La fabrique de la polarisation : étude de cas des médias mainstream.

Publié sur France Soir ici.

Les médias traditionnels continuent de façonner la perception des figures politiques mondiales.  Des leaders comme Jair Bolsonaro (Brésil), Donald Trump (États-Unis), Viktor Orbán (Hongrie) et Marine Le Pen (France) sont fréquemment étiquetés « extrême droite » par des médias comme CNN, Le Monde ou The Guardian. Si certaines de leurs politiques ou déclarations peuvent susciter des critiques, cette qualification récurrente contribue à une polarisation qui semble, en partie, construite par les médias eux-mêmes.

À travers des récits sélectifs, des omissions et une couverture inégale, ces derniers amplifient une fracture qu’ils dénoncent ensuite. Cet article explore cette dynamique et ses implications, en s’appuyant sur des données et des exemples concrets.

Elon Musk et le glissement idéologique.
Elon Musk a écrit sur X : « L’agenda ‘de droite’ d’aujourd’hui n’est que l’agenda centriste d’il y a 20 ans. La gauche est devenue un mouvement d’extinction. »



Ce glissement idéologique, où des positions autrefois modérées sont désormais jugées extrêmes, explique en partie la stigmatisation des leaders souverainistes.

Cette dérive, combinée aux choix éditoriaux des médias mainstream, contribue à une couverture déséquilibrée, où certains leaders bénéficient d’une indulgence relative, tandis que d’autres sont systématiquement caricaturés.

La polarisation : une construction médiatique amplifiée.
L’idée d’une société irrémédiablement divisée domine les récits médiatiques. Cependant, cette polarisation est en partie orchestrée par des choix éditoriaux influencés par des agendas économiques, politiques et idéologiques. Les leaders politiques sont souvent réduits à des catégories binaires – gauche progressiste contre droite conservatrice ou extrémiste –, occultant la complexité des contextes nationaux et des idées.

Comme le souligne un rapport de l’OCDE sur la polarisation (2023), les médias ne sont pas seuls responsables : les algorithmes des réseaux sociaux et les bulles de filtre amplifient également les divisions.

Ce phénomène réduit le débat public à une guerre culturelle, où la nuance est sacrifiée au profit de slogans percutants.

Études de cas : une couverture déséquilibrée.
Donald Trump (États-Unis, 2017-2021)
Trump a été dépeint comme xénophobe par CNN et d’autres médias mainstream, notamment pour des politiques comme le « Muslim Ban » de 2017. Pourtant, son administration a réalisé des avancées significatives, souvent éclipsées par des récits médiatiques sélectifs. Le chômage a atteint un creux historique de 3,5 % en 2019 (Bureau of Labor Statistics), bénéficiant particulièrement aux minorités, avec un taux de chômage des Afro-Américains à 5,9 %, le plus bas jamais enregistré.

Les Accords d’Abraham, normalisant les relations entre Israël et des pays arabes (Émirats, Bahreïn), ont marqué un succès diplomatique majeur, mais ont été sous-rapportés.

Les médias ont également minimisé ou ignoré des scandales potentiellement préjudiciables à l’opposition. Par exemple, l’affaire du laptop d’Hunter Biden, révélée par le New York Post en octobre 2020, a été largement censurée ou discréditée par des outlets comme CNN et The Washington Post, qui l’ont qualifiée de « désinformation » ou de « non-vérifiée ». Des documents ultérieurs, confirmés par le FBI en 2021, ont révélé des courriels suggérant des conflits d’intérêts liés aux affaires d’Hunter Biden en Ukraine et en Chine, mais ces révélations ont reçu une couverture minimale.

À l’inverse, les allégations d’ingérence russe dans l’élection de 2016 ont été amplifiées par des médias comme MSNBC et The New York Times, souvent sans preuves concluantes, malgré le rapport Mueller (2019) qui n’a pas établi de collusion directe avec la campagne de Trump. Un autre exemple est la couverture du dossier Steele, un rapport non vérifié alléguant des liens entre Trump et la Russie, relayé par BuzzFeed en 2017, mais largement discrédité depuis.

Ces choix éditoriaux, privilégiant certains récits tout en occultant d’autres, ont renforcé la perception d’un traitement médiatique biaisé contre Trump.

