Amazonie et corruption sur KateTv.

Kate reçoit Antoine Bachelin Sena venu parler de son dernier livre « Amazonie Politique« .
Il y est question de la corruption qui règne au sein des ONG, des autochtones maintenus dans les réserves, des zones de non droits et de ce qu’on appelle au Brésil: la Mafia Verte.


Une émission instructive sur une partie du monde que l’on croit connaître.

La maladie des idéologies modernes.

Les idéologies modernes reposent sur une distorsion profonde de la perception du temps : hégélianisme, marxisme, positivisme, nietzschéisme, pensée teilhardienne, transhumanisme, holisme, écologisme, multiculturalisme, théologie de la libération, progressisme globaliste de l’ONU, et autres.

Ce sont des messianismes modernes, dans le sens où ces idéologies imaginent un futur hypothétique comme forme de paradis merveilleux qu’elles érigent en vérité absolue pour réinterpréter le passé. Et c’est ce procédé même qui les empêchent de faire la distinction logique entre ce qui est nécessaire et ce qui est contingent. 

Nécessaire : Ce qui doit être, inéluctable et universel (ex. : lois logiques, 2+2=4). 
Contingent : Ce qui peut être ou ne pas être, dépendant des circonstances (ex. : un choix, un événement). 

👉 Les messianismes confondent les deux, traitant des futurs hypothétiques (contingents) comme s’ils étaient inévitables (nécessaires), faussant ainsi la perception du temps.

De plus, lorsque ce futur tant attendu arrive sans que la promesse divine — qu’il s’agisse du Prince de Machiavel, de la société sans classes, du «Surhomme» ou du règne de Gaïa — ne se réalise, des «révisions» surgissent. Et ces révisions transforment l’échec en carburant pour de nouvelles prophéties messianiques, alimentant un cycle sans fin, aussi inépuisable que l’aveuglement humain.

Dans mes recherches sur ce sujet, et parmi les éléments rassemblés, ce qui frappe le plus est la manière dont des esprits, même brillants, perdent leur acuité lorsqu’ils sont emportés par ces courants messianiques. Ils sombrent dans une inaptitude surprenante, incapables de raisonner avec clarté sur des questions élémentaires.

Cette forme contemporaine de bêtise découle d’une fuite hors de la réalité vécue pour s’installer dans une «seconde réalité», un monde illusoire qui n’existe que dans l’esprit des pseudos intellectuels séduits par ces idéologies.

Dans cette seconde réalité, la bêtise passe malheureusement pour de la sagesse chez ceux qui ne voient que cette seconde réalité. Car ce n’est qu’en confrontant les idées aux exigences du réel que l’absurdité devient évidente, révélant l’insensibilité grotesque des adeptes de cette seconde réalité face à la vie concrète.

Prenons l’exemple de Thomas Piketty, le soir disant économiste qui vilipende l’État pour des inégalités galopantes mais qui, dans un numéro d’acrobate, prône un impôt mondial géré par un super-État bureaucratique ! Un salto idéologique à faire pâlir un contorsionniste !

Cette incohérence illustre parfaitement le piège logique des raisonnements messianiques.

Ces errements ne sont pas de simples fautes de logique, car leurs auteurs sont souvent des esprits brillants. Le problème réside dans leur perception. S’ils observaient le monde tel qu’il est, ils verraient qu’il ne correspond pas à leurs projections.

Mais ils le regardent à travers le prisme prophétique d’un futur idéalisé, ce qui le transforme en une image digne des toiles d’Escher, où une main se dessine elle-même ou une échelle en spirale revient à son point de départ. Qu’on appelle cela « dialectique », « holisme », « approche systémique » ou « déconstructionnisme », le constat reste le même : c’est une affliction sérieuse.

Il ne s’agit pas d’une psychose au sens clinique, comme l’ont noté des penseurs tels qu’Henri de Lubac, Albert Camus, Norman Cohn ou Eric Voegelin. Cette maladie est d’ordre spirituel et peut affecter des individus par ailleurs parfaitement fonctionnels dans leur vie quotidienne. Mais ceux qui en sont atteints n’ont aucune conscience de leur trouble. Ils ressentent un profond mécontentement face à une réalité qui ne se plie jamais à leurs attentes, les amenant à rejeter le présent et le passé comme de simples préludes imparfaits à un futur utopique.

Ce mécanisme d’auto-alimentation exacerbe leur déconnexion du réel.
Sur un registre similaire, Karl Kraus observait que certaines époques sont si absurdes qu’elles défient la satire, la réalité se confondant avec la caricature.

Quelques mois après le scandale retentissant du « Penelopegate », François Fillon a défendu l’idée que le népotisme, lorsqu’il concerne son épouse, serait profondément éthique : l’emploi de son épouse comme assistante parlementaire était profondément légitime et éthique, affirmant qu’elle avait travaillé dur pour mériter son salaire.

Et, fait remarquable, de nombreux commentateurs et soutiens politiques se sont empressés de le soutenir.

