Comment le socialisme a détruit le Vénezuela et non les sanctions US ni les prix du pétrole, par Daniel Di Martino.

De nombreux médias ont imputé l’aggravation de la crise humanitaire au Venezuela aux sanctions américaines, aux prix du pétrole, à la corruption – tout sauf à la montée du socialisme dans ce qui était autrefois le pays le plus riche d’Amérique du Sud !

Mais la corruption et la mauvaise gestion sont le résultat direct du contrôle accru de l’économie par le gouvernement – le socialisme – et en réalité, la baisse des prix du pétrole et les sanctions américaines n’ont pas grand-chose à voir avec la crise.

Au contraire, la famine et l’exode massifs auxquels sont confrontés les Vénézuéliens sont la conséquence naturelle des politiques socialistes mises en œuvre par les dictateurs Hugo Chavez et Nicolas Maduro.

Trois principales politiques mises en œuvre par Chavez depuis 1999 ont produit la crise actuelle :

  • 1) la nationalisation généralisée de l’industrie privée,
  • 2) le contrôle des devises et des prix,
  • 3) l’expansion fiscalement irresponsable des programmes de protection sociale.

1) L’une des premières mesures de Chavez a été de commencer à nationaliser le secteur agricole, censé réduire la pauvreté et les inégalités en prenant aux riches propriétaires fonciers pour les donner aux travailleurs pauvres.

Entre 1999 et 2016, son régime a volé plus de 6 millions d’hectares de terres à leurs propriétaires légitimes.

La nationalisation a détruit la production dans les industries concernées, car aucun gouvernement n’a la capacité de gérer des milliers d’entreprises ni de générer des profit et d’innover pour les gérer efficacement. Au lieu de cela, les responsables gouvernementaux sont incités à plaire aux électeurs en vendant des produits à bas prix et en embauchant plus d’employés que nécessaire, même lorsque c’est la mauvaise décision industrielle.

Comme le prévoyait la théorie économique, à mesure que le contrôle de l’État sur l’industrie agricole s’est accru, la production alimentaire du Venezuela a chuté de 75 % en deux décennies, tandis que la population du pays a augmenté de 33 %. C’était la recette pour des pénuries et un désastre économique.

Après l’agriculture, le régime a nationalisé l’électricité, l’eau, le pétrole, les banques, les supermarchés, la construction et d’autres secteurs cruciaux. Dans tous ces secteurs, le gouvernement a augmenté les salaires et distribué des produits à bas prix, ce qui a entraîné des coupures de courant de plusieurs jours dans tout le pays, des interruptions fréquentes du service d’eau, une chute de la production pétrolière et la faillite des entreprises devenues publiques.

Mais prendre le contrôle des secteurs les plus importants de l’économie n’a pas suffi au régime socialiste.

2) En 2003, Chávez a mis en place un système de contrôle des devises étrangères dans lequel le gouvernement a fixé un taux de change surévalué entre la monnaie vénézuélienne et le dollar américain.

L’un des objectifs de ce système était de réduire l’inflation en surévaluant la monnaie et en subventionnant les produits importés. Mais le contrôle des devises a obligé le régime à rationner les dollars américains disponibles pour les importateurs, car, à un taux de change surévalué (bon marché), la demande de dollars américains était supérieure à l’offre.

Naturellement, un marché noir des devises étrangères a émergé et les membres corrompus du régime se sont vu attribuer des dollars américains bon marché et ont obtenu de gros profits.

Pire encore, ce système a en fait accru l’inflation, car la surévaluation de la monnaie a réduit les revenus pétroliers du gouvernement en monnaie vénézuélienne, ce qui a conduit le régime à imprimer de la monnaie pour couvrir le déficit budgétaire qui en a résulté.

Le régime socialiste a également imposé des prix plafonds sur des centaines de produits de base tels que le bœuf, le lait et le papier hygiénique. Avec des prix artificiellement bas, davantage de personnes étaient prêtes à acheter ces produits, mais les quelques usines privées restantes – non nationalisées – ne pouvaient pas tirer profit du prix plafonné par le gouvernement, alors elles ont réduit ou arrêté leur production.

Au lieu de bénéficier aux pauvres, les prix plafonds ont entraîné, comme on pouvait s’y attendre, des pénuries qui les ont obligés à faire la queue pendant des heures, tandis que les employés des supermarchés et les personnes bien connectées obtenaient les produits dont ils avaient besoin.

3) Mais l’aspect le plus néfaste du projet socialiste vénézuélien est peut-être celui que les médias internationaux et les personnalités de gauche ont le plus souvent vanté : les programmes d’aide sociale. Le régime socialiste a créé des « missions » sociales visant à lutter contre la pauvreté, l’analphabétisme, les soins de santé, etc. Mais malgré les revenus pétroliers plus élevés du gouvernement en raison d’une multiplication par dix du prix du baril de pétrole, de 10 dollars en 1999 à plus de 100 dollars en 2008, le régime a financé un déficit croissant en imprimant davantage de monnaie.