Viktor Orbán (Hongrie, depuis 2010).
Orbán est fréquemment caricaturé par les médias mainstream comme un leader autoritaire ou ultranationaliste, en raison de ses politiques migratoires strictes et de ses réformes institutionnelles.

Par exemple, Le Monde a qualifié son approche de « démocratie illibérale » (2018), et The Guardian a dénoncé son « populisme xénophobe » (2020). Pourtant, ses politiques ont produit des résultats concrets pour le peuple hongrois : l’impôt sur le revenu a été réduit à 15 %, l’un des plus bas d’Europe, stimulant le pouvoir d’achat des ménages, et le taux de natalité est passé de 1,3 à 1,6 enfant par femme entre 2010 et 2020 (Eurostat), répondant à des préoccupations démographiques majeures.

Ces mesures, qui soutiennent les familles et l’économie, sont rarement mises en avant face aux caricatures médiatiques.

Jair Bolsonaro (Brésil, 2019-2022).
Bolsonaro a été qualifié d’« extrémiste » par O Globo et The Guardian, souvent pour sa rhétorique clivante.

Pourtant, son mandat a produit des résultats mesurables :

Le système PIX a révolutionné les transactions financières, offrant des transferts instantanés sans frais, bénéficiant à des millions de Brésiliens (Banque mondiale, 2021).
75 % des services publics ont été digitalisés, plaçant le Brésil en tête des Amériques (Banque mondiale, 2022).
Auxílio Brasil a réduit l’extrême pauvreté de 5,4 % à 1,9 % (IBGE, 2022).

GraphoGame a permis une alphabétisation en 6 mois au lieu de 3 ans.
Des accords pour des engrais russes ont atténué les risques d’une crise alimentaire mondiale, selon Augusto Zimmerman (Epoch Times, 2022).
Certains médias ont exagéré en utilisant des images datant de 2003 pour discréditer Bolsonaro, comme dénoncé dans un tweet à Leonardo DiCaprio en 2019.

Par ailleurs, 163 000 km² de forêt amazonienne étaient en récupération en 2020 (INPE), un point rarement mentionné.

Marine Le Pen (France).
Avec 41,5 % des voix en 2022, Marine Le Pen est souvent qualifiée de xénophobe par Libération, en raison de sa « priorité nationale ». Ses propositions, axées sur la désindustrialisation et l’insécurité culturelle, résonnent avec certains électeurs, mais sont critiquées pour leur potentiel discriminatoire.

Cette stigmatisation s’inscrit dans la continuité de celle visant son père, Jean-Marie Le Pen, caricaturé comme soi-disant raciste par les médias mainstream, notamment dans les années 1980 et 1990, pour ses déclarations controversées, renforçant une image négative du mouvement qu’ils représentent.

Lula, biais médiatiques et contradictions.
Le contraste entre les mandats de Jair Bolsonaro (2019-2022) et de Luiz Inácio Lula da Silva (2023-2025) illustre un traitement médiatique inégal. Sous Bolsonaro, la taxe Selic, taux d’intérêt de référence pour l’emprunt des banques au Brésil, a atteint un creux historique de 6,3 %, favorisant les petites entreprises et les ménages. Sous Lula 3, elle a grimpé à 12,1 % après une hausse de 100 points de base en 2025 (Reuters, 03/02/2025), alourdissant la dette publique et le coût de la vie, comme noté par The Economist (18/07/2024).

Cette politique monétaire stricte profite aux banques via des prêts et obligations coûteux, un point peu couvert par les médias globalistes, qui présentent Lula comme un champion des classes populaires. Ce contraste rappelle la Selic de 18,4 % sous Lula 1 (2003-2006).

L’explosion des incendies sous Lula : un silence médiatique.
Sous Lula (2023-2025), les incendies en Amazonie ont atteint un pic alarmant de 278,3 milliers de foyers en 2024, dévastant 30,9 millions d’hectares, une hausse de 79,7 % par rapport à 2023 (Poder 360, 22/01/2025).

Pourtant, des médias comme CNN, BBC et Le Monde sont silencieux, contrairement à leur couverture virulente sous Bolsonaro. Les célébrités brésiliennes, comme Anitta et Gilberto Gil, actives contre Bolsonaro, se taisent aujourd’hui.