Hégélianisme.
L’hégélianisme, inspiré de Georg Wilhelm Friedrich Hegel, envisage l’Histoire comme un processus dialectique menant à l’absolu, où l’Esprit du monde se réalise pleinement dans un futur rationnel et harmonieux. Ce futur hypothétique est érigé en vérité absolue, réinterprétant le passé comme une série de contradictions nécessaires vers cette fin inévitable.

Ainsi, il efface la distinction entre le nécessaire (la progression dialectique) et le contingent (les événements aléatoires), en les subordonnant à une téléologie historique. Lorsque ce futur d’harmonie absolue ne se matérialise pas, des révisions comme le néo-hégélianisme ajustent la doctrine pour promettre une réalisation plus lointaine.

👉 Ce cycle perpétue une foi messianique en un progrès inéluctable, alimenté par l’aveuglement à la complexité réelle du temps.

Marxisme.
Le marxisme, fondé par Karl Marx, prédit un futur communiste sans classes, où le prolétariat triomphe après la révolution, abolissant l’exploitation capitaliste. Ce paradis hypothétique sert de prémisse pour analyser l’Histoire comme une lutte des classes déterminée par les forces productives.

Il confond le nécessaire (le matérialisme historique) avec le contingent (les variations culturelles ou individuelles), en les intégrant dans un schéma linéaire vers le communisme. Face à l’échec des sociétés sans classes, des révisions comme le léninisme ou le maoïsme transforment les déceptions en étapes vers de nouvelles promesses.

👉 Cette boucle infinie repose sur une distorsion temporelle, où l’avenir utopique justifie l’ignorance des réalités présentes.

Positivisme.
Le positivisme, développé par Auguste Comte, imagine un avenir scientifique où l’humanité atteint un stade positif, guidé par la raison empirique et débarrassé des superstitions théologiques et métaphysiques. Ce futur hypothétique est posé comme vérité catégorique pour réinterpréter le passé en trois stades évolutifs inévitables.

Il abolit la frontière entre nécessaire (le progrès scientifique) et contingent (les facteurs irrationnels ou culturels), en les forçant dans une loi des trois états. Quand ce règne de la science pure n’arrive pas, des révisions comme le néo-positivisme adaptent la doctrine pour de nouvelles utopies rationalistes.

👉 Ce mécanisme nourrit un messianisme laïque, inépuisable comme la quête humaine de certitudes absolues.

Nietzschéisme.
Le nietzschéisme, basé sur Friedrich Nietzsche, prophétise un futur dominé par le Surhomme, transcendant les valeurs morales décadentes pour affirmer la volonté de puissance éternelle. Ce futur hypothétique réinterprète le passé comme un cycle de ressentiment et de déclin, menant à une réévaluation de toutes les valeurs.

Il brouille le nécessaire (l’éternel retour) et le contingent (les choix individuels), en les subordonnant à une vision élitiste et créative. Lorsque le Surhomme ne surgit pas, des révisions postmodernes ou existentialistes recyclent l’idée en nouvelles promesses de libération.

👉 Cette perpétuation messianique exploite l’aveuglement à la finitude humaine, générant un cycle d’illusions vitalistes.

Pensée teilhardienne.
La pensée teilhardienne, de Pierre Teilhard de Chardin, envisage un futur cosmique où l’humanité converge vers le Point Oméga, unifiant matière et esprit en une noosphère évoluée. Ce paradis hypothétique sert de base pour relire le passé comme une évolution dirigée vers cette unification divine.

Elle efface la distinction entre nécessaire (le processus évolutif) et contingent (les aléas biologiques), en les intégrant dans une téléologie spirituelle. Face à l’absence de ce règne oméga, des révisions théologiques ou transhumanistes transforment l’échec en étapes vers de nouvelles convergences.

👉 Ce cycle messianique, mêlant science et une sorte de foi un peu mystique, est alimenté par une distorsion temporelle inépuisable.

Holisme.
L’holisme postule un futur où tout est interconnecté en un tout harmonieux, surpassant les visions réductionnistes pour une unité systémique globale. Ce futur hypothétique réinterprète le passé comme des fragments inachevés d’une totalité émergente.

Il confond le nécessaire (les relations systémiques) avec le contingent (les éléments isolés), en les fondant dans une vision unitaire. Lorsque cette harmonie ne se réalise pas, des révisions comme l’holisme écologique ou quantique ajustent la doctrine pour de nouvelles promesses d’intégration.

👉 Cette boucle messianique perpétue une illusion d’unité, nourrie par l’aveuglement aux divisions réelles du monde.

Écologisme.
L’écologisme imagine un avenir où l’humanité vit en symbiose avec la nature, rétablissant l’équilibre planétaire sous le règne de Gaïa, la Terre vivante ou Terre Mère. Ce paradis hypothétique réanalyse le passé comme une ère d’exploitation destructrice menant à une crise inévitable.

Il abolit la frontière entre nécessaire (les cycles naturels) et contingent (les innovations humaines), en les subordonnant à une urgence environnementale. Quand le règne de Gaïa tarde, des révisions comme l’écologie profonde ou le greenwashing transforment les échecs en appels à de nouvelles actions salvatrices.

👉 Ce messianisme vert alimente un cycle infini, exploitant la peur et l’espoir pour ignorer les complexités temporelles.