Les programmes d’aide sociale et les projets de travaux publics massifs ont ouvert la voie à une corruption toujours plus grande.

Et l’impression de monnaie pour financer des programmes publics sans fin a sans surprise entraîné des taux d’inflation élevés.

C’est ainsi que c’est le socialisme qui a crée la misère au Venezuela et non les prix du pétrole ou les sanctions américaines.

  • Les programmes sociaux censés aider les pauvres ont en fait augmenté le coût de la vie.
  • Le contrôle des devises étrangères qui visait à réduire l’inflation n’a fait qu’augmenter cette dernière et a permis une corruption massive.
  • Et les nationalisations qui auraient dû donner du « pouvoir » aux travailleurs n’ont fait que les laisser au chômage et affamés.

Le socialisme a ainsi entraîné l’hyperinflation et les pénuries généralisées.

De plus, même avec les prix bas actuels du pétrole, le pétrole vénézuélien se vend deux à trois fois plus cher qu’en 1999, en tenant compte de l’inflation. Et la seule sanction américaine susceptible d’affecter les Vénézuéliens ordinaires, l’interdiction des importations de pétrole, n’est en vigueur que depuis deux mois, alors que l’inflation et les pénuries affligent le pays depuis des années.

Alors ne cherchez pas d’excuses.

Comme les Vénézuéliens l’ont appris au cours des 20 dernières années de socialisme, les « choses gratuites » ont un prix élevé.

Source de Daniel Di Martino (@DanielDiMartino) : https://manhattan.institute/article/how-socialism-destroyed-venezuela

2019 à 2022 au 🇧🇷

Brésil, un pays de records :

– Un secrétariat de l’alphabétisation a été créé avec le système du GraphoGame, une référence mondiale : l’alphabétisation se fait en 6 mois par rapport à 3 ans auparavant!

– La déforestation illégale a baissé de 33% entre 2019 et 2021 sous Bolsonaro, selon la Funai, fondation de l’indien. La moyenne de déforestation du gouvernement Bolsonaro est 55% inférieure à la moyenne des 3 premières années de Lula.

– Le Brésil a battu un record avec 100 millions de travailleurs employés.

Et tout cela avec une pandémie et une guerre en Ukraine qui a fait souffrir l’économie mondiale… Mais il n’y a pas que dans le domaine de l’emploi que nous avons battu des records:


– Commerce extérieur en hausse record,

– Investissements étrangers au plus haut, du jamais vu dans l’histoire,

– Travaux d’assainissement et de développement record des infrastructures,

– Récoltes records des céréales,

– Délais plus courts pour ouvrir des entreprises,

– Nombre record de saisies de drogue,

– Réduction record du nombre de meurtres,

– En ce qui concerne, le droit des femmes, Bolsonaro et son gouvernement ont voté plus de 70 lois en leurs faveurs.

– Construction de ponts et viaducs,

– Réduction record de l’extrême pauvreté au Brésil alors qu’elle augmente partout dans le monde durant cette période.

Cela ne s’arrête pas là:

– Nous avons eu la 6ème inflation la plus basse du G20.


– Les prix de l’essence, du diesel ont baissé (Bolsonaro a mis à 0 les impôts fédéraux sur l’essence, l’éthanol et le diesel alors que les députés et sénateurs du parti de Lula n’ont pas voté pour les baisser et s’y sont même opposés!)

– Le prix du gaz de cuisine (taxe fédérale mise à zéro) a chuté,

– Les produits alimentaires de base ont baissé, les réductions d’impôts sur les médicaments ont été mises en avant pour lutter contre le COVID, même chose pour les médicaments contre le cancer et le VIH lors de la gestion Bolsonaro.

– Malgré les attaques quotidiennes et incessantes d’une grande partie du système, la vérité est que le pays allait dans la bonne direction avec une augmentation des revenus et une réduction des impôts.

– Les entreprises d’états comme Correio et Petrobras qui avaient durant la gestion du parti de Lula des pertes de centaines de milliards ont désormais, sous la gestion Bolsonaro, des bénéfices de centaines de milliards qui bénéficient aux citoyens brésiliens.

– D’autre part, le Brésil est désormais le premier pays digital des Amériques devant les USA et le Canada.

– Le gouvernement Bolsonaro via la construction de viaducs a apporté de l’eau et de la dignité à la région semi-aride du Nord-Est. Le parti de Lula ne voulait pas développer les infrastructures et maintenait en place des camions citernes de mafias amis pour faire payer l’eau au peuple.

– Le gouvernement Bolsonaro a battu un record de délivrance de titres fonciers en 4 ans (+420 mille), en réduisant fortement les actions du MST (Mouvement Sans Terre, groupe terroriste de squatteurs de maisons et de terrains qui finance l’extrême gauche via le politicien Guilherme Boulos).

👉 Le programme de Lula, c’est = idéologie du genre, corruption généralisée, censure des médias, érotisation des enfants, libération des drogues (voir ma vidéo sur les liens des narcos avec le parti de Lula).

👉Alors que Bolsonaro est pour :

«Dieu, la patrie, la famille et la liberté.»

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