Les subventions Rouanet ont bondi de 5,9 milliards de reais par an sous Bolsonaro à 17,5 milliards en 2023 et 16,9 milliards en 2024 (Poder 360), soulevant des questions sur une possible influence.

Les conséquences de la polarisation.
Une enquête de MISgroup pour France-Soir (mars 2025, 1200 personnes) révèle que 62 % des Français jugent les médias télévisés biaisés, 88 % estiment qu’ils amplifient la peur, et 50 % souhaitent supprimer leurs subventions.


Vers une restauration du débat public.
Pour briser cette spirale, les médias doivent adopter une approche factuelle, couvrant les crises comme les succès sans biais. Les citoyens doivent diversifier leurs sources, en s’appuyant sur des plateformes comme X pour des témoignages bruts, mais aussi sur des rapports et bases de données. Les leaders doivent être évalués sur des indicateurs mesurables : chômage, dette, prix de l’électricité, prix de l’essence etc. Des plateformes indépendantes peuvent restaurer la confiance.

Conclusion.
La polarisation, amplifiée par des récits médiatiques sélectifs, caricature des leaders comme Trump, Orbán, Bolsonaro et Le Pen, tout en minimisant des crises comme les incendies sous Lula.

La hausse de la Selic (taux d’emprunt des banques) et le silence sur les subventions Rouanet aux artistes suggèrent des influences économiques et culturelles.

Si les critiques de ces leaders sont parfois fondées, un débat basé sur des faits vérifiables et des perspectives variées est essentiel pour apaiser les divisions et restaurer la confiance publique.

Genghis Khan and the use of refugees as a military strategy in the 12th century: a perspective for understanding sponsored refugee programs in the 21st century.

Introduction: An Ancient Strategy in a Modern World.
Military history is filled with ingenious stratagems, and among its iconic figures, Genghis Khan stands out for his ability to transform seemingly weak elements, such as displaced populations, into strategic tools. In the 12th century, the Mongol leader used refugees as a psychological and logistical weapon to destabilize his enemies and strengthen his empire.

This approach raises a fascinating question: can it shed light on our understanding of modern refugee management programs, sometimes supported by military forces or private actors in the 21st century?

This article explores how Genghis Khan integrated refugees into his military campaigns and analyzes whether these historical practices offer a framework for understanding contemporary migration dynamics, particularly those influenced by military or philanthropic agendas.

In an era where migration flows fuel political and humanitarian debates, this reflection reveals troubling parallels between past and present.

Historical Context: The Rise of the Mongol Empire.
In the early 13th century, Genghis Khan (1162-1227), then known as Temüjin, unified the Mongol tribes to create an empire stretching from Central Asia to Eastern Europe. His success relied on brutal military tactics, exceptional logistics, and a keen understanding of human psychology. The use of refugees as a strategic tool is a notable innovation (The Mongol Conquests, John Man, History Today, Section on Mongol military tactics, 2004, https://www.historytoday.com/archive/mongol-conquests).

Refugees as a Psychological Weapon.
Genghis Khan used displaced populations to sow fear and confusion. During sieges, he drove nearby populations to flee toward enemy cities, overwhelming their resources and weakening their morale. These refugees became tools to destabilize the enemy, amplifying the Mongols’ terrifying reputation. This tactic overburdened enemy defenses, spread fear, and enabled the infiltration of spies (Genghis Khan and the Making of the Modern World, Jack Weatherford, Crown Publishers, Chapter 8: The Mongol War Machine, 2004, https://www.penguinrandomhouse.com/books/76607/genghis-khan-and-the-making-of-the-modern-world-by-jack-weatherford/).

Integration of Refugees into the Mongol Empire.
Genghis Khan did not merely use refugees as a temporary weapon. He integrated skilled individuals, such as artisans or engineers, into his empire. For example, during the conquest of northern China, Chinese engineers built siege machines, while literate administrators managed conquered territories. This pragmatic approach turned a potentially hostile population into a productive resource (The Mongol Empire, Timothy May, Edinburgh University Press, Chapter 5: Administration and Integration, 2018, https://edinburghuniversitypress.com/book-the-mongol-empire.html).

