Partie 3. «L’effet de serre, c’est comme la parabole biblique du nouvel habit du roi.» Hugh Ellsaesser. Commission d’Enquête Parlementaire Amazonie de 1990.

Page 23. Questionnements scientifiques de la théorie de l’effet de serre :

Deux climatologues renommés, le russe Mikhail Budyko et l’américain Hugh Ellsaesser ne sont plus d’accord avec la théorie de l’effet de serre.

Mikhail Budyko

Budyko, membre d’une commission de l’ONU qui étudie l’impact de l’augmentation de la température sur terre était l’un des premiers à dénoncer le danger de l’effet de serre il y a 20 ans. Il est revenu sur cette théorie et pense maintenant le contraire : «Plus de dioxyde de carbone dans l’atmosphère terrestre peut faire que les déserts deviennent des paradis. Et réguler l’émission de gaz carbonique n’est pas seulement inutile mais préjudiciable.»

L’américain Ellsaesser du Laboratoire national de Lawrence Livermore, dit de façon catégorique que :

Hugh Ellsaesser

«L’effet de serre c’est comme la parabole biblique du nouvel habit du roi. Un enfant simplement avec sa franchise et sincérité montre que le roi est nu. La seule chose que nous savons avec certitude sur les divers modèles mathématiques du climat c’est qu’il se contredisent tous. Ils arrivent tous à admettre même l’hypothèse que le réchauffement de l’atmosphère peut être très bon s’il nous éloigne d’une nouvelle ère glaciale.»

Le monde a peur dû à une campagne alarmiste universelle alors que la théorie qui a créé cette peur est loin d’être consistante. Et nous savons en plus que le Brésil n’est pas dans la liste des plus grands pollueurs de l’atmosphère responsables de l’augmentation de la concentration du gaz carbonique.

Les pays industrialisés émettent chaque année 5 milliards de CO2 alors que le Brésil dans l’année 1987 a eu un record de 300 millions de tonnes annuel.

Il a été scientifiquement prouvé que ce qui est appelé chlorofluorocarbures ou CFC et qui sont une sous-classe de gaz fluorés, sont responsables de la libération du chlore dans la stratosphère et la conséquente destruction de l’ozone dans l’atmosphère.

Docteur Volker Walter Johann Heinrich Kirchhoff, directeur de l’INPE.

Les évidences décrites par le docteur Volker Kirchhoff, directeur de l’INPE, suggèrent avec une certaine clarté que les substances artificielles, en fonction du chlore, sont responsables de la diminution de l’ozone polaire. Mais dans ce domaine là le Brésil a aussi une participation insignifiante !

Conclusions des 3 parties :

  1. La forêt amazonienne qui serait le poumon du monde est une erreur journalistique alors que les connaissances de botanique et de géophysiologie montrent que ce sont les océans, avec leurs algues et phytoplanctons, qui sont les grands responsables de la production et de l’accumulation d’oxygène dans l’atmosphère terrestre.
  2. La théorie comme quoi la forêt tropicale humide serait filtre de gaz carbonique n’a pas été prouvée scientifiquement.
  3. L’effet de serre n’est rien de plus qu’une théorie avec ceux qui la défendent et ceux qui la critiquent comme les climatologues Ellsaesser et Budyko, en admettant même que le réchauffement de l’atmosphère pourrait alors éviter une nouvelle ère glaciaire. Et même si cette théorie d’effet de serre était vrai le Brésil n’a qu’une contribution modeste pour l’atmosphère par rapport à d’autres pays.
  4. La théorie prouvée que les CFT (chlorofluorocarbures) sont responsables de la libération du chlore dans l’atmosphère et la conséquente destruction de l’ozone montre en fait que le Brésil a une participation insignifiante.

Suite dans la partie 4 sur la définition du modèle de gestion des ressources naturelles de la forêt amazonienne.

Plus dans mon nouveau livre qui sortira en 2025 : «Amazonie Politique.»

Ce 📖 vise à renforcer un processus de prise de conscience :
La corruption des ONGs qui se cachent derrière la démarcation politique des terres 🇧🇷.

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