Les médias mainstream et les professeurs d’université : architectes de la haine anti-Trump et de la manipulation collective.

Dans le tumulte politique qui a marqué les États-Unis et le monde ces dernières années, une vague de haine viscérale s’est abattue sur Donald J. Trump.

Accusé tour à tour de nazi, de fasciste et de dictateur, Trump a été la cible d’une rhétorique impitoyable orchestrée par les grands médias mainstream et une élite académique internationale.

Mais qui sont les véritables responsables de cette onde de choc ?

Les médias comme le Guardian, CNN ou la BBC, et des professeurs d’universités prestigieuses comme Yale ou Columbia, qui, année après année, ont déversé des comparaisons outrancières avec Hitler ou Mussolini.

En les citant, cet article démontre comment ces acteurs ont propagé une haine systématique, et propose une analyse en profondeur de leur rôle dans la modélisation de l’opinion publique, de l’imaginaire collectif et des raisonnements individuels.

Il est temps de les mettre face à leurs responsabilités : la liberté d’expression n’excuse pas la fabrication de monstres.

La machine médiatique : des accusations de nazisme et de dictature comme arme politique.

Depuis l’ascension de Trump en 2016, les médias mainstream ont multiplié les analogies historiques les plus graves pour le discréditer.

Ces comparaisons ne sont pas des analyses nuancées, mais des armes rhétoriques destinées à démoniser un adversaire politique.

Prenons l’exemple du « Guardian », un pilier de la presse britannique progressiste.

Dans un article publié le 3 juin 2024 intitulé « The reich stuff – what does Trump really have in common with Hitler ?« , le journal explore explicitement les similarités entre Trump et le Führer nazi.

L’article cite : « Les comparaisons entre Donald Trump et Adolf Hitler ne sont pas nouvelles, mais un nouveau livre examine les similarités entre eux. »

Plus loin, il évoque comment Trump a « fait écho au dictateur nazi en qualifiant ses opposants politiques de ‘vermine’« , une référence directe à la rhétorique hitlérienne des années 1930.

Cette formulation n’est pas isolée ; elle s’inscrit dans une série d’articles du « Guardian » qui, depuis 2018, associent Trump à des « échos de totalitarisme ».

Par exemple, dans « ‘Enemy of the people’: Trump’s phrase and its echoes of totalitarianism » du 3 août 2018, le journal explique que l’expression « ennemi du peuple » utilisée par Trump contre la presse rappelle les purges nazies : « Le propagandiste d’Hitler, Joseph Goebbels, et d’autres nazis décrivaient les Juifs et d’autres groupes que son gouvernement visait pour la détention et le meurtre comme des ‘ennemis du peuple’. »

Ces mots, publiés par un média lu par des millions, ont contribué à ancrer l’idée que Trump est un proto-dictateur, justifiant ainsi une hostilité sociétale.

Aux États-Unis, CNN n’est pas en reste.

Le 24 octobre 2024, dans « People are calling Trump a fascist. What does that mean ?« , le réseau cite John Kelly, ancien chef de cabinet de Trump : « Trump correspond à la définition de ‘fasciste’. »

L’article développe : « Cela place le nom de Trump dans le même espace idéologique que les fascistes les plus infâmes, Adolf Hitler et Benito Mussolini. »

Kamala Harris elle-même y est citée : « Oui, je le pense. Oui, je le pense« , en réponse à la question de savoir si Trump est fasciste.

Ce n’est pas une opinion marginale ; CNN, avec son audience massive, a diffusé ces accusations lors de débats électoraux, amplifiant une narrative qui assimile les électeurs de Trump à des complices de nazis.

De même, l’Associated Press (AP), dans un article du 7 décembre 2023, titre : « Trump’s vow to only be a dictator on his first day back in office« .

Bien que Trump ironise, l’AP le présente comme une menace réelle de dictature, relayant ainsi une peur irrationnelle chez ses lecteurs.

L’AP note : « Trump fait face à un examen croissant sur sa rhétorique de plus en plus autoritaire et violente« , et cite Trump lui-même dans une interview avec Sean Hannity : « Sauf pour le premier jour… Je veux fermer la frontière, et je veux forer, forer, forer. »

Sur le plan international, la BBC britannique a joué un rôle similaire dès 2017.

Dans « ‘Enemies of the people’: Trump remark echoes history’s worst tyrants » du 18 février 2017, le média lie Trump à Staline et Mao : « La remarque de Trump a suscité des comparaisons avec les dictateurs Staline et Mao.« 

Gabriel Sherman, éditeur de « New York Magazine« , y est cité : « un discours de dictateur pur et dur« .