A Strategy of Global Scale.
By displacing entire populations, Genghis Khan weakened the social structures of his enemies while strengthening his empire. This forced mobility, though cruel, was a key tool for consolidating his power (The Mongol Conquests, John Man, History Today, Section on Population Displacement, 2004, https://www.historytoday.com/archive/mongol-conquests).

Modern Migrations: A Complex Phenomenon.
Mass migrations, driven by conflicts, persecutions, or climate crises, are a major issue in the 21st century. Some observers suggest these flows are not always spontaneous but influenced by state, military, or private agendas. Conflicts in Syria, Libya, or Ukraine have generated refugee waves with significant geopolitical repercussions (The Global Refugee Crisis, Gil Loescher, Foreign Affairs, Section on Geopolitical Factors, 2017, https://www.foreignaffairs.com/articles/world/2017-06-13/global-refugee-crisis).

Parallels with Genghis Khan.
Several parallels emerge between Genghis Khan’s tactics and modern migrations. Just as he overwhelmed enemy cities, migration flows can strain host countries’ infrastructure, as seen during the 2015 European migration crisis (Europe’s Migration Crisis, Edward P. Joseph, Foreign Policy, Section on Political Impacts, 2015, https://foreignpolicy.com/2015/09/11/europes-migration-crisis-syria-refugees/).

States like Turkey have used refugees as leverage in geopolitical negotiations (Turkey’s Refugee Strategy, Soner Cagaptay, Washington Institute, Section on Geopolitical Leverage, 2016, https://www.washingtoninstitute.org/policy-analysis/turkeys-refugee-strategy).

Finally, some countries selectively welcome skilled migrants, mirroring Genghis Khan’s integration approach (Migration and Economic Growth, Michael Clemens, Center for Global Development, Section on Selective Immigration, 2011, https://www.cgdev.org/publication/migration-and-economic-growth).

Fundamental Differences.
The modern context, with nation-states, human rights, and organizations like the UNHCR, differs from the Mongol era. Migrations are governed by international conventions, unlike Genghis Khan’s forced displacements (The UNHCR and Global Refugee Policy, Alexander Betts, Refugee Studies Centre, Section on International Frameworks, 2010, https://www.rsc.ox.ac.uk/publications/the-unhcr-and-global-refugee-policy).

The Role of Military Interventions.
Military interventions in Iraq, Afghanistan, and Libya have triggered major migration crises. The war in Syria, exacerbated by foreign powers, has displaced millions. These migrations can be exploited for geopolitical goals, such as weakening European unity (Syria’s Refugee Crisis, David Miliband, International Rescue Committee, Section on Conflict-Induced Migration, 2016, https://www.rescue.org/article/syrias-refugee-crisis; The Geopolitics of Migration, Kelly Greenhill, Foreign Affairs, Section on Strategic Migration, 2016, https://www.foreignaffairs.com/articles/europe/2016-04-18/geopolitics-migration).

Sponsored Refugee Programs and the Role of Private Funding.
Refugee programs receive support from military, state, or private sources, including NGOs backed by philanthropists or public institutions. These initiatives, often humanitarian, raise questions about their strategic impacts.

George Soros and the Open Society Foundations: A Major Player.
George Soros, through the Open Society Foundations (OSF), supports pro-migration NGOs. In 2010, OSF committed $100 million over 10 years to Human Rights Watch, which advocates for migrant rights (Open Society Foundations Announce $100 Million Commitment to Human Rights Watch, Human Rights Watch, Press Release, 2010, https://www.hrw.org/news/2010/09/07/open-society-foundations-announce-100-million-commitment-human-rights-watch).

In 2014, OSF granted $153,728 to United for Intercultural Action, supporting migrants in Europe (OSF Grants Database, Open Society Foundations, Grant Details, 2014, https://www.opensocietyfoundations.org/grants).

L’Auberge des Migrants, active in Calais, received indirect funding through partnerships with OSF-supported NGOs (Migrant Support in Calais, L’Auberge des Migrants, Annual Report, 2016, https://www.laubergedesmigrants.fr/en/annual-report-2016/).

In September 2015, Soros proposed allocating €15,000 per asylum seeker for integration in Europe (Rebuilding the Asylum System, George Soros, Project Syndicate, Opinion Piece, 2015, https://www.project-syndicate.org/commentary/rebuilding-refugee-asylum-system-by-george-soros-2015-09).

