré ce mandat écrasant, Maduro a refusé de céder le pouvoir, accusant les leaders de l’opposition de terrorisme.

Plus de 2 000 personnes ont été emprisonnées, 44 ont disparu, et des rapports de torture, y compris contre des femmes et des enfants, ont émergé.

Machado elle-même est en clandestinité depuis plus d’un an, avec un nez cassé suite à une attaque lors d’une session parlementaire et des menaces constantes contre sa vie. « Ils m’ont accusée de tout ce qui figure dans le code pénal », a-t-elle déclaré, mais sa détermination reste inébranlable.

Le courage de Machado provient d’un engagement profondément personnel.

Fille d’un homme d’affaires visionnaire, elle a été élevée avec un sens de la responsabilité envers sa nation. Initialement ingénieure industrielle avec une formation en finance, elle a fondé le premier parti libertarien du Venezuela, défiant le monopole socialiste.

« J’ai réalisé qu’on ne peut pas vivre sur des îles isolées quand son pays s’effondre », a-t-elle dit. Son mouvement a uni les Vénézuéliens au-delà des clivages — ruraux et urbains, riches et pauvres — autour d’un désir commun de liberté et de prospérité.

La menace criminelle pour la sécurité des États-Unis.

Les activités criminelles du régime de Maduro s’étendent bien au-delà des frontières du Venezuela.

Le cartel Tren de Aragua, dirigé par des figures alignées sur Maduro, opère du Canada à l’Argentine, trafiquant de la drogue et propageant la violence.

Les alliances du régime avec l’Iran, la Russie et la Chine amplifient sa menace. Les drones iraniens, la technologie militaire russe et l’influence économique chinoise ont transformé le Venezuela en un satellite pour les puissances anti-occidentales.

«Il ne s’agit pas d’un changement de régime», a souligné Machado. « Il s’agit de démanteler une structure criminelle qui représente la plus grande menace pour la sécurité nationale des États-Unis. »

L’administration Trump a pris des mesures audacieuses pour répondre à cette crise.

Une prime de 50 millions de dollars sur Maduro, qualifié de trafiquant de drogue international, marque un changement par rapport aux politiques américaines passées qui hésitaient à confronter le communisme latino-américain.

Désigner les cartels comme organisations terroristes étrangères souligne davantage la reconnaissance de cette menace par l’administration. Cependant, Machado soutient que davantage peut être fait.

Couper les sources de revenus du régime, en particulier celles provenant du pétrole, est crucial. « Chaque dollar que Maduro reçoit est utilisé pour la répression, la violence et la déstabilisation », a-t-elle averti.

Les sanctions sur les exportations pétrolières, précédemment assouplies pour permettre à des entreprises comme Chevron d’opérer, doivent être renforcées pour asphyxier le régime financièrement.

Une opportunité de 1 700 milliards de dollars.

Le potentiel du Venezuela est stupéfiant. Avec les plus grandes réserves pétrolières prouvées au monde, d’immenses gisements de gaz, de l’or, des minerais et une position stratégique pour le tourisme et les télécommunications, le pays représente une opportunité économique de 1 700 milliards de dollars.

Machado envisage un Venezuela transformé en « hub énergétique des Amériques », avec une gouvernance transparente, l’État de droit et des protections pour les investissements privés.

« Les entreprises américaines auront l’opportunité de leur vie », a-t-elle déclaré, en mettant l’accent sur un avenir où les entreprises américaines pourront opérer sans les contraintes mafieuses imposées par le régime actuel.

Cette vision ne concerne pas seulement le gain économique, mais aussi la stabilité régionale. Un Venezuela libre affaiblirait les régimes communistes à Cuba et au Nicaragua, créant un effet domino en Amérique latine.

Les récents changements dans la région — l’adoption de politiques de libre marché en Argentine sous Javier Milei et le rejet de la gauche en Bolivie — signalent un rejet croissant du socialisme.

« S’il y a un pays qui rejette le socialisme, c’est le Venezuela », a déclaré Machado.

« Nous avons trop souffert pour répéter ces erreurs. »

La voie à suivre.

Le plan de Machado pour la renaissance du Venezuela repose sur l’unité et l’ambition.

« Nous avons brisé les barrières que le régime a construites pour nous diviser », a-t-elle dit, notant que 90 % des Vénézuéliens partagent désormais un objectif commun : évincer Maduro et reconstruire une nation prospère.

Sa feuille de route inclut des actions immédiates dans les 100 premières heures et jours après le régime, axées sur la restauration de l’État de droit, l’attraction d’investissements et le rapatriement des millions de Vénézuéliens qui ont fui.

« Nos enfants rentreront chez eux », a-t-elle promis, soulignant la motivation émotionnelle derrière son mouvement.

Pour les États-Unis, la politique est claire : il ne s’agit pas de changer de régime, mais de démanteler une entreprise criminelle.

Machado exhorte les États-Unis à envoyer des messages forts aux alliés de Maduro — Russie, Chine, Iran et Syrie — les mettant en garde contre le soutien à un régime qui sape les démocraties occidentales.

La position ferme de l’administration Trump, y compris les sanctions et la pression diplomatique, doit être maintenue et élargie.

Les départements du Trésor et d’État peuvent encore isoler le régime en ciblant ses réseaux financiers et en exposant ses soutiens internationaux.

Leçons pour l’Amérique.

L’effondrement du Venezuela offre un avertissement pour les États-Unis. La rhétorique de Chavez — diabolisation des riches, confiscation des propriétés et division de la société — fait écho à certains discours politiques américains contemporains.

« Il y a vingt-six ans, les gens disaient que cela ne pouvait pas arriver au Venezuela », a averti Machado. « Cela peut arriver n’importe où. »

Les États-Unis doivent rester vigilants face aux politiques qui érodent la propriété privée, favorisent la dépendance ou permettent aux réseaux criminels de prospérer.

Soutenir la transition du Venezuela vers la démocratie n’est pas seulement un impératif moral, mais une nécessité stratégique pour empêcher la propagation du chaos dans les Amériques.

Un appel à l’action.

Le courage et la vision de Maria Karina Machado inspirent l’espoir non seulement pour le Venezuela, mais pour tout l’hémisphère occidental.

Son message aux Américains est clair : « C’est la plus grande opportunité de notre vie. »

En soutenant le combat du Venezuela pour la liberté, les États-Unis peuvent aider à transformer une nation en ruines en un allié dynamique, libérant un immense potentiel économique et sécurisant la région contre les menaces criminelles et autoritaires.

Comme l’a dit Machado, « Nous transformerons cette tragédie en une véritable terre de grâce. » Les enjeux sont élevés, mais les récompenses le sont encore plus.

Un Venezuela libre promet stabilité, prospérité et un rejet des idéologies ratées qui ont tourmenté l’Amérique latine.

Avec les actions audacieuses de l’administration Trump et la résilience de leaders comme Machado, le rêve d’un Venezuela revitalisé est à portée de main.

La question est de savoir si les États-Unis et leurs alliés saisiront ce moment pour façonner l’avenir des Amériques.