Mitchell Orenstein, professeur à l’Université de Pennsylvanie, ajoute : « ‘Charmant que notre président inculte parvienne à canaliser les mots de Staline et ne parvienne pas à entendre la résonance historique de cette phrase’. »

En France, « France 24 » a publié le 7 mars 2025 un article intitulé « What parallels do historians see between the Trump administration and the Nazi regime ?« , où des experts comparent Trump à Hitler.

Peter Hayes déclare : « Trump a multiplié les attaques contre ‘les ennemis intérieurs’ qui doivent être retirés du corps politique, et il montre, comme Hitler, une certitude absolue sur son propre génie couplée à une détermination impitoyable pour éliminer tout obstacle à la réalisation de ses objectifs.« 

Christopher Browning ajoute : « Trump, lui aussi, ‘a lancé un coup d’État raté, n’a pas été destitué… et est maintenant lancé dans une ‘révolution légale’ pour démanteler et remodeler le gouvernement américain’. »

Ces médias, lus globalement, ont créé un « écho chamber » où Trump est systématiquement diabolisé. PBS, un média public américain, a contribué à cette vague.

Le 27 décembre 2023, dans « Trump says he didn’t know his immigration rhetoric echoes Hitler« , l’article affirme : « Donald Trump fait face à des critiques pour avoir utilisé à plusieurs reprises une rhétorique autrefois employée par Adolf Hitler pour arguer que les immigrants entrant aux États-Unis ‘empoisonnent le sang’ du pays. »

Cette comparaison directe à la propagande nazie a renforcé l’idée d’un Trump raciste et totalitaire.

De même, « The Intercept » notait le 25 octobre 2024 : « Adolf Hitler était si unique dans sa malveillance que toute comparaison d’un politicien américain avec le leader nazi était considérée comme injuste et hors limites. »

Pourtant, le média justifie rétrospectivement ces analogies, admettant que les médias mainstream hésitaient autrefois, mais les embrassent désormais.

Ces exemples, tirés d’une décennie de couverture, illustrent une stratégie cohérente : hyperboliser pour délégitimer.

Résultats ? Une haine propagée qui a conduit à des attentats contre des figures trumpistes et une division sociétale profonde.

Les médias doivent répondre de cette escalade.

Les Professeurs d’Université : des intellectuels au service de la démonisation.

Parallèlement aux médias, une caste académique internationale a amplifié cette rhétorique, utilisant leur autorité pour légitimer les accusations les plus extrêmes.

Jason Stanley, professeur de philosophie à Yale, est emblématique.

Dans un discours du 27 mars 2025 à la Unitarian Society of New Haven, il compare la politique éducative de Trump à la « Gleichschaltung » nazie : « le professeur a comparé la politique fédérale d’enseignement supérieur sous le président Trump à la Gleichschaltung, une stratégie nazie pour purger les institutions gouvernementales des opposants idéologiques« .

Stanley, qui a fui au Canada par peur d’une « dictature fasciste« , a publié des ouvrages comme « How Fascism Works » (2018), où il assimile Trump à un leader fasciste dès ses premiers discours.

Ses conférences, relayées par les médias, ont influencé des milliers d’étudiants, formant une génération imprégnée de cette vision.

Robert Paxton, professeur émérite à Columbia University, a évolué : jusqu’au 6 janvier 2021, il rejetait l’étiquette fasciste pour Trump, mais ensuite : « l’image des partisans de Trump prenant d’assaut le Capitole des États-Unis ‘enlève mon objection à l’étiquette fasciste’. »

Dans des interviews post-2021, Paxton a multiplié les comparaisons avec Mussolini, arguant que Trump incarne un « fascisme américain« .

Aux États-Unis, Gen. Mark Milley, cité dans CNN, comparait le déni électoral de Trump au « grand mensonge » de Hitler : « Milley a également comparé en privé le déni électoral de Trump au ‘grand mensonge’ d’Hitler. »

En Europe, Henk de Berg, professeur d’allemand à l’Université de Sheffield, publie en 2024 « Trump and Hitler: A Comparative Study in Lying« .

Il déclare : « Mais ensuite, j’ai examiné leurs stratégies rhétoriques… et j’ai commencé à voir à quel point ils sont similaires à bien des égards. » De Berg argue que les deux sont des « artistes de la performance politique » utilisant des mensonges massifs, citant Mein Kampf pour expliquer le « grand mensonge » trumpien sur l’élection de 2020.

En France, des historiens comme Christopher Browning (Université du Nord-Caroline) notent : « Hitler a lancé un coup d’État raté… Trump, lui aussi, ‘a lancé un coup d’État raté’. »

Paul Lerner (USC) ajoute : « La manière dont Trump… encourage la violence… me rappelle Mussolini. »

Anne Berg (Columbia) dénonce : « L’attaque de Trump contre les médias est en réalité une attaque contre la vérité… exprimée dans ses attaques concertées contre l’enseignement supérieur. »

Au Royaume-Uni, des professeurs comme ceux de l’Université de Birmingham analysent en 2020 « How Fascist was Trump ?« , concluant à des similarités malgré des différences.