In 2016, he invested $500 million in startups and initiatives for migrants (Why I’m Investing $500 Million in Migrants, George Soros, Wall Street Journal, Opinion, 2016, https://www.wsj.com/articles/why-im-investing-500-million-in-migrants-1474394005).

In 2021, OSF allocated $140 million to pro-migration groups, including $1 million to the Latino Victory Project (OSF Annual Report, Open Society Foundations, Financial Summary, 2021, https://www.opensocietyfoundations.org/annual-report-2021).

However, claims like funding debit cards for migrants in Greece were debunked by the UNHCR (UNHCR Statement on Prepaid Cards, UNHCR, Press Release, 2018, https://www.unhcr.org/news/press/2018/10/5bb7c7e94/unhcr-statement-prepaid-cards-migrants-greece.html).

Other Philanthropic Actors.
The Bill & Melinda Gates Foundation funds migrant health initiatives, such as a HIV/AIDS project in Moldova (Global Fund Partnership, Bill & Melinda Gates Foundation, Project Summary, 2020, https://www.gatesfoundation.org/our-work/programs/global-health/hiv).

The Ford Foundation invested $2.2 million in UN pro-migration programs (Ford Foundation Grants, Ford Foundation, Grant Database, 2018, https://www.fordfoundation.org/work/our-grants/).

Conclusion: A Timeless Reflection.
Genghis Khan’s use of refugees illustrates the power of strategies exploiting population movements. Modern programs, supported by actors like OSF or the EU, raise ethical and geopolitical questions. Funding examples show that while humanitarian aid is often the goal, strategic impacts cannot be ignored. A critical analysis of the motivations behind migration flows is needed to prioritize solutions based on solidarity and transparency (The Global Refugee Crisis, Gil Loescher, Foreign Affairs, Section on Policy Recommendations, 2017, https://www.foreignaffairs.com/articles/world/2017-06-13/global-refugee-crisis).

Livre «Chroniques des ombres de la modernité.»

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«Chroniques des ombres de la modernité» est une plongée poétique dans les paradoxes de notre époque, un manifeste vibrant pour réenchanter notre existence face aux défis d’un monde en crise.

À travers une mosaïque de réflexions philosophiques, historiques et sociologiques, ce recueil dresse un portrait percutant des aliénations contemporaines dont  l’accélération du temps, la dissolution de l’identité dans le virtuel, l’effacement des récits collectifs et la servitude masquée de l’esclavage moderne.

Portée par une plume incisive et des références riches – d’Hannah Arendt à Byung-Chul Han, de Platon à Nietzsche –, cette œuvre mêle critique lucide et méditation profonde pour résister à la subversion idéologique et raviver la voix du cœur.

Loin d’un simple constat, l’auteur propose des voies de résistance : ralentir, rêver, reconquérir le sacré et le corps, raviver la mémoire collective.

De la démocratie transformée en «supermarché de l’illusion», à la dictature du relativisme, chaque chronique invite à questionner, douter et agir pour retrouver une humanité vivante et libre.

Destiné aux épuisés, aux désenchantés, aux rêveurs en quête de sens, ainsi qu’aux amateurs de philosophie, de spiritualité et de réflexion sur notre temps, ce livre est une ode à l’immortalité de l’âme sous un ciel d’acier.

Ouvrez le livre et reprenez votre souffle : l’avenir commence par un retour à l’essentiel.

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Entretien vidéo avec Xavier Azalbert de France Soir sur le livre «Amazonie Politique»

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«Amazonie Politique : Démarcation des terres & ONGs globalistes.»

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/amazonie-politique-et-eu-politique-des-decisions-contraires-aux-interets-des

5 minutes d’histoire d’Amazonie avec les empires coloniaux. Livre «Amazonie Politique.»

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Le pasteur Antonio Viera, sacerdote portugais jésuite arrivé enfant au Brésil et ayant voyagé beaucoup en Amazonie, disait dans une carte au roi du Portugal : «Le problème c’est que les ministres de votre Majesté ne sont pas au Brésil en recherche de notre bien mais ils sont au Brésil en recherche de nos biens avec un S.»