Multiculturalisme.
Le multiculturalisme prophétise un futur harmonieux où les cultures coexistent en une mosaïque égalitaire, transcendant les conflits identitaires. Ce futur hypothétique réinterprète le passé comme une histoire d’oppressions coloniales menant à une diversité libérée.

Il brouille le nécessaire (l’intégration culturelle) et le contingent (les tensions locales), en les forçant dans un idéal pluraliste. Face à l’absence de cette harmonie, des révisions comme le post-multiculturalisme ajustent pour promettre une inclusion plus radicale.

👉 Cette boucle messianique repose sur une distorsion du temps, perpétuant l’aveuglement aux fractures réelles des sociétés.

Théologie de la libération.
La théologie de la libération envisage un futur où les opprimés, inspirés par une version marxiste de l’Évangile, construisent un royaume de justice sociale sur Terre, libéré des structures capitalistes. Ce paradis hypothétique réinterprète le passé biblique comme une lutte des pauvres contre les puissants.

Elle efface la distinction entre nécessaire (l’option pour les pauvres) et contingent (les contextes politiques), en les alignant sur une eschatologie terrestre. Lorsque ce royaume ne s’établit pas, des révisions syncrétiques avec l’écologie ou le féminisme recyclent l’échec en nouvelles prophéties.

👉 Ce messianisme théologique nourrit un cycle inépuisable, ancré dans une inversion temporelle de la foi.

Progressisme globaliste de l’ONU.
Le progressisme globaliste de l’ONU prédit un avenir unifié sous des objectifs durables, où les nations coopèrent pour éradiquer pauvreté, inégalités et crises climatiques via des agendas mondiaux. Ce futur hypothétique réanalyse le passé comme une ère de divisions nationales menant à une gouvernance globale inévitable.

Il confond le nécessaire (les accords internationaux) avec le contingent (les souverainetés locales), en les subordonnant à une vision universaliste. Quand ces objectifs échouent, des révisions comme les nouveaux ODD transforment les déceptions en appels à une coopération accrue.

👉 Cette boucle messianique onusienne exploite l’aveuglement collectif, perpétuant une distorsion temporelle au nom du progrès.

Discours de Trump le 23 septembre 2025 à New York, ONU.

Aujourd’hui, seulement 8 mois après le début de mon administration, nous sommes le pays le plus dynamique au monde, et aucun autre pays ne nous arrive même à la cheville.

L’Amérique est bénie avec l’économie la plus forte, les frontières les plus solides, l’armée la plus puissante, les amitiés les plus solides et l’esprit le plus fort de toutes les nations sur Terre.

C’est véritablement l’âge d’or de l’Amérique.

Nous avons inversé rapidement la calamité économique héritée de l’administration précédente (les hausses de prix de l’energie et une inflation record, une inflation comme nous n’en avons jamais connue auparavant).

Sous mon leadership, les coûts de l’énergie ont diminué, les prix de l’essence ont baissé, les prix des produits alimentaires ont diminué, les taux hypothécaires sont en baisse, et l’inflation a été vaincue.

La seule chose qui augmente, c’est la bourse, qui vient d’atteindre un record historique. En fait, elle a atteint un record 48 fois au cours de cette courte période.

La croissance explose, l’industrie manufacturière prospère. Comme je l’ai dit, la bourse se porte mieux qu’elle ne l’a jamais fait, et tous ceux dans cette salle en bénéficient. Presque tout le monde.

Et, surtout, les salaires des travailleurs augmentent à un rythme jamais vu depuis plus de 60 ans. C’est bien de cela qu’il s’agit, n’est-ce pas ?

En 4 ans sous le président Biden, nous avions moins de 1 000 milliards de dollars d’investissements nouveaux aux États-Unis. En seulement 8 mois depuis mon entrée en fonction, nous avons obtenu des engagements et des fonds déjà versés pour 17 000 milliards de dollars. Pensez-y : 4 ans, moins de 1 000 milliards ; 8 mois, bien plus de 17 000 milliards sont investis aux États-Unis, et cela afflue maintenant de toutes les parties du monde.

Nous avons mis en place les plus importantes réductions d’impôts de l’histoire américaine et les plus grandes réductions de réglementations de l’histoire américaine, faisant de notre pays, une fois encore, le meilleur endroit au monde pour faire des affaires. Beaucoup de personnes dans cette salle investissent en Amérique, et cela s’est avéré être un investissement sacrément rentable au cours de ces 8 mois.

Lors de mon premier mandat, j’ai construit la plus grande économie de l’histoire mondiale. Nous avions la meilleure économie au monde, et je fais la même chose à nouveau, mais cette fois, c’est encore plus grand et mieux. Les chiffres surpassent largement mon record précédent.

À notre frontière sud, pendant les 4 derniers mois, et cela fait 4 mois consécutifs, le nombre d’immigrants illégaux admis ou entrés dans notre pays est de 0. Difficile à croire, car il y a un an à peine, des millions et des millions de personnes affluaient de partout dans le monde, des prisons, des institutions psychiatriques, des trafiquants de drogue. Ils arrivaient de partout dans le monde, déferlant dans notre pays à cause de la politique ridicule de frontière ouverte de l’administration Biden.

