L’environnementalisme contemporain baigne dans une idéologie anti-civilisationelle et anti-naturelle ainsi qu’il repose sur le concept de biocentrisme, où l’humain est vu comme une espèce parmi d’autres, sans primauté.
Cette vision inverse les valeurs traditionnelles en privilégiant l’environnement au-dessus des besoins humains, conditionnant le progrès et le bien-être des sociétés à des exigences environnementales souvent peu rigoureuses scientifiquement.
Cette idéologie contredit non seulement les enseignements monothéistes qui voient l’homme comme co-créateur avec Dieu, mais aussi la science en promouvant une vision obscurantiste de la nature humaine et de son rôle dans l’univers.
L’environnementalisme, tel qu’il est souvent présenté, véhicule une idée fallacieuse selon laquelle les ressources naturelles limitent l’expansion des avantages de la société industrielle à tous. Cette perspective est critiquée pour son manque de base scientifique et morale, suggérant que l’humanité doit se restreindre pour préserver la nature, une notion qui va à l’encontre de l’idée que l’homme, par sa créativité, doit participer à l’amélioration du monde.
Un exemple frappant de cette idéologie se trouve dans les discours de figures comme Lynn White Jr, qui accuse le christianisme d’avoir facilité l’exploitation de la nature en détruisant l’animisme païen, et dans des documents comme la Déclaration de Morelia, qui prône l’égalité entre tous les êtres vivants, reflétant une misanthropie sous-jacente.
Cette vision est également illustrée par l’hypothèse de Gaïa, qui personnifie la Terre comme un organisme vivant avec des mécanismes d’autorégulation, suggérant que l’humanité doit se conformer aux « désirs » de cette entité pour survivre, une idée qui traite l’humain comme un potentiel virus à éliminer.
En somme, cette idéologie environnementaliste, en inversant les rôles traditionnels de l’homme et de la nature, propose une vision où l’humain doit se soumettre à des exigences naturelles pour sa propre survie, une perspective qui est perçue comme anti-civilisationnelle et contre nature, en opposition directe avec les valeurs anthropocentriques et les avancées technologiques et scientifiques de l’humanité.


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