En 1494 dans la ville espagnole de Tordesilhas a eu lieu une réunion divisant les terres espagnoles et portugaises.

Le roi de France Charles VIII qui était aussi le cousin du roi d’Espagne et le cousin du roi du Portugal s’est senti exclu de cette réunion et de cette division.
Il a alors eu ce commentaire amusant en disant : «montrez-moi le texte ancien où Adam et Eve observent se diviser le monde de cette façon !»

Mais le pape lui-même avait approuvé cette décision de division des terres car c’était aussi un enjeu pour eux de conquête des âmes des habitants de ces régions.

La bataille entre les empires coloniaux était très forte que ce soit l’espagnol, le portugais, le français, le hollandais, l’anglais.

Les 3 guyanes sont l’exemple de la jalousie internationale concernant l’Amazonie.
La Guyane française est devenue un département d’outre-mer.
Le Suriname a été la colonie hollandaise.
Et la Guyane brésilienne était auparavant la Guyane anglaise.

Le Brésil est une pays immense : la région de São Paulo est un peu moins de la moitié de la France, en termes de superficie, environ 45%.

L’Amazonie couvre une superficie d’environ 5,5 millions de kilomètres carrés (km²) soit presque 10 fois la France.

Les Portugais ont mis en place une stratégie d’alliance avec les Franciscains et les Jésuites qui ont commencé à occuper l’Amazonie et ils bloquaient les fleuves depuis la ville de Foz.

Ce qui obligeait les espagnols à remonter toutes les montagnes des Andes, ce qui difficultait leur avancée.

Une autre alliance aussi importante qu’ont fait les Portugais c’est celle avec les indigènes et les caciques en leur donnant des grades militaires de capitaine pour renforcer leurs liens.

Encore aujourd’hui certains indigènes sont heureux d’afficher ce grade militaire de capitaine.

Les Portugais aussi ont donné des fonctions administratives et de noblesse exclusivement à des indigènes pour stimuler également le métissage en reconnaissant aussi leurs enfants comme nobles.

Cette alliance a mis en difficulté les autres empires coloniaux.

La jalousie internationale est très ancienne.
Les américains voulaient naviguer sur l’Amazonie et l’empereur portugais Don Pedro 2, dans une lettre adressée à la comtesse de Barau qui habitait à Paris explique qu’il ne voulait pas ouvrir le fleuve Amazone pour la navigation étrangère car il ne voulait pas que les empires coloniaux dominent avec des ports.

C’est un petit épisode d’introduction.

Bonnes fêtes à tous 🎅🎁

Vidéo en français sur l’Amazonie avec Aldo Rebelo, ancien ministre 🇧🇷 de la défense et auteur d’un livre sur l’Amazonie.

Découvrez la convoitise internationale et ancienne pour l’Amazonie en langue française ici avec Aldo Rebelo.

Aldo est un ancien ministre de la défense, mais aussi ministre de la science, technologie et innovation et il a plus de 6 mandats de député fédéral.

Une heure 30 de vidéo 🗝️ pour comprendre les enjeux géostratégiques historiques et actuels de la région Amazonienne.

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Vidéo doublée en français ci-dessous :

Cliquez pour voir la vidéo doublée en 🇫🇷.

Pour aller plus loin procurez-vous le livre d’Antoine Bachelin Sena : «Amazonie Politique : démarcation des terres et ONGs globalistes».

Aldo Rebelo est auteur du livre disponible en français sur l’Amazonie : «Amazonie, la malédiction de Tordesilhas : 500 années de jalousie internationale.»

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Qui est Antoine Bachelin Sena ?

Antoine Bachelin Sena est un ecrivain qui démonte les narratifs et dynamiques de pouvoir.

Retrouvez ses différents livres ici.

Retrouvez Antoine Bachelin Sena sur Twitter et Youtube.

Antoine mentionne souvent des concepts dans le domaine de l’information comme la “guerre de cinquième génération”, où la guerre numérique et la désinformation jouent un rôle crucial.

Ses écrits et ses vidéos sont une invitation à se détacher des narratifs imposés, à retrouver une forme de liberté intérieure où l’individu n’est plus un pion dans le jeu de la tyrannie collective. Antoine Bachelin Sena prône une forme de souveraineté personnelle, où l’écoute de soi devient un acte de rébellion contre les forces qui cherchent à uniformiser les pensées et les comportements.