Notre message est très simple : si vous entrez illégalement aux États-Unis, vous irez en prison ou vous serez renvoyé d’où vous venez, vous savez ce que cela signifie. Je tiens à remercier le Salvador pour le travail efficace et professionnel qu’ils ont accompli en recevant et en emprisonnant tant de criminels qui sont entrés dans notre pays.

Sous l’administration précédente, ce nombre avait atteint des records, mais ils sont tous en train d’être expulsés. Vous n’avez pas le choix, et les autres pays n’ont pas le choix non plus, car ils sont dans la même situation avec l’immigration. Cela détruit votre pays, et il faut faire quelque chose.

Sur la scène mondiale, l’Amérique est à nouveau respectée comme jamais auparavant. Il y a quelques années, 3 ou 4 ans, ou même 1 an, nous étions la risée du monde entier.

Lors du sommet de l’OTAN en juin, presque tous les membres de l’OTAN se sont officiellement engagés, à ma demande, à augmenter leurs dépenses de défense de 2 % à 5 % de leur PIB, rendant notre alliance bien plus forte et puissante qu’elle ne l’a jamais été.

En mai, je me suis rendu au Moyen-Orient pour rendre visite à mes amis et reconstruire nos partenariats dans le Golfe. Ces relations précieuses avec l’Arabie saoudite, le Qatar, les Émirats Arabes Unis et d’autres pays sont, je crois, plus étroites que jamais.

Mon administration a négocié un accord commercial historique après l’autre, y compris avec le Royaume-Uni, l’Union européenne, le Japon, la Corée du Sud, le Vietnam, l’Indonésie, les Philippines, la Malaisie, et bien d’autres encore.

De même, en seulement 7 mois, j’ai mis fin à 7 guerres prétendument insolubles. On disait qu’elles ne pourraient jamais être résolues. Certaines duraient depuis 31 ans, deux d’entre elles pendant 31 ans, une autre 36 ans, une autre 28 ans. J’ai mis fin à sept guerres, des conflits où des milliers de personnes étaient tuées. Cela inclut le Cambodge et la Thaïlande, le Kosovo et la Serbie, le Congo et le Rwanda – une guerre d’une violence extrême –, le Pakistan et l’Inde, Israël et l’Irak, l’Égypte et l’Éthiopie, ainsi que l’Arménie et l’Azerbaïdjan.

Aucun président, aucun premier ministre, ni aucun autre pays n’a jamais accompli quelque chose de comparable, et je l’ai fait en seulement 7 mois. Cela n’était jamais arrivé auparavant. J’en suis très honoré, mais c’est dommage que j’aie dû le faire à la place des Nations Unies, qui, malheureusement, n’ont même pas essayé d’aider dans aucun de ces cas.

J’ai mis fin à 7 guerres, j’ai traité avec les dirigeants de chacun de ces pays, et je n’ai jamais reçu un seul appel des Nations Unies proposant leur aide pour finaliser ces accords.

Tout ce que j’ai obtenu des Nations Unies, c’est un escalator qui s’est arrêté en plein milieu alors que la Première Dame et moi étions dessus – elle aurait pu tomber, mais heureusement, nous avons une super fome tous les deux – et un téléprompteur qui ne fonctionnait pas. Voilà les deux choses que j’ai reçues des Nations Unies : un mauvais escalator et un mauvais téléprompteur. Merci beaucoup. D’ailleurs, le téléprompteur fonctionne maintenant, il vient de s’éteindre. Merci. Je pense que je devrais le faire à l’ancienne, c’est plus simple. Merci beaucoup.

Je n’y avais pas pensé sur le moment, car j’étais trop occupé à travailler pour sauver des millions de vies en mettant fin à ces guerres. Mais plus tard, j’ai réalisé que les Nations Unies n’étaient pas là pour nous. Je n’y ai pensé qu’après coup, pas pendant ces négociations, qui n’étaient pas faciles.

Cela étant dit, à quoi sert l’ONU ? Les Nations Unies ont un potentiel immense, je l’ai toujours dit, un potentiel énorme, mais elles n’en exploitent même pas une fraction. Pour l’instant, elles se contentent d’écrire des lettres au ton très ferme, sans jamais donner suite. Ce ne sont que des mots vides, et les mots vides ne résolvent pas les guerres.

La seule chose qui résout les guerres, c’est l’action. Après avoir mis fin à toutes ces guerres et négocié les Accords d’Abraham – un événement majeur pour lequel notre pays n’a reçu aucun crédit, comme d’habitude –, tout le monde dit que je devrais recevoir le prix Nobel de la paix pour chacune de ces réalisations.

Mais pour moi, le véritable prix, ce sont les fils et les filles qui pourront grandir avec leurs mères et leurs pères, car des millions de personnes ne sont plus tuées dans des guerres sans fin et inutiles. Ce qui m’importe, ce n’est pas de gagner des prix, c’est de sauver des vies.

Nous avons sauvé des millions et des millions de vies avec ces 7 guerres terminées, et nous travaillons sur d’autres accords de paix, vous le savez.