En Australie, des débats sur ABC en 2024 comparent l’ascension de Trump à celle de Hitler en 1930.

Ces voix académiques, publiées dans des revues comme « The Conversation« , ont un impact mondial : « Bien qu’ils partagent de nombreuses caractéristiques, il a argué que le fascisme est une forme de dictature tandis que le populisme fonctionne dans les limites de la démocratie. Pourtant… Trump est un fasciste. »

Ces professeurs, payés par des fonds publics, ont transformé leurs chaires en tribunes partisanes, propageant une haine qui imprègne les campus et les médias.

Analyse en profondeur : comment médias et professeurs modèlent l’opinion publique, l’imaginaire collectif et les raisonnements.

Au-delà des accusations, il faut analyser le mécanisme profond par lequel ces acteurs – médias mainstream et professeurs – sculptent l’âme collective.

Cette modélisation n’est pas accidentelle ; elle repose sur des théories de la communication et de la psychologie sociale bien établies.

D’abord, « l’agenda-setting » : les médias décident de ce qui est important.

En focalisant sur les « comparaisons avec Hitler » pendant huit ans, CNN et le « Guardian » ont imposé Trump comme menace existentielle.

Selon Maxwell McCombs et Donald Shaw, les médias ne disent pas « quoi » penser, mais « sur quoi » penser.

Résultat : 70 % des Américains en 2024 percevaient Trump comme « dangereux » pour la démocratie, selon des sondages Pew, en partie grâce à cette surmédiatisation.

Les professeurs amplifient cela via l’éducation : Stanley à Yale forme des étudiants qui internalisent ces cadres, créant un effet boule de neige générationnel.

Ensuite, le « framing » : les médias et académiciens encadrent la réalité.

Appeler Trump « fasciste » n’est pas neutre ; c’est invoquer un imaginaire collectif chargé d’Holocauste et de totalitarisme.

George Lakoff, linguiste à Berkeley, explique que les métaphores façonnent le raisonnement : « Trump comme Hitler » active des schémas cognitifs de peur, rendant tout soutien à Trump moralement répréhensible.

Dans l’imaginaire collectif, tel que défini par Cornelius Castoriadis, cela crée un « monde nazi » où Trump est l’incarnation du mal absolu.

Les citations de Paxton ou Browning, relayées par « France 24« , renforcent ce frame global, unifiant une élite transnationale contre « le monstre« .

Cette manipulation touche les raisonnements individuels via la « dissonance cognitive » de Festinger : face à des preuves contraires (Trump n’a pas instauré de dictature en 2017-2021), les individus rationalisent en adoptant la haine pour éviter l’inconfort.

Les professeurs, en tant qu’autorités, exploitent l’effet « halo » : leurs mots paraissent irréfutables, modifiant les heuristiques de décision.

Une étude de 2023 dans « Nature Human Behaviour » montre que l’exposition répétée à des analogies extrêmes altère le jugement politique de 25 % des sujets.

Sur le plan collectif, cela génère un « effet Matthew » : les riches en capital culturel (lecteurs du « Guardian », étudiants de Columbia) propagent la haine via les réseaux sociaux, créant des bulles algorithmiques.

X (ex-Twitter) amplifie cela, avec des hashtags comme #TrumpNazi atteignant des milliards d’impressions.

Les médias et professeurs, en initiant cela, sont des catalyseurs : leur rhétorique crée un imaginaire où la violence symbolique (insultes) justifie la violence physique (attentats de 2024).

Enfin, cette dynamique érode la délibération démocratique, remplaçant le débat par la stigmatisation.

Comme l’avertit Habermas, la « colonisation de l’espace public » par des élites discrédite la raison.

Les professeurs, censés enseigner la nuance, optent pour la polarisation, formant un public qui raisonne en binaire : Trump = mal absolu.

Cette onde de haine n’est pas spontanée ; elle est fabriquée, et ses artisans doivent en répondre – par des enquêtes éthiques, des réformes médiatiques et une accountability académique.

Conclusion : vers une responsabilité collective.

Les médias comme CNN, le « Guardian » ou la BBC, et des professeurs comme Stanley, Paxton ou de Berg, ont, par leurs citations incessantes – « fasciste », « Nazi », « dictator » –, semé une haine qui divise les nations.

Cet article appelle à une introspection : ces élites doivent être mises devant leurs responsabilités, via des codes déontologiques renforcés et un pluralisme médiatique.

Seulement alors pourrons-nous restaurer un débat sain, libéré de l’imaginaire toxique qu’ils ont forgé.

L’histoire jugera ces pyromanes de la discorde.