Sa présence en ligne, ses articles, et ses livres montrent un homme engagé dans la réinformation, cherchant à éduquer et réveiller les consciences.

Antoine ne se contente pas de critiquer; il propose une vision iconoclaste, une invitation à la rébellion intellectuelle et à l’authenticité personnelle dans un monde où la pression sociale et les médias tentent de modeler nos pensées et nos actions.

Livres.

Poème «Sable rédempteur»

Sur la plage tropicale, le sable murmure, 
Roi déchu, les yeux bandés par l’écume, 
Il quête son royaume sous l’éclat du soleil, 
Couronnant d’écume blanche les vagues éphémères, 
Ses grains dansent, légers, sur la peau de la mer.

Ô sable, orphelin des marées oubliées, 
Tu n’es là pour personne, et pourtant tu chantes, 
Comme un sourire d’écume qui revient sans fin. 
Tes doigts de silice caressent l’horizon, 
Apaisant la fièvre d’un monde assoiffé.

Sable, jamais le même sous les pas des amants, 
D’été en été, ton visage s’effrite, 
Sable brûlant, fiancé des ombres marines, 
Le crépuscule allume un feu de corail, 
Ses flammes dansent sur l’écume et le sel.

Ô sable, pèlerin des marées infinies, 
Miraculeux, tu portes les rires des enfants, 
Les coquillages brisés, berceaux de l’écume, 
Les amants d’aujourd’hui ne fuient plus vers le sud, 
Mais sculptent des châteaux sous un ciel de cristal.

Sable, cinéma muet des vagues en exil, 
Complainte sans voix sous les étoiles perdues, 
À peine un éclat de lune sur la mer d’azur, 
À peine un crabe fuyant dans l’ombre des dunes, 
Quand les oiseaux crient leur faim de lumière.

Sable aux reflets d’or, reine des vents salés, 
Tes cheveux de silice s’envolent dans la brise, 
Ton peuple de pêcheurs s’agenouille à tes vagues, 
Il te murmure une tendresse brûlante et sauvage, 
Avant que la mer ne te livre à l’oubli.

Tu t’en vas, pieds nus, sur le rivage ardent, 
Chassé par les marées, tourbillon de l’écume, 
Reconnais-tu ici le paradis promis ? 
Un vieux pêcheur remue ses filets usés, 
Les reliques d’un rêve que la mer a noyé.

N’as-tu pas deviné l’éclat sous l’horizon, 
Par-delà les embruns et les voiles fanées, 
Le feu des goyaviers dans l’ombre des palmiers, 
Le chant de la vague sous le soupir des vents, 
Sable, lumière vive des amours naufragés ?

Sable, pollen doré des dunes endormies, 
Lune pulvérisée dans le cœur des poètes, 
Rumeur des vagues où dansent les sirènes, 
Quel enfant des tropiques s’embarque vers l’écume, 
À travers la lumière oblique du couchant ?

Sable, cerisier d’or des rivages perdus, 
Rends-nous la clarté des premiers jours du monde, 
Un oiseau se pose au bord des vagues salées, 
Mais il n’est plus pour nous de délivrance ici, 
Que ce vertige doux où la mer agonise.

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Ils ont adoré et ils recommandent :

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« Le livre d’Antoine est une lecture indispensable si tu souhaites être le premier, si tu souhaites être le meilleur. » Olivier Ansti.

« Antoine Bachelin Sena présente avec beaucoup de précisions un manuel du succès. Il expose simplement les actions à appliquer. » Coralie Mercier.

Pilote privé d’avion et Business

Je vais continuer de parler transfert de compétences. Voici le lien de mes précédents articles sur

Musique et Business – Partie 1.

Musique et Business – Partie 2

Méditation et Business

Sport & Business – Partie 1

Sport & Business – Partie 2

La diversité des expériences et des habiletés est ce qui compose les journées de l’entrepreneur d’oú l’importance du transfert de compétences et d’avoir des habiletés dans différents domaines !

On jongle en effet avec différentes équipes, différents savoirs, différents produits et services, différents objectifs, différentes habiletés, différents langages techniques et différents styles de raisonnement.