Il y a de nombreuses années, un promoteur immobilier très prospère à New York, connu sous le nom de Donald J. Trump, a fait une offre pour la rénovation et la reconstruction de ce complexe des Nations Unies. Je m’en souviens très bien. À l’époque, j’avais dit que je le ferais pour 500 millions de dollars, en reconstruisant tout magnifiquement. Je parlais de sols en marbre, alors qu’eux proposaient du terrazzo. Je parlais des meilleurs matériaux, de murs en acajou, alors qu’eux proposaient du plastique.

Mais ils ont choisi une autre voie, beaucoup plus coûteuse, et qui a produit un résultat bien inférieur. J’avais réalisé qu’ils ne savaient pas ce qu’ils faisaient en matière de construction, que leurs concepts étaient totalement erronés, et que le produit qu’ils proposaient était mauvais et extrêmement coûteux. Cela allait leur coûter une fortune, et j’avais prévenu qu’il y aurait des dépassements de coûts énormes.

Eh bien, j’avais raison. Ils ont eu des dépassements massifs et ont dépensé entre 2 et 4 milliards de dollars pour le bâtiment, sans même obtenir les sols en marbre que je leur avais promis. Vous marchez sur du terrazzo, vous l’avez remarqué ? Pour moi, franchement, en regardant le bâtiment et en restant coincé dans l’escalator, ils n’ont toujours pas fini le travail, même après toutes ces années.

Ce projet était tellement corrompu que le Congrès m’a même demandé de témoigner sur ce gâchis monumental, car ils n’avaient aucune idée du coût réel, qui se situait entre 2 et 4 milliards de dollars, contre 500 millions garantis. J’avais dit que cela coûterait bien plus de 5 milliards.

Malheureusement, beaucoup de choses aux Nations Unies se passent ainsi, mais à une échelle encore bien plus grande. C’est très triste à voir.

Je suis venu ici aujourd’hui pour offrir la main du leadership et de l’amitié américaine à toute nation de cette assemblée prête à se joindre à nous pour forger un monde plus sûr et plus prospère, un monde qui sera bien plus heureux, avec un avenir bien meilleur à portée de main.

Mais pour y parvenir, nous devons rejeter les approches ratées du passé et travailler ensemble pour affronter certaines des plus grandes menaces de l’histoire. Il n’y a pas de danger plus sérieux pour notre planète aujourd’hui que les armes les plus puissantes et destructrices jamais conçues par l’homme, dont les États-Unis, comme vous le savez, possèdent beaucoup.

Comme je l’ai fait lors de mon premier mandat, j’ai fait de la lutte contre ces menaces une priorité absolue, en commençant par la nation d’Iran. Ma position est très simple : le plus grand sponsor mondial du terrorisme ne doit jamais être autorisé à posséder l’arme la plus dangereuse.

C’est pourquoi, peu après mon entrée en fonction, j’ai envoyé une lettre au soi-disant Guide suprême, proposant une offre généreuse. J’ai promis une coopération totale en échange de la suspension du programme nucléaire iranien. La réponse du régime a été de continuer leurs menaces constantes contre leurs voisins et les intérêts américains dans la région, ainsi que contre certains grands pays voisins. Aujourd’hui, beaucoup d’anciens commandants militaires iraniens, en fait presque tous, ne sont plus parmi nous, ils sont morts.

Et il y a trois mois, lors de l’opération « Marteau de Minuit », 7 bombardiers B-2 américains ont largué des bombes de 1 430 000 livres chacune sur la principale installation nucléaire iranienne, détruisant tout. Aucun autre pays au monde n’aurait pu faire ce que nous avons fait.

Aucun autre pays n’a l’équipement pour faire ce que nous avons fait. Nous avons les armes les plus puissantes au monde. Nous détestons les utiliser, mais nous avons fait quelque chose que les gens voulaient faire depuis 22 ans. Avec la capacité d’enrichissement nucléaire de l’Iran détruite, j’ai immédiatement négocié la fin de la guerre de 12 jours, comme on l’appelle, entre Israël et l’Iran, les deux parties acceptant de cesser les combats.

Comme tout le monde le sait, je me suis également profondément impliqué pour obtenir un cessez-le-feu à Gaza. Il faut que cela soit fait. Malheureusement, le Hamas a rejeté à plusieurs reprises des offres raisonnables de paix. Nous ne pouvons pas oublier le 7 octobre, n’est-ce pas ?

Cependant, certains membres de cette assemblée semblent encourager le conflit en reconnaissant unilatéralement un État palestinien. Une telle démarche reviendrait à récompenser le Hamas pour ses atrocités, y compris celles du 7 octobre, alors qu’il refuse de libérer les otages et d’accepter un cessez-le-feu. Au lieu de céder aux exigences du Hamas, ceux qui aspirent à la paix doivent envoyer un message clair et uni : libérez les otages immédiatement. Merci.

Nous devons nous unir pour mettre fin à la guerre à Gaza sans délai. Il faut négocier la paix et obtenir la libération des otages. Nous voulons le retour des 20 otages restants, pas seulement quelques-uns. Comme vous le savez, avec l’aide de personnes comme Steve Witkoff et Marco Rubio, nous avons réussi à en récupérer la plupart. Mais j’ai toujours dit que les 20 derniers seraient les plus difficiles, et c’est exactement ce qui s’est produit. Nous devons les ramener maintenant, tous ensemble, y compris ceux qui ont tragiquement perdu la vie. Les parents de ces otages me l’ont demandé avec insistance, désirant leur retour avec autant de force que s’ils étaient encore en vie.

Par ailleurs, j’ai travaillé sans relâche pour stopper les combats en Ukraine. Je pensais que cette guerre, parmi les sept que j’ai contribué à arrêter, serait la plus facile à résoudre en raison de ma bonne relation avec le président Poutine. Mais la guerre réserve toujours des surprises.

Tout le monde s’attendait à ce que la Russie l’emporte en trois jours, mais cela ne s’est pas déroulé ainsi. Ce conflit, censé être une simple escarmouche, dure depuis trois ans et demi, causant la mort de 50 à 7 000 jeunes soldats chaque semaine, des deux côtés. Des villes sont bombardées par des roquettes et des drones. Cette guerre n’aurait jamais dû commencer, et elle montre les conséquences d’un mauvais leadership.

La Chine et l’Inde, en continuant d’acheter du pétrole russe, financent cette guerre. Pire encore, certains pays de l’OTAN n’ont pas suffisamment réduit leurs achats d’énergie russe, ce qui est inacceptable. J’ai découvert cela il y a deux semaines et j’étais furieux. Comment peut-on financer un pays tout en le combattant ? Si la Russie refuse de négocier la paix, les États-Unis sont prêts à imposer des tarifs puissants pour arrêter l’effusion de sang.

Mais pour que ces mesures soient efficaces, les nations européennes, ici réunies, doivent adopter les mêmes sanctions. Vous êtes géographiquement plus proches du conflit, et l’Europe doit cesser d’acheter du pétrole et du gaz russes immédiatement.

Sinon, nous perdons tous notre temps. Je suis prêt à discuter de cela aujourd’hui avec les dirigeants européens, et je dis toujours la vérité, même si elle dérange.

Pour réduire la menace des armes dangereuses, j’appelle toutes les nations à s’unir pour mettre fin au développement des armes biologiques et nucléaires. Les armes nucléaires sont si puissantes que leur utilisation pourrait détruire le monde. Il n’y aurait plus d’ONU ni rien d’autre.

Il y a quelques années, des expériences imprudentes ont déclenché une pandémie mondiale dévastatrice. Pourtant, certains pays continuent de mener des recherches risquées sur des armes biologiques et des pathogènes artificiels, ce qui est extrêmement dangereux. Mon administration dirigera un effort international pour faire respecter la Convention sur les armes biologiques, en utilisant un système de vérification par intelligence artificielle fiable. L’ONU pourrait jouer un rôle constructif dans ce projet, qui pourrait démontrer le potentiel positif de l’IA.

L’ONU, au lieu de résoudre des problèmes, en crée souvent de nouveaux. Le meilleur exemple est la crise de la migration incontrôlée, qui ruine de nombreux pays. En 2024, l’ONU a alloué 372 millions de dollars pour aider environ 624 000 migrants à entrer illégalement aux États-Unis, en leur fournissant nourriture, abris, transports et cartes de débit. C’est inacceptable.

L’ONU devrait empêcher les invasions, pas les financer. Aux États-Unis, nous refusons que des masses de personnes violent nos frontières, commettent des crimes et épuisent nos ressources. Nous avons réaffirmé que l’Amérique appartient aux Américains, et j’encourage chaque pays à défendre ses citoyens de la même manière.

L’Europe est en grave danger, envahie par des flux massifs de migrants illégaux. Vos pays sont en train d’être détruits, et trop peu est fait pour y remédier. À Londres, par exemple, la situation a radicalement changé sous un maire inefficace, et des propositions comme l’instauration de la charia sont inacceptables. Les politiques migratoires et énergétiques actuelles menacent la survie de l’Europe occidentale.

Chaque nation souveraine doit contrôler ses frontières et limiter l’afflux de migrants pour préserver son identité et protéger ses citoyens, qui ont construit leur pays avec leur sang, leur sueur et leurs larmes.

Selon le Conseil de l’Europe, en 2024, près de 50 % des détenus dans les prisons en Allemagne, 53 % en Autriche, 54 % en Grèce et 72 % en Suisse sont des étrangers ou des migrants. Ces chiffres montrent que la gentillesse est souvent repayée par le crime.

Il est temps de mettre fin à l’expérience des frontières ouvertes. Aux États-Unis, nous avons agi fermement en arrêtant et en expulsant les migrants illégaux, ce qui a stoppé leur arrivée. Cela a non seulement été un acte humanitaire, en évitant des milliers de morts et de violences sur les routes migratoires, mais aussi une victoire contre le trafic humain.

Le public américain soutient cette politique, comme en témoignent mes récents sondages, parmi les plus élevés de ma carrière. Ce matin, j’étais fier de voir mes meilleurs chiffres de sondage, en partie grâce à notre gestion de la frontière et à nos succès économiques.