Le serial entrepreneur jongle aussi avec différentes entreprises et l’entrepreneur international avec différents pays, différentes cultures d’entreprises, différentes langues et différentes façons de voir et d’apporter des solutions.

On jongle avec tellement de choses différentes en tant qu’entrepreneur !

En fait le transfert de compétences permet d’entraîner à jongler !

On est obligé à apprendre de différents domaines du fait de devoir élargir notre champ de vision pour anticiper l’évolution de notre entreprise.

Apprendre diverses choses dans des secteurs qui à première vue n’ont rien à voir l’un avec l’autre n’est pas habituel pour la majorité habituée à un mode de pensée unique.
Et c’est ce qui fait la force d’un entrepreneur qui visualise très bien les différentes facettes d’une entreprise.

Pour piloter un avion on apprend peu à peu avec la répétition.

Il y a tellement de choses à mémoriser que c’est seulement la pratique de la répétition qui permet d’automatiser toutes les tâches de la check list.

Il faut sentir comment réagit l’avion et faire unité avec lui.

La gestion des émotions est primordiale et il ne faut pas perdre la tête lors des entrainements de panne moteur et de mal fonctionnement des instruments de bord tout comme il ne faut pas perdre la tête devant les nombreux choix à faire chaque jour comme chef d’entreprise.

pilote

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Depuis 2011 j’habite à São Paulo oú j’ai commencé à cette époque mes heures de vol à l’Aéroclube. Je ne suis pas pilote commercial mais pilote privé comme un hobby.

J’ai voulu apprendre à piloter pour la liberté et le plaisir que cela procure.

Vivre l’aventure d’avoir la tête dans les nuages est super stimulant et excitant.

Ce qui m’a charmé dans l’entrepreneuriat est la même chose que ce qui m’a charmé dans le pilotage d’avion : le fait d’être le maître à bord, le commandant, celui qui prend 100% des décisions.

Le commandant vous souhaite à tous un bon vol.

Je ne travaille plus depuis 2011

Le titre est provocateur : bien sûr je travaille mais ce n’est plus dans le sens de 9:00 – 17:00 au bureau.rat

Depuis 2011 j’investis dans différentes entreprises dont les miennes principalement. Alors le travail est ce travail de création, d’entrepreneur et d’investisseur. Depuis 2011 je ne travaille plus comme la majorité des gens c’est à dire que je n’ai plus de patron, plus de manager, plus d’objectifs à atteindre autres que ceux que je définis moi-même.
Le point le plus sympa aussi c’est que les bénéfices ne sont plus pour le patron ou pour le manager ou divisés entre employés et réduits à des miettes : c’est tout pour moi.

plus travailler

Ce n’est plus un travail selon le sens commun là oú la majorité travaille pour une minorité.

Le travail est devenu un travail de création de valeur : un travail d’analyse d’opportunités et de viabilité de services et de produits nouveaux.

La creation de nouvelle valeur ne peut pas être réduite à une formule. Cela est prouvé par les CEO professionells « robots » qui manquent d’inspiration et le fondateur reste toujours celui qui a défini « l’âme » de l’entreprise, c’est à dire la culture, les valeurs, la mission, la qualité, mais ce qui est le plus important reste la valeur secrète et différentielle de la boîte.

Un entrepreneur est caractérisé par l’énergie énorme qu’il porte en lui-même et qui ne diminue jamais et qui l’amène à réaliser d’innombrables actions. Par énergie énorme je veux dire très grande en comparaison avec la majorité des êtres humains.

Les innombrables actions que l’entrepreneur réalise vont générer de nouveaux problèmes pour lui-même et pour l’entreprise.
Oui, vous avez bien lu : la majorité des gens suivent le contraire de ce que je viens d’énoncer. En fait ils essaient toujours au maximum d’éviter tous les problèmes pour terminer au final avec les mêmes situations ennuyantes qu’ils connaissent depuis des années.
Les gens n’obtiennent pas ce qu’ils veulent car ils ne réalisent pas assez d’actions et ne persévérent pas avec encore plus d’actions. Ils se retrouvent à la fin avec des problèmes familiers à la place de trouver des problèmes aventuriers et positifs.

Alors allez-y créez enfin votre boîte !

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