Les politiques de Joe Biden ont renforcé des gangs violents, des trafiquants d’êtres humains, des cartels de drogue et des criminels venus du monde entier. Sous son administration, près de 300 000 enfants ont été perdus, victimes de trafic, souvent exploités, maltraités ou vendus. Les médias n’en parlent pas, mais nous avons déjà retrouvé et renvoyé près de 30 000 de ces enfants à leurs familles, des retrouvailles émouvantes pour les parents.

Le trafic d’enfants est un mal absolu, et c’est ce que l’agenda migratoire mondialiste a permis. En Amérique, cette époque est révolue. Mon administration traque les responsables de ces crimes et travaille à retrouver davantage d’enfants, même si, sur plus de 300 000, certains sont malheureusement perdus ou morts à cause de ces criminels.

Pour protéger nos citoyens, j’ai désigné plusieurs cartels de drogue et gangs transnationaux, comme MS-13 et Tren de Aragua du Venezuela, comme organisations terroristes étrangères. Ces groupes torturent, mutilent et tuent sans scrupules. Ils sont les ennemis de l’humanité. Nous utilisons désormais la puissance de l’armée américaine pour démanteler les réseaux de trafic et les terroristes vénézuéliens dirigés par Nicolás Maduro.

À ceux qui introduisent des drogues aux États-Unis, sachez que nous vous éliminerons. Les drogues, comme le fentanyl, ont tué 300 000 Américains l’an dernier. Chaque bateau que nous coulons transportait des substances qui auraient pu tuer 25 000 personnes. Nous ne permettrons pas cela.

Sur le plan énergétique, les États-Unis prospèrent comme jamais. Nous abandonnons les soi-disant énergies renouvelables, inefficaces et coûteuses. Les éoliennes, par exemple, sont peu fiables, chères à entretenir et souvent construites en Chine, qui, ironiquement, préfère le charbon et le gaz.

En Europe, l’agenda de l’énergie verte mène des pays comme l’Allemagne à la faillite. Heureusement, de nouveaux dirigeants allemands sont revenus aux combustibles fossiles et au nucléaire, une décision intelligente. Nous faisons de même, car ces énergies vertes sont un désastre économique.

À New York, la criminalité diminue, et à Washington D.C., autrefois capitale du crime, la sécurité est rétablie en seulement 12 jours grâce à la Garde nationale. Nous avons expulsé ou emprisonné 1 700 criminels de carrière. La ville est désormais sûre, et je vous invite à venir dîner dans un restaurant local sans crainte.

Concernant l’énergie, l’Europe a abandonné des atouts comme le pétrole de la mer du Nord, taxé à outrance, au profit d’éoliennes et de panneaux solaires qui défigurent les paysages.

Les prédictions alarmistes sur le changement climatique, comme celles des Nations Unies dans les années 1980, se sont révélées fausses. Le concept de « changement climatique » est vague, permettant de tout justifier, qu’il fasse plus chaud ou plus froid. C’est, à mon avis, une escroquerie coûteuse.

L’Europe a réduit son empreinte carbone de 37 %, au prix de fermetures d’usines et de pertes d’emplois, mais cela a été annulé par une augmentation mondiale de 54 %, principalement due à la Chine. Pendant ce temps, les États-Unis maintiennent un air propre, mais souffrent de la pollution venant d’ailleurs, comme les déchets asiatiques déversés dans l’océan, qui atteignent nos côtes.

Ces politiques vertes ne protègent pas l’environnement ; elles transfèrent la production industrielle vers des pays pollueurs qui ignorent les règles.

Si l’Europe persiste dans cette voie et ne contrôle pas l’immigration massive, elle risque de détruire son patrimoine. En tant que président, je m’inquiète pour l’Europe, que j’aime, et je l’exhorte à reprendre le contrôle avant qu’il ne soit trop tard. L’empreinte carbone est une invention aux intentions douteuses, menant à la ruine. Les États-Unis, eux, choisissent la prospérité et la sécurité.

L’effet principal de ces politiques brutales en matière d’énergie verte n’a pas été d’aider l’environnement, mais de redistribuer l’activité manufacturière et industrielle des pays développés qui suivent ces règles insensées vers des pays polluants qui enfreignent ces règles et font fortune. Ils font fortune.

Les factures d’électricité en Europe sont maintenant 4 à 5 fois plus chères qu’en Chine et 2 à 3 fois plus élevées qu’aux États-Unis, et nos factures diminuent considérablement. Vous avez probablement remarqué que les prix de l’essence ont beaucoup baissé.

Chaque année, l’Europe déplore plus de 175 000 décès dus à la chaleur. Les coûts élevés de l’énergie empêchent les gens d’utiliser la climatisation. Ce n’est pas l’Europe que je connais et que j’aime. Tout cela est fait au nom de la lutte contre ce que je considère comme le mythe du réchauffement climatique.

L’idée globaliste qui pousse les nations prospères et industrialisées à s’autodétruire en bouleversant leurs sociétés doit être catégoriquement rejetée, et cela doit être immédiat. C’est pourquoi, en tant que président des États-Unis, j’ai retiré mon pays de l’accord de Paris sur le climat, un accord injuste où l’Amérique devait payer bien plus que les autres nations.

Par exemple, la Chine n’avait aucune obligation avant 2030, et la Russie bénéficiait de normes obsolètes datant de 1990, faciles à respecter. Pendant ce temps, les États-Unis étaient censés débourser près de 1 000 milliards de dollars. J’ai dénoncé cette situation comme une escroquerie.

Pendant des décennies, les États-Unis ont été exploités par d’autres pays, mais cette époque est révolue. Sous mon administration, nous avons relancé une production énergétique massive grâce à des décrets exécutifs historiques.

Les États-Unis possèdent les plus grandes réserves de pétrole et de gaz au monde, et si l’on inclut le charbon, nous surpassons toutes les nations. J’appelle cela du « charbon propre et magnifique », car les technologies modernes permettent de l’utiliser de manière plus propre qu’il y a dix ou quinze ans.

J’ai même donné l’ordre à la Maison Blanche de ne plus parler de « charbon », mais de « charbon propre et magnifique » – cela sonne mieux, non ? Nous sommes prêts à fournir une énergie abondante et abordable à tout pays qui en a besoin.

Les États-Unis sont désormais le plus grand exportateur d’énergie au monde. Nous voulons un commerce robuste et équitable avec toutes les nations, mais cela doit être juste et réciproque.

Le commerce et le climat posent des défis similaires. Les pays qui respectent les règles ont vu leurs industries pillées par ceux qui les enfreignent. C’est une situation tragique.

Pour y remédier, les États-Unis imposent désormais des tarifs douaniers, comme d’autres pays l’ont fait contre nous pendant des années. Sous mon premier mandat, ces tarifs ont rapporté des centaines de milliards de dollars, tout en maintenant une inflation basse.

Aujourd’hui, nous continuons sur cette voie pour garantir un système équitable et durable. Ces tarifs protègent également notre souveraineté et notre sécurité face aux nations qui ont profité des administrations américaines précédentes, notamment celle de Joe Biden, que je considère comme la plus corrompue et incompétente de l’histoire.

Le Brésil, par exemple, fait maintenant face à des tarifs importants en raison de ses tentatives d’ingérence dans les droits et libertés des citoyens américains, à travers la censure, la répression, la corruption judiciaire et le ciblage des opposants politiques.

Récemment, j’ai croisé le président brésilien. Nous avons échangé quelques mots, partagé une accolade, et même prévu de nous rencontrer la semaine prochaine. Il semblait sympathique, et nous avions une bonne alchimie. Mais je ne fais des affaires qu’avec ceux que j’apprécie. Par le passé, le Brésil a imposé des tarifs injustes à notre nation, mais aujourd’hui, nous ripostons fermement.

En tant que président, je défendrai toujours la souveraineté des États-Unis et les droits de nos citoyens. Le Brésil traverse des difficultés et continuera à en traverser s’il ne coopère pas avec nous. Sans notre soutien, il échouera, comme d’autres avant lui.

L’année prochaine, les États-Unis célébreront le 250e anniversaire de leur indépendance, un symbole de liberté et de puissance.

Nous accueillerons également la Coupe du monde de la FIFA en 2026 et les Jeux Olympiques de 2028.

Ces événements seront des célébrations mondiales de la liberté et de l’excellence humaine. J’invite le monde entier à y participer.

Depuis le 4 juillet 1776, les États-Unis sont une lumière pour les nations, et à l’occasion de cet anniversaire, j’espère que les pays inspirés par notre exemple renouvelleront leur engagement envers les valeurs de liberté d’expression, de liberté religieuse – en particulier pour le christianisme, la religion la plus persécutée aujourd’hui – et de souveraineté nationale.

Pour conclure, je tiens à souligner que l’immigration incontrôlée et le coût exorbitant des énergies renouvelables dites « vertes » nuisent gravement au monde libre et à notre planète.

Les nations qui chérissent la liberté déclinent à cause de ces politiques.

Pour redevenir grandes, elles doivent avoir des frontières solides et des sources d’énergie traditionnelles. Chaque leader ici représente une culture riche, une histoire noble et un héritage unique qui rendent nos nations majestueuses.

De Londres à Lima, de Rome à Séoul, de Paris à Tokyo, nous nous appuyons sur les épaules de héros, de généraux et de visionnaires qui ont bâti nos pays avec courage et détermination.

Nos ancêtres ont conquis des océans, traversé des déserts, combattu dans des batailles épiques et transformé des idées en industries.

Ils étaient des soldats, des agriculteurs, des ouvriers, des explorateurs et des patriotes. Leurs valeurs ont façonné nos identités nationales, et leurs visions ont forgé notre destin.

Aujourd’hui, il nous incombe de protéger les nations qu’ils ont construites. Ensemble, assumons ce devoir sacré : protégeons nos frontières, préservons nos cultures et traditions, et luttons pour les rêves et les libertés de nos citoyens.

En unissant nos forces dans une vision d’amitié, construisons une planète de paix, plus riche, meilleure et plus belle que jamais. Cela peut commencer dès maintenant.

Nous rendrons nos pays plus sûrs, plus prospères et plus beaux.

Merci beaucoup. Ce fut un honneur.

Que Dieu bénisse les nations du monde.

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